Les conditions nouvelles pour l’étude des sciences

Les principales Universités du Saint-Empire Germanique entre le XVI et le XVIII étaient:

– La Ludwig-Maximilian-Universität à Munich fondée en 1472

– L’Université de Freiburg fondée en 1457

– L’Université d’Heidelberg fondée en 1386

– L’Université de Göttingen fondée en 1737

Les humanistes du Saint-Empire Germanique entre le XVI et le XVIII étaient Erasme, né au pays bas en 1469 était un humaniste qui était de base prêtre. Rabelais était un écrivain français né en 1494. Il était aussi moine et médecin. C’était l’une des figures de l’humanisme français.

Au XVI et XVIII, l’imprimerie est très développée dans tout le saint Empire germanique avec de nombreuses imprimeries qui aident les astronomes à diffuser leurs travaux.

A l’époque de Kepler les grands astronomes sont :

– Galilée

– Newton

– Descartes

– Torricelli

Il y avait des liens entre les astronomes à cette époque comme entre Kepler et Tycho-brahé qui ont travaillé ensemble.

Source: cairn.info.htm, voltaireonline.eu, Keepschool.com

L’héritage antique de l’astronomie

Eudox de Cnide et Méton

Eudox de Cnide, né en -408 et mort en -355, était un astronome, géomètre, médecin et philosophe grec. Il est né à Cnide en Carie qui est une province d’Asie mineure.

Eudox de Cnide est connu particulièrement pour sa théorie du mouvement des planètes dite « sphère homocentriques ». Qui disait que les planètes, la Lune et le Soleil tournaient autour de la Terre qui elle était immobile.

Méton était un astronome du V ème siècle avant Jésus-Christ. Il était originaire de Leuconoé, une ville situé près d’Athènes.

Le cycle Métonien est une période de 235 mois lunaires qui font 29,5 jours, qui est à une heure près égale à 19 années solaires. Au début Méton pensait que cela faisait exactement 19 années mais il a été prouvé plus tard qu’il y avait bien une heure d’écart. L’héliotropion est un gnomon à repère de solstices qui sert à étudier les solstices. Un gnomon est le bâton qui est utilisé sur un cadran solaire.

Source : Wikipédia, obspm.fr, antihytera-mechanism.gr

Des cosmogonies et des croyances populaires sur les astres

– La planète Jupiter tient son nom du Dieu gouvernant le ciel et la terre  ( Zeus en mythologie grecque ). Elle tient son nom car c’est la plus grosse planète du système solaire.

– Mars tient son nom du Dieu de la guerre (Arès en mythologie grecque). Elle a été nommée ainsi car sa couleur rouge fait penser au sang.

– Vénus est la déesse de l’amour et de la beauté ( Aphrodite en mythologie grecque ). La planète tient ce nom car elle était considérée comme la plus belle des planètes du système solaire.

– Mercure est le dieu du voyage et du commerce (Hermès). La planète Mercure a été nommée ainsi à cause de la rapidité de sa rotation.

– Saturne est considéré comme la plus ancienne divinité latine (Chronos en mythologie, il est supposé avoir inventé l’agriculture). La planète Saturne tient son nom de l’anneau qui ressemble à la faucille représenté souvent avec saturne.

– Neptune est le dieu des mers et des océans ( Poséidon en mythologie grecque ). La planète Neptune tient son nom de sa couleur qui est entièrement bleue.

– Uranus doit son nom au dieu grec du ciel. Au tout début, Uranus était appelé Herschel du nom de son inventeur qui, lui, aurait voulu l’appeler « l’Astre de Georges » du nom du roi Georges III. Ensuite, Johann Bode la nomma tel que l’on la connaît aujourd’hui: Uranus.

Source : Wikipédia ; Le système solaire.net

Il est prouvé que la lumière de la lune pénètre plus profondément que la lumière du soleil et donc par conséquent a une action positive sur le procédé de germinations des graines.


