Critiquer sur le physique est décevant d’un être humain. T’as quelques rondeurs, t’es grosse, t’es mince, t’es anorexique, tu mets une jupe, t’es une grue, tu mets pas de jupe, t’es coincée etc… Dîtes vous que quoi que vous fassiez vous serez jugé. Alors vivez votre vie et ne nous souciez pas des avis ! Trop de gens parlent mais peu savent.
On en a assez des personnes qui pensent connaître beaucoup de choses sur nous mais qui ne savent rien ! Assez des personnes qui inventent des choses sur nous, qui créent des rumeurs sur le dos des gens ! Assez des personnes en qui on croit avoir confiance mais qui nous poignardent dans le dos ! Ils savent juste nos noms mais pas nos vies.
Si vous avez quelque chose à dire, ayez le courage de venir le dire en face car le dos n’est pas un répondeur. Ayez le courage de le/la regarder dans les yeux et lui dire ce que vous avez dans le cœur. Respectez la vie privée des gens. Car toutes ces rumeurs pour un adolescent ou quiconque pèsent et peuvent l’amener au suicide! Ne faites pas aux autres ce que vous n’aimeriez pas qu’on vous fasse. Faîtes son parcours, suivez son chemin, gravissez tous les obstacle qu’elle a eu à gravir et là, juste à ce moment là, vous serez en mesure de la critiquer si vous en avez encore besoin.
De nombreux internautes et chasseurs d’extraterrestres étaient surpris et excités de la découverte d’une lumière pouvant avoir la forme d’un martien, car cette photo fut prise sur mars, par Curiosity, robot de la NASA.
Depuis, nous avons eu le droit à un combat entre les croyants de la lumière extraterrestre et les rationnels, comme Justin Maki, scientifique de la NASA responsable de l’équipe qui a fabriqué cette caméra, qui affirme que cette lumière n’est autre qu’un “reflet du soleil sur des roches ou des rayons cosmiques frappant le déflecteur de la caméra”.
Les scientifiques ont aussi une autre preuve : Ils affirment que “Le point lumineux apparaît dans la même direction que celle du soleil. Si ceci est bien un reflet du soleil, il se trouverait à 160 mètre de Curiosity”. Certains internautes avaient zoomé l’image jusqu’à y obtenir une source provenant du sol, justifiant le reflet du soleil.
Les scientifiques ont trouvé d’autres explications de cette lumière sur la planète rouge, comme des geysers de C02, par exemple. Scott C. Waring, du site UFO, nous explique: “Regardez attentivement la base de lumière. Elle a une surface plate qui nous indique qu’elle provient du sol.” Il continue son explication en imaginant une vie extraterrestre intelligente souterraine et qui utilise des lumières artificielles.
Quant à deux de mes camarades (Théo et Hugo pour ne pas les citer), ils disent: “Le président américain sait tout et ne dit rien, la vie autre qu’humaine existe!”
Oui, vous l’aurez compris je retourne la tête dans les étoiles (clin d’œil à Mme Dibot). Et vous qu’en pensez vous ? plutôt du côté des croyants d’extraterrestres, des scientifiques ou entre deux?
