Chers zélèves,

Le Brevet Blanc achevé, il est temps de penser aux choses sérieuses (c’est de l’humour, m’sieur de la Vieille Garde) : votre trousseau est-il prêt ? Lukas : pyjama, brosse à dents ? Et écharpe : il ne faut pas un absent lundi matin, au départ ! Dopez-vous si besoin est. Mais soyez là lundi…

L’an dernier, en février, un article de journal publié dans la NR, écrit par un journaliste professionnel, avait choqué la communauté scolaire de George Sand. Les élèves de la rédaction de Pink Paillettes avaient pris la plume pour défendre leur point de vue, et dire leur émotion à la lecture de l’article.

Leur article a intéressé le CLEMI, qui le publie cette année dans sa revue nationale. Merci aux anciens élèves de cette rédaction pour avoir rempli leur rôle de rédacteurs : leur texte montre à quel point ils avaient compris le sens du mot “éducation à la citoyenneté”.

Cet article peut être retrouvé dans son intégralité dans le Pink Paillettes n°8.

Ceux de vous qui, l’an dernier, faisaient partie de la classe journalisme et donc de la rédaction de Melting-Potes, reconnaîtront ces articles écrits voici un an.

Les voici publiés dans la revue nationale du CLEMI

C’est un gage d’intérêt : ce que vous écrivez peut être lu par des professionnels, et apprécié : assez pour être diffusé sur le plan national.

Alors, bravo à tous.

Jan
12
Classé dans (Le torchon brûle) par kevin le 12-01-2011

J’ai fait des recherches sur cet homme qui se dit démocrate à 100%.

Une rivalité subsiste depuis des années  entre lui et Laurent Gbagbo, ça remonte à 1992.

Alassane Ouatarra, alors 1er ministre de Houphouët-Boigny,  fait arrêter Gbagbo et

l’envoie en prison pour l’écarter du pouvoir.

En 2000, il a voulu se presenter aux élections

présidentielles mais la cour suprême a refusé  son inscription pour ces motifs :

nationalité douteuse et usage de faux.

La guerre civile de 2003  : Alassanne Ouattarra

a essayé de renverser le pouvoir en place avec des soldats venant du Burkina voisin.

On se demande encore comment ces rebelles ont eu des armes aussi expérimentées,

comment ils ont eu l”argent ???  Bizarre, mais je connais le coupable.

Kévin

Jan
12
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 12-01-2011

Départ pour Strasbourg lundi matin ! A vous le Parlement européen ! Reportage grandeur nature : l’Europe, cette grande histoire…

Avant cela, une petite formalité : le brevet blanc. Bonne chance à chacune et à chacun. Et n’oubliez pas que “c’est en travaillant qu’on devient travailleron” (vieux dicton glané au siècle dernier dans les salles de cours de la faculté de Lettres de Poitiers …)

Jan
12
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 12-01-2011

Jan
12
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 12-01-2011

Je suis en pleine torchonnade !” nous disait hier l’ami Kévin, pour justifier l’abandon de sa énième part de galette à la frangipane sur le rebord de sa table (oh, les miettes !!!!). En effet, le sieur Kévin écrivait son prochain article (à classer, n’en doutons pas, en rubrique “le Torchon brûle”…). Et quand kévin écrit, il écrit, il ne mange pas (n’est pas Lukas qui veut !) : il est con-cen-tré.

En voilà, un néologisme ! Très révélateur : nous le conserverons adoncques. La torchonnade (le mot du vendredi ?) pour désignation de l’ativité d’écriture dans le Torchon. Pourquoi pas ? Le mot sonne, si ce n’est bien, du moins sonne-t-il : vous l’avez compris, néologisons. “C’est en trochonnant qu’on devient Torchon”, nouveau mot d’ordre de la rédaction ?

La Vieille Garde ne manquera pas de nous rappeler que le mot “torchonnade” existe, qu’il ne peut donc être qualifié de néologisme, mais que sa définition ne correspond pas avec l’emploi qu’en fait notre cher Kévin : qu’importe, l’expression est plaisante.

