En ce moment, une épidémie sévit au Portugal, c’est la légionellose, depuis près de dix jours pour un bilan de 8 morts annoncé le 16 Novembre 2014 par les autorités sanitaires portugaises.
L’épidémie
Plus de 317 personnes infectées depuis les premier cas annoncés le 7 Novembre à Vila Franca de Xira, à une trentaine de kilomètres de Lisbonne. Au total, huit personnes décédées, six hommes et deux femmes.
Le directeur général de la santé a confirmé que le risque d’infection était revu à la normale, et a appelé la population à reprendre ses habitudes.Mardi 11 novembre, l’Organisation mondiale de la santé avait qualifié l’épidémie “d’urgence de santé publique majeure” tandis que le gouvernement portugais avait estimé qu’il s’agissait de “la troisième plus importante de l’histoire, à un niveau mondial“.
L’épidémie aurait été causée par une combinaison rare de facteurs environnementaux, ce qui explique son ampleur. Le foyer serait apparu en raison de la présence de bactéries dans les tours de réfrigérations d’entreprises de Vila Franca de Xira.
La légionellose, qu’est-ce que c’est ?
Cette maladie est une maladie infectieuse, respiratoire. Elle peut prendre différentes formes comme la grippe “fièvre de Pontiac” qui est sans gravité et jamais mortelle, l’autre dite maladie du légionnaire, plus connue et plus grave, est de forme pulmonaire, elle provoque une pneumonie
Infection par inhalation de particules d’eau
La légionellose est présente dans les particules d’eau douce tiède ou chaude. Elle n’est pas contagieuse mais se diffuse par l’inhalation de particules d’eau contaminée. La grande majorité des cas humains vient de la contamination d’installations telles que : canalisations, pommeaux de douche, robinets, bains thermaux… mais également dans les climatiseurs, les humidificateurs, les brumisateurs de vapeur d’eau…
Mon père est un Ingénieur en informatique pour le PAM (Programme Alimentaire Mondial). Il est actuellement en mission pour 3 ans au Liberia ou Ebola a fait ses débuts.
Mon père, qui est sur le terrain, m’a informé sur le virus qui se propage de plus en plus vite. D’après les médias, Ebola est un virus qui se transmet après un contact physique. D’après l’expérience de mon père, Ebola ne s’ attrape pas si facilement puisque c’est un virus qui meurt, il n’est pas dans l’air. Avec le chlore, un désinfectant , des pulls à longues manches, on peut éviter ou tuer le virus ! Par contre, il est interdit de se saluer ou de s’embrasser, de peur d’être contaminé.
Le chlore est à la disposition de tout le monde. D’après les informations tirées de mon père, au début de l’épidémie, le taux de mortalité était très élevé mais, en ce moment, le taux de mortalité est équilibré puis, en décembre, ce virus sera maitrisé car le gouvernement Libérien et d’autres gouvernements vont construire des centres d’isolement pour tuer le virus.
Ce qui a propagé le virus, c’est que les personnes qui enterraient les morts atteints du virus ne se protégeaient pas, donc, ceux qui attrapaient le virus contaminaient d’autres personnes qui contaminaient d’autres personnes…
Il faut savoir qu’Ebola n’est pas contagieux les deux premières semaines, c’est juste à partir de 21 jours que la maladie est contagieuse !
Ebola : les symptômes de ce virus sont : la diarrhée, les maux de tête, les maux de ventre, la fièvre…
Le gouvernement Sierra Leonnais a interdit à toute la population de sortir de chez eux depuis Vendredi dernier ! Cette décision est intéressante car elle peut stopper le virus mais ce n’est peut être pas la meilleure solution. D’autres sont soignés mais certaines personnes sont plus fragiles et meurent. Ebola est évitable car les Nations Unies du Liberia comptent 600 personnes et jusque-là, mon père m’a dit “Personne n’a encore été infecté “.
Yannick Happy
En Arts Plastiques, Mme Coirault nous avait proposé de faire un dessin qui serait mis ensuite sur des pochettes de préservatifs, nous avons travaillé trois ou quatre séances là-dessus. Le thème était qu’il fallait faire un dessin qui représentait le combat contre le sida ou même qui fasse penser au préservatif en lui même, celui-ci pouvait-être sérieux ou bien humoristique : de nombreux choix se livraient à nous. Plusieurs collèges et lycées ont travaillé là-dessus et mon dessin a été choisi parmi de nombreux autres dessins, j’ai reçu le 16e prix (je n’ai pas été à la remise des prix mais c’est Mme Askari qui me l’a fait passer). J’ai reçu des préservatifs dont le mien, un t-shirt simple blanc et deux places de cinéma pour les 400 coups(voir photo ci-dessous).
