LE SCOOP !!!
En ce jour, pour vous, chers lecteurs, je vais vous dévoiler le “scoop” du moment. Même si ce n’est pas encore officiel, la nouvelle équipe des frères Schleck devrait se nommer : la team léopard. Mais pas d’inquiétude, le maillot de la formation luxembourgoise devrait rester sobre et classique. C’est au début du mois de janvier que les détails concernant la nouvelle équipe luxembourgeoise montée autour de Frank et Andy Schleck seront connus. C’est le coureur danois Jakob Fuglsang, qui a été le coéquipier des frères Schleck chez Saxo Bank avant de les suivre dans leur nouveau projet, qui a confié au journaliste de vélo magasine que la formation devrait se nommer ainsi.
DEJA UN BON GROUPE !!!
Les membres de l’équipe ont donc eu une premiere occasion de se réunir pour la première fois en Suisse. A en croire Jakob Fuglsang, tout s’est parfaitement déroulé. L’équipe n’a pas encore oficiellement de nom, mais c’est déjà un vrai groupe selon lui. “Après une journée, c’était comme si nous avions été tous ensemble depuis des années”, assure-t-il. Il est vrai que beaucoup de ces coureurs ont déjà une histoire commune, chez Saxo Bank. C’est le cas des frères Schleck, de Fabian Cancellara, de Stuart O’Grady ou de Fuglsang. Ils sont huit au total à avoir quitté la team Saxo Bank pour rejoindre ce nouveau projet.
Alexandre Le Grand
Je pratique de l’athlétisme en club et je vais vous en dire un peu plus sur ce sujet :
L’athlétisme est un sport qui comporte un ensemble de disciplines regroupées en courses, sauts, lancers, épreuves combinées et marche. Dans chacune de ces disciplines, je vais vous parler de certaines épreuves.
Dans la discipline course, on peut trouver le 110 mètres haies, cette épreuve est réservée aux hommes. Elle consiste à parcourir la distance de 110 mètres en franchissant dix haies d’une hauteur de 1,06 m distancées entre elles de 9,14 m. Cette épreuve est apparue aux jeux olympiques en 1896. On peut aussi trouver le 100 mètres haies qui est réservé aux femmes. Elle consiste à parcourir à une vitesse maximale, une distance de 100 mètres en ligne droite en franchissant dix haies de 84 cm. Le nombre de haies tombées n’intervient pas dans le classement, elles ne font que ralentir les sprinteuses. La première haie est placée 13 mètres après la ligne de départ, les autres haies étant distantes de 8,5 mètres. Le 100 mètres haies est apparu aux jeux olypiques en 1972.
Dans la discipline courses on peut aussi trouver du relais. Voici le 4X100 mètres. Cette épreuve consiste en la succession de relais pour quatre athlètes qui doivent chacun parcourir 100 mètres (environ) et se transmettre un témoin sous forme de bâton cylindrique. Le coureur qui va recevoir le témoin prend son élan dans une zone d’élan, la transmission du témoin se passe dans une zone de transmission de 20 mètres. Si le passage du témoin est réalisé avant ou après cette zone, c’est une faute éliminatoire du relais.
Dans la discipline saut, on peut trouver le saut en longueur. Les athlètes se lancent dans une course d’élan sur une piste rectiligne, prennent une impulsion sur leur meilleur pied (ou pied d’appel) juste avant une surface en plasticine, et sautent pour atterrir le plus loin possible dans un bac à sable. L’athlète qui dépasse la planche de plasticine ne verra pas son saut mesuré. On dit qu’il a mordu. Les concurrents ont généralement six essais et le gagnant est celui qui a réalisé le plus long saut mesuré. En cas d’égalité, on départage les sauteurs en prenant en considération le second meilleur saut effectué.
Dans la discipline saut, on peut aussi trouver du saut en hauteur. Les compétiteurs doivent franchir une barre horizontale en prenant appel sur un seul pied ; l’athlète qui franchit la barre la plus haute remporte le concours. Les concurrents ont le droit de prendre une course d’élan. La barre est montée par palier (de 5 cm en 5 cm au début de la compétition, puis de 3 en 3 cm), chaque concurrent ayant droit à 3 essais à chaque hauteur proposée.
Le triple saut exite aussi : tout comme pour le saut en longueur, les athlètes ont une course d’élan pour gagner de la vitesse et prennent leur impulsion avant une planche (située à 13, 11, ou 9 mètre du sable, selon le niveau). La différence tient au fait qu’ils enchaînent trois sauts en ne touchant le sol qu’avec un seul pied. Au terme du dernier saut, ils atterrissent dans du sable pour amortir leur chute.
Il existe aussi la discipline lancer qui peut se composer du lancer de poids. Cette épreuve consiste à lancer une boule de métal aussi loin que possible. Les concurrents prennent place à l’intérieur d’un cercle 2,1 mètres (7 pieds) de diamètre. Ils doivent reposer le projectile entre le cou et l’épaule, et pousser leur bras de lancement tout droit. La distance du lancer est mesurée de l’avant du cercle à l’endroit où le projectile est tombé. Chaque concurrent obtient un certain nombre de lancers, habituellement 6 dans les compétitions d’élite, et le concurrent réalisant la plus grande distance est déclaré le gagnant. En compétition pour hommes, le projectile pèse approximativement 7,26 kilogrammes (16 livres) ; le projectile des femmes pèse 4 kilogrammes.
Dans la discipline lancer, on peut aussi trouver le lancer de disque qui est une discipline qui consiste à lancer un disque le plus loin possible. Le disque a, pour les hommes, un diamètre de 219 à 221 millimètre, une épaisseur de 44 à 46 millimètres, et un poids de deux kilogrammes. Chez les femmes, le disque pèse un kilogramme et dispose d’un diamètre variant entre 180 et 182 mm pour 37 à 39 mm d’épaisseur.
Il y a aussi le lancer de javelot. C’ est une discipline consistant à lancer un javelot fait en métal, en fibre de verre ou en fibre de carbonne. Les règles du lancer de javelot sont équivalentes aux autres types de lancers (disque, marteau ou poids). Les compétiteurs ont tous droit à six essais. La pointe du javelot doit toucher en premier le sol au moment de l’impact pour que l’essai soit validé. Contrairement au lancer de disque, de marteau et de poids (pour les adeptes du lancer en rotation), le lanceur de javelot effectue une course d’élan rectiligne avant le lancer, course réalisée en deux temps sur la même surface utilisée que pour la course . Dans un premier temps dit d’élan, l’athlète réalise une course classique face à l’aire de lancer, le javelot placé sur le côté. Dans un deuxième temps, dans la phase dite de préparation, le lanceur se place de profil et se déplace en pas croisé devant, le javelot placé à la tempe et le bras lanceur armé derrière la tête. Dans l’ultime phase de la course d’élan, le bras lanceur est mis en tension par élasticité sur l’ultime double appui de la course d’élan. La course est ainsi arrêtée violemment, transmettant toute la vitesse de déplacement dans l’épaule qui se détend comme une catapulte propulsant le javelot.
Voila les principales épreuves qui se trouvent dans le sport de l’athlétisme mais beaucoup d’autre épreuves existent.
Manon.