La nouvelle lune (ou ‘lune noire’) : C’est la Terre qui se trouve entre le Soleil et la Lune et l’ombre de la terre va obscurcir la plupart de la surface lunaire d’où le nom lune noire. Pendant cette période on y sème la chicorée et on y greffe le prunier et le cerisier.

La lune croissante : La lune croissante est reconnu par sa bosse à l’ouest, cette lune commence à croître dans la semaine après la nouvelle lune. Les agriculteurs doivent plantez la laitue, les oignons, les pommes de terre et les fraises. Semez  les tomates, les choux d’hiver et les choux de Bruxelles, les endives et les raves; semez les calendulas, les convolvulus, les pavots, les zinnias et les violettes, plantez les lys, les campanules et les chrysanthèmes.

Pleine lune : Pendant la phase de pleine lune, la lune est entièrement illuminée et elle est pleine c’est a dire qu’elle est sphérique. Les agriculteurs doivent plantez l’ail blanc, l’oignon blanc et rouge, les carottes, la laitue d’été, le radis, les pois, les asperges; plantez les tubercules de dahlia.

Lune décroissante : La lune décroissant est caractérisé par sa bosse à l’est. La lune décroit 3 semaines après la phase de la nouvelle lune. Pendant cette période on y sème les pois, le persil, le basilique et les fines herbes, on émonde les pommiers, les poiriers et les vignes.

Biographie Huygens

Autobiograpghie de Huygens

La tête dans les étoiles

 

Je me présente, Christiaan Huygens, astronome. Bienvenue dans un petit journal retraçant ma vie. L’envie d’écrire me démangeait depuis quelque temps et j’ai enfin décidé de m’y mettre ! Je vais donc-vous conter l’histoire d’une vie passionnée par l’univers.

Je suis né le 14 avril 1629, dans la Haye en Provinces-Unies. Je suis donc néerlandais et fils unique du diplomate et poète Constantin Huygens ainsi que le petit-fils de Christian Huygens, secrétaire des commandements du prince d’Orange.

Lors de ma jeunesse, j’eu la chance d’être instruit pas les mathématiciens Jan Stampioen et Frans Van Schooten qui m’apprirent beaucoup de choses. Je pars ensuite étudier le droit et les mathématiques à l’Université de Leyde où j’en sors diplômé.

Grâce à l’enseignement de mes précepteurs, je me penche très tôt vers l’astronomie. Dès 1652, je travaille sur les règles de choc, qui dictent la conservation de la quantité d’un mouvement, que je parviens à corriger pour déterminer les règles correctes. Ces règles avaient été établies par Descartes, très bon ami de la famille. Mais je ne publie ma découverte qu’en 1669, à l’occasion d’un concours lancé par la Royal Society. Après cette « découverte », si je peux l’appeler ainsi, je décide d’observer notre univers en utilisant un télescope dont j’améliore quelques performances afin de pouvoir effectuer des observations plus précises. J’utilise aussi des instruments pour mesurer le temps, je mets alors au point les horloges à balancier. Je publie en 1673 un livre, nommé Horlogium Oscillatorum, qui explique comment fabriquer ces horloges fonctionnant sur le principe du pendule.

En 1655, je pars m’installer à Paris et prend connaissance des échanges épistolaires entre Blaise Pascal et Pierre de Fermat sur la théorie des probabilités. Grâce à ces échanges, je publie le premier livre sur le calcul des probabilités dans les jeux d’hasard en 1657. Toujours en 1655, je découvre Titan, un satellite de Saturne et comprend enfin ce qu’étaient les « oreilles » de la planète, mentionnées par Galilée : des anneaux autour de la planète.

6 ans après, en 1661, je pars à Londres où je deviens membre de la Royal Society.

Je reviens en 1666 à Paris, par l’invitation de Colbert qui devint mon protecteur, je deviens un nouveau membre de l’Académie Royale des Sciences. J’aidais à la direction et l’organisation de celle-ci en me basant sur ce que j’avais vu à Londres, dans la Royal Society.

