Nov
27
Classé dans (Revue de presse) par Siham Douzi le 27-11-2015

fl

Le 25 novembre est la date choisie par les Nations Unies pour célébrer la journée internationale pour l’élimination de la violence contre les femmes.
“J’ai reçu des fleurs aujourd’hui… Ce n’était pas mon anniversaire ni un autre jour spécial. Nous avons eu notre première dispute hier dans la nuit et il m’a dit beaucoup de choses cruelles qui m’ont vraiment blessée. Je sais qu’il est…… désolé et qu’il n’a pas voulu dire les choses qu’il a dites parce qu’il m’a envoyé… des fleurs aujourd’hui…
J’ai reçu des fleurs aujourd’hui. Ce n’était pas notre anniversaire ni un autre jour spécial. Hier, dans la nuit, il m’a poussée contre un mur et a commencé à m’étrangler. Ça ressemblait à un cauchemar, je ne pouvais croire que c’était réel. Je me suis réveillée ce matin le corps douloureux et meurtri. Je sais qu’il doit être désolé parce qu’il m’a envoyé des fleurs aujourd’hui.
J’ai reçu des fleurs aujourd’hui. Et ce n’était pas la fête des mères ni un autre jour spécial. Hier, dans la nuit, il m’a de nouveau battue, c’était beaucoup plus violent que les autres fois. Si je le quitte, que deviendrai-je ? Comment prendre soin de mes enfants ? Et les problèmes financiers? J’ai peur de lui mais je suis effrayée de partir. Mais je sais qu’il doit être désolé parce qu’il m’a envoyé des fleurs aujourd’hui.
J’ai reçu des fleurs aujourd’hui. Aujourd’hui c’était un jour très spécial, c’était le jour de mes funérailles. Hier dans la nuit, il m’a finalement tuée. Il m’a battue à mort. Si seulement j’avais trouvé assez de courage pour le quitter, je n’aurais pas reçu de fleurs aujourd’hui”.

Texte publié pour dénoncer la violence faite aux femmes
(Auteur : Maria Stella Baldachino).

Nov
26
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 26-11-2015

Cover Courrier International

Nov
25
Classé dans (Revue de presse) par PtitBlevin le 25-11-2015

Voici un serpent qui a du style

Vous n’aurez plus jamais peur des serpents grâce à cette invention révolutionnaire. Laquelle ?

Mettez tout simplement un couvre-chef à votre serpent, il aura l’aire inoffensif et adorable à la fois. Les serpents s’attaquent eux aussi à la mode (couvre-chef, moustache…)


Ils ont même créé Mario et Luigi version reptile.

Après les serpents, ce sera les araignées qui auront des accessoires de haute couture, les cafards eux aussi se mettront à porter des vêtements de marque que ce soit “NIKE, Addidas” cette mode va se propager dans le monde. Certains magasins de vêtements n’ont qu’à bien se tenir face à cette nouvelle vague de mode reptilienne.

Il vous aura prévenu !

http://www.legorafi.fr/2014/05/21/lacademie-francaise-valide-finalement-ils-croivent-et-faut-quon-voye/

Ah ! les fautes de français, les amours de nos chers profs de français (ou pas)….

Il y a pourtant une différence entre une dictée sans fautes et une dictée “100 fautes”… Soyez donc vigilants, pour ne pas vous attirer les foudres de nos professeurs adorés. Et pour être encore plus prévoyants, un top sur les fautes de français et un site drôle recensant des fautes de français flagrantes.

Malgré le fait que le top soit complet, il y a des fautes telles “accourser” “vous faisez” “vous disez” “y en a qui voyent” et d’autres qui agacent tout autant nos profs chéris (et pas qu’eux!) .

http://bescherelletamere.fr/

 

 

Nov
24
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 24-11-2015

http://abonnes.lemonde.fr/police-justice/article/2015/11/24/le-gouvernement-accelere-sur-la-lutte-contre-la-radicalisation_4815998_1653578.html

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Mes zélèves de 4ème, à qui j’ai montré ce clip la semaine dernière, dans le cadre d’une discussion au sujet de la propagande de Daesh, avaient, pour certains, été choqués par les images. La réalité est pourtant celle-là. Les discours de propagande doivent  être décryptés. L’actualité nous prouve qu’il y a urgence.

Nov
21
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 21-11-2015

Devant l'hôtel Radisson de Bamako, pendant la prise d'otages, vendredi.

http://www.liberation.fr/planete/2015/11/20/bamako-sous-les-balles-du-jihad_1415129

 

Nov
19
Classé dans (Revue de presse) par jaime le 19-11-2015

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Les jouets pour enfants, souvent les plus meurtriers selon les parents. Vous savez ces petites briques que les enfants adorent empiler pour faire des constructions mais si vous avez le malheur de marcher dessus, c’est une douleur atroce.

