Nov
29

Les élèves de la classe media du collège George Sand de Châtellerault en débat.

 En classe de 3ème, nous étudions un roman pacifiste, A l’ouest rien de nouveau, d’Erich Maria Remarque. Suite à cette étude de récit, notre professeur de français nous a posé cette question : « Etes-vous patriote ? Que représente, pour vous, la notion de sacrifice pour la patrie ? »  Drôle de question, que nous ne nous étions jamais posée : le patriotisme est une notion qui ne nous concernait jusque là a priori pas.

Hugo Schmitt : On peut considérer qu’il y a plusieurs formes de patriotisme. A l’origine, le patriote était celui qui partait en guerre, se battait pour son pays. Personnellement, je ne pense pas aller jusqu’à donner ma vie pour le pays. Par contre, je pourrais me battre, mais d’une autre manière que par les armes, par exemple, en défendant l’économie, la culture et les droits de mon pays, alors je peux considérer être patriote, ou appartenir à une nouvelle génération de patriotisme, car notre génération n’a pas grandi avec la notion de guerre, donc le sacrifice pour ma patrie reste un sujet peu représentatif.

Patriotisme ou nationalisme ?

  Notre professeur d’Histoire nous a expliqué la nuance entre la notion de patriotisme et la notion de nationalisme. Pour ce faire, il a filé la métaphore de l’amour. Il nous a expliqué que le patriotisme, c’est aimer son pays, sa patrie : c’est un amour raisonnable. Etre patriote, c’est faire beaucoup pour son pays, dans les limites du raisonnable. Le nationalisme, c’est aimer son pays de façon irraisonnée, exacerbée : c’est la passion. Dans le cas de la première guerre mondiale, les soldats français étaient nationalistes, ils sont partis vers Berlin, la fleur au fusil, persuadés que leur cause était juste. Depuis qu’ils étaient enfants, on leur avait inculqué cet amour de la patrie, on leur avait demandé de se sacrifier pour leur patrie.

Alors, sommes-nous, nous qui avons 15 ans, des patriotes ?

Ruddy Michaud. Je suis entièrement patriote puisque, si une guerre devait se produire, il serait de mon devoir de m’engager et de combattre pour mon pays et aussi pour ma famille. Je suis conscient des risques de la guerre, que l’on peut mourir à n’importe quel moment, que je devrais arrêter mes études. Puisque nos ancêtres ont fait la guerre pour que notre génération soit en paix, je pense qu’il serait de mon devoir de m’engager pour que les prochaines générations soient en paix et non en guerre.

 Valentin Géron : Au vu de la définition, je suis sûr d’être patriote, ou nationaliste. En effet, si être patriote, c’est aimer sa patrie et s’efforcer de la servir, alors je me sens pleinement patriote, prêt à partir au combat et éventuellement mourir pour mon pays. L’idée de sacrifice fait passer l’intérêt personnel après le collectif. Savoir oublier de penser à soi pour se soucier des autres est le premier pas vers la notion de sacrifice.

 Christina Paulo : En France, j’apprécie amplement le fait que l’on puisse être libre, que l’on ait la chance d’avoir accès à une éducation gratuite, ce n’est pas le cas partout dans le monde. Se sacrifier pour sa patrie, l’expression est assez violente, voire excessive.

 Océane Dupuy : J’aime ce pays car je suis née ici. Mes racines sont ici, ma famille aussi. Mes ancêtres sont enterrés là.

 Corentin Le Moal : J’aime, dans mon pays, ses ressources, c’est un pays différent des autres, j’aime sa gastronomie. C’est un pays riche, avec différentes cultures : on l’appelle la « France de la diversité ». On ne critique pas les gens différents (religions, traditions, coutumes, gastronomie) : nous avons tous les mêmes droits.

