Mar
29

Voici une série d’articles réalisés par les 5ème2 en géographie :

 

Baisse de l’espérance de vie.
L’espérance de vie recule dans 14 pays africains, par exemple, au Zimbabwe, les habitants ont perdu presque 15 ans d’espérance de vie entre 1970-1975 et 2000-2005. Les habitants vendent aux enchères des objets pas cher et de mauvaises qualités, pour financer leurs dépenses de soins. En Côte d’Ivoire et en Ouganda, les malades du sida occupent plus de la moitié des lits d’hôpitaux.

Malheureusement, ce sont les pays les plus pauvres qui sont victimes du sida à cause de leur manque d’éducation et leur manque de moyen.

Coralie, Ophélie et Fella

Les maladies dans le monde

Le mode de vie des plus pauvres est fait de mauvaises conditions de vie. Au Cap-Vert, l’espérance de vie est de 75,17ans en 2014 alors qu’en France, elle est de 82 ans et qu’au Cambodge elle est de 65 ans. Les habitants les plus pauvres attrapent plus facilement des maladies, ils n’ont pas accès facilement à l’hôpital ainsi qu’aux médicaments. Suite à ça, le SIDA se propage sur différentes personnes qui en souffrent et en meurent parfois. Ils aimeraient s’en débarrasser mais cela n’est pas encore possible, peut-être que la médecine va y arriver un jour. Cette maladie se transmet avec le sang ou bien lors de relations sexuelles non protégées.

Lola et Rania 5eme2

Plus l’écart entre les riches et les pauvres est grand, plus l’état de santé s’aggrave pour les pauvres. Les pauvres sont plus malades que les riches car ils n’ont pas les moyens de se payer des médicaments. Dans les régions pauvres, les hôpitaux sont loin des habitants. Les pauvres sont confrontés à des maladies graves comme le sida…

Vamouty et Aaron

La pauvreté et santé

L’espérance de vie dans les pays pauvres est moins importante que dans les pays riches. Un habitant pauvre a plus de chance de mourir et de ne pas combattre les maladies, donc moins d’espérance de vie. Les médicaments et les hôpitaux ne sont pas accessibles à tout le monde, même si les médicaments sont gratuits pour les populations comme on peut le voir en Ouganda

Youssra , Fatoumata , Justine ,  Soumia

Article qui relie la pauvreté à la santé

 

La pauvreté et la mauvaise santé vont ensemble. Les pays pauvres peinent à réaliser d’aussi bons résultats que les riches même à l’intérieur d’un même pays, les pauvres se portent moins bien que les riches. Ce qui a un impact sur leur espérance de vie, c’est aussi la conséquence des mauvaises conditions de vie. Il y a beaucoup de politiques et d’associations qui luttent contre les inégalités.

Ylane, Oumar, Yazid

LA SANTE ET LA PAUVRETE

Dans les pays les plus pauvres, les conditions de vie sont dures, comme au Brésil. La richesse de ce pays est répartie répartie de manière inégale. Nous pouvons remarquer que les pauvres habitent dans des « BIDONVILLES » et les personnes riches habitent dans des maisons de « LUXE » plutôt placées en hauteur pour ne pas voir les pauvres et voir plutôt le paysage. Nous pouvons voir aussi, en Ouganda, des villageois qui sont en mauvaises santé car c’est un pays peu développé et pauvre : comme Antony, qui a le SIDA et qui doit faire plusieurs kilomètres pour pouvoir avoir des médicaments ou pour voir si il y en a. Les habitants de ce pays sont pauvres et ne peuvent presque pas avoir de médicaments. On peut remarquer, sur des cartes, que les pays pauvres sont plus repartis dans l’hémisphère sud et les pays riches dans l’hémisphère nord.