De plus, je participe à la construction de l’Observatoire de Paris, qui fut achevé en 1672, où j’y effectuerai d’autres observations astronomiques.

Je publie un nouvel ouvrage en 1678, le Traité de la Lumière, un livre où j’ai retranscrit différents arguments en faveur de la théorie ondulatoire de la lumière.

A la suite d’une maladie grave, je décide de retourner un moment à la Haye avant de revenir à Paris. Ce ne fut pas mon seul retour sur la terre de mes ancêtres : ma santé se dégradant de plus en plus j’ai mainte et mainte fois du regagner la Haye afin de me soigner.

En 1683, Colbert rend son dernier souffle. Deux ans plus tard, à lieu la révocation de l’Edit de Nantes et pendant le même temps le roi Louis XIV déclare la guerre à mon pays natal, je suis alors contraint de rentrer à La Haye en 1685.

J’effectue un séjour à Londres, en 1689 où j’y rencontre Newton. Ce fut une rencontre très intéressante où nous nous sommes partagés nos opinions et nos recherches. Je rentre peu de temps après aux Provinces-Unies. Et en 1690, je commence la rédaction d’un ouvrage que je continue encore aujourd’hui. Je pense l’appelé Cosmotheoros, ce nom me plait bien. En tout cas comme je pense être là pour un petit moment, je vais l’écrire minutieusement.

Voici la courte mais remplie histoire de ma vie, en vous saluant chaleureusement.

L’homme qui avait la tête dans les étoiles.

13 octobre 1692

 

Christiaan Huygens mourut le 8 juillet 1695.

Sa dernière œuvre, Cosmotheoros, fut publiée à titre posthume en 1998.

Ses découvertes sur Saturne ont valu à Huyghens de donner son nom à l’atterrisseur de la sonde Cassini-Huygens qui s’est posé sur Titan en janvier 2005.

Portrait de Huygens

 

http://www.futura-sciences.com/sciences/personnalites/astronomie-christian-huygens-672/

https://fr.wikipedia.org/wiki/Christian_Huygens#Bibliographie

B. Focus sur les travaux de Kepler

B. Focus sur Kepler et ses travaux

Le portrait

Johannes Kepler , astronome

Compétences :

– Je suis très cultivé, travailleur, persévérant et je sais manier les outils astronomiques

– J’ai de grandes connaissances en astronomie et sur l’optique …

Études et formations 

– J’ai obtenu mon diplôme de fin d’étude à Tübingen en 1589

– J’ai poursuivi mes études là-bas jusqu’à obtention d’une maîtrise en 1591 après avoir étudié l’éthique, la dialectique, la rhétorique, le grec, l’hébreu, l’astronomie, la physique, la théologie et les sciences humaines

Expériences professionnelles :

– J’ai été professeur de mathématiques à Graz

– J’ai écrit et publié plusieurs livres comme le Mysterium Cosmographicum en 1596 ou encore Astronomia Nova en 1609. Il parle de mes recherches et de mes découvertes sur l’univers

– J’ai travaillé sur l’orbite de mars avec Tycho Brahé et sur l’optique

Autres informations :

– Je suis de religion protestante luthérienne

– J’ai créé 3 lois : « les lois de Kepler ». Ce sont des relations mathématiques sur les orbites, les aires et les périodes.

– Je soutien la thèse de l’héliocentrisme

Les outils utilisés par Kepler

  Il s’est beaucoup servis du domaine de l’optique ( les mirroirs , les lentilles ou encore la réfraction )… car il trouvait que l’oeil était aussi un outil pour étudier le ciel et les étoiles.

  Kepler a créé 3 lois nommées «  les lois de Kepler ». Les 2 premières lois ont été créé en 1609 et elle explique que les orbites elliptiques permettent d’expliquer la complexité des mouvements des planètes. La 3ème lois de Kepler parle de la gravité et c’est grâce à ses recherches que Newton a créé la loi de la gravitation.

