Fév
17

Quand le devoir de Mémoire fait défaut…

“Des français qui n’ont pas écrit leur Histoire” : cette phrase représente bien la situation, hélas. Les Gens du Voyage n’ont pas écrit   leurs souffrances, leur haine, leur douleur et les injustices qu’ils ont subies pendant cette  deuxième guerre. Donc c’est dur de tout savoir sur leur passé tragique, ignoré par la population. Peu de livres, peu de reportages,  peu de témoignages pour alimenter leur mémoire collective.  C’est comme si la France ne voulait pas se souvenir de ces faits. Le film que j’ai vu, “Des Français sans Histoire“, pourra peut-être faire avancer les choses, je l’espère. Il faudrait plus de reportages, de témoignages, car plus les années passent, plus l’étau se resserre sur ce peuple en quête de sa vraie Histoire.

J’ai forcément une opinion favorable pour qu’on n’oublie pas leur Histoire.  Mais il faudrait que les Gens du Voyage se mobilisent pour qu’on s’intéresse à eux. Il faut qu’ils écrivent leur Histoire, que les derniers survivants témoignent, que des fils ou filles ou petits- fils ou petites- filles recueillent ces témoignages… et témoignent du passé de leurs familles.

Kévin (Le Torchon)

Mémoire oubliée ? Comment transmettre la mémoire dans une culture qui ne privilégie pas l’écrit ?

Je pense qu’il est difficile de transmettre son Histoire sans l’écrire, car, si nous n’écrivons pas l’Histoire, nous la transmettons oralement.

Le danger dans ce domaine là, c’est que si nous ne l’écrivons pas, nous avons beaucoup de chances de la perdre ou même de la transformer. Si on ne l’écrit pas, on va la raconter uniquement aux personnes proches de nous, cela réduit la transmission du témoignage, alors que les écrits sont accessibles à tous, du moins dans les démocraties qui respectent pleinement les droits de l’homme.

C’est pour cela qu’il est important d’écrire son Histoire. Je ne dis pas que l’écrire est la parade contre tous les problèmes, car nous ne sommes jamais à l’abri de l’incendie des bibliothèques… Nous ne sommes pas non plus à l’abri d’une modification, ou du fait que l’auteur lui-même raconte un tissus de mensonges. Cependant, nous pensons que ceux que nous avons eu devant nous, sur l’écran de la salle des 400 Coups mardi 1er février disaient la vérité car tous les témoignages concordaient. Lors des entretiens, nous avons pu remarquer que les personnes qui parlaient restaient dans le recueillement et dans leurs pensées. Mais notre professeur d’Histoire assure qu’il faut des écrits de différentes sources pour valider un fait historique…

Le monde entier a été au courant de l’extermination des Juifs, des pages de manuels d’Histoire sont consacrées au génocide juif. Pourquoi ? Parce que leur histoire a été écrite, tandis que celle de l’internement des Gens du Voyage et de leur déportation est restée méconnue de nous car elle n’a pas été autant écrite et elle a été beaucoup moins transmise. Aujourd’hui encore, une grande partie des gens ignore cette histoire alors qu’elle s’est passée tout près d’ici, à Montreuil-Bellay. Heureusement, maintenant, des gens sont volontaires pour aller auprès de ces familles pour recueillir leur témoignage de manière à garder une trace et informer la population des autres génocides, des autres exactions, des autres discriminations.

Jofrey. (Le Torchon)

Fév
17
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 17-02-2011

Des Voyageurs sans Mémoire ?

Voyage au coeur de l’Histoire des Gens du Voyage : 1939-1945

Invitées par l’ADAPGV à la projection du film « Des Français sans histoire », au cinéma Les 400 Coups, les deux classes  Médias de Châtellerault (K’eskon Attend et Le Torchon) ont eu la chance de rencontrer le réalisateur. Elèves et passeurs de Mémoire.

Contexte historique

La politique raciale menée par le régime nazi en Allemagne à partir de 1933 atteindra l’horreur en 1942, avec la Solution Finale, l’extermination des Juifs et des Tziganes. D’après les Nazis, les Juifs étaient situés tout en bas de l’échelle des races. Ceux qu’on appelle alors les « nomades », par opposition aux sédentaires, vont subir eux aussi un génocide : ce sont environ 220 000 Tziganes assassinés par les nazis dans les camps d’extermination en Europe. Si on connaît l’histoire du génocide des juifs, la Shoah, on ne connaît pas toujours bien celle du génocide des Tziganes. Nos livres d’Histoire ne nous l’enseignent pas.

