Nov
28
Classé dans (L'actualité au collège) par nesta le 28-11-2016

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Pourquoi remplacer les notes par des compétences ?

En SVT, en Physique Chimie et même en Arts Plastiques, nos notes ont été remplacées par des points de couleurs qui nous permettent de valider les compétences du socle commun. Ca, c’est une chose mais ce n’est pas pour autant qu’il faut entièrement supprimer les notes !

Pour moi, et je pense que je ne suis pas la seule, du moins, j’espère : ne serait ce que la suppression des notes dans toutes les disciplines confondues, ce serait comme avoir une jambe en moins mais ça, c’est ma vision des choses.

Il est plus simple pour certains d’accepter une note inférieure à la moyenne qu’un point rouge qui signifie  une non acquisition de la compétence évaluée.

Moi, personnellement, j’ai vraiment du mal à accepter ce changement : au bout de trois ans au collège, “pouf” du jour au lendemain, on décide de ne plus nous mettre de notes. C’est un changement considérable, je suis comme perdue dans le néant. Les notes, c’était un moyen de me repérer et là, j’ai perdu mon repère.

Afin d’en savoir plus, je suis allée à la rencontre de plusieurs élèves d’un peu tous les niveaux, je leur ai posé un certains nombre de questions qui sont :

A l’école on vous met des notes ou des compétences ? Qu’ est- ce que vous préférez ? Pourquoi ?

Une élève de CE1 : Moi, à l’école, on me met des notes, à la dictée j’ai eu 4/10. Moi je voudrais qu’on me mette des couleurs.

Un élève de CM1 : Moi, à l’école, on nous met des N.A des E.C.A et des A ou parfois des A.R . Ca, c’est pas trop mon truc parce que, quand y’a des couleurs, je ne sais pas exactement quelle note j’ai et ça me pose un problème.

Un élève de 5ème : Non, j’aime pas, et je ne saurais pas dire pourquoi.

Sofiane (3ème) : je préférais les notes parce que je digérais mieux une mauvaise notes qu’un point rouge, parce que un point rouge, c’est sec.

Maria  (3ème) : Moi, je dis que c’est n’importe quoi !Comment on peut se repérer avec des points de couleur ? C’est angoissant.

Pour ma part, je trouve frustrantes et énervantes ces nouvelles initiatives.

Question à ma prof de français : “Pourquoi, sur nos dernières rédactions, vous nous avez évalués par des compétences et pas par des notes ?”

Mme Dibot : J’avais donné un sujet d’argumentation sur la commémoration de l’armistice. Il se trouve que très peu d’élèves l’ont réussi. De nombreuses copies manquaient d’arguments, d’exemples, de soin dans le vocabulaire : si j’avais noté ces copies, les zélèves auraient eu de mauvaises notes, au-dessous de la moyenne. En évaluant par compétences, je n’ai évalué que la capacité des zélèves à rédiger un texte argumentatif : sa composition, sa progression, sans juger la copie dans son ensemble, c’est-à-dire sans évaluer l’orthographe, la syntaxe, le vocabulaire comme on le fait en notant (5 points pour la correction de la langue dans une rédaction notée sur 15 points au DNB). Donc, une compétence : “l’élève est capable de rédiger un texte argumentatif répondant à un sujet”, ce qui permet de faire le point (pas forcément rouge ;)) sur les acquisitions des zélèves. Evaluer par compétences permet de préciser une note. Si je te mets 10/20 à un devoir de grammaire, je peux te mettre trois compétences, par exemple, sur ce même devoir : la maîtrise de l’orthographe dans tes réponses, ta capacité à transposer des phrases du discours direct au discours indirect, ta capacité à conjuguer des verbes au passé simple. Une note, c’est un résultat global, des compétences, ce sont des marques plus précises de ce que tu sais faire, et de ce que tu dois encore travailler. Question d’habitude. Mais, si tu veux, on peut peut-être remplacer les couleurs, si le rouge t’angoisse tant : je le conçois, c’est criard, le rouge 😉 Pourtant, les notes, on les inscrit souvent en rouge, sur tes copies…

 

 

 

 

 

 

 

Nov
22
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 22-11-2016

Ah, ces journalistes, quelle irrévérence 😉

Pour comprendre : http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/11/22/thatcher-ou-fillon-comparez-les-propositions-avec-notre-quiz_5036016_4355770.html

Nov
20
Classé dans (Le torchon brûle) par jaime le 20-11-2016


Un petit rap sympa qui décrit mine de rien pas mal le comportement actuel de certains de nos ados : l’effet Snapillon.