Équation de Kepler :

formule liant l’excentricité e et l’anomalie excentrique E l’anomalie moyenne M. Cette équation permet de passer des paramètres dynamique du mouvement d’un astre aux paramètres géométriques.

Exemple : E – e * sin (E) = M

  Grâce à ses nombreuses recherches, il conclut que la réception des images est assurée par la rétine et non par le cristallin et donc que le cerveau est capable de remettre les images perçu par l’œil à l’endroit. C’est le premier en 1611 à avoir utiliser le mot « satellite » pour parler des astres de Jupiter.

Source : Wikipédia

Les lois de Kepler

Pour ses recherches, Kepler s’est beaucoup aidé des observations astronomiques et des travaux de Tycho Brahe. Il s’appuie en particulier sur les mouvements et positions de Mars dès 1600. Il pense lui aussi que le soleil est au centre de notre système solaire (héliocentrisme) et que les planètes tournent autour de celui-ci. Au fur et à mesure des années, son travail porte ses fruits et ils découvrent que le mouvement des planètes est eliptiques et qu’elles tournent autour du soleil qui est au centre du système solaire. Grâce à ses recherches, il créera 3 lois, dites « lois de Kepler » et ses lois ont été « validé », plus tard, par la loi de la gravitation universel de Newton.

 Ses lois ont permis d’affiner les recherches scientifiques et de mettre en évidence des irrégularités de mouvements de corps connus. Ses recherches ont révolutionnés son époque en terme d’astronomie.

A. Le contexte

A. Le contexte

Des cosmogonies et des croyances populaires sur les astres

– La planète Jupiter tient son nom du Dieu gouvernant le ciel et la terre  ( Zeus en mythologie grecque ). Elle tient son nom car c’est la plus grosse planète du système solaire.

– Mars tient son nom du Dieu de la guerre (Arès en mythologie grecque). Elle a été nommée ainsi car sa couleur rouge fait penser au sang.

– Vénus est la déesse de l’amour et de la beauté ( Aphrodite en mythologie grecque ). La planète tient ce nom car elle était considérée comme la plus belle des planètes du système solaire.

– Mercure est le dieu du voyage et du commerce (Hermès). La planète Mercure a été nommée ainsi à cause de la rapidité de sa rotation.

– Saturne est considéré comme la plus ancienne divinité latine (Chronos en mythologie, il est supposé avoir inventé l’agriculture). La planète Saturne tient son nom de l’anneau qui ressemble à la faucille représenté souvent avec saturne.

– Neptune est le dieu des mers et des océans ( Poséidon en mythologie grecque ). La planète Neptune tient son nom de sa couleur qui est entièrement bleue.

– Uranus doit son nom au dieu grec du ciel. Au tout début, Uranus était appelé Herschel du nom de son inventeur qui, lui, aurait voulu l’appeler « l’Astre de Georges » du nom du roi Georges III. Ensuite, Johann Bode la nomma tel que l’on la connaît aujourd’hui: Uranus.

Source : Wikipédia ; Le système solaire.net

Il est prouvé que la lumière de la lune pénètre plus profondément que la lumière du soleil et donc par conséquent a une action positive sur le procédé de germinations des graines.


La nouvelle lune (ou ‘lune noire’) : C’est la Terre qui se trouve entre le Soleil et la Lune et l’ombre de la terre va obscurcir la plupart de la surface lunaire d’où le nom lune noire. Pendant cette période on y sème la chicorée et on y greffe le prunier et le cerisier.

La lune croissante : La lune croissante est reconnu par sa bosse à l’ouest, cette lune commence à croître dans la semaine après la nouvelle lune. Les agriculteurs doivent plantez la laitue, les oignons, les pommes de terre et les fraises. Semez  les tomates, les choux d’hiver et les choux de Bruxelles, les endives et les raves; semez les calendulas, les convolvulus, les pavots, les zinnias et les violettes, plantez les lys, les campanules et les chrysanthèmes.

