Jan
09
Classé dans (Le jeudi, c'est cinéma !) par la Vieille Garde le 09-01-2011

Un film qui parle d’un torchon qui brûle, qui met en scène un chocolatier qui se nomme Mercier et une autre Legrand, avouez que c’est cocasse. Là n’est pas le principal intérêt de ce film où Isabelle Carré, Angélique Delange et Benoît Poelvoorde, Jean-René van de Hugde, nous prouvent que lorsque l’on se sent submergé par ses émotions, incapable de les contrôler, le plus important est peut-être de se laisser porter par ces dernières et d’accepter ce que, trop souvent, il est vrai, nous sommes tentés de prendre pour des faiblesses. Il y a naturellement dans tout cela un petit côté convenu et attendu, mais l’humour et la finesse des répliques méritent le détour. Pour tous les émotifs, anonymes ou pas, une belle histoire, et pour ceux qui ne le sont pas, un moyen de mieux comprendre ceux qui le sont. Et pour ceux qui ont vu quatre mariages et un enterrement, une similitude dans les scènes finales, mais je préfère quand même la manière française de traiter les choses!

Jan
09
Classé dans (Le jeudi, c'est cinéma !) par Alexandre Le Grand le 09-01-2011

Kim Ki Duk parle d’un jeune homme, Tae-suk, qui n’a pas de maison et qui passe une partie de la journée à distribuer des papiers publicitaires en moto. Il les colle aux portes d’entrée et si les pub sont toujours là, après un certain temps, il sait que personne ne se trouve dans ces appartements ou maisons et il les cambriole.

Il ne vole pas, mais il y dort, mange, se lave et fait des petites réparations. Un jour, une des maisons n’est pas vide. Il rencontre Sun-Hwa une jeune femme battue et violée par son mari, donc Sun-hwa se joint à Tae-suk. Ils cambriolent dans des maisons ensemble et tombent amoureux.

Sun-hwa est portée disparue par son mari. Quand les deux sont arrêtés, Tae-suk est condamné à cause du cambriolage et de l’enlèvement. Sun-hwa retourne avec son mari. Pendant que Tae-suk est en prison, il s’exerce à se déplacer dans l’ombre du gardien de prison. Après avoir quitté la prison, il visite toutes les maisons où il a vécu avec Sun-hwa, mais sans que les habitants ne remarquent quoi que ce soit.

A la fin, il va à la maison de Sun-hwa et commence à vivre dans l’ombre du mari, ce qui rend la vie de Sun-hwa avec son mari plus supportable.

Ce film posède un rythme assez lent et les deux personnages principaux ne parlent pas. Certaines scènes, dans la dernière partie du film, font basculer celui-ci dans le cinéma fantastique : le jeune homme est parvenu, à force d’entrainement d’un art martial particulier, à devenir une sorte de fantôme pour pouvoir rejoindre sa belle à l’insu de son mari, en s’affranchissant des contrainte de la réalité.

Alexandre Le Grand

Jan
07
Classé dans (Le jeudi, c'est cinéma !) par Alexandre Le Grand le 07-01-2011

Steven Russell est un homme marié, père de famille, policier de métier.

Orphelin, il se met en tête de retrouver sa mère grâce aux bases de données de la police, il y parvient.

Puis un soir, à la suite d’un accident, Steven fait sa “crise de la quarantaine” et quitte femme et  enfants. Steven sort à présent avec Jimmy et habite Miami, mais être homo coûte cher. Il enchaine donc les arnaques pour se faire de l’argent facilement. Il est alors envoyé en prison et là, il tombe amoureux de Phillip Morris, un détenu. Il fera tout pour qu’ils puissent être ensemble, d’abord en partageant sa cellule. Puis Steven, qui a été relâché avant Phillip, se fera passer pour un avocat afin qu’il soit libéré. Depuis leurs retrouvailles, Steven se fait engager comme directeur financier. Il se met à détourner de l’argent. Steven se fait remarquer à cause de ses dépenses immodérées, comme l’achat d’une Mercedes SL rouge dernier modèle. Il est renvoyé en prison, mais il sera prêt à tout pour retrouver son amoureux à nouveau, et notamment à s’échapper jusqu’à quatre fois de prison, dont la dernière en se faisant passer pour un malade qui a le sida. Son amoureux, Phillip Morris est libéré. Lui est en prison, enfermé, disposant seulement d’une heure d’exercice et de douche.