Nov
20
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 20-11-2016

… La guerre continue…

“Des bombardements d’une violence inouïe menés par le régime syrien sur les quartiers rebelles de la ville d’Alep ont tué au moins 27 civils, détruit l’un des derniers hôpitaux du secteur et forcé les écoles à fermer leurs portes.

Pour le cinquième jour consécutif, des roquettes, des obus et des barils d’explosifs s’abattent dans un bruit terrifiant, en faisant trembler le sol et les immeubles, témoigne le correspondant de l’AFP dans les quartiers est de la deuxième ville de Syrie, principal front du conflit.

Selon lui, il n’y a plus de courant électrique et les générateurs sont à l’arrêt faute de mazout dans ce secteur assiégé depuis quatre mois par les forces du régime de Bachar al-Assad.” (Libération avec AFP)

A Paris et Strasbourg, une salle de shoot (Attention là, je ne parle pas de salle de shoot avec des armes mais avec des seringues) a ouvert mais je ne comprends pas le concept car, à la base, la drogue est interdite en France, c’est illégal d’en consommer. Je ne comprends pas le concept de se shooter, comme ils disent, dans une salle, surtout que là, on parle de drogue dure, on ne parle pas de petites drogues comme du cannabis au autre, là, on parle d’héroïne, de cocaïne : c’est bête de créer ça, il vaudrait mieux créer un établissement où ils soignent les addicts aux drogues dures  et pas justement les inciter à en consommer. En plus, c’est en consommer avec d’autres gens, on ne sait jamais, ça pourrait tourner mal, donc il vaudrait mieux la consommer chez soi, tranquille, plutôt que la consommer avec d’autres personnes.

La création de ces salles de shoot est pour moi assez complexe car la drogue est interdite en France. Donc pourquoi ouvrir des salles de shoots ? C’est enfreindre la loi, donc s’ils font ça, il faudrait qu’ils reviennent sur la composition des lois.affiche-ouioui_grande_8ff993e5-c461-4479-b825-03590d3ae82d_large

L’Armistice vu par Louis

Je pense que, même aujourd’hui, il est encore souhaitable de commémorer l’armistice de la guerre 14-18 car cela reste un événement ancré dans l’Histoire. C’est un événement qui se doit d’être commémoré car des français sont morts pour nous. Ils se sont battus pour la France. Ils se sont surpassés pour nous, donc, oui, cette date se doit d’être commémorée jusqu’à la fin des temps !

Quand j’étais à l’école, on se devait de la commémorer. Juste avant le 11 novembre, on répétait la Marseillaise puis, quand c’était le jour, on allait au monument aux morts. Un discours était prononcé par le maire de ma commune. Notre classe chantait la Marseillaise devant le monument aux morts. Puis on buvait un verre de l’amitié (du jus d’orange pour nous ;)) en l’honneur de ces soldats qui se sont battus.

Oui, on doit commémorer le 11 novembre, par respect envers ceux qui sont morts pour la France. C’est la commémoration de la victoire et de la paix.

L’Armistice vu par Hugo

Le 11 novembre est un jour célèbre en France car il signifie la fin de la guerre 14-18 où l’on doit se souvenir et rendre hommage aux victimes de cette guerre.

Chaque commune française célèbre la signature de l’armistice du 11 novembre 1918 devant le monument aux morts, en mémoire des 9,7 millions de soldats morts au combat. Ce sont les élus qui organisent cette commémoration en intégrant les écoliers de la commune pour déposer des fleurs au monument aux morts, chanter la marseillaise. A Paris, la capitale, le chef de l’état préside cette commémoration en remontant l’avenue des Champs Elysées, en se recueillant sur la tombe du soldat inconnu sous l’Arc de Triomphe, dont la flamme ne s’est jamais éteinte depuis 1920, et il y dépose une gerbe de fleurs : en hommage. Cet hommage est important pour sensibiliser les jeunes : pour certains, c’est très loin, cela fait un siècle !!! Mais c’est un devoir de mémoire et il faut se souvenir et être touché par cette guerre. Il ne faut pas oublier les atrocités de cette guerre.