Grâce au film de Raphaël Pilosio, « Des Français sans Histoire », nous apprenons qu’en France, les nomades, que l’on désigne aujourd’hui sous le terme administratif « Gens du Voyage », ont été internés dans des camps sur le sol français pendant toute la durée de la guerre -voire plus-, et que certains hommes ont été déportés vers les camps d’extermination en Allemagne, en Pologne, et y ont été gazés. En approfondissant les recherches, on apprend que le gaz Ziklon B avait été testé sur des enfants tziganes…

(Le Torchon)

Qu’en est-t-il de toute l’Histoire ?

Les nomades, ces personnes vivant sans domicile fixe et en habitat mobile, ont connu de grandes souffrances lors de la Seconde Guerre Mondiale.  Entre arrestations et camps de concentrations, un petit retour sur l’histoire de ces personnes.

C’est avant la Première Guerre Mondiale qu’on a inventé le fameux carnet anthropométrique visant à limiter la liberté des Gens du Voyage mais c’est pendant la Seconde que l’histoire s’est emballée.  Des lois, toutes contre les nomades, sont décrétées, comme des lois qui interdisent ces personnes à circuler sur le territoire français pendant la durée de la guerre ( décret du 6 avril 1940 ).  Les nomades sont assignés à résidence, puis le gouvernement pousse à vouloir les interner dans des camps, tout ça sous le régime de Vichy. L’internement des nomades en zone sud est dirigé par les français alors qu’en zone nord, ce sont les allemands qui dirigent les arrestations.

Ces personnes sont alors emmenées dans ces camps (une trentaine en France) où elles sont mal nourries, mal logées et dans lesquels elle travaillent dur. Pour manger, elles doivent souvent trouver leur propre nourriture. A certains, endroits, elles sont autorisées à sortir du camp la journée pour aller trouver leurs denrées mais sont néanmoins obligées de rentrer le soir où elles sont enfermées dans des sortes de « cages » dans lesquelles nous enfermerions des bêtes aujourd’hui.

Entre 1940 et 1946,  4 657 nomades sont arrêtés en zone occupée puis internés et 1 404 le sont en zone libre. Vous vous rendez-compte que ces gens ont été arrêtés parce qu’ils ont été jugés « dangereux » pour la population ! Des idées fondées sur rien puisque ces personnes ne sont pas des voleurs comme on le prétend à l’époque et ce sont des personnes comme toutes les autres, le seul critère de différence étant le mode de vie.

1946. Une année qui marquera sûrement les esprits puisque c’est celle qui signifie la fin des camps pour les tsiganes. Le dernier camp fut celui de Jargeau, à Angoulême. Mais bien qu’elle soient sorties des camps, les familles nomades n’ont pas fini de souffrir puisqu’à leur sortie, ils n’ont pas retrouvé les caravanes, les roulottes ou les chevaux qu’ils avaient abandonnés quand on les a arrêtés.

Rien, il ne leur reste rien… A part des souvenirs noirs de douleurs, de souffrances, d’images de guerre, de sang ou de mort. Des traitement qu’ont subis des personnes qui n’avaient rien demandé, qui n’étaient pour rien dans cette guerre et qui ont tout de même souffert et qui ont été trahies par leur patrie , la France…

Nourelhouda et Marion (K’eskon attend ?)

Gens du voyage : « Des Français sans Histoire »

Raphaël Pillosio, le réalisateur est clair : « La France ne reconnait pas les souffrances des Nomades,  ce scandale de l’internement des Gens du Voyage pendant la Seconde Guerre Mondiale ».  Son idée ?  Recueillir la parole des gens qui ont eux-mêmes étés internés et enregistrer cette parole pour les plus jeunes. Une façon de redonner leur histoire à ces français que les français ne reconnaissent pas.  Pour cette réalisation, il lui a fallu une longue préparation et plusieurs années avant le montage. Une confiance s’est installée avec toutes les personnes rencontrées, retrouvées, pour la plupart, de témoignage en témoignage, un témoin signalant une histoire, une famille, un autre la localisant… Jusqu’à cet homme digne, présent dans la salle, venu raconter en direct, M. Fernandez. « La seule chose que j’espère, c’est ce que ça ne se reproduise pas. On était tellement maltraités, tout ce malheur vécu reste encore en nous.  Des familles entières ont étés internées ».

Raphaël Pillosio, en dévoilant son dispositif, explique l’intérêt d’une petite équipe (trois personnes) pour établir cette confiance. Il explique aussi pourquoi il a tourné en plans fixes la plupart des entretiens : « Je voulais voir le travail de la mémoire se faire jusque dans les silences. » Et dans ces silences, le spectateur a pu entendre, au fil des interviews, cette question répétée, venant ponctuer les récits : « Mais pourquoi, on ne nous aime pas ? ». Qu’on ait choisi d’être sédentaires comme M. Fernandez, qu’on ait choisi de continuer la roulotte comme certains dans le film, il y a toujours ce rejet du Gitan, du Manouche, du Tsigane, du forain…

Conséquences de ce rejet : le carnet anthropométrique qu’il fallait faire signer dès le début du siècle dernier, l’internement durant la guerre, demandé par l’état français, des prises de parole encore aujourd’hui de certains politiques. En tout cas, pour cet épisode historique, une cinquantaine de camps ont mis des barbelés entre les gens du voyage et les autres, et certains ont fini leur vie en Allemagne avec les juifs, les résistants, les homosexuels… Sans laisser beaucoup de traces.

