Une mission m’avait été confiée, celle de surveiller le journal afin d’y détecter la parution de votre première page, chers élèves…
J’ai donc le plaisir de vous annoncer qu’elle est parue ce vendredi 28 octobre pour la partie 1, puis le lendemain pour la suite. Bravo.
Le sujet porte sur le racisme dans les réseaux sociaux.
La 1ère partie n’est pas disponible sur le site de la NR (oubli ou bug ?))
Vous trouverez ces pages dans la rubrique “archivage de nos pages pour la NR”, c’est à dire ici :
 
Version en ligne pour la partie 2 sur le site de la NR : 
Je (A. Dibot) me permets de compléter ce message de M. Dargenton par un lien vers le second volet de votre article (ci-dessus). Si je comprends bien, votre page a été publiée en deux fois : jeudi et vendredi. Félicitations : cela signifie que ce que vous avez écrit est intéressant et que les journalistes n’ont pas souhaité couper vos propos, ils les ont donc publiés dans leur (quasi) intégralité ! C’est encourageant !
Oct
24
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 24-10-2011

Chères zélèves,

Pour que ce Torchon ne soit pas que rose à paillettes, et qu’on ne vous reproche pas de ne pas encore être sorties du puits (rappelez-vous notre dicton à propos de la grenouille qui, du fond du puits, croit encore et toujours que le ciel est rond…), pour vous montrer, enfin, qu’être inscrite en option media, c’est apprendre à ouvrir l’oeil (et le bon !), un nouveau lien, vers un site de journalistes professionnels. Le lien s’intitule : “métier : journaliste”.

Sur ce site, vous trouverez le programme des trois journées des assises du journalisme : les 8, 9 et 10 novembre prochains.

Vous êtes conviées à participer à ces assises les 9 et 10 novembre, à Poitiers. Nous préparerons ensemble ces assises, et vous rendrez compte, dans ce Torchon, à vos lecteurs zinternautes de votre regard sur le métier de journaliste, qui ne sera a priori pas votre métier, à moins qu’on ne suscite des vocations, auquel cas, croyez-moi, nous serions très très fiers ! Lors de ces assises, des étudiants, notamment en journalisme, seront présents : les débats porteront sur la déonthologie du métier, sur ses difficultés, sur l’utilisation des moyens les plus modernes de communication : dans le respect de l’information. Sur l’ouverture du métier à des jeunes journalistes issus de milieux divers : contre l’élitisme en journalisme.

C’est une grande chance pour vous que d’être invitées à ces assises : sachez vous montrer à la hauteur : l’an dernier, la classe media était à Strasbourg, au parlement européen. Cette année, c’est aux assises du journalisme qu’elle apprendra la citoyenneté.

Ci-dessus : lolo “Assises du journalisme”, saison 2011. Ci-dessous : “nuage de tags”, publication sur le site journalisme.com.

Petit jeu : lisez les mots qui composent ce nuage de tags : retenez-en trois qui, selon vous, illustrent le mieux votre notion du journalisme. Inscrivez-les en commentaire, en précisant les raisons de votre choix. On commence aujourd’hui ?

Oct
14

On entend, ici et là, interviewés au hasard des flash d’informations télévisées, des français se plaindre des hommes (ou femmes) politiques et déplorer leur égocentrisme, voire mépriser leur personnalité. Les JT regorgent de ces témoignages (on appelle cela des micro-trottoirs) de citoyens français… Les réactions sont parfois déroutantes : la critique est aisée, et aucun homme politique ne trouve grâce aux yeux de personne…

Ne tombez pas, chères zélèves, dans ce défaut propre aux gens ordinaires (entendez par là ceux qui ne s’engagent pas en politique) qui critiquent tout et tous, toujours, sans jamais s’engager d’aucune sorte, sans même aller voter eux-mêmes parfois : parce qu’ils pensent que “cela ne sert à rien !”. Au contraire : chaque vote est une voix qui s’élève pour se faire entendre !

L’engagement politique demande du temps, de la bonne volonté, de la maturité : au-delà de l’égocentrisme qu’on reproche à nos politiciens parvenus au sommet (les candidats aux élections présidentielles), il est une valeur que chacun d’eux respecte -du moins, souhaitons-le !- avant tout : la volonté de faire respecter la démocratie et de maintenir cohérente la République.

Sans leur engagement, il ne serait point de démocratie : n’oublions pas ce principe.

Tous les partis politiques, toutes les associations vous diront la difficulté de recruter des bonnes volontés, des gens prêts à s’engager, à défendre une cause.

Les politiciens sont rémunérés, eux, objecterez-vous, certes, très bien, sans doute : en fonction de leur degré de responsabilité.