 Emile Brunet : Je suis fier d’être français : je suis né en France, mes parents sont nés en France, je parle français, j’écris français. Lorsque l’on est dans un pays, on doit l’aimer et le respecter. On ne choisit pas sa religion, elle se transmet par la famille. L’Histoire de France est intéressante et compliquée : il faut remercier nos ancêtres qui se sont sacrifiés pour la patrie.

 

Regards croisés : deux élèves nés en Algérie et arrivés en France voici quelques années :

Riyadh Hadj-Belkacem : Oui je suis patriote car je suis fier de mon pays, l’Algérie, de mes traditions, et de ma couleur, mais aussi de mes cultures car si j’aime ma culture maternelle,  j’aime aussi la France, ma culture d’adoption.

   Je suis musulman, ce qui est mal vu par les racistes, mais  je ne suis pas content des terroristes islamistes, qui tuent des personnes sans raison et cela me choque car ils montrent une mauvaise image de l’Islam. Aujourd’hui l’Islam signifie la paix, la générosité, l’aide…

  C’est pour cela que je suis d’accord avec la devise de la France, Liberté, égalité, fraternité,  mais que je trouve qu’elle est mal appliquée dans le pays, par exemple, pour l’égalité car les racistes pensent que tous les Français ne sont pas égaux. Je suis d’accord avec la fraternité car il existe plusieurs associations qui aident des gens pauvres ou des gens qui n’ont pas forcément les moyens de payer des choses chères pour eux. Par exemple Les restos du coeur, la croix rouge, etc..

  Pour conclure, je voudrais que la liberté et l’égalité soient aussi bien appliquées que la fraternité.

 Abderrahman Rabhi : Un patriote est une personne qui aime sa patrie et qui la sert avec dévouement. Et moi, d’une certaine manière, j’aime la France. J’aime sa culture (feux d’artifice du 14 juillet), car c’est beau et intéressant, j’aime aussi son éducation (école laïque et obligatoire).

  Moi, je ne suis pas français d’origine, je suis arrivé en France il y a environ 7 ans et demi mais ce n’est pas pour autant que je n’aime pas la France, même si je préfère l’Algérie car presque toute ma famille est là-bas. Mais, contrairement à ce que pensent certains électeurs français, j’aime quand même la France. Oui, je suis algérien et j’en suis fier, peu importe ce que pensent les racistes car chaque personne est fière de ses origines. De la même manière, les français qui s’étaient installés en Algérie avant l’Indépendance aimaient à la fois l’Algérie, culturellement (car l’Algérie, c’était quand même la France) et toujours la France qui était la terre de leurs origines. Eh bien moi, c’est la même chose, mais dans l’autre sens.

Pas une, pas deux, mais trois patries !

Pedro Lutalakaka Mavunza : Je suis né en Espagne de parents Angolais et j’habite en France depuis 5 ans. Je suis patriote car mon pays, je le chéris : sa beauté, sa splendeur, son histoire, je les porte dans mon coeur. Pour ma patrie, je suis prêt à me dévouer ou bien même à me battre pour elle afin d’en défendre les intérêts. Si je dois la défendre en partant à la guerre, ça sera mon sens moral qui me poussera à combattre pour défendre mon pays plutôt que de laisser faire l’ennemi. Mais n’étant pas en guerre, je ne peux pas vraiment évoquer le sujet. Je ne suis pas né ici, je suis d’origine angolaise, j’ai un amour fidèle envers ces trois patries. J’aime ma patrie, ou plutôt mes patries. En famille, je me sens plutôt angolais, mais on parle espagnol, à la maison. Avec mes amis, je me sens français. Je suis « métis » culturellement : un mélange de cultures. Je me sens plutôt fier d’avoir trois patries. Tout le monde n’a pas cette chance.

Soifaou et Souandaou Boina (soeurs, jumelles): Nous pensons, oui, être patriotes car nous défendons chacun de nos pays : les Comores, La Réunion et Madagascar. Nous sommes arrivées en France métropolitaine il y a trois mois. Nous assumons avec fierté notre couleur, nos origines, qui font notre honneur. Ce qui fait notre bonheur, c’est notre identité et nos racines multiples.  Nous parlons créole et malgache, mais La Réunion est française, nous avons passé là-bas la plupart de notre enfance, donc nous pensons que nous sommes françaises.