Nourelhouda et Marion (K’eskon attend ?)

Merci à Raphaël Pillosio, à Delphine Plaud et Thérèse Boger, de l’ADAPGV, à M. Fernandez, à Margot Buczkowski et aux membres de la famille Henrique, de qui nous avons beaucoup appris.

Fév
17
Le titre est modifié et le texte coupé, on devrait lire une seconde page demain (je crois).

On innove : ce fut un travail commun aux deux classes media de Châtellerault : K’eskon attend ? et Le Torchon.

A lire là : http://www.lanouvellerepublique.fr/vienne/TRIBU-NR/Entre-vous-et-nous/Les-horreurs-de-la-guerre


Deux collèges pour une même cause

Fév
11
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par anissa le 11-02-2011

Enfin, après de longues concertations, Moubarak a enfin donné sa démission:  la joie que des centaines de militants manifestent  sur la place Tahrir est immense .

Moubarak, après 30 ans de pouvoir, laisse son trône,  il laisse la direction du pays à l’armée militaire. La joie éclate sur la place Tahrir, le Hamas salue cette démission comme le début de la victoire de la révolution.

A la suite de ce soulèvement et de la délégation du pouvoir à l’armée, l’armée ne souhaite pas prendre le pouvoir malgré le souhait du peuple.

Amr Moussa, ministre égyptien des affaires étrangères, salue le changement historique et il appelle le peuple à aller de l’avant et à instaurer un système sain. Le ministre égyptien pourrait peut-être être un éventuel président.

http://crisdegypte.blogs.liberation.fr/cairote/2011/02/egypte-le-lion-est-mort-ce-soir-2.html

Anissa

Fév
10
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 10-02-2011

Chers zélèves, voici un beau sujet de reportage pour vous, aujourd’hui : la grève dans l’éducation nationale (n’oubliez jamais l’adjectif).

Je vous propose de mener enquête auprès des divers représentants de la communauté scolaire présents aujourd’hui au collège : professeurs, chef d’établissement (demandez un rendez-vous à madame Grollier), surveillants, assistants pédagogiques, élèves de 3ème. Vous pouvez poser à chacun les questions suivantes :

– Savez-vous quelles sont les revendications des professseurs grévistes ? Par exemple, dans notre collège, que se passerait-il si les réformes du gouvernement étaient appliquées ?

– Partagez-vous ces revendications ? Pourquoi ?

– Que se passerait-t-il si tous les enseignants faisaient grève le même jour ?

– La grève des enseignants sert-elle à quelque chose ?

– Souhaitez-vous ajouter un mot à ce sujet ?

Vous notez les réponses, de façon anonyme ou pas, selon ce que la personne à qui vous vous êtes adressés vous autorise à faire. Vous rédigez un article (brouillon) sur ce blog : je me charge ensuite de rassembler vos textes et de composer un seul article.

Merci ! N’oubliez pas, c’est en torchonnant qu’on devient Torchon !

Fév
09
Classé dans (Correspondance, Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 09-02-2011

Poussée par la nécessité de communiquer dans un monde qui vit plus vite que son ombre, me voici stagiaire sur Facebook.

Mon objectif : créer une page Facebook pour Le Torchon, afin de faciliter entre vouszémoi l’échange d’articles avant publication sur ce blog.

Ceci est un cadeau pour le 200ème article…

Fév
09
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par moustoifaini le 09-02-2011

Article 3 de loi du 16 juillet 1912
Les gens du voyage (ou les nomades) étaient traités comme des citoyens mais pas comme les autres. On les obligeait à faire signer un carnet anthropométrique. On les photographiait de profil et de face, on prenait leurs empreintes digitales de l’auriculaire gauche, de l’annulaire gauche, de l’ index gauche, du pouce gauche. On les signalait en donnant leur taille, poids.

Pendant la guerre, ceux qui voulaient s’échapper des camps d’internement en étaient empêchés : les fuyards n’ avaient plus de papiers et ils ne pouvaient pas se mêler à la population qui les rejetait et les dénonçait.

Je trouve que ce n’est pas normal, et pas juste que des français nomades aient été internés. Le gouvernement français de l’époque laissait faire. De mon point de vue, ce n’est pas humain, ce que les français et les allemands ont fait en 1940 , on est tous des êtres humains, peu importe la couleur de peau (blanc, noir ,métissé ), le mode de vie. On est tous de la   même espèce : l’espèce humaine.

