C’était le premier titre envisagé pour l’autobiographie de Roland Gaillon, né Goldenberg, pour son autobiographie : une expression que son père utilisait en guise de formule d’au revoir dans les lettres qu’il adressait à sa femme, depuis les camps d’internement où il était interné parce que juif.
Ensuite, ce fut plutôt : “Silence, on vit !”. Mais les maisons d’édition sont ce qu’elles sont, et voilà le titre définitif de ce récit d’une vie dont l’auteur vient ce jour vous présenter le début : son enfance cachée pendant la guerre.
Roland Gaillon, c’est cet enfant caché qui a bien grandi, et dont la barbe a fini par pousser (son père s’inquiétait, dans ses lettres, de ne le revoir qu’une fois qu’il aurait de la barbe…). Ida Grinspan, avec son humour heureux, dit de lui qu’il était “mieux caché qu'(elle)”…
Vous recevez un témoin de l’Histoire, mais également un auteur : Roland Gaillon a, en effet, écrit le récit de sa vie : c’est sa démarche qu’il vient vous présenter ce matin.
Plus difficile de composer une nouvelle policière qu’une page pour la Nouvelle République ? Il semblerait… Quand les 3èmes option media se frottent à un (vrai) écrivain (vivant) et à l’angoisse de la page blanche… Ca donne ça :
Alors, c’est l’histoire d’une bande de filles (délinquantes) qui, pour accueillir Shéhérazade (la belle) en son sein, lui impose des épreuves de plus en plus audacieuses, jusqu’à l’ultime : l’épreuve du sang ! Shéhérazade ira-t-elle jusqu’à verser le sang (et risquer la prison) par volonté de se faire accepter dans le groupe ? Mais que fait la police, dans cette nouvelle ? A lire prochainement, quand Wahiba aura mis, disons, un peu d’ordre dans ses idées !
“On peut rire de tout. On doit rire de tout”, disait Desproges.
Nous en parlions hier : sur France Inter, les chroniqueurs humoristes affichent une grande liberté de propos, et de ton. Parfois, ils en paient les conséquences de façon irréversible, par le licenciement (Stéphane Guillon et Didier Porte en 2010).
Ecoutez cette séquence : elle est très instructive.
http://www.liberation.fr/medias/06013322-quand-l-humour-agace-les-politiques
Et souvenez-vous que la liberté d’expression est un droit.
Vous trouverez sur le site de France Inter (lien sur ce blog) la chronique de Sophia Aram en entier ainsi que son droit de réponse suite aux réactions de certains auditeurs de France Inter, voire d’un certain “confrère”. Ici :
Le conservatoire de la ville, la troupe du théâtre populaire, l’école du cirque ont donné ce jour, comme hier soir et comme le 9 avril on peut le penser, une très belle interprétation de cet opéra-comique d’Offenbach, dans la salle du nouveau théâtre. La vision, contemporaine, à travers certaines répliques actualisées ou la présence, judicieuse, d’un numéro de quelques élèves de l’école de cirque ont permis à une salle comble de passer 3 bonnes heures qui se soldèrent par une véritable ovation amplement justifiée. Je ne puis que déplorer l’absence de jeunes à cette prestation, d’autant que l’entrée, grâce à l’action municipale, se trouvait gratuite.
Je salue ici tous les acteurs et intervenants qui ont su nous proposer ce spectacle de qualité, au sein d’une belle unité artistique servie par des amateurs qui furent largement à la hauteur. Gageons que les 6èIII sauront, le 16 juin, au cours de leur propre prestation, briller de la sorte au firmament de l’expression théâtrale.
Sur le site du CLEMi, le site de l’internat d’excellence de Marly-Leroi diffuse cette vidéo-ci : à voir…
Classé en rubrique “Le Torchon brûle” car établissements innovants dont on ignore tout de l’avenir… Maintient ou non ? A quel coût ? Pour quelle réussite ?
Jeudi 24 mars, les latinistes de quatrième et de troisième sont allés visiter un site archéologique à Chassenon dans la Charente avec Mme Le Nezet et Mme Lesage. Chassenon vient du latin “cassinomagus” qui veut dire marché au chênes.