Suite au désarroi de nombreux parents, l’entreprise LEGO a confectionné pour vous, mesdames et messieurs, qui avez offert des lego à vos enfants, des chaussons à mettre à vos pieds qui vont vous sauver de ces jouets.

Ce sont des chaussons normaux sans plus, juste customisés avec les couleurs et le logo de la marque, en forme de petite brique rouge. Les parents qui ont une âme d’enfants devraient adorer.

Belle innovation de la part de cette célèbre marque de jouets qui devrait conquérir un grand nombre de personnes.

Article réalisé par Legrand Florian 3°4

 

Nov
16
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 16-11-2015

Libé du 16 novembre 2015

Nov
14
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 14-11-2015

Libé du 14 novembre 2015

Nov
10
Classé dans (Revue de presse) par Kamélia le 10-11-2015

Changement, évolution, que se passe t-il dans nos pauvres cerveaux surmenés ? C’est un article récent, dans Le Monde, qui parlait de ce sujet la semaine dernière…

Notre corps change, notre cerveau également, même si “changer” n’est pas le mot exact car ce sont nos ­réseaux de neurones  qui se connectent : ils forment des dédales de plus en plus complexes et de mieux en mieux organisés. Leur câblage se poursuit pendant toute l’enfance, ­et l’adolescence. Entre 4 et 20 ans, nos matières grises et nos matières blanches évoluent, lors de cette période nous apprenons des choses indispensables au bon fonctionnement de notre vie (écrire, parler, marcher, reconnaître le danger, ..)

Voyons-nous tous le danger de la même manière ?

Durant cette période, nous nous cherchons, nous testons nos limites, pas toujours de manières raisonnables et légales. On sort avec les amis, on fait la fête, on découvre de nouveaux milieux, des gens différents.

Moi, Kamélia, testeuse de dangers en tous genres : à 14 ans, je brûle ma vie à 360°… Comment ? Pour répondre à cette question, Mme Dibot m’en pose une autre : “Que fais-tu, au quotidien, que je t’interdirais si tu étais ma fille ?” Ouh là… que dire :/

J’apprends à me connaitre en me testant, j’apprends à contrôler mes faiblesses, j’essaye d’oublier certains problème de façon pas souvent très légale. Je traine beaucoup, le week-end je ne suis jamais chez moi, je sors, je fais la fête. Je suis rarement à la maison, je ne passe pas de temps avec ma famille. J’abuse des bonnes choses comme des mauvaises. En quelque sorte, j’ai de la chance car je n’en suis pas (encore) morte, contrairement à certains de mes amis.

On se sent puissant sous certaines substances, on devient vite invincible même si ce n’est que dans notre tête. On agît bêtement, inconsciemment.

En l’espace de 5 mois, j’ai perdu 7 amis, souvent à cause de l’alcool (accident de la route)  et d’autres souvent liés à des problème de drogue.  J’ai aussi des répercutions  également sur ma santé, des troubles du sommeil, de concentration, ce qui a des répercussions  sur mon comportement et sur mes notes également.

Une fois qu’on goûte à une certaine liberté et à une façon de vivre, c’est dur de tout arrêter. Pourquoi ?

Et bien, ça a commencé à mon plus jeune âge. Mon père est parti car mes parents ont divorcé à l’âge de mes 6 ans, mon frère est parti vivre avec lui alors je me suis donc retrouvée seule avec ma mère, ma demi-sœur et mon demi-frère. Je n’ai aucune affinité avec eux, donc j’ai vite cherché des gens avec qui j’avais des points communs. J’ai fait cavalier seul(e) un bon moment avant de me trouver moi même. Et puis une chose en entraînant une autre, comme une spirale sans fin, je me suis enfermée sur moi même, les seules choses importantes pour moi étaient la musique et le dessin (ce qui n’a pas grandement changé). Les soucis s’accumulaient, c’est comme un robinet mal fermé, les gouttes s’accumulent, l’eau augmente et on est très vite submergé par ce qui était de simples gouttes au tout début.

Ma mère travaillait de nuit, donc, le soir elle n’était pas là, mon frère était rarement présent et ma sœur étudiait dans sa chambre. En plus, je n’aimais pas être dans ma chambre, mon père m’avait acheté un clown, et j’en avais peur : il faisait ma taille, il était flippant ! J’avais aussi une grosse poupée à laquelle j’ai fini par arracher la tête : elle me fixait la nuit !

A un moment, je ne parlais plus à personne, je me battais souvent à l’école, avec le temps les problèmes sont devenus plus gros et je devais vite trouver quelque chose pour tenir le coup. Malheureusement, je n’ai pas saisi la meilleure des manières, j’ai dû perdre quelques matière grise en chemin.

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