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Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 27-03-2014

Mes zélèves de quatrième, qui étudient la lettre ouverte de Victor Hugo aux habitants de Guernesey, pourront commenter cette illustration…

Les chiffres du rapport 2013 sur la peine de mort, par Amnesty International.

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27
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 27-03-2014

Que peut-on dire de cette Une ? L’auriez-vous imaginée ?

Mar
26

Chres zélèves,

Un article à lire dans Le Monde ce matin, dont je vous copie ici le début.

“Après avoir décliné au profit de l’anglais, la langue de Molière pourrait-elle retrouver son rayonnement international dans les décennies à venir au point de devenir la prochaine langue universelle ? Une étude de la banque Natixis, reprise par le magazine Forbes, projette que le français devienne la langue la plus parlée au monde à l’horizon 2050.

En cause : la langue française est en pleine expansion et se diffuse dans les zones les plus dynamiques du monde, notamment en Afrique subsaharienne. A tel point que le français devrait être parlé par 750 millions de personnes dans le monde en 2050, contre 220 millions de francophones recensés en 2010, estime Natixis. Elle deviendrait ainsi la langue la plus parlée au monde, devant l’anglais et le mandarin.”

BLA-BLA – Le français sera-t-il la langue du futur ?

 Vous voyez, j’avais raison d’insister pour vous convaincre de l’importance de maîtriser votre langue ! Où est Le Fils Spirituel de L’Inconnu ? Qu’il lise cet article, nous en reparlerons demain en cours, en abordant la séquence grammaire… 😉

Mar
25
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 25-03-2014

Aujourd’hui, journée sous le signe de l’éducation aux média : tous les zélèves de l’option ont participé au concours “Faites la Une”.

Journée épuisante (sisi, je mets au défi bien des gens d’animer six heures d’activité journalistique avec 23 ados dans un CDI), dont les zélèves vous parleront ici mieux que leur prof, n’est-ce pas ?  Johanna m’a jugée un brin stressée : elle avait raison ! O combien ! Et pour cause ! A la fin de la journée, nous n’avons pu imprimer que cinq Unes… Eh oui, quand on vous dit que le temps passe vite. Carpe Diem, comme vous le conseillaient Johanna, Messaouda, Naouale et Dehbia dans leur Une, mais n’oubliez pas de travailler… Certains ont joué à la tortue et sous-estimé la cruauté du temps qui passe… inexorablement, et sans nous attendre…

Merci à tous, quoi qu’il en soit, pour cette journée comme on n’en fait pas assez. De celles qui nous font (encore plus) aimer ce métier.

Mar
24
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Anissa Ramdane le 24-03-2014

Il ya des cas comme moi, qui ont honte seulement d’un parent sur deux. Certain dirons que ce n’est pas logique, d’autresque je suis “grave”, mais c’est point de vue, je l’exprime.

Moi, par exemple celle dont j’ai un peu honte, c’est ma mère. Vous savez, quand vos mamans vont chez le médecin, dans la salle d’attente, quand elles parlent très fort ou bien quand elles parlent à une amie puis qu’elles racontent notre vie, quand elles sont gentilles avec nous devant les autres puis après elles nous crient dessus, toutes ces choses qui nous font honte devant les autres.

Heureusement que je suis assez grande pour que la mienne ne m’emmène pas au collège, là aurait été le désastre, je pense. Puis, regardez leur style vestimentaire, nous ne sommes plus dans les années 70, c’est fini ça ! Même ma prof de français, elle s’habille en mode “jeune”, selon moi. Comme quoi, elle est un exemple (je fais référence à mon article en début d’année, sur vous m’dame). 

Ensuite, celui dont je n’ai pas vraiment honte, c’est mon père. Je dis “vraiment” car c’est vrai qu’il blague beaucoup et avec tout le monde, même avec des personnes qu’il ne connaît pas, que ce soit dans les magasins, au collège, dehors, à la maison. Mais mon papa, c’est le plus beau, sur ce point là, lui, il s’habille très bien et juste. Il est à la mode, même s’il vient de loin…

La différence, ce n’est pas l’amour qu’on porte à chacun d’eux mais comment on les ressent et ce qu’ils dégagent d’eux même. C’est vrai qu’on aime tous un parent plus que l’autre parce qu’il y en a un qui vas plus nous offrir de cadeaux, ou être moins exigeant, ou tous simplement car on a plus d’affinité avec, mais jamais pour leur amour car ils sont censés nous aimer tout le temps, toujours et à n’importe quel moment où l’on a besoin d’eux.

Peut être qu’il y a une vraie différence entre nos parents, mais est-ce grave, d’en aimer un plus que l’autre, ou d’avoir honte de l’un et pas de l’autre ? Telle est la question.

Mar
22

Paul Bernard, vous connaissez ? Non ? Personne ? Normal, il a été pendant longtemps la simple plume de François Hollande, chargé d’écrire jusqu’à la moindre virgule ses discours. Eh bien je suis désolé de vous apprendre qu’il a démissionné suite à des problèmes familiaux.