Chers zélèves,
Anissa est en pleine déprime (plus que trois mois au collège et ce sera l’abandon…), Eden s’interroge sur la maturité de ses congénères, Walid planche sur son brouillon d’article sur l’écocitoyenneté rêvée des zélèves de George Sand (Walid, on attend ton article !), Hugo a quant à lui dû oublier son article culturel (“J’vous jure, j’écris dans la rubrique littérature, m’Dame !”) dans les méandres de je ne sais quelle énième dimension… Théo pousse un cri : il voudrait nous faire croire qu’un footballeur milliardaire est un dieu quand il fait un don pour un enfant malade… Lenny… mais que fait Lenny, au juste ? Ah oui, Lenny se questionne sur l’essence du théâtre, sur l’art et ses complexités… Moi-même, j’avoue voir en moins rose après un diagnostic médical : figurez-vous qu’on peut se casser des côtes en toussant trop (vivent les bronchites !). Finalement, aujourd’hui, on peut dire (non ?) que la journée avait mal commencé pour beaucoup d’entorchonéidés…
Mais petite lueur dans cette journée sombre : les résultats du concours de journaux scolaires. Oui : vous avez été distingués au niveau académique ! Et je suis fière de vous !!!!!!!! Pink Paillettes remporte une mention spéciale “encouragements” pour l’engagement dont vous faites preuve dans vos articles. Et notre bien-aimé Torchon ? me direz-vous… Eh bien, il est élu premier parmi les journaux en ligne de l’académie ! C’est pas beau, ça ! Ca redonne le sourire, non ?
Demain, on fête l’événement ? Karina va avoir droit à une séance media particulière, mais nous n’oublierons pas notre sujet : l’Ukraine.
Voici ce que le jury a écrit :
“Pink Paillettes” a obtenu le prix spécial de l’engagement dans la catégorie “collège”.
“Le Torchon” a obtenu le 1er prix pour les journaux en ligne dans la catégorie “collège”.
Nicolas BILLON
Coordonnateur académique CLEMI
Rectorat de Poitiers
Chers zélèves,
Demain matin, Karina (de 3ème1) vient en séance media (courageuse, à 8 heures !), nous parler de l’Ukraine, son pays. Elle a répondu à notre invitation (et avec le sourire, la marque de fabrique de Karina) et évoquera pour nous le conflit qui agite l’Ukraine, qu’elle a quittée voici quelques mois pour venir vivre en France.
Karina nous expliquera la situation en Ukraine, et nous éclairera, selon son point de vue, sur les événements de ces derniers mois. Le mot “guerre” est lancé dans les media : comment une jeune ukrainienne de 15 ans vit-elle ces événements, depuis la France ? Préparez vos questions !
Désolé, Madame, je connais votre amour et votre grande passion pour le football mais pour la première fois j’aimerais réagir par rapport à certaines choses dans cette rubrique :
J’entends bien trop souvent que les footballeurs sont trop payés et qu’ils sont arrogants et ne pensent qu’à eux. Le mois dernier, Erik Ortiz Cruz, jeune Espagnol, a eu la chance de devenir père pour la première fois. Malheureusement, son enfant naît avec une dysplasie corticale qui est une maladie grave du cerveau. Etant fan du Real Madrid (oui, madame, c’est un club de foot) il décide d’envoyer une lettre à Cristiano Ronaldo pour obtenir son maillot et le vendre aux enchères dans le but de financer les opérations nécessaires pour son fils. A la suite de cette prise de contact, le footballeur portugais décide de financer intégralement toutes les opérations nécessaires au nouveau né et de le suivre jusqu’à la fin des traitements.
Il y a deux ans, Ronaldo avait déjà financé les nombreuses opérations d’un garçon espagnol fan de ce dernier.
Donc non, tous les footballeurs ne sont pas tous des hommes arrogants et égoïstes…
Cette semaine, notre chère prof de français nous a emmenés voir une pièce de théâtre : “El M”
Nous partons du collège à 14h, arrivons aux alentours de 14h26 et nous installons donc dans la salle. Petit à petit, la lumière s’éteint, le bruit cesse, et deux acteurs prennent place sur la scène. Deux personnages hauts en couleurs : Le premier est un homme qui ressemble plus à un rappeur raté des années 70 qu’à un bourgeois en costume traditionnel de Molière. Le second est une femme habillée au début d’un long manteau de fourrure puis plus tard d’un bikini. Les deux se lancent dans un rap plutôt…spécial.
Nous qui pensions aller au théâtre pour voir une pièce au rythme lent, écrite en alexandrins et en vers, n’étions pas au bout de nos surprises ! En effet, de nombreuses insultes et scènes de nudité s’enchaînent devant nos yeux accompagnés de nos rires parfois gênés.
