http://www.lanouvellerepublique.fr/ACTUALITE/Environnement/L-eleveur-de-hiboux-n-est-pas-un-sorcier

Eh oui, ce n’était pas un mythe : il exerce vraiment deux métiers : voulez-vous approfondir son portrait ? Vous le croisez tous les jours au 3ème étage…

Nov
11
Classé dans (Le torchon brûle) par Agnès Dibot le 11-11-2010

Il a de l’avenir dans la photographie de presse, ce petit Alex !

Nov
11
Classé dans (Le torchon brûle) par la Vieille Garde le 11-11-2010

la vieille garde ne peut que s’émouvoir au cours des cérémonies en lien avec le monde de la mémoire, de l’histoire, de la France. je vous assure, j’ai vérifié dans le dictionnaire, je suis, d’après la définition, tout à fait apte à être ému, cela m’émeut, émouvant non?

bref, car il le faut, ce fut une fraiche et pluvieuse matinée qui vit les courageux de la classe média et madame le principal, non seulement assister, mais aussi participer à ces cérémonies du 11 novembre. elles furent, ce me semble, sur bien des points, instructives. le principal des enseignements que je souhaite retenir de ce jour serait que l’amitié franco-allemande ne doit en aucun cas rester seulement politique, ce sont les peuples qui ont à la réaliser, afin que nous puissions conserver cette paix, à laquelle nous sommes habitués, comme le soulignait un des professeurs allemand présent, mais qui relevait, pour nos aïeux, d’un fragile et précaire équilibre des puissances et de la terreur. les discours étaient tous porteurs de sens et le passage dans les salons de la mairie permit de prendre des contacts et des informations auprès de personnes particulièrement investies dans cette question de la commémoration. c’est dans ces mêmes salons et discours que notre collège et ses jeunes reporters furent salués par les autorités, attachées au souvenir et heureuses de voir que la transmission de la flamme de la mémoire s’opérait.

merci donc aux zélèves de leur investissement, de leur participation, de l’intérêt manifesté qui ne fut pas feint, monsieur Blé, sorti dernier des salons, à 13h, est là pour le prouver et…en témoigner.

Nov
11
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 11-11-2010

“Y même Giorgio, le fils maudit…”

Non, ça, ce sont les paroles de la chanson…

Manatea , Kévin, Manon, Jofrey et notre photographe en titre : Alex ! Merci à nos cinq reporters zélés de leur présence ce matin : il faisait froid, il a plu pendant deux heures, mais ils étaient là !

Le parcours (à pied, s’il vous paît , le bus c’est pour le Conseil Général et les anciens combattants) nous a menés de la gendarmerie au jardin public en passant par le cimetière. Manatea et Kévin ont eu l’honneur de poser les gerbes (couronnes de fleurs) aux pieds des monuments aux morts. Alex a fait de belles photos, pendant que Manon et Jofrey écrivaient, sous la pluie.

Jofrey a fini par rédiger ce qu’il a de lui-même, avec une pointe de malice et d’humour (on en fera quelqu’un, de ce petit !) un torchon dégoulinant de goutelettes de pluie mêlées à l’encre du stylo Bic de la vieille garde qui, du coup, ne fonctionne plus  (le Bic, pas la vieille garde, qui va très bien merci pour elle : aux dernières nouvelles, elle avait pris un bain de pieds après avoir ôté les mille et une couches de vêtements qui la couvraient et la protégeaient de la pluie.)

A l’issue de la cérémonie, nous fûmes accueillis (voilà que je me mets à utiliser le passé simple, façon Mastorgio !) à la mairie au milieu de tous les concitoyens châtelleraudais : discurs et buffet à volonté !

Quelques rencontres importantes, quelques portraits dans la NR et le Torchon.com (à venir).

Et beaucoup de compliments (on aime !) à ces jeunes élèves (la relève !) qui auront à présent le devoir de transmettre ces mémoires pour éviter qu’elles ne sombrent dans l’oubli.

Alors, chers zélèves, vous avez là un travail à commencer : une commande  à honorer. Une belle page pour commémorer.

Avant l'arrivée de Jofrey.

Kévin et Manatea : beau geste

Les jolies photos d'Alex

Au cimetière, carré du Souvenir français

Drapeau...

Médailles

Uniformes

Fanfare...

Discours

Interview de Mme Grollier

Interview de M. Joseph (président du Souvenir français)

Le fameux torchon de Jofrey !

Après la cérémonie, les petits fours !

Bon, interview sans petits fours... Mais belle interview !

La vieille garde s'en donne à coeur joie

Un nouveau prince Charmant apprenti-journaliste ?

Fin du reportage !

Nov
11
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par BigAdministrator le 11-11-2010

Chers élèves rédacteurs, bonjour,
Vous voici enfin tous opérationnels pour vous identifier sur le blog, il était temps !
Vous pouvez donc dès maintenant soumettre vos productions journalistiques à  Mme Delapassivieillerédaction, M. Delapassivieillegarde et à l’équipe de veille torchonistique !

Non concernés par la suite de ce paragraphe : Alex et Alexandre (mot de passe personnalisés)
Pour les autres : Votre identifiant est la première lettre de votre prénom suivi de votre nom de famille (version courte pour Lukas!  et sauf pour Wahiba, suivi de la première lettre de son nom) ; le mot de passe est le même que pour le réseau du collège, il sera bon de le changer dans “profil” ; votre courriel de contact par défaut est celui de la messagerie de “portees”, que certains connaissent.

