http://www.youtube.com/watch?v=erbd9cZpxpsChères zélèves qui Le Torchon lisez, voici, pour vous, un petit support vidéo qui vous fera réviser vos classiques : ce clip détourne les scènes des tableaux les plus célèbres de l’histoire des arts picturaux. Saurez-vous les identifier ?
Le jeu ne s’adresse pas à M. Mastorgio qui, je le sais, gagnerait : toutefois, il se peut qu’on ait besoin de sa culture pour donner deux ou trois noms, malgré tout…
Le samedi 24 avril 1915, à Constantinople , capitale de l’empire ottoman, 600 notables arméniens sont assassinés sur ordre du gouvernement. C’est le début d’un génocide. Le premier du XXe siècle.Les deux tiers des arméniens qui vivaient sur le territoir actuel de la Turquie ont été exterminés au cours des déportations et massacrés. Ce génocide a coûté la vie à un million deux cent mille Arméniens d’Anatolie et du haut plateau arméniens.
Une loi française qui fâche la Turquie.
L’assemblée nationale a examiné une proposition de loi qui punnira d’un an de prison et d’une amende de 45.000 euros d’amande les gens dui diront que ce génocide n’a pas eu lieu. C’est une initiative qui provoque la colère des autorités turques. Et pour cause, la Turquie ne reconnait pas le Génocide arménien.Le président turc Abdullah Gûl demande à la France de renoncer à cette loi car elle punit ceux qui rejettent “des accusations injustes contre la Turquie”. La Turquie récuse le terme génocide même si elle reconnaît la mort de 500.000 Arméniens en 1915 et 1916.
Je suis arménienne
Moi, en tant qu’arménienne, je pense que ce génocide n’aurait pas dû arriver car c’est injuste d’avoir tué 500.000 arméniens innocents qui n’ont rien fait . J’espère qu’un jour la Turquie reconnaîtra qu’elle a eu tort, même si ça ne changera pas grand chose car ce qui devait arriver est arrivé et ils ne feront jamais revenir les 500.000 arméniens massacrés pendant ce génocide .
Je suis d’origine arménienne et c’est une fierté pour moi car c’est mon pays et j’y ai vécu quelques années, jusqu’à mes 8 ans. L’Arménie est très belle avec sa capitale Erevane, le Mont Massis et le grand lac Sévanne qui est très beau à voir. La langue parlée est l’arménien qui est dur à apprendre car c’est différent des autres langues. Son drapeau est rouge, bleu, orange, . L’Arménie est géographiquement situéeen Asie et a des frontières terrestres avec la Turquie à l’ouest, la Géorgie au nord, l’Azerbaidjan à l’est et l’Iran au sud. Elle fut d’ailleurs la première nation à adopter le christianisme comme religion d’État en 301.
Heureuse avant, malheureuse maintenant. Avant, quand j’avais entre cinq et six ans, j’étais heureuse car tout me paraissait facile dans la vie, on rigolait tellement avec nos copains et nos copines, on s’amusait tout le temps dans la cour d’école. Mais ça, c’etait avant.
A sept ans, j’ai pas compris, tout s’est vite embrouillé dans ma vie, avec le décès de mon grand-père. Je ne vais pas raconter ma vie mais juste vous expliquer pourquoi je suis tellement malheureusen même si cela ne se remarque pas.
A vrai dire, mon grand-père était le seul homme de ma vie, le seul et l’unique : j’aurrais donné ma vie pour qu’on lui rende la sienne… Revenons à mes sept ans, le drame de ma vie a été d’apprendre que mon grand-père avait le cancer. Je redoutais le plus ce qui m’était annoncé. Pourquoi lui et pas un autre ? On dit que les meilleurs partent les premiers, il faisait partis des meilleurs, je vous le garantis. Je rigole peut-être la journée, mais jamais je ne pourrai l’oublier.
Comment vivre sans la personne qu’on a aimée le plus ? A vrai dire, c’était tellement difficile d’être là sans lui, de faire semblant d’aimer la vie alors qu’on la déteste… Mon grand-père reste celui pour qui j’aurais tout donné, celui qui faisait de ma vie un réel paradis. Il faut savoir que, malgré tout, il restera le seul qui a compté le plus dans ma vie, c’est tout aussi difficile de voir les grands-parents de mes copines en vie alors que moi je n’ai plus personne…
Marion, nous avons eu la même idée, Océane Miss Glamour et moi : te dire par le biais de ce blog notre soutien.