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L’Armistice vu par Sofiane

L’Armistice est une paix marquant la fin des combats de la 1 ère guerre mondiale (1914-1918) , la victoire des Alliés et la défaite totale de l’Allemagne.

Vendredi dernier, nous avons commémoré le 98 ème anniversaire de l’Armistice. La commémoration marquant la fin de la guerre 14-18 se fait chaque année depuis presque un siècle.

Comme chaque année, la France commémore l’Armistice qui mit fin à la Première Guerre Mondiale afin de rendre hommage aux 20 millions de victimes du conflit (bilan mondial).

Les cérémonies de recueillement se font devant les monuments aux morts comme, par exemple, à l’Arc de Triomphe, où se trouve la tombe du soldat inconnu (victime de la guerre 14-18) avec, en effet , la présence du président de la République.

Il est donc souhaitable, en 2016, de célébrer l’Armistice afin de rendre hommage aux victimes et aux familles pour voir le soutien que le peuple donne à ses combattants qui se sont battus pour leur pays malgré qu’ils le veulent ou pas. Sans eux, l’Alsace et la Lorraine seraient à ce jour allemandes. On commémore cette fin de guerre pour prouver notre soutien à ceux qui se sont sacrifiés, aux familles des victimes.

L’armistice, vu par N’Aïssita

Selon moi, il est encore souhaitable, en 2016, de commémorer l’armistice de la première guerre mondiale car, avant toute chose, la commémoration du 11 Novembre 1918 fait partie des journées nationales inscrites dans les textes réglementaires et législatifs. Depuis le 24 octobre 1922, le 11 novembre est décrété “jour national pour la commémoration de la paix.”

Cette guerre fut terrible, atroce tout aussi bien pour les soldats que pour les civils, à l’arrière. Cette guerre a fait près de 20 millions de victimes, c’était une boucherie. Les soldats morts ont laissé derrière eux 3 millions de veuves et 6 millions d’orphelins !

De plus, personne n’avait souhaité cette guerre… Que serions-nous si ces braves hommes ne s’étaient pas battus pour notre nation ? C’est donc une sorte de reconnaissance vis-à-vis d’eux, de gratitude envers ces soldats à qui la vie n’a pas toujours souri.

C’est un jour d’hommage et de recueillement. Ne pas commémorer ce jour,  pour moi, serait un affront.

L’armistice vu par Otniel

La fin de la guerre fut un grand soulagement pour les soldats survivants. Commémorer l’armistice est un signe de respect envers tous les soldats qui se sont sacrifiés pour leur peuple. Cette guerre a marqué toute l’Europe, commémorer sa fin peut être une façon d’inculquer à chacun de nous des valeurs comme l’amour de notre patrie, ou le respect. Je pense que, de nos jours, l’armistice est très méconnu des jeunes, cet événement passe quelque peu inaperçu. C’est pour cela que j’estime qu’il est important de commémorer cette fin de guerre : les souffrances vécues par nos soldats ne méritent pas l’oubli.

Bouterfas Sofiane, élève de la classe média

Nov
15
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par noamoine le 15-11-2016

Plus on avance dans le temps et plus les chaussures changent de style, de couleurs…
Avant, les chaussures était toutes simples alors que, maintenant, elles sont plus sophistiquées.

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Chaussure Homme des années 70.               Chaussure de maintenant

Maintenant, nous mettons des chaussures comme les Nike pour aller en ville ou se promener, personnellement je préfère les chaussures de maintenant car celles d’avant sont trop simples et je n’aime pas trop les formes.

Nov
11
Classé dans (Revue de presse) par Louis le 11-11-2016

Nous ne parlerons pas de cette polémique car nous ne faisons que d’en entendre parler !

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Nov
10
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 10-11-2016

Libé du 10 novembre 2016

Nov
09
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 09-11-2016