 « J’aimerais que la France honore mieux sa devise. »

 Mamabadiou Souaré : Pour ma part, je ne me considère pas patriote. Pourtant, je vis dans ce pays depuis ma naissance, j’aime sa culture, son style de vie et peut-être même que mes enfants vivront là. Je me dois donc de protéger cette patrie. Par contre, en cas de guerre, je ne me vois pas me sacrifier pour un combat que je n’aurai pas déclenché.

 Emile Gautron : Moi, patriote ? Pas du tout ! La France n’est pas un pays que j’aime particulièrement. L’égalité de la devise Liberté, égalité, fraternité n’est pas respectée quand  des français sont racistes. Liberté ? On est sans cesse contrôlés. Fraternité ? On devrait aider davantage les plus pauvres, se montrer plus solidaires. J’aimerais que la France honore mieux sa devise.

Chers zélèves,

Vous avez aimé réfléchir à la question “être ou ne pas être patriote ?” et avez répondu : “drôle de question” (à lire prochainement sur ce Torchon). Vous aimerez réfléchir (et répondre ?) à cette question sur le féminisme.

http://www.liberation.fr/societe/2012/11/28/chere-carla-bruni_863416

A vos arguments !

Nov
22
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par hschmitt le 22-11-2012

En classe de 3ème, nous étudions un roman pacifiste : A l’ouest rien de nouveau. Suite à cette étude de récit, notre professeur de français nous a posé cette question : “Etes-vous patriote ? Que représente, pour vous, la notion de sacrifice pour la patrie ?”

A partir de cette question, il fallait développer une réponse. Il y a eu des textes vraiment intéressants, et je n’ai que le mien sous les yeux alors … :

“On peut considérer qu’il y a plusieurs formes de patriotisme. A l’origine, le patriote était celui qui partait en guerre, se battait pour son pays.

Personnellement, je ne pense pas aller jusqu’à donner ma vie pour le pays.

Par contre, je pourrais me battre, mais d’une autre manière que par les armes, par exemple, en défendant l’économie, la culture et les droits de mon pays, alors je peux considérer être patriote, ou appartenir à une nouvelle génération de patriotisme, car notre génération n’a pas grandi avec la notion de guerre, donc le sacrifice pour ma patrie reste un sujet peu représentatif.”

-HuGro.

Nov
18

http://www.tetu.com/actualites/france/quand-on-sest-embrassees-les-anti-mariage-nous-ont-traitees-de-degueulasses-22408

Ce baiser en guise de protestation, en pleine manifestation contre le mariage homosexuel : interview des deux jeunes filles. A lire dans Têtu (lien ci-dessus).

Nov
17

Un évènement à commenter, chers zélèves : des manifestations, ce jour, en France, contre le mariage homosexuel. Lisez, informez-vous ici et là, et donnez votre sentiment à ce sujet. Vous êtes la jeune génération, quelle est votre opinion  sur ce sujet ? Il s’agit de votre société.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/11/17/premiere-mobilisation-nationale-contre-le-mariage-gay_1792198_3224.html

http://www.liberation.fr/societe/2012/11/17/mariage-homosexuel-les-opposants-se-mobilisent-ce-week-end_861141

http://www.liberation.fr/politiques/2012/11/17/najat-vallaud-belkacem-nous-n-accepterons-aucun-derapage_861210

http://www.rue89.com/2012/11/17/enfants-de-lesbienne-nous-ne-sommes-pas-des-oiseaux-blesses-237098

Nov
07
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 07-11-2012

L’avantage de se lever tôt, y compris pendant les vacances, c’est que l’on reçoit les alertes telles que celle-ci à l’instant : 05:21Barack Obama réélu président des Etats-UnisLe candidat démocrate a été réélu mardi à la présidence de Etats-Unis. Il a annoncé sa victoire, confirmée par plusieurs télévisions, sur ses comptes Twitter et Facebook.