MATTEO ENZO

La pauvreté dans le monde

Les (1%) les plus riches de la population se détachent du reste de l’humanité à une allure accélérée. La distribution asymétrique de la richesse n’a rien de nouveau, mais elle suscite une question nouvelle  : la richesse de ces (1%) nuit-elle a la santé des autres ? Une richesse accrue au sommet ne s’accompagne visiblement pas d’un accroissement du nombre de personnes vivant dans l’extrême pauvreté [avec 1,25 dollar par jour, selon la définition de la Banque mondiale]. Pourtant, même si vous n’avez pas basculé du côté de l’extrême pauvreté, la façon dont vous vous situez par rapport aux autres d’un point de vue socio-économique a une incidence sur votre santé. Michael Marmot, épidémiologiste à l’University College de Londres et spécialiste des effets de l’inégalité sur la santé, estime que les gens qui vivent dans une pauvreté relative sont les plus touchés. De nombreuses études ont montré que l’accès réduit à une alimentation nutritive, physique. Il ne faut pas penser uniquement en termes de misère absolue

Matthias Baptiste 5 eme 2
Mar
24
Classé dans (L'actualité au collège) par nesta le 24-03-2017

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De jour en jour, notre génération ajoute de nouveaux mots et expressions à la langue française, des mots et expressions souvent qui n’ont ni queue ni tête  mais qui ont une signification bien précise et claire dans nos esprits. Un jour, d’ici quelques années, ils intégreront eux aussi le dictionnaire de la langue française, qui sait ?

Top 20 des expressions et mots du dico-young :

  • Pourrite
  • je m’assir
  • forsage
  • Roboteur
  • Intelligenceté
  • Noirte
  • Gentitte
  • vous croivez
  • comme même
  • des chevals
  • Parle la France
  • Marche Français
  • assis toi
  • Formologie
  • FriendZone
  • durté
  • accoursser
  • tu m’engrouffes
  • …………….

Et ainsi de suite : sans nous en rendre compte, nous modifions la langue française en ajoutant des mots avec un tas de fautes, de plus en plus présentes dans notre langage courante. Par ailleurs, de nouveaux mots voient le jour dans la langue,  tels que :

La Nomophobie (la nomophobie est une phobie liée à la peur excessive d’être séparé de son téléphone mobile ) et bien sûr, d’autres mots, entre 150 et 200 mots voient le jour  dans le dictionnaire de la langue française : cela prouve bien que la langue française est en grande évolution.

 

 

Mar
21
Classé dans (L'actualité au collège) par barongremillet le 21-03-2017

J’ai décidé de vous parler de Bernard Sztal, enfant juif caché pendant la seconde guerre mondiale.

Portrait : Quand je suis rentré dans la salle, j’ai vu deux personnes imposantes, ils ne sont pas là pour rien, pour eux, leur rôle est de nous transmettre leur savoir pour que ces histoires ne disparaissent pas au fur et à mesure du temps. Leurs histoires sont très émouvantes, on peut voir que ce qu’ils ont vécu n’a vraiment pas été facile pour eux. Pour en arriver là où ils en sont aujourd’hui, il leur a fallu du courage, du mental, de la détermination, il faillait être fort et ne jamais baisser les bras. Toute ces épreuves au cours de leur vie leur auront été utiles, quoi qu’il arrive. Ils sont sortis grandis de ces épreuves qui ont été très dures et douloureuses pour eux. Notre enfance n’est pas comparable à la leur, eux se contentaient du minimum, ont vécu la guerre à un âge où ce n’est pas permis et ont dû fuir. Alors que nous, nous ne sommes pas prêts à vivre ça, eux n’avaient pas le choix : ils devaient être prêts et devenaient très vite matures. Quant à nous, nous nous plaignons pour un oui ou pour un non et nous en voulons toujours plus, on ne se contente pas de ce que l’on a. Voilà ce que j’ai vu devant moi ce jour-là, et Bernard Sztal était accompagné de Rolland Gaillon, lui aussi était juif et a dû fuir. Ces deux hommes ont du mérite d’en être là où ils en sont aujourd’hui.

Histoire : Bernard Sztal a vu le jour dans les années 38, plus précisément le 15 Aout, peu de temps avant la guerre. Ses première années se passaient, c’était un petit garçon heureux et épanoui.