Moustoifaïni.

Fév
08
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par françois le 08-02-2011

Il y a énormément de couleurs qui veulent dire beaucoup de chose comme LE ROUGE , dans la culture occidentale, le rouge est ambivalent : il représente à la fois la mort mais aussi l’amour, l’interdit.

L’amour rouge, elle représente la passion, la vie, l’appétit, le luxe, la fête, le plaisir…

La mort rouge, elle représente la luxure, le diable, la colère, la haine, la destruction…

Le rouge est une couleur excitante, dynamisante et énervante qui stimule les sens avec la passion.

En Grèce, le rouge symbolise l’amour régénérateur. Il ya quelques expressions pour le rouge comme : un rouge, du gros rouge, fil rouge, alerte rouge etc…

LE ROSE : qui symbolise la pureté, la séduction et la fidélité, c’est la couleur de la chair.

C’est la couleur des filles par opposition au bleu qui est la couleur des garçons. Quelques expression qui sont : voir la vie en rose, voir des éléphants roses, le téléphone rose, envoyer quelqu’un sur les roses.

LE BLANC : Dans l’emblème occidental, le blanc évoque la paix, l’innocence et la pureté. On l’associe à la virginité, à la vie et au mariage. Mais le blanc est aussi associé à d’autres domaines comme la vieillesse, la pâleur, la mort et au vide. Quelques expressions qui sont : une arme blanche, un chèque en blanc, avoir carte blanche, peur blanche etc …

J’ai choisi ce sujet car il m’est venu en tête et j’ai fait des recherches sur internet et je me suis dit pourquoi pas faire un article … Et donc je pense que c’est bien de penser des choses à travers des couleurs, que plein de couleurs donnent plusieurs significations et veulent dire énormément de choses.

Ma couleur serait plutôt le bleu : j’ai toujours aimé le bleu depuis tout petit et aussi le rouge un peu..

Et vous c’est quoi votre couleur ? Et pourquoi ? 😉

François.

Fév
08

Ce qui m’a déplu, c’est cette façon dont les allemands et français traitaient les gens dans les camps surtout que moi, je ne savais pas que les Gens du Voyage étaient eux aussi enfermés dans les camps par des français, en France alors qu’il étaient eux-mêmes français !

Dans le camp de la route de Limoges, les nomades étaient en bas et les juifs en haut. Ils étaient environ 400, surveillés par les allemands et les français avec des mitraillettes. Ce qui m’a choquée, c’est cette façon de traiter les tziganes comme s’ils n’étaient pas français : les enfermer dans des camps, et les conditions dans les camps étaient terribles : pas d’eau chaude, pas de toilettes, pas d’hygiène, peu de nourriture donc certains mourraient.

Et aussi apprendre qu’un rescapé déporté en camp d ‘extermination a avoué à un homme : “Ton père est mort, c’est moi qui ai mis son corps dans un four crématoire”, c’est choquant ! certains hommes nomades, déportés, ont été gazés.

Je trouve cela affreux, c’est innommable de faire ça ! La vie dans les camps pour les tziganes et les autres a été les pires moments qu’ils ont vécu : ils ne veulent plus que ça se reproduise et ils ont bien raison.

La colère des Gens du Voyage reste encore évidente quand ils en parlent, ils en parlent avec la colère, le dégoût. Et ils ont tous la même question : “Pourquoi les français ne les aimaient-ils pas ? Pourquoi leur a-t-on fait cela ?”

Anissa.

Fév
08

Le 5 mai 1945, le Commissaire de la République, Monsieur SCHULER, lance l’idée d’une mission en Allemagne pour ramener les déportés de la Vienne. Le père Fleury décide d’affréter un car des Rapides du Poitou et de partir chercher les déportés de la Vienne internés au camp de Dachau.

Après beaucoup de péripéties, l’expédition arrive au camp qui vient d’être libéré. Une épidémie de typhus s’y était déclarée. Mais il doit surmonter de multiples difficultés pour les ramener à Poitiers. Outrepassant les ordres du Général De Lattre de Tassigny qui les avait consignés en quarantaine en raison du typhus, il lui faut négocier avec les autorités américaines qui finissent par accepter une liste de 96 rapatriables :

” Au moment où nous nous regroupâmes au delà des barbelés, des dizaines d’hommes se soulevèrent d’un élan unanime… Chacun respirait plus à l’aise. Une immense satisfaction brillait dans leurs regard…”

Voici ce qu’on trouve si on mène une recherche sur le Père Fleury. Rien sur son rôle dans le transfert des nomades du camp de la route de Limoges à Poitiers : mémoire sélective ?

Alexandre Le Grand et Oussama Cherifi