Pleine lune : Pendant la phase de pleine lune, la lune est entièrement illuminée et elle est pleine c’est a dire qu’elle est sphérique. Les agriculteurs doivent plantez l’ail blanc, l’oignon blanc et rouge, les carottes, la laitue d’été, le radis, les pois, les asperges; plantez les tubercules de dahlia.

Lune décroissante : La lune décroissant est caractérisé par sa bosse à l’est. La lune décroit 3 semaines après la phase de la nouvelle lune. Pendant cette période on y sème les pois, le persil, le basilique et les fines herbes, on émonde les pommiers, les poiriers et les vignes.

L’héritage antique de l’astronomie

Eudox de Cnide et Méton

Eudox de Cnide, né en -408 et mort en -355, était un astronome, géomètre, médecin et philosophe grec. Il est né à Cnide en Carie qui est une province d’Asie mineure.

Eudox de Cnide est connu particulièrement pour sa théorie du mouvement des planètes dite « sphère homocentriques ». Qui disait que les planètes, la Lune et le Soleil tournaient autour de la Terre qui elle était immobile.

Méton était un astronome du V ème siècle avant Jésus-Christ. Il était originaire de Leuconoé, une ville situé près d’Athènes.

Le cycle Métonien est une période de 235 mois lunaires qui font 29,5 jours, qui est à une heure près égale à 19 années solaires. Au début Méton pensait que cela faisait exactement 19 années mais il a été prouvé plus tard qu’il y avait bien une heure d’écart. L’héliotropion est un gnomon à repère de solstices qui sert à étudier les solstices. Un gnomon est le bâton qui est utilisé sur un cadran solaire.

Source : Wikipédia, obspm.fr, antihytera-mechanism.gr

 

Le contexte politique en Allemagne au XVI ème siècle

Les conditions nouvelles pour l’étude des sciences

Les principales Universités du Saint-Empire Germanique entre le XVI et le XVIII étaient:

– La Ludwig-Maximilian-Universität à Munich fondée en 1472

– L’Université de Freiburg fondée en 1457

– L’Université d’Heidelberg fondée en 1386

– L’Université de Göttingen fondée en 1737

Les humanistes du Saint-Empire Germanique entre le XVI et le XVIII étaient Erasme, né au pays bas en 1469 était un humaniste qui était de base prêtre. Rabelais était un écrivain français né en 1494. Il était aussi moine et médecin. C’était l’une des figures de l’humanisme français.

Au XVI et XVIII, l’imprimerie est très développée dans tout le saint Empire germanique avec de nombreuses imprimeries qui aident les astronomes à diffuser leurs travaux.

A l’époque de Kepler les grands astronomes sont :

– Galilée

– Newton

– Descartes

– Torricelli

Il y avait des liens entre les astronomes à cette époque comme entre Kepler et Tycho-brahé qui ont travaillé ensemble.

Source: cairn.info.htm, voltaireonline.eu, Keepschool.com

Biographie Cassini

Autobiographie de Cassini

Un observateur affuté

 

Mon nom est Jean-Dominique Cassini et voici le carnet de ma vie. Sur un coup de tête, j’ai décidé de résumé en ces lignes celle-ci. Non pour me vanter de ce que j’aurai pu réaliser mais plutôt pour me remémorer les années vécues car, il est vrai qu’à l’instant où j’écris, je ne suis pas au plus haut de ma forme.

Tout à commencer à Périnaldo en Savoie, le 8 juin 1625 lorsque je suis né puisqu’il faut bien un début à tout.

Je vous épargnerai mon enfance qui ne fut pas la plus mouvementé de toutes, rien de bien important durant ces quelques années.