Il vivait sa vie paisiblement avec sa famille, quand la guerre éclata. En face de chez eux vivait un policier très sympathique, qui va les aider plus tard dans l’histoire. Avant la naissance de Bernard, ses parents se sont rencontrés en Pologne dans un ghetto. Sa mère a réussi à avoir des papiers pour quitter la Pologne et rejoindre la capitale française qui, à l’époque, est en paix, elle passe par l’Allemagne, la Belgique avant d’arriver à sa destination finale. Son père, peu de temps après, parvient également à s’enfuir et retrouve  à Paris dans les années 30 sa future femme. En 1932, les deux tourtereaux se marièrent. Sa mère se nommait Zysa Kutas et son père Icek Sztal. Le 14 mai 1941, le drame commence pour cette famille et, à partir de ce moment, j’ai vu Bernard Sztal plus touché, plus sensible, on voit qu’il raconte cette histoire avec le cœur. Le père de Bernard fut interné dans le camp de Beaune-la-Rolande, puis à Auschwitz le 27 juin 1942, à partir de ce jour, Icek est condamné, il ne reviendra pas de cette déportation. A cette époque, la France est séparée en deux : une zone occupée et une zone libre, malheureusement Paris est situé en zone occupée. C’est là que le policier intervient et prévient Zysa qu’une rafle se prépare et c’est donc à ce moment-là que la famille va fuir vers la Suisse, pour un long et dur périple. Bernard n’a alors que 4 ans. Ils prirent un train direction Poitiers, ils étaient partis avec les deux sœurs de Zysa et la fille de l’une des deux qui se nommait Fanny et sa fille Annette. Poitiers aussi est occupé, ils partent pour Confolens et franchissent la ligne de démarcation. Suite à ce passage, ils seront plus tranquille mais pas en sécurité et donc reprennent le train pour aller à Parsac. Ils franchissent les étapes et se rapprochent de plus en plus de la Suisse où ils seront sauvés. La famille sans la deuxième sœur qui s’est fait arrêter, arrive à Boursonneix en carriole. Bernard nous a raconté une petite anecdote.

 

Ils montaient dans un train quand, au bout du wagon, des contrôleurs montent également, ils partirent en vitesse, prirent le second wagon et arrivèrent en Suisse. C’est un soulagement car ils sont enfin libres et pourront attendre la fin de la guerre pour repartir à Paris, sans avoir la peur de mourir ou de se faire déporter. La Croix Rouge plaça Bernard dans trois familles au cours de son passage en Suisse, car il ne fallait pas qu’il s’attache trop à la famille, sa mère travaillait à la Croix Rouge. Il était traité comme un enfant de la famille, il faisait tout comme les autres enfants. Sa première famille vivait à Lucerne, elle se nommait les Brunner, il a gardé de bons contacts avec eux, il allait à la messe même si ça ne l’intéressait pas trop. La deuxième famille, il n’a presque aucun souvenir. La troisième habitait à Schlossroud, c’était chez les Vogel, avec eux, il allait au temple, donc c’était un petit garçon qui avait découvert pas mal de religions pour son âge.

Durant ces deux années en Suisse, le petit garçon s’épanouissait et voyait sa mère toutes les trois semaines. En Juillet 1945, lui et sa mère partirent pour Lyon et, lors de l’été 46, ils retrouvèrent la ville de Paris car la France est libéré des nazis. Il a perdu son père mais n’a aucun souvenir de lui, à part avec des photos et, du coup, cela ne l’attriste pas trop. Aujourd’hui, il a cinq petits-enfants. C’était son premier témoignage et j’ai été ravi de pouvoir être l’une des premières personnes à écouter son histoire, elle m’a beaucoup touché et est très marquante, je le remercie de tout nous avoir dit et de nous avoir appris ce qui lui est arrivé. Pour une première fois, je trouve que c’était très bien raconté et compréhensible pour une première.

Merci Bernard Sztal et Roland Gaillon, je me  rappellerai de vous.

Mar
16
Classé dans (L'actualité au collège) par barongremillet le 16-03-2017

Roland Gaillon, enfant caché

Lundi 13 février, nous avons assisté au témoignage de monsieur Roland Gaillon, un monsieur né en 1938 sous le nom de Goldenberg et qui a vécu au moment de la déportation des juifs et leur extermination : lui même étant juif, il a été caché par sa mère.

Il a tout d’abord commencé à nous poser la question : “Qu’est-ce que c’est qu’un juif ? ”

Laïla : C’est une religion.

Ines : C’est une origine.