Flash back
Il y a quelques semaines, un groupe d’élève de 4e et de 3e est allé à la Chasse au DASI (il y a eu des articles parlant de ce jour mais jamais une description de cette journée) et je faisais partie de ce groupe. Nous sommes partis le matin dès 8h pour nous rendre à la Maison pour Tous. Arrivés là-bas, nous avons pris place autour de tables et une animatrice nous a expliqué comment allait se dérouler la journée. Nous n’étions pas que nous, groupe de George Sand, il y avait aussi d’autres groupes de différents collèges. Le début de la journée s’est passé sur une recherche d’informations sur le SIDA ou autres maladies sexuellement transmissibles en allant à différents endroits de Châtellerault et Châteauneuf, tels que l’hôpital Camille Guérin, une pharmacie, au planning familial, à l’afpa. Ensuite, nous sommes retournés à la Maison pour Tous. Dans ces différents lieux, nous avions dû poser des questions à des professionnels, des questions tournant autour des maladies, des moyens de contraception, des possibilités de pouvoir parler avec quelqu’un ou faire des test en toute intimité et anonymat. A la Maison pour tous, nous avons fait une photo sur laquelle nous tenions un papier avec une phrase écrite dessus, par exemple ”je voudrais qu’il me dise je t’aime”; ”je voudrais que l’on m’accepte comme je suis”; ” je ne veux pas qu’il me prenne pour un objet’; ”je ne veux plus que ma religion soit un obstacle” etc… et nous pouvions faire un dessin sur une fresque où il y avait déja plein de dessin. (voir photo ci-dessous)
L’après -midi, nous sommes restés à la Maison pour Tous : nous devions réaliser un scénario de moins d’une minute avec pour thème de parler soit des moyens de contraception soit des moyens d’agir après la transmission du virus. Par groupes, nous tirions au sort pour choisir quel style de vidéo nous devions faire : il y avait le choix entre une publicité, un scénario humoristique, une scène réaliste ou tout simplement un thème et libre de style. Ensuite, celle-ci était présentée à toute la salle, il y avait plusieurs thèmes et nous tirions au sort. Je vous laisse imaginer la galère pour ne pas trop parler sur cette vidéo, ni rigoler, ni bafouiller : bref, c’était assez complexe, étant donné que nous étions un groupe de huit personnes. Une de ces vidéos a été choisie et le groupe a gagné un prix : des places pour les 400 coups, tous les autres ont reçu un t-shirt et avaient le droit de les customiser au choix avec des marqueurs de couleurs. Les reste de l’après-midi était libre, nous avions le droit de prendre des prospectus exposés dans la salle et des préservatifs. Mme Askari a choisi deux garçons (Théo en faisait partie) pour faire une démonstration de pose de préservatif. Puis nous avons plié bagages et sommes rentrés au collège vers 16h50. Eden
http://www.youtube.com/watch?v=_XSHgmIXDY0 .
Cette vidéo, c’est un court-métrage de Guillaume Canet, mettant en scène des personnages en état d’ivresse. Guillaume Canet, en faisant cette campagne de pub, a voulu interpeller les jeunes face à l’alcool. Leur montrer une fois de plus que l’alcool au volant, ça a des conséquences, graves. Dans la pub, il y a des sous-titres en bas de chaque montage de plusieurs vidéo. Ca commence avec deux personnes qui se rencontrent, puis ça s’accélère, à la fin ils sont ivres puis il y a un moment où le fond est noir, puis ils ont un accident de voiture et vous connaissez la suite…
En fait, c’est une succession de scènes de la vie quotidienne d’un couple d’amoureux, ils sont jeunes, heureux. On les filme ivres (au sens figuré) de bien-être, d’amour, de plaisir, de sensations fortes. Puis, dernière scène : ils sont ivres au sens propre du terme. On devine, à la dernière image (écran noir et son d’un accident de voiture), qu’ils ont pris le volant malgré leur état d’ébriété et se tuent en voiture.
