Nov
15
Classé dans (Santé) par Agnès Dibot le 15-11-2010

Désespérément absent ces derniers temps, Lukas laisse les blancs s’installer sur ces pages…

Nov
15
Classé dans (Torchon gastronomie) par Agnès Dibot le 15-11-2010

JU : Hey Jo (tiens, Julie connaît-elle Hendrix ?), ça te dit un MacDo entre potes ?

JO : Non merci, les nourritures chimiques, ce n’est pas pour moi.

JU : Mais de temps en temps, entre potes, ça ne fait pas de mal !

JO : La cuisine américaine, c’est de la malbouffe, il n’y a que la cuisine française qui est bonne. (Hey, Jo, et l’italienne : la pasta ????)

JU : Tu devrais sortir un peu de ta cuisine française et faire des sorties entre potes, comme un grec, une pizza ou un Mac Do après un ciné ou un laser-game, ça te permet de passer une bonne journée entre potes.

JO : C’est de la nourriture sans goût, sans plaisir. Ca ne permet guère de développer ses papilles gustatives. En plus, c’est chimico-toxique, pire que la cigarette !

JU : Je ne suis pas d’accord avec toi. La cigarette, c’est bien pire ! Un mac Do, pour moi, c’est une bonne sortie entre amis. Un Macflury de temps en temps, ce n’est rien !

JO : Comment peut-on prendre plaisir à aller dans un lieu bourré de monde (on dit “bondé”, Jo, “bondé”, c’est plus soutenu…) et qui nous pourrit le nez par l’odeur de friture ? En plus,  on fait une demi-heure de queue au lieu d’être confortablement assis à déguster un petit apéro. Là-bas, on commande et c’est tout de suite arrivé pour satisfaire l’impatience des gens, même plus le plaisir d’attendre ! Là-bas, quand on mange, on se goinfre, on ne prend même plus le plaisir de déguster !

JU : Pff, sors le nez de tes bouquins, mon p’tit Jo !

Par Julie et Jofrey.

http://www.lanouvellerepublique.fr/ACTUALITE/Environnement/L-eleveur-de-hiboux-n-est-pas-un-sorcier

Eh oui, ce n’était pas un mythe : il exerce vraiment deux métiers : voulez-vous approfondir son portrait ? Vous le croisez tous les jours au 3ème étage…

Nov
12
Classé dans (Poèmes) par Agnès Dibot le 12-11-2010
  • Le lac

Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,
Dans la nuit éternelle emportés sans retour,
Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges
Jeter l’ancre un seul jour ?

Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière,
Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,
Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre
Où tu la vis s’asseoir !

Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes,
Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés,
Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondes
Sur ses pieds adorés.

Un soir, t’en souvient-il ? nous voguions en silence ;
On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux,
Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence
Tes flots harmonieux.

Tout à coup des accents inconnus à la terre
Du rivage charmé frappèrent les échos ;
Le flot fut attentif, et la voix qui m’est chère
Laissa tomber ces mots :

Ô temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours :
Laissez-nous savourer les rapides délices
Des plus beaux de nos jours !

” Assez de malheureux ici-bas vous implorent,
Coulez, coulez pour eux ;
Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;
Oubliez les heureux.

” Mais je demande en vain quelques moments encore,
Le temps m’échappe et fuit ;
Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l’aurore
Va dissiper la nuit.

” Aimons donc, aimons donc ! de l’heure fugitive,
Hâtons-nous, jouissons !
L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ;
Il coule, et nous passons ! ”

Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse,
Où l’amour à longs flots nous verse le bonheur,
S’envolent loin de nous de la même vitesse
Que les jours de malheur ?

Eh quoi ! n’en pourrons-nous fixer au moins la trace ?
Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus !
Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,
Ne nous les rendra plus !

Éternité, néant, passé, sombres abîmes,
Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?
Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimes
Que vous nous ravissez ?

Ô lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !
Vous, que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir,
Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,
Au moins le souvenir !

Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages,
Beau lac, et dans l’aspect de tes riants coteaux,
Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages
Qui pendent sur tes eaux.

Qu’il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,
Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,
Dans l’astre au front d’argent qui blanchit ta surface
De ses molles clartés.

Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,
Que les parfums légers de ton air embaumé,
Que tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire,
Tout dise : Ils ont aimé !

Lamartine (1790-1869)

Nov
11
Classé dans (Le torchon brûle) par Agnès Dibot le 11-11-2010

Il a de l’avenir dans la photographie de presse, ce petit Alex !

Nov
11
Classé dans (Le torchon brûle) par la Vieille Garde le 11-11-2010

la vieille garde ne peut que s’émouvoir au cours des cérémonies en lien avec le monde de la mémoire, de l’histoire, de la France. je vous assure, j’ai vérifié dans le dictionnaire, je suis, d’après la définition, tout à fait apte à être ému, cela m’émeut, émouvant non?

bref, car il le faut, ce fut une fraiche et pluvieuse matinée qui vit les courageux de la classe média et madame le principal, non seulement assister, mais aussi participer à ces cérémonies du 11 novembre. elles furent, ce me semble, sur bien des points, instructives. le principal des enseignements que je souhaite retenir de ce jour serait que l’amitié franco-allemande ne doit en aucun cas rester seulement politique, ce sont les peuples qui ont à la réaliser, afin que nous puissions conserver cette paix, à laquelle nous sommes habitués, comme le soulignait un des professeurs allemand présent, mais qui relevait, pour nos aïeux, d’un fragile et précaire équilibre des puissances et de la terreur. les discours étaient tous porteurs de sens et le passage dans les salons de la mairie permit de prendre des contacts et des informations auprès de personnes particulièrement investies dans cette question de la commémoration. c’est dans ces mêmes salons et discours que notre collège et ses jeunes reporters furent salués par les autorités, attachées au souvenir et heureuses de voir que la transmission de la flamme de la mémoire s’opérait.

merci donc aux zélèves de leur investissement, de leur participation, de l’intérêt manifesté qui ne fut pas feint, monsieur Blé, sorti dernier des salons, à 13h, est là pour le prouver et…en témoigner.

Nov
11
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 11-11-2010

“Y même Giorgio, le fils maudit…”

Non, ça, ce sont les paroles de la chanson…

Manatea , Kévin, Manon, Jofrey et notre photographe en titre : Alex ! Merci à nos cinq reporters zélés de leur présence ce matin : il faisait froid, il a plu pendant deux heures, mais ils étaient là !

Le parcours (à pied, s’il vous paît , le bus c’est pour le Conseil Général et les anciens combattants) nous a menés de la gendarmerie au jardin public en passant par le cimetière. Manatea et Kévin ont eu l’honneur de poser les gerbes (couronnes de fleurs) aux pieds des monuments aux morts. Alex a fait de belles photos, pendant que Manon et Jofrey écrivaient, sous la pluie.

Jofrey a fini par rédiger ce qu’il a de lui-même, avec une pointe de malice et d’humour (on en fera quelqu’un, de ce petit !) un torchon dégoulinant de goutelettes de pluie mêlées à l’encre du stylo Bic de la vieille garde qui, du coup, ne fonctionne plus  (le Bic, pas la vieille garde, qui va très bien merci pour elle : aux dernières nouvelles, elle avait pris un bain de pieds après avoir ôté les mille et une couches de vêtements qui la couvraient et la protégeaient de la pluie.)

A l’issue de la cérémonie, nous fûmes accueillis (voilà que je me mets à utiliser le passé simple, façon Mastorgio !) à la mairie au milieu de tous les concitoyens châtelleraudais : discurs et buffet à volonté !

Quelques rencontres importantes, quelques portraits dans la NR et le Torchon.com (à venir).