J’ai étudié au collège Jésuite de Gênes, où je me forgeai une solide connaissance sur l’étude de lettres. Après ces années à Jésuite, je me rends à l’abbaye de San Fructuoso où j’y développe un grand intérêt pour la poésie mais surtout pour les mathématiques et l’astronomie.

En 1644, je me mets au service d’un marquis du nom de Cornelio Malvasia, riche amateur de Modène, en tant qu’astronome. C’est à partir de ce moment-là et grâce M.Malvasia que ma carrière d’astronome commença.

Durant mes années au service du marquis, j’ai pu publier mes observations qui furent jugées de très bonnes qualités, me donnant ainsi accès à un poste dans l’Université de Bologne en tant que professeur d’astronomie, en 1650.

Par la suite, le Sénat de Bologne me demanda de bien vouloir devenir délégué pour arbitrer un conflit entre Bologne et Ferrare puisque les deux villes n’étaient pas en accords quant au fait de la régulation des cours du Reno et du Pô. Je fis également construire une méridienne dans la basilique de San Petronio de Bologne. Et j’ai participé à la découverte de la variation d’intensité de la pesanteur en fonction de la latitude au cours d’un voyage à Cayenne.

Le Pape me nomma, après cette participation, en 1663, super intendant des fortifications d’Urbain, ce fut le début de ma longue collaboration avec le Pape. En 1665, je fis plusieurs découvertes dont la grande tache rouge de Jupiter, et je réussis à déterminer la vitesse de rotation de Jupiter, Mars et Vénus.

5 ans plus tard, en 1668, Colbert m’invite à devenir membre de la nouvelle Académie de Paris, ce que j’accepte avec l’accord du Pape.

Et ce fut le 4 avril 1669 que j’arrive à Paris. A ce moment-là, l’Observatoire de Paris était en pleine construction et j’avais du mal à m’intégrer parmi les autres. J’étais de nature plutôt autoritaire et hautaine, les gens ne m’appréciaient guère pourtant je réussi à me forger une place grâce à mon travail effectué. De 1668 à 1693, je publie les Éphémérides des satellites de Jupiter et décide de rédiger des mémoires.

En 1671, c’est-à-dire deux ans plus tard, le Pape me rappelle. Mais je refuse de revenir préférant mes observations et recherches à Paris malgré que l’Observatoire soit encore en construction.

Me sentant tellement bien en France, je finis par demander ma naturalisation française en 1673. Et ce fut également en 1673, que je réussis ma première distance précise de la Terre au Soleil.

L’année d’après je me mari avec ma bien-aimée Genevève de Laistre. Puis le 18 février 1677, Genevève donna naissance à notre unique fils Jaques. Je découvre, en 1675, les quatre satellites de Saturne ainsi que la division Cassini des anneaux de Saturne.

Après être devenu le directeur de l’Observatoire, je commence mes différentes recherches et observations, que je continus encore aujourd’hui.

Mes recherches finissent par payer, je fais de nouvelles découvertes en 1683. Je réussis à déterminer la parallaxe du Soleil et vers 1690, je fus le premier à pouvoir observer la rotation différentielle dans l’atmosphère de Jupiter.

Malgré les mémoires que j’avais déjà effectués, j’ai réalisé cette petite autobiographie afin de pouvoir me recentrer sur moi-même et laisser une dernière trace puisque depuis quelque temps ma vue diminue gravement, aujourd’hui est peut être le dernier jour où je distingue quelque chose. Alors en ce moment, chaque soir, j’observe les étoiles, priant pour que le lendemain je puisse les voir.

20 juin 1709

Jean-Dominique Cassini est devenu aveugle en 1710, il meurt deux ans plus tard à Paris, le 14 septembre 1712.

Ses découvertes sur Saturne ont valu à Cassini de donner son nom à l’orbiteur de la sonde Cassini-Huygens qui s’est mis en orbite autour de Saturne en 2004.