Je suis avec toi de tout coeur : l’annonce de cette disparition qui te touche au plus près est dure, et je peux t’assurer du soutien de tous tes professeurs, de tous les adultes de l’établissement. Toutes celles d’entre nous qui sommes mamans pensons bien à toi, particulièrement. Je sais que ta maman était très fière de toi. Je t’embrasse et te souhaite beaucoup de courage.
A bientôt, Marion
A. Dibot.
Marion, cet article est pour toi..
Je te soutiens et te soutiendrai toujours.
Indéniablement, l’atelier philo est passé par là!
Subsumer, cela peut sembler loin de votre réalité, au contraire, c’est en plein dedans. En effet, subsumer, c’est intégrer un individu, ou une idée, dans quelque chose de plus large et grand que lui. Souvent les zélèves, qui s’avèrent aussi être des adolescents, craignent de n’être pas reconnus pour l’individu tout à fait unique et exceptionnel qu’ils sont. Ils craignent d’être confondus, mal identifiés, mal ou pas reconnus, noyés dans la masse et l’anonymat, alors qu’ils sont si différents des autres.
Pourtant, en voulant ainsi se distinguer, bien souvent, ils ne font qu’adhérer à un groupe déjà existant: celui de ceux qui écoutent du rap, après, bien sûr il y a les querelles entre ceux qui écoutent le rap américain et ceux qui ne l’écoutent pas etc. Et il en va naturellement de même pour tous les autres aspects de la mode et de tout ce qui fait votre quotidien: ceux qui sont gothiques, ceux qui ont une mèche, ceux qui ont tel ou tel style de vêtement etc etc.
Ce désir d’être unique est ainsi en contradiction avec un autre désir tout aussi fort, celui de faire partie d’un groupe, d’être intégré dans quelque chose de plus grand et de plus fort de soi. Ainsi, tel monsieur Jourdain, prosant depuis 40 ans sans en rien savoir, les zélèves sont ils en conflit intérieur permanent entre leur désir et leur refus de subsumer. Terrifiant, non, de pouvoir mettre un nom si complexe sur une situation si courante? Allez, ce n’est pas grave, sans tergiverser il vous faut désormais relativiser!
Jeudi 26 Janvier, de 8h à 12h, les classes de 3°1,2 et 3 sont allées au cinéma du centre ville de Châtellerault pour regarder Cheval de guerre. C’est l’histoire d’un cheval sauvage qui va être dressé par un jeune anglais, ensemble ils vont se lier d’amitié mais ils vont être séparés par la guerre 14-18 et le cheval va vivre une grosse aventure … A voir !
Suite à ce film, nos chers professeurs (Mmes Dibot & LeNezet) de français nous ont imposé un travail d’analyse (on ne les changera jamais … Mdr). Il y avait différents thèmes : En voici quelques-uns :
– La critique du film (J’ai aimé parce que …/ Je n’ai pas aimé parce que …)
– Le courage de la mère du héros
– L’évolution de la relation père/fils au cours du film
– Le récit de l’itinéraire de Joey (le cheval) à travers la France en guerre
– Le romantisme dans le film
– La représentation du cheval : un animal possédant des qualités humaines (courage, sens du sacrifice, sens du devoir)
– L’ amitié entre deux animaux symbolisant la camaraderie enrte soldats, à la guerre
– La guerre des Boers
Et c’est à peu près tout (ça fait quand même beaucoup hein).
L’évolution de la relation père/fils au cours du film
Au début de l’histoire, Albert (le héros) pense que son père n’est bon à rien et qu’il n’est qu’un alcoolique. Il ne lui porte preque aucune affection. Ces sentiments de mépris qu’il a envers son père s’emplifie lorsque son père décide de vendre le cheval d’Albert – celui qu’il avait dressé, aimé, auquel il s’était tant attaché – à un soldat qui partait au front pour la guerre.
L’avis d’Albert commence à changer lorsque sa mère lui fait savoir qu’auparavant son père était très brave et courageux puis, après son retour de la guerre 14-18 (Albert s’engage pour rejoindre son cheval) : il se rend vraiment compte de la bravoure et de la tenacité dont son père a fait preuve. Témoin de toutes les atrocités et des conditions de vie sur le front, il sait que son père est en réalité un grand homme plein de courage.
Amira & Wassila.