En tout cas, moi j’en tire une leçon.
Anissa.
Prenez un groupe de spet élèves de quatrième inscrits en option media. Mixte, le groupe : deux garçons, cinq filles (les garçons sont minoritaires : et alors ? Rassurez-vous, en classe, on les entend comme s’ils comptaient pour deux chacun…). Faites-les se placer autour d’une table, ouvrez la discussion sur un sujet tabou : le Sida. Et vous obtenez très vite une discussion, un échange, des sourires gênés, des pouffades (rires étouffés : ah non, le mot n’existe pas ? ), de belles phrases, et… des énormités. Mais les énormités sont justement ce qui nous intéresse dans cet article. Jugez plutôt. Il suffit de laisser la parole circuler, et de prendre des notes (vite, parce qu’une fois lancés, on ne les arrête plus !)
Sadia (sage, avisée) : Le sida, on n’en a pas peur ! On est trop jeunes pour avoir des relations sexuelles, on n’est pas des drogués. Pour nous, le seul moyen de risquer d’attraper le sida, c’est une transfusion sanguine avec une seringue infectée (pas de chance).
Le-Garçon-qui-veut-rester-Anonyme : Ou ceux qui mélangent leur sang pour être “frères de sang” ! (pratique ancestrale visant à mêler symboliquement son sang avec celui de son ami le plus cher : danger de transmission du sida !)
Walid (fantasque) : Admettons que je tombe de vélo dans une flaque de sang infecté par le virus, que je m’écorche le bras ou le genoux. J’attraperai le sida !
Tous (moqueurs) : Oui, bon, Walid, admettons…
Walid (insistant) : Et si je m’assieds sur une punaise infectée ?
A. Dibot (prof) : En parlez-vous avec vos parents ?
Tous, en choeur (sauf Kheira) : Non ! Ce serait gênant !
Kheira (mûre) : Moi, j’en parle avec ma mère, elle m’informe, et elle me met en garde.
Debiah (tout sourire, comme d’habitude : vous connaissez le sourire de Débiah ? Magnifique.) : Mais le sida, on ne va pas en mourir ! (Debiah, avec ce sourire enjôleur, nous vendrait le Sida comme un petit virus mignon mignon, inoffensif, une petite maladie qu’on apprivoiserait avec douceur… NON ! Le Sida, on en meurt.) Ca se soigne, non ?
Salma (petit air angélique, enfantin) : Combien de temps on a avant d’en mourir ? A quel âge on peut l’attraper ?
A. Dibot (prof, mais pas spécialiste du sujet) : Il y a la séropositivité (le fait d’être porteur du virus, mais qui ne se développe pas) et le Sida (une fois que la maladie se développe) avéré. Une femme enceinte porteuse du virus peut, lors de l’accouchement, transmettre le virus au bébé : les médecins veillent à protéger l’enfant. Sinon, la réponse est simple : à part Walid, qui peut tomber dans une flaque de sang infecté ou s’asseoir sur une punaise infectée (!), si vous ne vous piquez pas avec une seringue infectée ni n’avez de rapports sexuels non protégés par un préservatif, vous n’attraperez pas le Sida.
Le-Garçon-qui-veut-rester-Anonyme (rêveur…) : Heureusement que ça ne se transmet pas par les smacks !
Sadia (passant du coq à l’âne) : Le Sida, c’est moins grave chez nous qu’en Afrique.
Debiah (professorale : je vous le prédis, elle finira prof) : Il n’y en a presque pas au Maghreb.
Walid (pour causer) : En tous cas, il y en a plus au Maghreb qu’en France.
Debiah (pédagogue : sourire + réponse ironique) : Ah bon ?
Walid (pris au piège, il s’est fait avoir comme un bleu par le Sourire) : Euh, ben, je crois…
Debiah (abat sa carte) : J’ai vu un reportage sur le sujet.
A. Dibot (amusée) : Je préfère ça : un reportage, c’est une source d’information. J’ai eu peur que vous ne vous échangiez des idées reçues sans fondement ni preuves. Savez-vous de quels moyens vous disposez pour éviter d’attraper le Sida ?
Tous : Le préservatif !
A. Dibot : Obligatoire. Toujours. Ne faites confiance à personne : protégez-vous. Evidemment vous ne risquez pas d’attraper le Sida si votre petit(e) ami(e) n’est pas séropisitif(ve), mais on n’est jamais trop prudent.