Malgré tout, je sais ce que vous êtes en train de vous dire, “mon dieu, mais qui est la nouvelle plume de François Hollande ?! ” ou peut-être “Mais qu’est-ce que ça peut me faire ! “, eh bien, dans les deux cas, je vous l’annonce, la nouvelle plume du président de la république, du président de tous les Français, du chef de l’état, du roi de l’anaphore, de l’homme au scooter…est…suspense…Pierre-Yves Boc.

Bon, j’imagine que ce nom ne vous dit pas grand chose non plus mais c’est là qu’intervient l’information : Pierre-Yves Boc n’est autre qu’un spécialiste du Gangsta-Rap ayant étudié un très grand nombre de rappeurs U.S. Non, je ne blague pas, peut-être que dans quelques mois, nous retrouverons un nouveau président, je vous laisse imaginer…

Sans titre 1

 

Oui ça fait peur, enfin bref,il  y a du boulot…

Une étude récente tendrait à prouver que, si nos zados font des fautes d’orthographe, ce n’est pas parce qu’ils passent leur vie à textoter, smser, tweeter… Non, non, non : trois fois non. L’étude conclut que les zados qui font des fautes dans leurs textos en faisaient déjà dans leurs copies. Et inversement, ceux qui ne font pas (trop) de fautes d’orthographe n’en feraient pas non plus sur les réseaux sociaux.

– Mais, et pourtant, dans les commentaires sur ce Torchon, que de fautes, que de fautes ! me direz-vous, à raison…

La conclusion de l’article de l’AFP fait peur : il serait envisagé d’utiliser les textos des zélèves pour leur enseigner l’orthographe. Décidément, Madame Bovary attendra…

“Loin d’être une menace pour le niveau d’orthographe des jeunes, les SMS seraient donc surtout «une occasion nouvelle et supplémentaire de pratiquer l’écrit». En outre, l’écrit traditionnel enseigné à l’école ou les textos rédigés en dehors de tout cadre institutionnel «dépendent des mêmes capacités cognitives», indiquent les chercheurs.

Des études récentes sur les langues anglaise et finlandaise ont également démontré qu’il n’existait pas de lien entre le niveau en orthographe d’élèves de 9 à 12 ans et la densité de fautes dans les SMS.

Etant donné que le téléphone mobile et les SMS sont utilisés avec facilité et enthousiasme par les adolescents, «ils pourraient donc être utilisés comme support d’apprentissages scolaires, idée que l’Unesco avait déjà soutenue en 2010», jugent les chercheurs.

Ces travaux sont publiés dans la revue Journal of Computer Assisted Learning.”

AFP

Mar
18
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Saadia LEGHRIB le 18-03-2014

Pendant le séance media , Mme Dibot nous a fait réfléchir sur un sujet qui n’a pour réponse que “peut être”.

En effet, Mme Dibot nous a poussés à parler des stéréotypes  filles / garçons et nous a dit que, statistiquement, les professeurs attendent des filles une plus grande rigueur  et plus de  maturité  que des garçons.

Je me suis donc exprimée sur le sujet : “Je pense que les professeurs attendent chez nous, les filles, une plus grande intelligence et plus de maturité que chez les garçons car dans le futur ,  lorsque nous voudront trouver du travail, ce sera beaucoup plus compliqué pour nous et, pour rivaliser avec les garçons, nous devons être beaucoup plus compétentes.”

Mme Dibot, elle, a dit : “Peut-être que, dans ma jeunesse, mes professeurs étaient plus exigeants avec moi.” Elle m’a fait remarquer que les professeurs sont peut être exigeants mais on ne s’en rend pas compte.

 

 

 

Mar
18
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 18-03-2014

Mar
18

Le 14 Mars 2014, c’est le jour J pour le rachat de SFR, qui, rappelons-le, allait se faire racheter, soit par Bouygues telecom, soit par numéricable. Les deux sont prêts à tout pour l’avoir : le prix de rachat se compterait en milliards d’euros. Rien que ça! En ce moment, le conseil de surveillance examine à la loupe les deux propositions, pour s’assurer de ne pas laisser passer d’occasion. C’est jeudi 13 que les deux rivaux ont agrandi leur offres, sur la dernière ligne droite.

SFR (4)

Le ministre du redressement politique, Arnaud Montebourg, est favorable à Bouygues, mais avertit que l’ancienne baisse des prix (due au passage de trois à quatre opérateurs), sera “irréversible”, vu que les opérateurs (si c’est Bouygues qui l’emporte) redescendront logiquement à trois.

Jean-René Fourtou, président du conseil de surveillance de SFR, est plutôt du côté de numéricable.

Les deux candidats se sont aussi engagés à ne licencier personne.

Un mandat de négociations exclusives avec un des candidats pourrait être donné par le conseil exécutif de SFR pour poursuivre les discutions.