Et beaucoup de compliments (on aime !) à ces jeunes élèves (la relève !) qui auront à présent le devoir de transmettre ces mémoires pour éviter qu’elles ne sombrent dans l’oubli.

Alors, chers zélèves, vous avez là un travail à commencer : une commande  à honorer. Une belle page pour commémorer.

Avant l'arrivée de Jofrey.

Kévin et Manatea : beau geste

Les jolies photos d'Alex

Au cimetière, carré du Souvenir français

Drapeau...

Médailles

Uniformes

Fanfare...

Discours

Interview de Mme Grollier

Interview de M. Joseph (président du Souvenir français)

Le fameux torchon de Jofrey !

Après la cérémonie, les petits fours !

Bon, interview sans petits fours... Mais belle interview !

La vieille garde s'en donne à coeur joie

Un nouveau prince Charmant apprenti-journaliste ?

Fin du reportage !

Nov
11
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par BigAdministrator le 11-11-2010

Chers élèves rédacteurs, bonjour,
Vous voici enfin tous opérationnels pour vous identifier sur le blog, il était temps !
Vous pouvez donc dès maintenant soumettre vos productions journalistiques à  Mme Delapassivieillerédaction, M. Delapassivieillegarde et à l’équipe de veille torchonistique !

Non concernés par la suite de ce paragraphe : Alex et Alexandre (mot de passe personnalisés)
Pour les autres : Votre identifiant est la première lettre de votre prénom suivi de votre nom de famille (version courte pour Lukas!  et sauf pour Wahiba, suivi de la première lettre de son nom) ; le mot de passe est le même que pour le réseau du collège, il sera bon de le changer dans “profil” ; votre courriel de contact par défaut est celui de la messagerie de “portees”, que certains connaissent.

Pour vous connecter à l’interface d’administration : sur le blog du torchon, trouver le lien “connexion” dans la partie gauche. Une fois identifés, pour écrire un article : Articles, Ajouter ; n’oubliez pas de choisir dans quelle catégorie vous souhaitez le diffuser… Vous pouvez ajouter une photo en cherchant un peu. Pas si simple !!!

En attendant avec impatience de vous lire, à vos claviers !
Bon travail
Big Administrator

Nov
11
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 11-11-2010

Difficile réveil matinal en ce jour férié, surtout pour les (veilles) rédactions fatiguées, terrassées par les premiers microbes de l’automne…

Préparation du kit du parfait petit reporter : l’appareil-photo (piles en recharge), le dictaphone (Kévin a-t-il effacé l’interview des PinK Paillettes ?), le bloc-notes, le crayon… Tout sera prêt.

Et les zélèves ? Au rendez-vous : à 10 heures 15 au parc… ?

A vous le tricolore, le clairon, la fanfare, le discours officiel… Ouvrez l’oeil, cherchez à rapporter pour la rédaction du Torchon.com le meilleur de ce que vous aurez su observer et recueillir…

Nov
11
Classé dans (Sports) par Manon le 11-11-2010

Il y a environ 15 ans, Philipe Croizon s’est électrocuté sur le toit de sa maison. Avec cette tragédie, il a perdu ses deux bras et ses deux jambes. Après des années de rééducation, il décide de traverser la Manche à la nage. Pour réussir cet exploit, il s’est longtemps entrainé à la piscine de Châtellerault

Le samedi 18 Septembre, Philipe Croizon traverse la Manche en moins de 15 heures en partant de Wissant dans le Pas de Calais. Dans le bateau qui le suivait, il y avait son entraineuse et sa compagne (son entraineuse à qui l’on peut dire merci).

J’ai choisi cet article car je trouve que cet homme a beaucoup de courage pour traverser la Manche à la nage.

Mon sentiment est que, s’il n’avait pas réussi, ce serait très décevant pour lui car, après tant d’entrainement, ne pas réussir serait dommage. J’aurais franchement été déçue s’il ne réussissait pas sa traversée.

Manon.