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Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 12-12-2016

“Ce sont les mêmes mots de désespoir et de panique. «Les gens courent sans savoir où aller. Il y en a qui sont enterrés vivants sous les décombres, d’autres qui sont blessés dans les rues. Personne ne peut les aider, les bombardements ne s’arrêtent pas. C’est le jour du jugement dernier, une extermination, croyez-moi», dit un habitant du quartier de Khalasseh. «Ceci est peut-être mon dernier appel. Sauvez les habitants d’Alep. Sauvez ma fille», dit un autre sur Twitter.” (Libération)