Une-Fille-qui-sur-ce-coup-là-préférerait-rester-anonyme : Ah bon ? Moi, je croyais qu’à chaque fois qu’on avait des relations sexuelles sans préservatif, on attrapait le Sida !
Rires. Comment ferait-on des bébés alors, s’il fallait toujours mettre un préservatif, même à l’âge adulte, en couple, quand on a décidé de fonder une famille ?
Non, quand même, la très grande majorité des petits copains ou petites copines qui seront amenés à partager avec vous une sexualité ne seront pas porteurs du virus : mais il suffit d’une rencontre… Le Sida n’a rien de honteux, attention, et la maladie se soigne (on n’a pas dit qu’elle se guérissait). Mme Askari nous dit qu’il faut sept litres de salive infectée pour transmettre le virus à quelqu’un, on n’a donc pas de risque, si on côtoie un séropositif, d’attraper le sida en lui parlant.
La sonnerie retentit : il est l’heure d’aller en cours. La suite de notre conversation mardi prochain…
Non, il ne s’agit pas du mot du vendredi mis en décalé, je laisse le décalage à la cuisine, mais je m’interroge.
Scorbé-Clairvaux, que tout le monde connait désormais en raison de nos sorties école ouverte et de notre premier mot du vendredi de cette année scolaire, Scorbé, disais-je, vit ce jour se rencontrer notre présidente de région et notre ministre de la santé et personne n’en parle! Cette modeste bourgade se retrouve au centre du débat sur les déserts médicaux et le monde entier, qui, via notre Torchon, devrait le savoir, l’ignore encore! Enfin, l’ignorait, le régionaliste que je suis est passé par là, encore un argument pour dire que je prends trop de place dans ce journal, mais que font nos équipes de reporters à la pointe de l’actualité?
Non, ne répondez pas, je ne le sais que trop et ne veux ni l’entendre, ni le lire, ni l’écrire.
Hier, quelques z’eleves de 3° / 4° on eté tirés au sort pour participer à la ” chasse au DASI ” à Châtellerault, qui a eu lieu à la MPT ( Maison pour tous). Nous avons été encadrés par Laure ( Animatrice du centre social d’Ozon ) Catherine ( Assistante Sociale ) et Mme Askari( Infirmière scolaire.).
Nous sommes donc partis à 8 heures du collège, direction la maison pour tous, puis après nous somme allés à la MDS ( maison de la solidarité.) où nous avons été informés sur tous les moyens de contraception, vaccins pour éviter certaines IST ( infections sexuellement transmissibles.) Nous avons beaucoup appris sur l’avortement qu’il fallait essayer de parler au maximum avec les parents s’ils sont ouverts d’esprit avant de commettre l’irréparable.
Plus tard dans la matinée, nous sommes allés à la CIDFF ( Centre d’information sur les droits des femmes et des familles). Nous avons répondu à des questions sur la relation de filles et garçons : ( Le viol, la première fois, la pression … )
Chers garçons, sachez qu’il ne faut pas se fier au physique ou au style vestimentaire : la fille aime être belle, glamour, classe… Sans forcementvouloir aller plus loin.
Vers 12h30, nous avons été dejeuner : un vrai moment de convivialité et de rires. Apres ça, un quizz a été donné. Nous, George Sand, sommes arriveés 1° :D,
Nous avons gagné des places pour aller aux Klub’, des tee-shirt, et des préservatifs ( Ce qui va pas être très utile pour le moment ^^ )
Enfin bref, nous avons passé une super journée, merci à tous ceux qui ont encadré ce jour. Nous avons beaucoup appris !
Notre opinion : En fait, nous avons vraiment aimé, le seul problème, c’est qu’on n’a pas trop l’habitude de parler de sexualité entre nous ou avec nos parents, donc ça nous gênés un peu, puis après, on s’est mis dans le jeu puisqu’il y en avait pour toute journée. Franchement, nous ne sommes vraiment pas déçus !
Océane et Mamabadiou.
