Chers zinternautes,
O rage, ô désespoir, ô informatique ennemie !
Quelle mauvaise surprise à l’instant de copier sur ce blog les pages réalisées sur Publisher hier après-midi dans le stand journal… Rien ! Un document nommé “articles” et… Rien : une page contenant trois lignes. Où sont passées les quatre pages pré-maquettées ? Et la Une, qui était achevée ? Pas sur ma clé USB en tous cas… C’est sans doute ma faute : je vous ai pressées au moment de boucler la maquette : je brûlais d’assister à la course des 3èmes et des professeurs…
Fichtre zut… Il me faudra donc faire un saut au collège lundi pour récupérer le document sur le portable du collège… Ou bien, refaire un travail déjà fait (et très bien fait !) par mes zélèves… Je préfère la première option (je suis fainéante, et pédagogue : non ?). Espérons que le collège sera ouvert lundi…
Alors, quoi que tu fasses dans ta vie tu seras toujours critiqué : c’est quand même un truc de malade ! C’est abuser, comment elles parlent trop, en général ! Je parle de tout le monde mais là, plus des filles. On va dire qu’elles servent à rien que c’est leur passe temps… Rien : que tu marches avec un gars ou que tu parles avec lui, ça y est, c’est la fin du monde ! Comme on dit : fidèles à leurs poste, elles seront toujours en train de parler derrière ton dos. Le pire, elles n’ont même pas le courage de te le dire en face ! C’est ce que j’appelle des filles qui n’assument pas ! Malgré qu’on aille les voir leur dire “Pourquoi tu dis ça ?” ou “C’est vrai que ?!”, tu as beau dire toutes choses, elle nieront toujours. Donc, petit conseil : laissez-les parler et n’utilisez pas votre salive pour rien. Gardez la tête haute car des filles comme ça, vous en croiserez plein dans votre vie, donc, on fait avec. Elles sont nées pour vous mettre des bâtons dans les roues : évitez-les le mieux que vous pouvez. Comme on dit : chacun sa vie, chacun son destin, qu’elles se mêlent donc de leur popotin ! Et plus de potins !
Une fois qu’on goûte à l’amour, on ne peut plus s’en passer … Depuis qu’il m’a prise dans ses bras, je n’ai fait que d’y penser …
Comment vivre sans Lui; Comment vivre sans Toi ♥♥ ?!! Tu as volé mon coeur et maintenant qu’il t’appartient, je ne peux plus le récupérer :/ … Pourtant ça n’a pas toujours été rose entre nous mais l’Amour, c’est plus fort que TOUT !! Bien plus fort qu’une simple embrouille … Ca fait tellement mal de te croiser dans la rue sans même pouvoir te faire un sourire ; sourire qui cache tant de tristesse et de détresse … Tant de promesses envolées dans le vent, tant de larmes versées qui pourraient faire un océan … C’est un énorme Manke’ sans Toi ♥ … Manke’ de tes rires, de tes sourires, de ta voix, de tes Bras, de Tes Lèvres … Tant de Mankes’ qui ne peuvent être comblés que par Toi ♥ et par Personne d’autre.
Alors: Comment vivre sans Lui ♥♥ ??…
Quand j’avais 7 ans, mes parents se sont séparés, j’ai pas compris tout de suite pourquoi. Mais j’ai compris aujourd’hui , je ne dirai pas la raison, par respect envers eux. Quand ils ont divorcé, au départ, j’ai été chez ma mère à Loudun à environ 40 km de Châtellerault, pendant à peu près 1 an, puis j’ai été chez mon père à à peu près 900 km : c’est à dire à Marseille. Je vous explique pas le changement, se refaire des amis, s’habituer à des températures nouvelles ( eh oui, à Marseille, il fait chaud^^).
Enfin, bref, ce départ : tout ce que je perdais en quittant mes amis, ma famille, toute mon enfance quoi. Mais aujourd’hui, tout s’est arrangé : je suis arrivée à Châtellerault ( eh oui, encore une autre ville ^^). Ici les gens sont très sympas, j’ai eu du mal à m’intégrer car Châtellerault et Marseille, c’est pas la même chose. Enfin, tous s’est arrangé, Même si mes parents ne se parlent plus et que j’ai dû faire des choix difficile entre Mon papa et Ma maman, je l’ai fait.
Ca fait mal mais on arrive à oublier. Et mon choix est ma Maman. Cela ne veut pas dire que je n’aime pas mon Papa , au contraire je l’aime plus que tout !!!!
Voila, courage à tous ceux qui ont leurs parents qui divorcent et ceux qui sont déjà de parents divorcés peuvent comprendre 🙂 .
La rêveuse!
Le Torchon courait hier après… le temps ! Je tiens à présenter toutes mes excuses à toutes celles et ceux qui ont supporté une gestion “à la speed” de l’atelier journal : le temps maquait, le soleil éblouissait l’écran de l’ordinateur, le vent faisait s’envoler les feuilles sur le bitume, les piétinements s’arracher le branchement électrique… “Attention au fil” fut le leitmotiv de la séance ! Désolée, donc, pour celles et ceux qui, malgré toute leur bonne volonté pour faire tourner ce stand, ont dû renoncer à boucler la maquette en temps et heure. Et puis, comme il faisait froid ! Un temps à courir plutôt qu’à rédiger des articles au soleil de fin octobre !
Merci à mon équipe de rédactrices de Pink Paillettes (classe media) qui, au fil de l’après-midi, sont passées, ont écrit, on illustré, ont réalisé la maquette (mention spéciale à Laura pour le dessin et à et Alyssia pour la maquette, à Wassila et Imène pour les photos, à Amira qui a écrit un article…). Ajoutons que certains jeunes talents se sont révélés : Bryan, de 6ème3, qui s’est prêté au jeu de l’interview, Constance, de 6ème1, qui a repris la maquette en charge quand Alyssia est allée photographier la course des 3èmes, et a impressionné mes zélèves de 3ème : “Quoi, elle n’est qu’en 6ème, et vous avez vu comment elle s’y connaît en informatique !”. Chapeau bas, Constance, en effet !
Du côté du stade, des courses, peu d’informations si ce n’est que la bonne humeur était, encore cette année, au rendez-vous. Ce sont des journées comme celle-ci où élèves comme adultes se mêlent dans un effort commun (le sport, ou la réflexion -dans les ateliers-) qui nous redonnent l’énergie pour poursuivre le travail ensemble. Nos zélèves se sont montrés, une fois de plus, de bons sportifs (l’esprit d’équipe fortement présent dans les ateliers comme dans les courses : bravo pour cette qualité !), des gagneurs, même si on déplorait, à la fin de la dernière course, des détritus en abondance sur le stade…
Merci, à ce sujet, aux quelques zélèves qui sont restés après 17 heures pour aider à ranger le matériel (tables, chaises, ce fut le défilé vers le Foyer) et à ramasser les papiers gras sur les terrains…
Et un grand salut aux zélèves de SEGPA qui ont préparé le goûter pour tous les participants !
Que dire de plus, avant d’avoir achevé la maquette du n° spécial cross ? Ce numéro sera diffusé dans notre Torchon dès que possible : son nom ? Pink Survet’ !
Alors, guettez, chers zinternautes, la parution de ce numéro… Pas de vacances pour l’équipe de rédaction du Torchon ! Bonnes vacances aux autres, et encore merci à tous.