L’Amérique a réélu son président.  Et le Torchon est l’un des premiers à publier le scoop (…) Finie la campagne électorale, le monde va-t-il pouvoir tourner rond tranquillement ?

Oct
26

Mardi 2 octobre, nous étions aux assises du journalismes. Il y avait trois grands reporters qui ont couvert le printemps arabe (en Lybie, en Syrie) Marine Olivesi, Karim Tabie et Mathieu Laurent).                                                                                                                                                                      Ils n’ont pas vraiment peur pour leur vie, mais surtout pour ceux qui les reçoivent, les “fixeurs”.

Ce qui les a marqués le plus, quelle situation les a le plus frappés ? 

Marine : En Lybie, la première fois où elle y est allée, la ville était déserte. Un jour où un bombardement a éclaté,  elle se réfugie dans un hôpital où se trouvait une vingtaine de médecins étrangers. Elle descend dans le sous-sol où deux chirurgiens jouaient au ping-pong.                                                                                                                                                                                                                                                  Karim :  En 2004, l’école de Beslam en Ossetie fut prise en otage pendant 58 heures. Bilan 130 morts. Des enfants. Karim et son confrère ma,nent une lors d’une fusillade, ils vont se cacher derrière un kiosque, mais les balles traversaient quand même et Simon sortit une orange de sa poche et dit ” Au moins avant de mourir, je veux manger une orange”.                           

Ont-ils déjà refusé d’aller dans un pays ?

Mathieu : Non, jamais.                                                                                                                                                                                             Marine: Oui et elle a  regretté de ne pas être partie à Tripolis où une guerre se déroulait.                                                                                               Karim: Il est pas superstitieux et dans les pays en guerre, il écoute son instinct Les fixeurs sont les gens qui les reçoivent, les guident, leur donnent des gilets pare-balles, des casques. Pour éviter d’être la cible d’enlèvement contre rançon, il ne faut jamais se trouver au même endroit, être mobile, ne pas avoir le même chauffeur… Karim ne se trouve jamais plus de 30 minutes au même endroit. S’il y a un bombardement, il faut se mettre dans une cave, le gilet pare-balle ne protège pas de tout.

Qu’ont ils ressenti quand leur premier reportage est paru ?

Marine : C’est de la fierté, celle de le montrer à la famille.                                                                                                                                                     Karim : Premier stage en 1997, à ses 21 ans, il était à Charlie Hebdo. Il a vu son nom affiché sur le journal et a acheté 25 numéros qu’il a distribués à tout le monde. Ses parents l’ont lu et ça lui a fait drôle de voir ses parents lire Charlie Hebdo.

                                                                                            Mathieu : Son premier reportage était sur le rugby.                                                                                                                                      

 Prennent-ils parti pour un camp, dans une guerre ?

Marine : Non, il y a deux possibilités :   être du côté de l’opposition avec les rebelles en Lybie ou aller sur le terrain, mandaté par la rédaction du journal, avec un angle pour informer.                                                                                                                                                                                               Les journalistes qui ont un visa spécial journalistes ne peuvent pas sortir, ils sont coincés à l’hôtel et doivent demander pour sortir.    

                                                                                                                                                                           Karim : Il était en Lybie du côté des rebelles.                                                                                                                                                          

 

Depuis combien de temps font-ils ce métier ?

Mathieu : 16 ans                                                                                                                                                                                                                                      Karim: 12 ans                                                                                                                                                                                                                              Marine : 3 ans dont 1 an et demi sur le terrain.

                                                              Comment trouver des sujets ?

Mathieu : Il faut se documenter, s’informer, se déplacer pour préciser l’information.

                                                                                                                    Prochain projet ?