J’ai eu l’idée de cet article lorsqu’une amie m’a dit qu’elle avait faim, et que je lui ai répondu que j’avais juste envie de manger. Contrairement à ce qu’elle pense, ça n’a rien à voir. Avoir faim signifie avoir besoin de manger, pour s’alimenter. Chose que chaque être humanin, peut importe son alimentation, éprouve. MAIS, avoir envie de manger, c’est lorsque je me dis ” tiens, je piquerais bien un peu dans une assiette !” C’est ce qui provoque, chez certaines personnes, le grignotage. C’est aussi ce qui pousse les boulimiques à manger constamment. Avoir besoin de manger peut traduire un manque. Par exemple, lorsque je m’ennuie, que je suis triste ou que je suis en colère, je mange. C’est presque un réflexe. C’est avaler, ingurgiter, gober, grignoter, dévorer, déguster, manger, ronger, mais sans faim. C’est avoir envie d’avoir quelque chose sous la dent, pas dans le ventre. Faites la différence !
Ben alors ?! Tu as fini ta puberté, alors tu ne t’intéresses plus à moi ? Allez, une discussion avec toi-même, ça ne ferait pas de mal ! Voici les choses que tu dois changer :
– Arrête de manger entre les repas, ça me fait grossir !
– n’utilise pas trois cent mille crèmes et autres cosmétiques, parce que s’il n’ont pas de pH neutre, ben ça me fait mal !
– Ris plus souvent avec tes amis, sinon, je fais une dépréssion ! Na !
– Fais du sport mais pas trop, parce que trop de muscles tue le muscle.
– La clope, t’arrête maintenant ! Même si on est accros aussi bien l’un que l’autre.
– Mets ton manteau sinon on va tomber malade.
– Ne passe pas trop de temps devant les écrans, sinon tu dis adieu à nos yeux kapiche ?!
– Dors, j’arrive pas à me concentrer en classe tellement on est fatigués !
– Nos cheveux, ils demandent qu’une chose : un coup de peigne !
– Mange bien au repas, comme ça on n’a plus faim et ça évite que tu grignottes entre les repas
En attendant que tu fasses ça, je verrai si je peux arrêter l’acné sur ton front, tes crampes quand tu cours et peut-être redresser tes dents pour que tu n’aies plus cet appareil dentaire, j’ajoute une meilleure vue et une plus grande intelligence si tu le fais tout de suite.
Signé : ton corps.
Ps : si tu pouvais éviter de me regarder dans le miroir, ça m’arrangerait, parce que ça me gêne !
Vendredi 3 février 201 douze, Mme Askari (infirmière au Collège George Sand) puis Mme Vaye (Notre Professeur de sciences et vie de la terre aux collège George Sand) sont venues nous voir, dans notre salle média pour nous parler de la vie affective (éducation à la sexualité).
Toutes ou pratiquements toutes les filles de cette option ont été gênées de parler de ce dont on n’a pas l’habitude de parler à la maison ou autre part. Mais tout de même, avant l’arrivée de notre infirmière et de notre professeur, nous leur avions préparé quelques questions pour s’informer (se renseigner). Sur le fonctionnement de notre corps et sur nos attirances en général.
Certaines filles se demandaient si un tampon ou monter à cheval fait perdre sa virginité : non, ça ne fait pas rompre l’hymen.
Nous avons parlé aussi du gynécologue, si vous vous posez des questions, vous pouvez aller voir l’article de Marion qui figure dans la rubrique ” Santé : être ado, ça se travaille !” Vous pouvez aussi lui laisser des commentaires, ça lui fera plaisir car c’est un article intéressant qui aider les adolencentes.
Nous avons aussi parlé de L’hymen qui est une membrane qui, chez la femme ainsi que pour plusieurs espèces de mammifères femelles, ferme partiellement l’ouverture du vagin et sépare la cavité de ce dernier de la vulve. Il se déchire généralement lors du premier rapport sexuel avec pénétration vaginale. L’hymen peut être recousus par des chiurgiens par une oppération chirurgicale mais cela ne veut pas dire que cela redonne pas la virginité.
Beaucoup de jeunes filles ont peur de parler de l’éducation sexuelle ou tout autre discussion autour de la sexualité mais c’est un sujet comme les autres, c’est vrai qu’au début, c’est difficile d’en parler mais il faut se renseigner.
A notre âge, beaucoup de filles sont encore vierges, Mme Askari nous a dit qu’il fallait prendre notre temps pour avoir une première relation sexuelle, il ne faut pas se presser, surtout pas. Il faut en avoir envie et non se sentir obligée de la faire…