A la sortie, les avis sont partagés, certains ont adoré, d’autres un peu moins, choqués par la vulgarité de certains passages. Avec le recul, en ayant parlé de la pièce en Français et en ayant vu différents extrait d’autres adaptations, je pense que l’on a eu de la chance de tomber sur une version bien jouée et moderne. Je pense que l’on peut féliciter les acteurs car il est vrai que nos réactions n’ont pas toujours été les meilleures… Au final, cela nous a permis de voir une vraie pièce de théâtre et passer un bon moment.
Lenny, Théo
Comme vous avez sûrement pu le voir dans le Torchon précédemment, deux classes de 3e (3e1 et 3e4) sont allées voir une pièce de théâtre ”El M”.
Je suis en 3e4 et, lundi matin, nous avons eu 2 heures de français avec Mme Dibot, elle-même n’avait pas vu la pièce avant de nous emmener la voir, donc elle nous a expliqué, en quelques phrases, la pièce du Misanthrope de Molière et donc les éventuelles comparaisons des extraits de cette pièce dans celle que l’on a été voir mardi. Je me souviens qu’elle nous avait parlé de sa crainte par rapport à la présentation de la pièce ”El M” sur le site Internet de la compagnie, puisque dans celle-ci, on insinuait l’éventuelle possibilité que cette pièce soit inspirée de l’univers de Virginie Despentes, écrivain quelque peu… érotique et trash.
Donc mardi départ 14h pour le Nouveau théâtre. Arrivés là-bas, plusieurs classes de lycéens étaient préalablement installés, ce qui signifiait que nous étions en retard…
La pièce commence, nous sommes directement mis dans ”l’ambiance” avec l’entrée en musique style rap du genre Macklemore, ou alors cabaret, ou du point de vue de Lenny : Club de strip-tease. J’explique : une femme chante vêtue d’un grand manteau en fourrure puis, au cours de la musique, elle quitte son manteau et nous laisse apercevoir son corps revêtu seulement de sous-vêtements roses à paillettes.
Personnellement, ça ne m’a pas choquée dans le sens où l’on a vu son corps mais dans le sens que quelqu’un puisse se dénuder dans une pièce de théâtre mais, en réfléchissant, c’est du théâtre, donc on se met dans la peau d’un personnage et nous ne sommes plus nous même, nous incarnons quelqu’un et nous pouvons alors nous permettre plus de choses que dans notre propre peau (je parle en connaissance de cause étant donné que j’ai fait deux ans de théâtre en incarnant une femme jalouse et cruelle – Médée- et une servante futée -Lisette-, avec Mme Dibot et M.Mastorgio, bien-sûr…).
Dans tout le reste de la pièce, il y a eu des moments plus ou moins surprenants (ou choquants, à qui le ressent) tels que : un homme simulant la prise d’une douche, donc qui se déshabille de dos, il portait un short de bain, un legging doré et un string rose… Il a tout enlevé. Je vous laisse imaginer la réaction de la salle à cette vue de corps dénudé. Je n’ai pas été si choquée que ça, car comme Mme Dibot nous l’a expliqué, cette pièce reflète exactement ce que nous pouvons voir dans la vraie vie (et nous regardons, à la télé, des films du même genre, avouons-le).
Il est vrai que j’ai été surpris à certains moments mais pas au même point que certaines personnes dans la salle, j’ai été surprise aussi,que Mme Dibot ait aimé cette pièce mais j’ai compris quand elle a dit que si elle l’avait vue avant, elle ne nous l’aurait pas montrée, étant donnée la réaction de certaines personnes (je ne vise personne) et donc leur immaturité.