 Mathieu : Il part au Portugal pour parler de la crise économique.                                                                                                                                        Marine : Elle demande un visa pour repartir en Lybie.                                                                                                                                                       Karim: Il repart peut être en Syrie.

Le pays qu’ils ont préféré ?

Mathieu : C’est l’Irak et il veut repartir.                                                                                                                                                                                    Marine : La Lybie.                                                                                                                                                                                                                           Karim : La Russie car il y a travaillé 10 ans.

Ont-ils déjà pensé à changer de travail ?

Mathieu : Non, mais il a déjà fait d’autres métiers comme fleuriste, animateur d’escalade, pizzaiolo.           

                                Les langues qu’ils parlent ?

Mathieu : Anglais, Français et Allemand.                                                                                                                                                                          Karim : Anglais, Français et Russe.                                                                                                                                                                                      Marine : Anglais, Français et apprentissage de la langue Arabe.

 Voilà, ces assises étaient super et ont en a appris beaucoup sur leur vie.

 

http://www.lanouvellerepublique.fr/Toute-zone/Actualite/Politique/n/Contenus/Articles/2012/10/06/Deces-de-l-ancien-president-algerien-Chadli-Bendjedid-a-Alger.

J’ai essayé ce fameux réfexe de regarder ce qui se passe dans les journaux auxquels j’ai accès facilement  dès que je me connecte sur Le Torchon. Et comme je suis très touché par cette information, j’ai décidé de la partager avec les zinternautes qui n’ont pas entendu parler de la mort de Chadli Bendjedid (président d’Algerie de 1979 à 1992).

J’ai beaucoup entendu parler de lui quand je vivais encore en  Algérie. Mes hommages aux proches de cet homme et je suis certain que plusieurs personne sont touchées par sa mort.  Merci encore de donner de votre temps à notre cher Torchon.

Lefouse

Oct
11
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par zzeghlache le 11-10-2012

la guerre, vous savez, cette chose horrible qui détruit des nations et tue des innocents. Dans tout ça, ce qu’il y a de pire, c’est le nucléaire.

Pour ma part, je pense que ce bon vieux Albert Einstein s’en mordrait les doigts s’il savait que sa découverte le nucléaire était utilisée pour tuer des innocents durant les guerre et détruire des parties de la planète.

Quand je pense au nucléaire, je pense à la guerre du Japon qui avait lancé une attaque le 07/12/1941 sur la base de Pearl Harbor qui comptait plus de 25 000 hommes, les U-S ont riposté sur l’une des bases japonaises et ont ensuite lâché une bombe nucléaire sur Hiroshima et une sur Nagazaki : les villes furent détruites instantanément, les habitant morts et les survivant irradiés.

Des photo prise par les soldats américains furent envoyées aux U-S et diffusées à la population pour montrer ce que les U-S avaient provoqué : la population américaine était contente que la guerre soit finie mais désolée des victimes innocentes tuées pour arrêter le massacre.

La morale de cette légende que furent la guerre entre le Japon et les U-S est que la guerre est dangereuse et que seulement certains pays disposent de la bombe nucléaire et que la clé du lancement de cette bombe est entre les mains du président de la république : c’est pour cela qu’il ne faut pas élire n’importe qui et que la guerre ne sert à rien.

                                                                                                                                                              Jounaliste du grenier et Pedro .

Aux début,  je confirme, je n’étais pas trop tentée par l’option media mais j’en ai beaucoup entendu parler, puis par les anciens élèves et puis j’me suis dit que pourquoi pas ?

En fait, ça devient passionnant ! On apprend beaucoup de choses, on parle pendants un p’tit moment puis après, on écrit ce que l’on pense ! Toujours dire ce que l’on pense, c’est la meilleure chose, malgré les préjugés ou le regard des autres c’est pour nous que l’on ecrit. Que ç plaise ou pas …  On aura dit ce qu’on a sur le coeur !

0céane ♥