Combien d’entre vous souhaitent entrer en politique ?

Nos hommes (et femmes) politiques nous offrent cette année et jusqu’en mai prochain, un ballet d’ego, dirons-nous : le spectacle sera tourné en dérision par nombre de nos concitoyens. A moins d’être un Indigné (c’est un engagement politique !), et de savoir argumenter de façon raisonnée sa critique de l’Homme Politique, mieux vaut parfois s’informer, croiser ses informations afin d’en vérifier la vérité, avant de mépriser l’homme qui s’engage en politique.

Quel drôle de spectacle, tout de même, que ce mépris déversé sur la voie publique, aux micros des media !

Repensons aux fameuses larmes de Ségolène Royal, dimanche soir, à l’issue des résultats des votes au premier tour des Primaires socialistes : les larmes de la femme, plus que de la candidate (un homme politique -une femme-, c’est fort et retient ses émotions), jugeant décourageant ce piètre résultat après autant de travail au service d’un parti, autant de don de soi au service des citoyens. C’est ce message-ci qu’il faudrait peut-être davantage méditer. Quelle que soit notre appréciation des valeurs portées par cette candidate, quelle que soit notre appréciation de sa personnalité.

Les zentorchonéidés de l’an dernier se souviennent avoir rencontré à deux reprise Bernadette Vergnaud, députée européenne : cette femme politique avait expliqué les motivations de son engagement politique par la volonté de se mettre au service de la république afin de défendre ses couleurs.

Petit exercice ? Essayez donc d’observer les hommes politiques cette année : et tentez de comprendre le message qu’ils vous adressent, puisque vous êtes de futurs (proches !) citoyens !

Oct
14
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 14-10-2011

Encore une Une de Libération sur les Primaires socialistes (second tour des élections dimanche : si vous avez suivi, c’est Martine Aubry et François Hollande qu’il faudra départager pour savoir lequel se présentera aux élections présidentielles en mai 2012).

Cette Une-ci fait référence à celles dont nous parlions vendredi dernier.

Oct
12

Vous avez composé vos premiers articles sur Le Torchon.com, ainsi que dans le cadre du cours de français (article de journal sur la nouvelle Cauchemar en jaune) : vous savez à présent la difficulté à trouver le bon titre, le titre juste, celui qui sortira du lot (de copies à corriger !).

Un bon titre est un titre soit informatif (il informe sur le sujet de l’article) soit incitatif (il pique la curiosité du lecteur par son originalité).

Certains, parmi vous, en 3ème2 comme en 3ème4, ont trouvé d’excellents titres pour leur article sur Cauchemar en jaune :  Crise de quarantaine ? Témoins malgré eux, Happy meurtre, Quand la valise reste vide…, Un crime presque parfait, Surprise !  Bloody birthay (mon préféré, je crois…), Anniversaire mortel, Un quarantième anniversaire presque parfait, Un meurtre à côté de chez vous… Voici pour les meilleurs répertorisé dans vos copies.

Un bon titre incitatif est un titre qui fait sourire : certains journaux mettent un point d’honneur à n’utiliser que des titres incitatifs (Le canard Enchaîné, par exemple). Avant de vous en présenter quelques-uns lors d’une séance media spéciale-titres, jugez plutôt celui que Libération propose ce matin : “Aubry-Hollande : la guerre des rosses”.

http://www.liberation.fr/politiques/01012365172-aubry-hollande-la-guerre-des-rosses

Vous devez comprendre ce titre qui fait allusion à deux éléments de votre culture  : “la guerre des roses” : la rose étant le symbole du PS, parti politique auquel appartiennent Hollande et Aubry : ces deux-là s’affrontent ce soir dans un ultime débat avant le vote des sympathisants pour élire le futur (la future) candidat(e) que le PS présentera pour l’élection présidentielle de mai 2012.

 De plus “La guerre des roses” est un film américain célèbre, dans lequel un couple, Mme et M. Rose, divorcent et se font la guerre pour garder leur maison : la fin est loin du happy end à l’américaine ! Si vous avez l’occasion de le voir…

Alors, me direz-vous, pourquoi “rosses” et non “roses”  c’est là que le titre de Libé est osé : une rosse, c’est un vieux cheval, ou bien une personne méchante, hargneuse… Le journaliste considère donc les deux candidats comme des “rosses” ! Il veut certainement mettre en valeur l’aspect duel du débat politique qui va les opposer ce soir… alors qu’ils appartiennent au même parti politique…

Ajout de la part de M. Mastorgio, diplômé ès Histoire : “J’ajoute, modestement, et sous l’oeil expert de mes collègues d’anglais, la guerre des deux roses, blanche des York et rouge des Lancastre, au XVème siècle, en Angleterre.”