Un film réalisé par Glenn Ficarra, John Requa.                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                     Alexandre Le Grand

Jan
07
Classé dans (Le jeudi, c'est cinéma !) par Mana le 07-01-2011

En regardant un film du nom de Quatre mariages et un enterrement, nous pouvons  imaginer une histoire très clairement anoncée par le titre. La lassitude devrait vite se faire mais non, nous trouvons donc dans ce film une bande de copains célibataires convaincus assistant succesivement à quatre mariages dans la joie et un enterrement dans la douleur.

Charles (Hugh Grant) le séducteur né… mais un peu comme le lapin d’Alice aux pays des merveilles, pas très ponctuel. Obnubilé par Carrie (Andy McDowell), une jeune Américaine qu’il rencontre regulièrement lors des différents mariages.

– Le premier mariage est celui d’Angus (Timothy Walker) et de Laura (Sarah Crowe). Charles rencontre Carrie pour la première fois.

– Le second mariage est celui de Bernard (David Haig) et de Lydia (Sophie Thompson), un couple qui s’est formé lors du précedent mariage.

– Le troisième mariage est celui de Carrie et de Hamish. Charles y assiste, assez déprimé. Carrie ayant pensé que ce serait une simple aventure d’une nuit, rien de plus.

– L’enterrement est celui de Gareth (Simon Callow).

-Le quatrième mariage est celui de Charles et Henriette. Durant la cérémonie, quand le vicaire demande si quelqu’un connaît un empêchement au mariage, David (David Bower), le jeune frère muet de Charles, utilise le langage des signes pour annoncer que Charles n’aime pas Henriette. La céremonie s’interrompt brutalement lorsque Henriette donne un coup de poing à Charles.

Fin du conte : Charles décida de ne plus jamais se marier mais demanda à Carrie d’être sa compagne pour le reste de sa vie.

Mon avis sur ce film : bien, mais je n’ai pas totalement accroché.

Mana.

Nov
19
Classé dans (Le jeudi, c'est cinéma !) par Alexandre Le Grand le 19-11-2010
http://www.youtube.com/watch?v=otTotyP7heIEh  oui, grâce à M. MASTORGIO  (la veille garde) un club cinema s’est crée à George Sand . Tout d’abord, nous avons commencé par un film culte : Un long dimanche de fiançailles, un très beau film très realiste retraçant la guerre 1914-1918.
Le film se passe dans les tranchées de la Somme,  pendant la Première Guerre Mondiale, cinq soldats sont accusés de s’être auto-mutilés pour échapper à leur devoir. Condamnés à mort par une cour martiale, ils sont conduits jusqu’à un avant-poste nommé  Bingo Crépuscule (Byng au crépuscule !) et abandonnés à leur sort dans le No Man’s Land qui sépare les deux camps. Parmi eux figure Manech, le fiancé de l’héroïne du film, une jeune boiteuse romantique prénommée Mathilde qui ne croit pas au décès de son amoureux.
S’il était mort, elle le saurait. Forte de cette intuition, Mathilde mène son enquête et recueille peu à peu les indices qui vont l’amener à découvrir ce qui s’est passé ce jour-là à  Bingo crépuscule …
Ce film nous montre à quel point la geurre est horrible tout comme les conditions de vie.
Ce film nous a aussi permi de mettre une image sur nos magnifiques cours de français et d’ histoires.