Il nous a expliqué qu’un juif, d’après les nazis, c’est une personne qui a trois grands-parents juifs ou deux grands-parents juifs et un conjoint juif. C’est une définition qui n’a aucun sens, mais il y a quand même eu 6 millions de mort juifs dans les camps et 2 millions par la Shoah par balle.

Etre juif, selon lui, c’est appartenir au peuple juif.

Il nous a ensuite conté son histoire à lui, étant petit. Tout d’abord, il nous a expliqué son arbre généalogique en commençant par expliquer son côté maternel :  cette famille vient de Moselle, qui est devenue Allemande après la guerre de 1870.  Ses grands-parents avaient des commerces de chapeaux. En 1940, ils avaient quatre magasins à Paris et un à Toulouse. Mais avec les lois de Vichy, tout ça a été aryanisé : cette loi interdisait aux juifs de posséder tout type de commerces. Seul le magasin qu’ils possédaient à Toulouse n’a pas été aryanisé. Donc son père a voulu traverser la ligne de démarcation en juillet 42 pour aller voir ce qui se passait dans son magasin en se procurant de faux papiers pour ne pas se faire repérer. Durant son passage de la ligne de démarcation à Libourne, il est arrêté par des gendarmes Français. Il avait ses vrais papiers dans sa chaussure, ce qui a donc été facile à trouver et ils ont donc trouvé qu’il s’appelait Goldenberg et a été mis dans un camp à côté de bordeaux, à Mérignac. Sa mère va tout faire pour le sortir de là. Ils avaient le droit d’échanger des lettres qu’il a gardées. Il nous a dit qu’il s’est rendu une fois dans ce camp mais il ne rappelle pas de son père, il se souvient seulement du camp avec les baraquements. Sa mère a tenté maintes et maintes fois de faire sortir son père de ce camp, jusqu’au jour où les gendarmes viennent chercher sa grand mère dans leur appartement parisien. A la place de sa grand-mère, sa mère s’est rendue, volontairement, pour retrouver son mari. Avant cette arrestation, leur mère les avait envoyés, lui et son frère, à Nice, en zone libre, dans leurs famille, afin de les protéger.  En les accompagnant jusqu’à la gare, elle leur a offert un dernier petit cadeau qui était une écrevisse en sucre. Ils ne reverront jamais leur mère.

Ses parents ont été déportés à Auschwitz, où ils sont morts.

Un sac de billes, deux enfants cachés

Nous avons vu le film Un sac de billes (Mme Dibot précise qu’il s’agit avant tout d’un roman autobiographique), dans lequel on remarque des ressemblances avec la vie de Roland Gaillon :

  • deux frères
  • ils quittent seuls la zone occupée en train
  • ils vont à Nice
  • ils cherchent à passer en Suisse
  • ils se cachent dans un camp d’enfants (Roland est caché dans un “home d’enfants”)
  • ils ne doivent jamais dire qu’ils sont juifs
  • leur père meurt en déportation (Roland Gaillon perd, lui, ses deux parents)

 

La technologie pourrait être une faille pour notre génération et celle à venir ?

L’évolution de la technologie m’effraie fortement. De nos jours, les enfants naissent avec la technologie entre leurs petites mains. Certains passent plus de temps devant un écran qu’il ne peuvent dormir. J’observe beaucoup et je constate beaucoup aussi. Aujourd’hui, le contact humain est de moins en moins en présent, au lieu de voir les enfants jouer, discuter, crier, sauter partout… s’amuser,  quoi, on les voit les yeux rivés sur un écrans.

C’est triste, non ? Nous, les ados, nous, les collégiens, nous, les adultes de demain, 36 heures sur 24 sur les réseaux sociaux avec nos écouteurs et nos musique de sauvage. Oui, Oui, je suis une veille ronchonne qui n’aime pas le changement et qui est effrayée par l’évolution des choses. Ca peut paraître étrange, voire bête, mais c’est comme ça, ça me fait peur, tout cette technologie.

Qui dit que, demain, on ne verra pas des couples de robots ? Rien n’est impossible ! Nul ne sait de quoi demain sera fait. L’homme est remplacé par des machines et, après, on se plains du chômage. Faut savoir ce qu’on veut. Enfin, bref, on n’est pas dans une rubrique politique pour débattre du chômage. Moi, y a 10 ans, je passais ma vie à dessiner, jouer dehors……. (ça n’a pas trop changé )  C’est plus du tout ça. C’est triste et ça me fait peur, là, maintenant, on voit des “petits”   de 8-9 ans avec des téléphones sur Instagram, Snapchat, Facebook et tout le tralala.