Jean-Dominique Cassini était en plus d’un astronome brillant, une personne curieuse et cultivée. Malgré ses airs hautains, il se remettait en question, il a déjà rejeté certaines de ses conclusions. Et nous supposons qu’il aimait être au centre de l’attention ou du moins avoir des responsabilités avec les postes importants qu’il a obtenus.

Portrait de Cassini

https://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_Cassini

http://www.astropolis.fr/articles/Biographies-des-grands-savants-et-astronomes/Cassini/astronomie-Jean-Dominique-Cassini.html

Galileo

Galileo est une sonde spatiale américaine développée par la NASA qui avait pour mission d’étudier la planète Jupiter et ses lunes. Ce projet complexe et coûteux développé avec une participation de l’Allemagne rencontre de nombreux problèmes budgétaires au cours de sa conception avant de subir un retard important à la suite de l’accident de la navette spatiale Challenger qui repousse son lancement de trois ans. La sonde d’une masse de 2,2 tonnes comprend un orbiteur et une sonde atmosphérique chargée d’analyser l’atmosphère de Jupiter. Les deux engins emportent 22 instruments scientifiques. La sonde porte le nom de « Galileo » en rapport avec l’astronome Galilée, (il a découvert les satellites de Jupiter appelé lunes galiléennes). Galileo a plongé dans l’atmosphère de Jupiter le 21 septembre 2003. Le vaisseau spatial a été le premier à survoler un astéroïde et le premier à découvrir la lune d’un astéroïde. Il a fourni les seules observations directes d’une comète entrant en collision avec une planète. Galileo fut le premier à mesurer l’atmosphère de Jupiter avec une sonde de descente et le premier à effectuer des observations à long terme du système jovien depuis l’orbite. Il a trouvé des preuves de sous-sol d’eau salée sur Europa, Ganymède et Callisto et a révélé l’intensité de l’activité volcanique sur Io.

2ème partie: L’astronome d’aujourd’hui

2ème partie : L’astronome d’aujourd’hui

La rétrogradation des planètes

La rétrogradation des planètes ou mouvement rétrograde, est le recul ( c’est-à-dire un déplacement dans le sens inverse de son mouvement naturel ) que semble décrire un corps céleste lors de son observation par rapport aux étoiles lointaines.

La rétrogradation est dû à la rotation de la Terre autour du Soleil, car chaque planète a une vitesse de rotation unique et donc certaines planètes (les plus proches du Soleil ) mettent moins longtemps à faire le tour du soleil ( sont plus rapides ) et d’autres mettent plus de temps ( les plus éloignés ). Quand nous observons une planète dans le ciel on peut la voir se déplacer dans une direction mais quand on la dépasse ( depuis la Terre ) on a l’impression qu’elle recule et c’est cela que l’on appelle la rétrogradation des planètes.

rétrogradation de mars

Nous avons pu déterminer grâce à Stelarium que la prochaine rétrogradation de mars aura lieu en 2018. Nous avons centré une planète à côté de mars par rapport à la Terre et donc nous avons pu voir la trajectoire de mars et conjecturer la prochaine rétrogradation de mars.

explication de la rétrogradation de mars

Remerciements pour Jean-Michel Vienney

Bonjour M. Vienney,

Nous vous adressons ce message en signe de remerciements du temps que vous nous avez accordé pour nous expliquer la rétrogradation des planètes. Ce soir là, nous avons étudié la rétrogradation de Mars. Nous avons beaucoup apprécié votre intervention qui a été très enrichissante et qui nous a permis d’apprendre plein de nouvelles choses. Nous avons trouvé intéressant l’utilisation du papier calque pour retranscrire la position du soleil et de Mars par rapport à la Terre en fonction des dates proposées ce qui nous a permis de bien visualiser la rétrogradation de Mars et de comprendre le phénomène. Nous vous remercions aussi d’avoir pris le temps de nous expliquer comment fonctionnait le TJMS.