Gageons même que le journaliste de Libé avait plutôt cette référence culturelle-ci ! Et que le film “La guerre des Rose” tient son nom de cette guerre historique.

A vous, cette année, d’apprendre à détourner des titres de films, de romans, d’expressions, afin de concevoir des titres originaux !

Oct
08
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Aminata le 08-10-2011

Dans le fond, on est beaucoup à souffrir en silence. La vie nous laisse des cicatrices, des bleus, des blessures lourdes & douloureuses.
Le sang a du mal à s’arrêter de couler et les pansements à le retenir.
On essaye de tourner la page en se disant qu’il y a pire que nous, on partage nos larmes avec la solitude et on se force à sourire.
A faire croire que tout va bien quand tout va mal.
Nos sourires sont remplis de haine & de rancœur.
Malgré tout on est obligé de faire avec. On avance les yeux fermés en fonçant droit dans le tas.
On essuie nos peines, on range nos larmes et on efface les mauvaises périodes. On garde la tête droite, les épaules bien hautes et on avance.
On se bat chaque jour, pour faire en sorte que nos vies soient un réel conte de fée.
A chaque chute on se relève, le bonheur est sous nos yeux, on le sait même si c’est dur de ne pas penser à cette souffrance qui nous hante du jour comme la nuit.
Et ouais, parce que dans la vie t’as pas le temps de te lamenter sur ton sort, elle se consume aussi vite qu’une cigarette.
Aujourd’hui je fais tout pour en profiter au maximum, je vis chaque jour comme si c’était le dernier car je sais que tout peut basculer du jour au lendemain. Tout ne tient qu’à un fil…

Aminata.

Oct
06
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par LaTitePoète' le 06-10-2011

Je suis à court d’inspiration :S Il me faut vite de l’amour, de la Joie, de la tristesse ou de la colère mais quelque chose quoi !!!!! Ce qui est le plus dur, c’est de ne pas utiliser les mêmes rimes … Je ne sais vraiment pas comment les Grands Poètes font pour en écrire autant, pour moi c’est mission impossible Mdr x)

Là, je m’adresse aussi aux trois autres apprenties Poètes de la classe ( Stella, Marion & Alissia ) Vous allez voir, cela va vous arriver à vous aussi ; enfain je ne le vous souhaite absolument pas, c’est vraiment horrible :S Lorsque ce sera le cas, venez me voir : on fera un Poème à quatre 😉 ce sera plus simple (ou pas d’ailleur Mdr, il faut savoir s’entendre XD ) Sur ce, Je vous laisse, en espérant retrouver de l’inspiration et peut-être à bientôt LesTitesPoètes 😉 ( petit conseil : n’utilisez Jamais MON pseudo, parce que sinon … Mdr 😉 ).

Oct
04

 

En cours de français, je me suis fait surprendre en train de donner un bout de papier à un camarade ( oh la boulette :$ )
Mme DIBOT le lui a pris et n’était pas très contente :  je vous rassure,  le contenu n’était rien de méchant.  (Avec des fautes aussi :S )
Donc ma punition c’est d’écrire un article sur les billets doux qu’on s’envoie en cours… Ce n’est pas vraiment une punition, plutôt un honneur !

Les petit mots en classe, c’est un moyen de ne pas faire de bruit tout en communiquant. Les professeurs nous les prennent la plupart du temps ( vous seriez un peu curieux, chers professeurs ^^ )

Je n’arrive pas à comprendre car quand ont parle, on est puni et quand on parle pas mais que l’on communique avec des ” bouts de papier ” et sans bruit on est tout aussi punie 🙁
D’un côté, je comprends quand ce sont des papiers volant, c’est pas cool pour les professeurs…

Prenons le bon  et le mauvais côté des choses : le bon :

– Ca ne fait pas de bruit
– Ca ne dérange pas la classe, du moins pas le camarade à qui on parle

Le mauvais :

– Ca dérange les professeurs
– Ils croient qu’on ne les écoute pas
– Ca peut aussi déranger la classe

Bon, je vois que les profs ont plus d’arguments de leur côté : je pense que maintenant je ne recommencerai pas, enfin, faut voir 😛

( Je vous taquine souriez *CHIZZZ* )

A VOS CLAVIERS !