Moi, à leur âge,  j’avais ma Nintendo Ds, ma tête à tresser et j’étais heureuse. Mais c’est plus le cas. Moi, personnellement (je raconte trop ma vie, je sais, je  sais, c’est un des principes de L.V.R, dire ce qu’on a sur le cœur et encaisser les conséquences mais je crois pas que c’est un principe à garder parce que je finis toujours chez la CPE ) Snap, Insta……. Je m’en sers, hein, faut pas mentir, mais c’est pour parler, appeler, envoyer des messages et, surtout, surtout, demander les devoirs et lire. Oui, je lis même sur les réseaux sociaux, je me cultive via Instagram ou encore Wattpad où on peut lire des nouvelles intéressantes basées sur des faits réels et très bien écrits. Qui dit qu’ils ne seront pas de futurs écrivains ?

Enfin, tout ça pour dire que les réseaux sociaux, c’est un bien pour un mal parce qu’on peut lire et lire, c’est ma vie. Bref, bref, là, je m’égare. Revenons à mon sujet principal. Ce que je veux dire, c’est que la technologie, le téléphone, les réseaux sociaux, c’est bon, mais c’est comme les matières grasses : le sucre et le sel, c’est bon,  mais faut consommer avec modération . Surtout que si on ne fait pas attention, très vite, le contact humain n’existera plus. Je vais encore ronchonner parce que le contact humais est essentiel , il serait regrettable de finir avec des amis fictifs, non  ? Ou bien des collègues robots ? Vous vous voyez à la pause  déjeuner prendre un café avec un robot ? En plus, je crois pas que les robots digèrent pas bien le café . Il faut savoir que, tant que nous sommes en vie, il faut profiter les uns des autres : la faiblesse de l’un peut être le force d’un autre,  pour avoir une vie harmonieuse. Oui je suis une vieille ronchonneuse dont il ne faut pas changer les habitudes et ça aussi, il ne faut pas le changer parce que, moi, je compte pas changer car on ne change pas La Vieille Ronchonne, hé, hé 😉

Fév
12

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Quel que soit le résultat du vote aux élections des Miss Georgettes, j’ai, pour ma part, un peu en avance sur le scrutin, élu les deux Miss Georgettes de mon cœur : N’Aïssita et Prisca.

Hier, ces deux Miss ont non seulement donné leur matinée entière pour aider les professeurs à recevoir les parents des futurs zélèves de sixième du collège, dans le cadre des portes ouvertes (comme tous les guides, à qui on doit également un très grand merci pour leur implication dans cette matinée), mais en plus, elles ont pris la main, et animé les séances à la place de leurs professeurs  !

Option media, accompagnement éducatif, Zumba, école ouverte-atelier pâtisserie : elles sont partout ! C’est d’ailleurs la réflexion qu’a faite un papa, “on les retrouve dans toutes les activités du collège !”. Ce sont elles qui présentaient aux parents d’élèves les bénéfices à s’inscrire dans ces activités, tout en soupirant à quel point on est bien dans notre collège, et que la perspective de le quitter fin juin n’est pas très rassurante…

Donc, pour ce duo chic et choc, podium ! Et à la première place ! Parce qu’en prime, on a eu droit, en salle 117, à plusieurs démonstrations de Zumba, en musique et en rythme, avec Mme Douzi dans le rôle de maître de danse, Prisac et N’Aïssita dans le rôle des zélèves-danseuses  ! Gageons que notre salle était la plus animée !

A. Dibot.

 

Avis à la population féminine de notre cher collège : un concours de Miss, le “Miss Georgettes”, est annoncé ! Il s’adresse aux zélèves (filles, avec un “f” comme Georgette, ah non, mais aux zélèves filles quand même, sans faire de sexisme aucun).

