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Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 12-01-2011

Je suis en pleine torchonnade !” nous disait hier l’ami Kévin, pour justifier l’abandon de sa énième part de galette à la frangipane sur le rebord de sa table (oh, les miettes !!!!). En effet, le sieur Kévin écrivait son prochain article (à classer, n’en doutons pas, en rubrique “le Torchon brûle”…). Et quand kévin écrit, il écrit, il ne mange pas (n’est pas Lukas qui veut !) : il est con-cen-tré.

En voilà, un néologisme ! Très révélateur : nous le conserverons adoncques. La torchonnade (le mot du vendredi ?) pour désignation de l’ativité d’écriture dans le Torchon. Pourquoi pas ? Le mot sonne, si ce n’est bien, du moins sonne-t-il : vous l’avez compris, néologisons. “C’est en trochonnant qu’on devient Torchon”, nouveau mot d’ordre de la rédaction ?

La Vieille Garde ne manquera pas de nous rappeler que le mot “torchonnade” existe, qu’il ne peut donc être qualifié de néologisme, mais que sa définition ne correspond pas avec l’emploi qu’en fait notre cher Kévin : qu’importe, l’expression est plaisante.