Je ne dis pas que je suis ”mature” mais que j’ai trouvé irrespectueuses les personnes qui criaient dans la salle et qui insultaient les personnages. Vu que j’ai déjà été sur scène, je sais à quel point c’est désagréable et déstabilisant les moindres petits bruits de la salle ou même les rires qui sont assez longs et forts puisque, pendant tout ce temps, il ne faut ni s’arrêter, ni rire, ni perdre ses mots, ni paniquer.
J’ai entendu peu de retours positifs par rapport à cette pièce, il y en a, c’est sûr, mais beaucoup ont été choqués, surpris et n’ont donc pas apprécié. Cette pièce a été mise au goût du jour, elle représente la société d’aujourd’hui et d’après Mme Dibot, correspond à l’histoire de la pièce de théâtre de Molière. Il y avait des mots vulgaires comme du langage soutenu, des phrases prises du Misanthrope et des musiques entrainantes avec des mots et des phrases similaires aux chansons d’aujourd’hui. Après réflexion, discutions et explications, j’ai bien aimé cette pièce et je ne suis pas déçue d’être allée la voir.
Eden.
Pourquoi tant de haine ? Pourquoi nous laisser partir? Non, non, non, non, non, non je ne veux pas partir… D’ailleurs, je ne suis pas la seule à ne pas vouloir partir, Messaouda, Naouale, Johanna et d’autres, non plus… C’est extrêmement dur, de se dire que tout est fini, que dans moins de 3 mois, c’est la fin. Cette année, elle est passée tellement vite, je ne comprends pas car les années précédentes ne se passaient pas aussi vite. C’est fou, comme je me suis attachée à ce collège, quatre ans, ces quatre ans où j’ai tout appris, tout vécu. Je n’oublierai jamais ces quatre magnifiques années.
Ce collège ? Je ne me vois pas le quitter, c’est dans ce collège que j’ai rencontré de magnifiques personnes, de magnifiques amitiés et parfois des amours. Aujourd’hui, ici, j’ai tout gagné, mais l’année prochaine, j’aurai presque tout perdu. Chacun, nous allons prendre un nouveau départ, certains partent loin, certains restent près mais une chose est sûre, nous allons nous perdre, même si c’est la dernière chose que nous souhaitons. Nous allons nous disperser, j’ai peur, peur de ça. Ici, j’ai une sorte de cocon que je ne voudrais jamais avoir à détruire, pourtant il va falloir. On a beau ne pas avoir envie de tous se quitter, pourtant nous le devons pour réussir.
Puis, il ne faut pas les oublier, ceux qui ont été là toute une année ou pour certains plusieurs années pour nous, pour nous faire progresser dans notre avenir, pour nous aider, nous apporter une culture, un savoir faire et pour, bien sûr, réussir. Ceux qui ont eu à nous supporter avant tout, parce que c’est un défi pour eux, tous les jours de nous faire étudier et bien le faire. Ces adultes, ils nous ont aussi protégés, chouchoutés, grondés pour mieux progresser, ils nous ont fait rire également, beaucoup même. Sans eux, nous ne serions pas ce que nous sommes devenus maintenant. Nous sommes des mini adulte, grâce à eux. C’est fou comme on peut s’attacher à un professeur comme ça, c’est fou car mes professeurs, je les vois presque tous les jours, c’est comme si on vivait au collège, avec eux. On s’y attache et à la fin de l’année c’est toujours un déchirement de les quitter. Mais un bonheur de les retrouver l’an prochain. Moi, j’ai eu cette chance d’avoir beaucoup de professeurs de quatrième que j’ai ensuite encore eus en troisième, c’est une merveilleuse chance car ce sont ces profs que j’ai le plus aimés. Mais, ce bonheur que je vis actuellement, va se perdre et se briser car maintenant je sais que c’est fini, c’est la dernière année et que l’an prochain je ne pourrai plus les revoir en salle de cours, non tout ça sera fini. Je ne veux pas, c’est dur parce que je m’y suis beaucoup attachée, on est quelque part, comme leur deuxième famille, c’est ce que je ressens moi, en tant qu’élève. Si seulement on pouvait les prendre au lycée avec nous… Vous accepteriez, n’est ce pas ?