Cordialement

Les élèves du voyage

calque de mars

Le voyage de Fontainebleau vu par Kepler

Moi Kepler, est beaucoup apprécié le château de Fontainebleau par sa beauté et sa grandeur. J’ai pu rencontrer le roi François 1er , sa femme Catherine de Médicis, son bibliothécaire Guillaume Budet et son servant. J’ai pu lui parler de mes recherches, de mes découvertes et de mes travaux, je pense qu’il a été intéressé par ce que je lui ai dit. J’ai aussi pu parler de mes livres au bibliothécaire. J’ai pu voir le plafond au planète et cela ma paru étrange que le soleil soit au centre du plafond même si je soutiens cette thèse, ce n’était pas familier à l’époque de voir cela.

SCENARIO DE LA VIDÉO

DE FONTAINEBLEAU

Scène 1 – On se présente (en fonction du rôle choisit) à l’intérieur du château.

Scène 2 – Le servant prévient le roi et la reine de l’arrivée de Kepler et sa femme ( Catherine de Médicis ). ( petit dialogue à l’intérieur du château )

Scène 3 – Rencontre entre les 2 couples, salutations, petit dialogue. A la fin, Les 2 femmes s’en vont pour discuter entre elles et les 2 hommes aussi. ( à l’intérieur du château )

Scène 4 – Kepler se présente, et propose au roi d’être son mécène. ( à l’intérieur du château + dialogue )

Scène 5 – ( courte ) Le roi propose au mécène d’aller discuter dehors.

Scène 6 – Le roi et Kepler arrive dehors. Kepler lui parle de son livre et de ses découvertes. + intervention du servant , le roi et Kepler lui demande d’aller chercher leur femme. ( à l’extérieur )

Scène 7 – Le servant demande à la reine et à la femme de Kepler de venir dehors rejoindre leur mari. ( a l’intérieur du château.

Scène 8 – le roi et Kepler parle dehors. Le bibliothécaire ( Guillaume Budet ) arrive et Kepler lui parle de son livre.

Scène 9 – La reine et Catherine arrive rejoindre le roi, Kepler et le bibliothécaire. ( petit dialogue ). Le roi propose à tous le monde de rentrer manger. ( à l’extérieur )

Compte-rendu du voyage à Fontainebleau

Ce que l’on a aimé

Ce que l’on n’a pas aimé

Le logement et l’accueil

Le temps (météo)

La course d’orientation

Trop peu d’observation

Les rencontres avec des astronomes

Pas assez de temps pour tourner la vidéo dans le château

l’interview avec Pierre Feydou

Le jus d’orange n’était pas très bon

Les quelques observations

Le programme n’a pas été trop respecté

En savoir plus sur les trous noirs et le plasma

Le pique-nique du lycée

Faire peur aux gens la nuit

Les cours d’histoire et d’astronomie

Les goûters avec les spécialités du Poitou

Dans l’ensemble, nous avons beaucoup apprécié ce voyage autant pour la bonne ambiance, la bonne humeur qu’il y avait que pour les choses que nous avons apprise sur le plasma, les trous noirs, les orbites… , sur l’histoire du mécène et roi François 1er et du château de Fontainebleau.

Nous avons aussi pu observer le plafond aux planètes dans le château de Fontainebleau, et nous avons pu voir que le soleil était au centre (héliocentrisme) du plafond ce qui est assez surprenant car à cette époque c’était contradictoire par rapport à l’Église qui disait que la Terre était au centre du système solaire (géocentrisme). plafond aux planètes

Le Satellite Kepler

Kepler est un télescope spatial qui tient son nom de Johannes Kepler qui étudiait le système solaires et les orbites des planètes autour du soleil.

Le télescope a été lancé le 7 mars 2009 à 3 h 49 du matin à la Cape Canaveral Air Force Station Space Launch Complex 17 et a pour but de découvrir d’autres planète telluriques que celles de notre système solaire en observant la lumière de 145 000 étoiles en continu.