Une critique peu critique 🙂
J’ai beaucoup aimé ce film parce qu’il était très réaliste, émouvant et romantique et puis parce que ça m’a beaucoup touchée. C’est rare de voir des films de guerres aussi passionnants. Et si j’avais l’occasion de le revoir j’y serais retournée sans hésiter.
Fatoumata.
Hier, à George Sand, s’est ouvert l’Atelier Philo : quelques douze élèves de sixième et de cinquième ont, bravement, tenté l’approche philosophique d’un thème non moins philosophique à savoir, le bonheur.
Encadrés par vos serviteurs Dibot et Mastorgio, mais, surtout, par le sieur Santa-Cruz professeur de Lettres de son état, et, qui plus est, diplômé en philosophie. Nous avons un authentique philosophe en nos murs, faisons donc de la philosophie !
Chaque semaine, vous trouverez dans cette rubrique la synthèse de la séance du jeudi : parce que, désormais, le jeudi, c’est philosophie ! Ci-dessous, donc, ce qui s’est dit, ce que les zélèves ont dit, ce que le philosophe a dit !
La philosophie : qu’est-ce ?
C’est une discipline qui a traversé les siècles depuis l’Antiquité : elle consiste en l’art de se poser des questions. Quelles questions ? Sur la création du monde, ses origines sur le sens de la vie, sur l’énigme que représente la mort. Pour les philosophes, la mort apporte son sens à la vie : sans la certitude de la mort, on n’aurait aucune raison de profiter de la vie. C’est également l’art de se poser des questions sur le temps qui passe, sur le bonheur…
Ah, que cela tombe bien, c’était justement notre sujet du jour : le bonheur !
Le bonheur : “Sommes-nous heureux ?”
Eden : “Chacun a sa façon de voir le bonheur”
Philo : “On ne répond pas à la question “suis-je heureux ou non ?”, on questionne la notion de bonheur : “qu’est-ce que le bonheur ?”
Alexandre : “La joie ?”
Killian : “La bonne humeur ?”
Salim : “Quand on est content ?”
Vincent : “Un événement, petit ou grand ? Ou alors, avoir ce qu’on veut !”
On discute sur la notion de bonheur dû à la possession de biens matériels : on possède des objets, précieux : par exemple, un I-Phone dernier cri. Mais s’il se casse, se perd, est volé, on devient malheureux. Ou bien, on en veut un autre, plus performant : on se crée donc une source de malheur.
Vincent : “Plus on possède, plus on veut. A la fin, on ne sait plus ce qu’on veut.”
Eden : “Mais si on a travailllé dur pour s’acheter ce qu’on veut, on est heureux de posséder ce objet.”
Killian : “Etre heureux, c’est être aimé.”
Philo : “Etre aimé ? Ou aimer ? L’homme a en effet besoin des autres, pour être heureux : il ne peut se passer du bonheur, et le recherche perpétuellement. Le bonheur ne peut se construire qu’avec la participation d’autrui. Le Misanthrope de Molière n’est pas heureux : il n’aime pas les autres, mais voudrait être aimé de celle qu’il courtise : il n’est donc pas heureux. Les ermites, qui vivent loin des hommes, sont-ils heureux ?”
Vincent : “Oui car ils évitent la gêne de l’entourage pour atteindre un but précis.”
Philo : “Le bonheur, pour certains philosophes, c’est le fait de ne ressentir aucun malheur : on ne serait heureux que quand on n’est pas malheureux. Le bonheur, ce serait la sérénité, l’absence de troubles. Le bonheur, ce peut être un état où on n’a besoin de rien d’autre pour être bien : un état complet. “
Epicure : le bonheur est à portée de la main
Un grand philosophe de l’Antiquité, Epicure, propose une définition : le bonheur est dans la tempérance, dans la mesure : on peut être heureux si l’on sait ce contenter du peu que l’on a. Le bonheur n’est pas dans le luxe, mais dans la tempérance.
Repère : Epicure (_ 340 _ 270 avant JC) Il est le fondateur de l’épicurisme : c’est l’une des plus grandes écoles philosophiques de l’Antiquité. “La vie de plaisir ne se trouve point dans le luxe, elle est dans la tempérance”. Lettre à Ménécée.
Alors, heureux ?
Vincent aura le mot de la fin : “Etre heureux, est-ce être heureux d’être en vie, ou bien être heureux de la vie ?”
Remerciements à M. Santa-Cruz pour cette première : et espérons que tous nos petits philosophes reviendront philosopher !