J’espère seulement une chose, c’est que les professeurs ne nous oublient pas, je ne supporte pas perdre quelqu’un de précieux, mais je serais obligée car les professeurs, ce sont des personnes précieuses et que nous devons partir. Il faut profiter du peu de ces trois mois restant puis ensuite… Ce sera une fin atroce. Je veux que les professeurs sachent que nous les oublierons jamais, qu’ils seront toujours présent dans notre coeur, que grâce à eux nous avons évolué, et cela ne s’oublie pas. Merci, merci pour votre courage de nous supporter, et de nous avoir appris toute ces choses. En route pour le brevet à la fin de l’année puis on espère vous revoir. Qui sait, 10 ans après, nous vous retrouverons !
“Trash”, ce Misanthrope ? Est-ce ainsi que vous le vîtes ? Certains, à la sortie du théâtre, n’hésitaient pas à clamer leur émoi : “Trop érotique”, “vulgaire”, “c’est choquant, M’Dame, deux hommes qui s’embrasent”… etc… Réactions à la mesure de l’ambiance de la salle cet après-midi, au Nouveau Théâtre : une séance scolaire, une majorité de lycéens (pas tous très mûrs, semble-t-il), quelques collégiens, et beaucoup de bruit. Pour rien ? (Anissa lisant Shakespeare, elle reconnaîtra l’allusion).
Tiens, tiens, nos zélèves, qui regardent des films ultra-violents, ou bien jouent à des jeux vidéos guerriers, partagent un langage des moins châtiés, seraient “choqués” par une mise en scène somme toutes… réaliste ? Contemporaine. Vous êtes jeunes, et n’allez pas assez souvent au théâtre, sans doute : vous avez été surpris par l’audace des jeux de scène. Du spectacle : c’était du spectacle. Et un jeu d’acteurs repoussant les limites de la mise en scène. Du très bon théâtre, à mon sens, mais ce n’est là que mon avis sur cette représentation. Du Misanthrope, celui de Molière, on retrouve quelques vers, parsemés ici ou là, au gré des répliques. Et le thème : la place de l’homme dans une société du paraître, des faux-semblants, l’amour… Etre soi. Au milieu des autres. C’est ce que vous disait cette représentation : soyez vous-même, qui que vous soyez. D’ailleurs, qui êtes-vous ? Ce thème de l’identité sexuelle était très moderne, non ? Trop, peut-être : en tant que bons zélèves, vous vous attendiez à une mise en scène classique, en costumes, et au texte original. Pourtant, vous saviez qu’il s’agissait d’une adaptation…
Nos personnages étaient en quête d’eux-mêmes, en quête d’amour : celui de l’homme, celui de la femme, celui du public. En quête d’identité : qui sommes-nous, ou comment nous voit-on ? Altesse renonce à Celimane, malgré l’amour qu’elle lui porte, pour se retrouver elle-même. Elle reste fidèle à ses valeurs, à sa conception du monde : Celimane, prêt à tous les compromis, n’aimant peut-être que lui-même, reste seul. Et Sisi est à terre, clouée par une révélation : Célimane n’aime qu’Altesse. Vous n’avez pas vu, dans cette pièce, qu’on parlait d’amour ? Les mots vous choquent ? Le choix de la violence des mots, de la nudité des corps (une prouesse d’acteurs, au théâtre…), vous a contrariés ? Il était question d’amour, de l’amour au XXIème siècle. Vous avez la pudeur de vos quinze ans, respectons-la. Mais entendez que ce spectacle nous ait, à nous, adultes, plu, et en rien choqués. La poésie était présente dans les vers de Molière comme dans le jeu de scène : c’est elle que nous avons vue, plus que les images des corps offerts, métaphores de l’amour.
Lenny a dit avoir aimé la pièce : je lui laisse la parole ! 😉