A toutes les filles de 4è et de 3è, dans un premier temps. Toutes sont donc les bienvenues, sans distinction de couleur, de taille, de formes, de coupe de cheveux, de cotte de popularité. Une première liste de candidates attend d’être complétée : le dirons-nous ? Nous manquons cruellement d’élèves blondes ou châtains, de peau blanche et de taches de rousseur. La diversité ne nous semble pas représentée, or, notre collège est coloré, métissé, les têtes y sont brunes et blondes, les couleurs de peau tout en dégradé, et cette beauté de la palette des couleurs, on l’espère sur le podium.

Fév
08
Classé dans (L'actualité au collège) par Inès KANDILA le 08-02-2017

Miss Georgette c’est quoi ?

C’est l’élection de miss au collège, Georgette est un clin d’œil à George Sand. L’idée m’est venue en parlant avec madame Douzi de l’élection de Miss Univers, et je me suis dit pourquoi il n’y aurait pas une miss du collège. Alors l’idée m’a beaucoup emballée donc j’ai décidé, avec madame Douzi, d’organiser l’élection. Madame Dibot aimait bien Miss Georgette car il faisait référence au nom du collège.

On doit faire quoi pour y participer ?

Pour participer, il faut t’inscrire en notant ton nom et prénom sur un papier et le mettre dans le casier de madame Douzi ou bien me le donner.
Aucun critère de sélection n’est imposé pour participer à cette élection, contrairement à ce qu’on peut voir ailleurs.
Les inscriptions sont maintenant terminées mais nous pouvons accepter d’autres candidates, madame Dibot m’a fait la remarque qu’il n’y avait pas beaucoup de diversité chez les candidates, c’est vrai. Je vous encourage toute à vous inscrire car nous acceptons tout le monde. La première étape aura lieu jeudi 9 février à 13h. Ce sera une épreuve de culture générale. La gagnante sera élue en fonction des points accumulés tout au long des épreuves, dans diverses catégories.

Déc
17
Classé dans (L'actualité au collège) par Agnès Dibot le 17-12-2016

Comme vous étiez beaux, hier, chers zélèves, du moins ceux que j’ai pu croiser ici ou là : je pense aux nœuds papillon de Louis et de Waren, à la chemise blanche et au collier d’Hümeyra, au petit col Claudine sur imprimé petits pois de Linda, je pense aux jupes-crayons associées aux baskets (drôle de mode !), aux mousselines des chemisiers,  aux petits blousons de cuir et aux petits détails des bijoux : hier, au collège, c’était festival de tendance ! Défilé collection automne-hiver 2016 !

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J’espère que tout s’est bien passé pour vous, mes chers zélèves ! Pour ma part, j’ai eu droit à des prestations aussi diverses que variées :  on m’a parlé des 400 Coups, d’une maison de retraite, d’un magasin de vêtements (que je ne connais pas !), on m’a parlé d’ateliers de tests de sécurité sur des articles de sport, d’ateliers municipaux,  j’ai même entendu une élève évoquer son rêve devenu réalité : faire un stage dans un garage automobile : où l’on a discuté féminisme et … machisme…

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En résumé, ce fut une journée faste, et ce matin, nous nous réveillons en vacances : il n’y a plus qu’à attendre la neige… Bonnes vacances à toutes et à tous !

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Il y a deux semaines j’ai effectué mon stage à Monoprix. Il s’agit d’une enseigne située dans le centre ville de Châtellerault. Son activité principale consiste à vendre des produits alimentaires et non-alimentaires et du textile. J’ai passé beaucoup de temps à chercher un stage qui me plaisait, mais en vain. Alors j’ai décidé d’aller voir à Monoprix en espérant que ma demande serait positive. Je vais essayer de résumer ma semaine en deux points : les points positifs d’un coté et les points négatifs d’un autre côté.

Premièrement, les points positifs

∞Multitude d’activités et de tâches très intéressantes

∞Personnel aimable

Deuxièmement, les points négatifs

∞Tâches trop répétitives

∞Les journées sont parfois longues et ennuyantes

En conclusion, je ne compte pas réellement poursuivre dans cette voie. Après ce séjour dans cette entreprise, j’ai une vision tout autre du milieu professionnel. Je n’envisage pas mener une carrière dans tout ce qui touche la distribution, le marketing ou le commerce. Je souhaiterais plutôt faire carrière dans un métier où chacune de mes journées serait différente. Peut être devenir éducatrice spécialisée.