Le matin nous avons visité le site archéologique, il y a des termes, un temple, un théâtre et un aqueduc souterrain. Aujourd’hui, il ne reste pas grand chose du théâtre et du temple. Nous avons pu visiter les vestiges des termes puis nous sommes allés voir de ce qu’il restait de l’aqueduc de 150 mètres de long.
L’aprés midi, il y a eu un atelier dessin. Il y avait deux groupes. Le premier groupe faisait des maquettes des termes en argile tandis que le deuxième groupe faisait des dieux ou des déesses en argile.
J’ai appris beaucoup de choses en une journée. Je me suis bien amusée et je remercie encore les personnes qui nous ont accompagnés.
Manon.
Semaine de la presse oblige, la classe media médiatise (du verbe : fabriquer un journal en version papier).
A lire très prochainement, dès que la maquette de ce numéro papier sera achevée, imprimée, on songera à la diffusion.
Ligne éditoriale : “La grenouille au fond du puits croit que le ciel est rond”, proverbe chinois. Quand la classe media sort du puits.
Interrogé tantôt quant au mot de ce soir, je me trouvai fort dépourvu et devai reconnaître en toute humilité n’avoir pas encore eu cette étincelle qui me fait dire, “ce sera lui”!
Las, il me faut remercier madame Le Nezet, croisée dans la cour, fort mal en point. La voyant, de dos, marcher si précautionneusement, presque au bras de madame Vandel, il me revint cette citation, que ni l’une ni l’autre ne pourraient illustrer, mais qu’elles connaissent toutes deux assurément: “je vis alors s’avancer le vice appuyé sur le bras du crime”.
Il s’agit d’un extrait des Mémoires d’Outre-Tombe, de François-René vicomte de Chateaubriand. Il désignait ainsi Talleyrand appuyé sur le bras de Fouché. Le premier boitait, il était atteint de claudication. C’était un merveilleux esprit, d’une grande finesse et d’une belle érudition. Il n’a eu de cesse de trahir tous ses engagements, ce qui lui valut une longévité politique certaine et ne l’empêcha pas de mourir en affirmant à son médecin qu’il l’avait si bien soigné qu’il mourait guéri.
Gageons que madame Le Nezet, qui, en dehors de cette passagère claudication ne partage rien avec Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, nous reviendra promptement rétablie, elle aussi guérie par son médecin et cela de manière durable.
La musique reflète pour chacun ou chacune une partie de leur vie, peut-être partielle ou entière. Les chansons sont une mélodie qui nous racontent une histoire, ou des souvenirs enfouis en nous. Elles peuvent nous faire réfléchir grâce aux paroles, nous rendre heureux quand on est triste et nous faire bouger quand on est fainéant.
La musique peut nous faire esquisser un sourire ou nous faire couler des larmes. Pour certains, la musique les canalise contre l’angoisse, le stress et autre, la musique est un moyen de s’exprimer, de dire ce que l’on ressent. La musique est un fleuve qui nous apaise ou nous fait chavirer dans lemonde de la tristesse ou elle peut nous faire réagir, nous faire bouger notre body, et la musique peut aussi faire passer le temps quand on galère ou pour des longs trajets.
Et vous, les musiques, que vous font elle ressentir ?
Anissa
Samedi soir dernier vers 20h 30, à l’espace Lyautey, soit une demi-heure après la fermeture des commerces, deux individus sont rentrés par effraction dans la boulangerie Alizée. Elle venait d’ouvrir le 9 mars dernier. Ils ont tout d’abord voulu rentrer par la porte mais, voyant qu’ils ne pouvaient pas, ils se sont rabatus sur la grille d’aération.
Ils ont volé entre 200 et 300 euros. Trouvant qu’ils n’avaient pas assez d’argent, il sont allés cambrioler la pharmacie d’à-côté (installée depuis environ deux mois). Il ont tout d’abord forcé au pied-de-biche la porte puis ils ont fracturé deux portes à l’intérieur. Mais ils n’ont pas pu voler d’argent car le déclencheur d’alarme s’est mis en route. Les malfaiteurs ont réussi à s’en aller mais ils ont été filmés par la caméra de surveillance de la pharmacie.
On va pouvoir retrouver qui a fait cela.
Je ne comprends pas pourquoi des personnes en arrivent à cambrioler des magasins.
Manon.