Jan
07

Chers zélèves,

Quand on parlait du droit de vote… de choix de société : en Algérie, en Tunisie, les jeunes sont dans la rue : regardez, et cliquez ensuite sur les liens vers les journaux afin de lire les informations qui correspondent à ce “télé-zapping”.

http://www.lemonde.fr/element/commun/afficher/video_2011_01_07_1462564_tunisie-algerie-la-colere-gronde_afrique_3212.html#ens_id=1461890

Jan
07
Classé dans (Le torchon brûle) par Agnès Dibot le 07-01-2011

… Parler de l’Europe plutôt que débuter un cours (magistral) sur l’autobiographie, vous exagérez, chers zélèves, vous avez (encore ?) réussi à me faire dévier de mon propos. Mais, enfin, grâce à deux trois ficelles, nous restâmes dans le sujet qui agitait nos méninges à la base : la grammaire !

On part de la grammaire : à quoi sert-il (Hanène) d’apprendre toutes ces notions complexes de la langue française ? A prétendre s’adresser à nos pairs dans une langue digne de ce nom, et à mettre au service de vos esprits une pensée claire, nourrie par un vocabulaire riche et varié. On part donc de la grammaire, on en arrive à la revue de presse du Torchon (celui-là, il arrive à point nommé !) : un député réclame des comptes à notre ministre de l’Education Nationale au sujet du “mauvais français” du chef de l’état : intéressant.

La revue de presse du Torchon nous amène à un article sur le parlement européen : comment avez-vous préparé votre voyage à Strasbourg ? (je suis bien curieuse) Réponse de Mazarine : “On a posé des questions, mais moi, les questions, elles me viendront sur place. Avant, je ne sais pas quelles questions poser !”. Remarque pertinente : comment savoir quelles questions poser ? En se documentant sur son sujet. Qu’allons-nous faire au parlement ? Le visiter. Qu’est-ce que le parlement européen ? M. Mastorgio vous a préparés à cette visite, vous le savez donc : mais avez-vous approfondi vos connaissances, depuis ?

Ces questions nous mènent à l’Europe : qu’est-ce que l’Europe ? Qu’est-ce que cette alliance de 27 pays ? Un vieux rêve d’union, de paix durable à offrir aux jeunes générations. On évoque la photo de deux chefs d’état, François Mitterand et Helmut Kohl se tenant la main : symbole de rapprochement, de paix entre deux pays notoirement connus pour se briser mutuellement depuis des années… L’Europe, ce n’est pas que l’économie (l’euro) ! C’est une volonté d’harmoniser la vision sociale (tenez, et les Roms, dans tout cela ? En voilà une question que l’on peut poser, nous qui avons écrit sur le sujet en début d’année !), c’est une volonté d’unir des forces vives pour offrir un monde meilleur (oh, l’Europe est-elle une utopie sortie d’un rêve de jeune idéaliste ? En voilà une autre question à poser…). C’est, encore, une occasion d’unir des cultures, des langues, des pensées, des modes de vie différents : sans renier pour autant sa propre culture : de l’art de s’ouvrir au monde…

De l’Europe, on arrive à un autre élément de la revue de presse du Torchon : la présidence hongroise, pour les six mois à venir à la tête de l’Europe, critiquée pour une loi votée en son pays, et privant les journalistes d’une part de leur liberté d’expression : Hanène l’a bien dit : “Il n’y aura plus d’information !”. Et l’on dévie sur le droit de vote et la nécessité de l’utiliser : certains croient que ne pas voter est une façon (honnête ?) de rester en paix ?  Erreur : ne pas voter n’est pas très courageux, et est la meilleure façon de laisser les autres penser pour soi, décider pour soi.

Etes-vous certains de vouloir laisser les autres décider pour vous de la société dans laquelle vous vivrez ?

Et voilà, admirez, chers zinternautes, la façon dont nos zélèves savent si bien nous faire digresser ! Pas grave, selon Alex (et si Alex le dit, je le crois !) ce ne fut pas perte de temps, les zélèves se sont cultivés et ont appris à réfléchir. En voilà une belle heure de français qui n’aura pas servi à rien !

Votre (vieille) rédaction.

Jan
06
Classé dans (Le torchon brûle) par anissa le 06-01-2011

Il est important de voter car cela nous concerne tous : c’est pouvoir élire un président que nous choisissons. Il n’y a pas que le président : quand vous votez, vous votez aussi pour son programme car vous serez d’accord. Mais si vous ne votez pas, ce n’est pas la peine de se plaindre de la présidence. Si vous avez voté et que ce n’est pas la personne que vous avez choisie, là, vous avez le droit de contester. C’est pour ça qu’il et d’important de voter, c’est contribuer au déroulement de la France, à comment vous voulez que votre France soit.

Anissa