Pour vous connecter à l’interface d’administration : sur le blog du torchon, trouver le lien “connexion” dans la partie gauche. Une fois identifés, pour écrire un article : Articles, Ajouter ; n’oubliez pas de choisir dans quelle catégorie vous souhaitez le diffuser… Vous pouvez ajouter une photo en cherchant un peu. Pas si simple !!!

En attendant avec impatience de vous lire, à vos claviers !
Bon travail
Big Administrator

Nov
11
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 11-11-2010

Difficile réveil matinal en ce jour férié, surtout pour les (veilles) rédactions fatiguées, terrassées par les premiers microbes de l’automne…

Préparation du kit du parfait petit reporter : l’appareil-photo (piles en recharge), le dictaphone (Kévin a-t-il effacé l’interview des PinK Paillettes ?), le bloc-notes, le crayon… Tout sera prêt.

Et les zélèves ? Au rendez-vous : à 10 heures 15 au parc… ?

A vous le tricolore, le clairon, la fanfare, le discours officiel… Ouvrez l’oeil, cherchez à rapporter pour la rédaction du Torchon.com le meilleur de ce que vous aurez su observer et recueillir…

Le 11 novembre questions autour d’un monument

En ce triste jour de pluie battante, de rafales à écorner des bœufs, d’absence de la vieille rédaction, autant d’éléments qui mirent la vieille garde dans un état d’énervement encore accru ; tentant d’adapter au mieux un emploi du temps totalement bouleversé, nous tentâmes de réfléchir sur le sens que pouvait avoir un monument de notre mémoire collective, le 11 novembre.

Nous savons qu’il s’agit d’un armistice, qu’il est en lien avec la fin de la première guerre mondiale. Ce jour est férié, normal, il s’agit de faire mémoire des morts de cette guerre, mais, en ce cas, pourquoi toutes les fins de guerres ne nous valent-elles pas ce genre de journée ? Certaines guerres mériteraient-elles plus que d’autres de rester dans les mémoires, celles qui font plus de morts ou celles qui en font moins, peut-on raisonnablement se poser ce genre de questions d’ailleurs ?

Il semble bien que ce soit l’aspect totalement exceptionnel de cette guerre, sa durée, le nombre de morts, ses traces durables dans le quotidien des gens à sa fin, avec les veuves, les orphelins, les invalides, qui puisse justifier ce nécessaire souvenir, surtout que l’on espérait tant que cette guerre serait la « der des ders ».

Lors de ces cérémonies du 11 novembre, des élèves Allemands, de la ville de Velbert, jumelée avec notre ville, seront présents. Comment se vit le 11 novembre en Allemagne ? Que faut-il penser de cette présence, pourrait-elle froisser ces élèves ? Leur présence au contraire ne prouve-t-elle pas que la page est tournée, que rien n’est oublié mais que les jeunes générations ne sauraient en vouloir à des arrière petits enfants de soldats Allemands contre lesquels combattirent, peut-être, les aïeux de certains d’entre nous.

Nous sommes en paix avec l’Allemagne, la France construit avec elle l’Union Européenne, il ne saurait plus y avoir de haine, de discrimination, de rancœur, il faut aller de l’avant. Pourtant, ce désir de se souvenir est parfois mal compris dans les rangs des élèves : on tourne la page, il ne faut plus en parler, la crainte que cela se reproduise ne semble exister dans les rangs de la jeunesse.

Cela part d’un bon sentiment, le désir de ne pas vexer, de se retrouver autour de choses positives, afin de ne pas ressasser le passé, le désir de pouvoir se rassembler et ne pas mettre en avant les causes de divisions. Pour quelques uns il y a ici le désir de ne pas mettre en avant une sorte de racisme dont certains peuvent se sentir victimes.

Les gens changent, on ne peut rien reprocher aux personnes de maintenant par rapport à ce que firent leurs ancêtres. Il semble que les guerres ne soient que des événements lointains et impossibles en Europe, du coup, s’en soucier peut parfois sembler inutile, en revanche, l’aspect mémoriel du sacrifice de tant et tant d’hommes doit demeurer.

Nov
07

Illustration pour Les Misérables de Victor Hugo

Nov
05
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 05-11-2010

Ce titre fait référence à un film culte que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître… Remplacez Mazarine par Suzanne, interprétée par une Madona à ses débuts. La vieille garde aurait-elle vu ce film ? Mhum, m’étonnerait…

Mazarine, absente peut-être pour la première fois à l’un de mes cours depuis un an et demi !

Alors qu’on a une revue de presse à faire,  l’interview du 11 novembre à réparer, celle de Jean-Yves Le Nezet à rédiger ! Ce n’est pas le moment de flancher, jeune fille…

Courage, et meilleure santé !

PS : Où as-tu caché Julie ?

Oct
28
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 28-10-2010

Oui, à la rédaction du Torchon.com, on est sentimental, on aime, on est amoureux, on s’épanouit dans… LE TRAVAIL, bien sûr, et dans l’amitié, l’amour…. La preuve en images.

Julie : une déclaration d'admiration à la vieille garde...