(01010 sal0101ie de traducteur !) Bonjour chers zélèves, chers zinternautes, chers professeurs, chers amis terriens !! Sur la Nébuleuse d’Eurasia, c’est un vé-ri-ta-ble reumue ménage : nous avons étudié la Sy-ner-go-lo-gie (une traduction svp me direz-vous) c’est une façon  de deviner une pensée (pas une réponse à un contrôle) par le biais  de plusieurs tics, manières et autres mouvement désordonés. Voici par exemples plusieurs signes observés chez les sujets (les collégiens ou les singes déjà ?) :

Mise en situation : vous avez un sms en plein cours. Vous le lisez et observez votre professeur :

– Il penche la tête vers le bas en vous fixant : colère noire, cherche à montrer le blanc de l’oeil, veut vous faire comprendre la gravité de la situation

-Il  fixe le sol ou le plafond,se gratte le dessous de la narine et/ou la nuque et/ou le menton, paupière mi-closes, sourcil droit levé : ne crois pas un  mot de l’histoire que vous lui racontez

– Il fronce les sourcils, se fait de tout petits yeux, l’arcade sourcilière et les pommettes sont proches de l’iris de l’oeil : pris en flag ! (-_-‘)

Voici maintenant d’autres phénomènes observés chez les enfants qui disparaissent à l’age d’environ vingt ans :

Vos élèves semblent parfaitement calmes MAIS :

– l’un d’entre eux vous regarde fixement, son visage est neutre et ses mains sont sous la table ou derrière son dos : il fait une bêtise (des fois il dit même “j’ai rien fait !”)

– un autre a la machoire crispée en ce qu’il appelle un sourire forcé et ses paupières sont mi-closes : s’ennuie profondément

– celui-ci mâche son crayon, regarde aux alentours, tripote un objet ou ses doigts : n’a pas fait ses devoirs

 

Voici pour les interessés des signes observés chez des sujets en société :

– regard sur une personne de haut en bas (généralement) : jugement visuel

-regard bas, observation des personnes présentes : grande timidité, indignation ou humiliation

– lorsqu’il parle, regarde vaguement à gauche ou fixement dans les yeux : dit la vérité

– lorsqu’il parle (aussi) bouge sans arrêt ou reste placide, évite le croisement de regard, main devant la bouche, donne trop ou peu de détails : il ment

-lorsqu’il écoute le coté droit de sa joue est très visible : il s’intéresse

– lorsqu’il écoute, regarde sans arrêt aileurs et répond par ouais, ou mhmh : se fiche de ce que vous lui dites

 

Autre mise en situation: suite à votre sms vous êtes convoqué(e) chez le directeur, celui-ci :

–  joint les mains par le bout des doigts (style monty burns pour ceux qui connaissent les Simpsons excelent”) : exerce sur vous une autorité forte

– les mains jointes comme pour prier : autorité ordinaire

– ferme les poings : vous considère presque (j’ai dit presque hein !) comme son égal

 

Quand à vous, vous :

– avez les mains jointes entre vos cuisses : vous lui obeissez fermement

– vous avez les mains jointes mais sur les cuisses, vous obéissez mais restez maître de vous-même

– vous avez les mains sur les genoux : vous vous considerez comme son égal

Voilà j’ai dit tout ce que je savais alors que la force soit avec vous et toujours Vers L’Infini Et Au-Delà !! (01010 Saleté de traducteur !!01010001!!!)

Sep
27
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Technovore le 27-09-2011

0101010… Oups mon traducteur n’était pas activé (oui, c’est la moindre des choses d’en avoir un lorsque l’on vient d’une autre planète)!

Je vous observe depuis longtemps, chers zélèves terriens et je viens de m’apercevoir qu’une bonne partie de vos professeurs faisait la grève aujourd’hui.

Pourquoi ? La plupart d’entre vous me répondra que c’est pour manifester contre “la-su-pre-ssion-des-postes”. En effet, les postes d’enseignants sont supprimés, donc les elèves sont plus nombreux dans les classes. Les conditions de travail sont ainsi moins favorables.

Mais au fait, pendant une grève, les professeurs font quoi ? (oui, ça, on s’le demande sur ma planète, on sait que les zélèves, ils font la euh…” grass’mat’ “)

Eh bien, les professeurs, ils vont manifester (paisiblement, bien sûr!) dans les rues pour attirer l’attention du rectorat. Voici les trois sortes de personnes que j’ai observées :

Un : les manifestants (ceux qui euh…manifestent).

Deux : les forces de l’ordre (ceux qui n’aiment pas les manifestants).

Trois: les casseurs (je n’ai pas vraiment trouvé pourquoi ils étaient là… à étudier).

En bref, ne croyez surtout pas que vos professeurs dorment pendant la grève, ils se battent pour vous, chers camarades zélèves (que la force soit avec eux) .

Allez, je retourne sur la nébuleuse d’Eurasia et, souvenez-vous, vers l’inifini et au-delà !

Technovore 01 alias Laura (tech pour les familiers…)