Jeudi 5 janvier, Pierre Dukan publie sa lettre au prochain président. Ce nutritionniste star propose d’instaurer une option “poids d’équilibre” au bac. Ceci permetterait aux éleves de gagner des points s’il n’ont pas grossi au cours de leurs deux dernières années de lycée. Le ministere de l’Education Nationale de même que les spécialistes en nutrition ont été choqués par cette proposition.
Cela consiste à permettre aux candidats au bac dont l’indice de masse corporelle (IMC) serait compris entre 18 et 25 de gagner des points bonus. Les éleves seront contrôlés à travers six pesées : trois par an. Tous les éleves choisisant l’option se verraient proposer 6 modules d’une heure de formation à la nutrition, la cuisine et l’activité physique. Le Dr Dukan assure que “pour éviter toute discrimination, et même avantager ceux qui se trouvent en dehors de ces limites, une simple progression vers le poids d’equilibre ( 100 gramme par trimestre) suffirait à faire gagner des points”.
Le ministère de l’éducation affirme que le Dr dukan fait de la descrimination physique sans le savoir. Le ministère de l’Education Nationale dira le mot de la fin sur ce sujet “Le bac est un examen des savoirs et des connaissance, pas un examen de santé.”
Pour en savoir plus sur ce terme scientifique d’indice de masse corporelle, je suis allée me renseigner auprès de l’infirmière du collège, Mme Askari.
Madame Askari : “l’indice de masse corporelle appelé IMC, permet de surveiller le poids et la taille chez l’enfant jusqu’à l’adulte, ceci permet aussi de contrôler le surpoids mais aussi l’insuffisance pondérale.”
Stella : Pouvez-vous nous donnez votre avis sur cette proposition ?
Mme Askari : “Je ne suis pas d’accord avec cette proposition car c’est discriminatoire et on mélange la santé et l’éducation scolaire. Cette chose va faire que certains et certaines éleves vont se focaliser sur leur poids et vont faire des régimes inconsidérés !”
Les parents s’occupent trop de nos affaires et on leur dit toujours qu’on n’est plus des bébés. On sait qu’ils s’inquiètent pour nous mais on a besion de respirer un peu, on doit voler de nos propres ailes. C’est donc pour celà qu’on va vous donner des petite astuces pour éviter les prises de têtes ^^:
– Essaye de faire ta chambre le plus souvent, ça fait déjà ça en moins :p
– Ne demande pas tout d’un coup, trouve les bons moments (genre surtout pas quand tes darons sont déjà ennervés ou si ils fâchent un de tes frères/soeurs ou encore quand ils sont au téléphone – ça le pire XD -)
– Fais en pas voir de toutes couleurs à tes parents, quand tu seras plus grand(e) tu le regretteras …
– Préviens-les toujours à l’avance quand tu dors chez un(e) pote, ça peut éviter qu’ils préparent un truc pour toi et qu’en faite t’es même pas là ou autre …
– Aide-les un peu des fois, il seront fiers de toi et, en plus, c’est à ce moment-là que tu peux leur demander quelque chose, ils refuseront très rarement 😉
– Et avoir beaucoup de respect pour eux, c’est ce que tu as de plus précieux ici bas …
Et voilà, vous en avez quelques-unes : pour le reste débrouillez vous un peu, et puis c’est en fonction de comment sont vos parents qu’il faut agir ^^ Bonne Chance ! 🙂
Wassila et Amira
Le gynécologue, spécialiste de nos petits et grands maux typiquement féminins, est un interlocuteur-santé privilégié.
A quel âge aller le voir pour la première fois ?
Toutes les infos pour ne pas avoir peur de pousser la porte de ce médecin !
Pour une adolescente, aller voir un gynécologue n’est pas chose facile, c’est généralement la première personne extérieure à la famille qui va lui parler de sa sexualité et éventuellement toucher la partie la plus intime d’elle-même. La plupart préfèrent, pour commencer, avoir à faire à un médecin-femme, même si les gynécologues hommes sont tout aussi compétents. Certaines se rendent seules à la consultation, d’autres sont accompagnées de leur mère ou d’un(e) ami(e). Quoi qu’il en soit, le médecin doit garder le secret professionnel car tout ce que vous lui direz est confidentiel. Le médecin répond aux questions ou les provoque, qu’elles concernent la contraception ou l’usage des tampons périodiques.
Certaines mères souhaiteraient que leur fille consulte dès ses premières règles. Les jeunes filles, elles, préfèrent attendre quinze ou seize ans. Beaucoup d’adolescentes, par crainte de subir un examen gynécologique, préfèrent cependant renoncer à consulter un ou une gynécologue. En tout cas, rassurez vous, les filles, l’examen gynécologique est un acte médical, pas une agression sexuelle !
Certaines adolescentes souhaitent consulter sans en parler à leur famille : dans ce cas, elles peuvent s’adresser au centre PMI (Protection maternelle et infantile), ou encore au Mouvement Français pour le Planning Familial ( www.planning-familial.org ), où les consultations gynécologiques de mineures sont gratuites et anonymes et les prescriptions de contraceptifs aussi !