Mardi 24 janvier, Katarina Mazeti est venue nous rendre visite au lycée Branly. Elle est venue dans le cadre du défi lecture qui consite à lire des livres et à faire une critique ensuite. Elle est venue nous rendre visite une bonne partie de l’après midi. Nous lui posions des questions qui étaient ensuite traduites en suédois puis elle nous répondait. Cette rencontre était une très belle rencontre. Elle nous a raconté plein de méthodes pour devenir écrivain et cela était très intéressant. Elle a ecrit des livres comme :
-Entre Dieu et moi c’est fini
– Le petit chaperon rouge et moi c’est fini
– La fin n’est que le début
-Le mec de la tombe d’à côté
– Le caveau de famille
ETC…
Pour le concours nous devions lire Le mec de la tombe d’à côté. Ce livre m’a tellement plu que j’ai voulu lire le suite Le caveau de famille.
Elle a écrit 16 livres en suédois et déjà 8 ont été traduits en français. Ce livre est l’histoire d’un jeune agriculteur et d’une bibliothécaire qui tombent amoureux et ils se sont donné une chance de pouvoir rester ensemble : ils doivent avoir un enfant ensemble et si cela ne marchent pas elle sera obligée de quiter l’agriculteur. Ce livre est très joli à lire et je conseille à tous ceux qui ne savent pas quoi lire de lire ce livre. Le mec de la tombe d’à côté a été vendu à 700 mille exemplaires en France et à seulement 500 mille en Suède.
Cet article a été rédigé par Flora et Louise (6ème1) et mis en forme par Stella (Classe media). Hier, la classe de sixième1 assistait à un atelier-débat sur les risques liés à l’utilisation d’Internet.
La loi : Elle sert à protéger les citoyens et la société.
Qui fait la loi?
a) Qui la fait respecter ? Elle est faite par le sénat et l’Assemblée Nationale sur proposition du gouvernement.
b) La loi se fait respecter par : La Police Nationale, la Police Municipale, la Gendarmerie, Les douanes, Les services de justice =juge.
FACEBOOK et ses dangers ! Faut- il accepter des gens inconnus ?
Non , car toute personne peut mentir sur lui même et sur sa vie. Exemples : Maitre John qui a en réalité 48 ans s’est fait passer pour un jeune garçon de 17 ans.
Si vous mettez une photographie sur internet, elle vous suivra toute votre vie. Prendre une photo au collège est strictement interdit. Il faut l’accord de la personne pour prendre une photo et pour la diffuser. Il faut une autorisation parentale pour publier une photo. Il est interdit d’enregistrer une conversation, un professeur, un cours : sinon la peine sera de 1 an de prison et 45.000 euros
Tout ce qui sera diffusé engagera votre responsabilité !
-Injure: 12 euros (injure publique) 38 euros (privéé)
-Diffamation : 45 euros exerçant au service public ou 200 dans le service privé
-Usurpation d’identité
-Cyber harcèlement = ne jamais répondre !!
-Diffamation à caractère racial : 1 an de prison et 45.000 euros
Le cyber harcèlement
Que faire si vous êtes harcelé sur internet ou SMS ?
1) Ne pas répondre. Une personne qui harcèle cherche une réaction. Si elle n’en reçoit pas elle abandonnera
2) En parler à un adulte (parent, police, prof…)
3) Bloquer la personne vous persécutant
4) Signaler les commentaires, photos ect…
5) Imprimer les conversations, texte, photo et garder une preuve.
6) Déposer une main courante auprès des services de police.
L’usurpation d’identité quelle est la sanction?
1 an de prison et 5000 euros d’amende si elle a pour conséquence de porter atteinte à l’honneur et à la réputation de cette personne.
Comment s’en protéger?
Ne pas donner le mot de passe et il faut changer de mot de passe très souvent !
10 conseils de la CNL pour rester net sur la web !
REFLECHIS AVANT DE PUBLIER : Sur internet, tout le monde peut voir ce que tu mets en ligne : photos, infos, opinion…
NE DIS PAS TOUT ! : Donne le minimum d’informations personnelles sur internet. Ne communique ni tes opinions politiques,ni ta religion, ni ton numéro de téléphone ….
ATTENTION AUX PHOTOS ! : Ne publie pas de photos gênante de tes amis ou de toi-même, car leur diffusion est incontrôlable.
SÉCURISE TES COMPTES ! : Paramètre toujours tes profils sur les réseaux sociaux afin de rester maître des informations que tu souhaites partager.
ATTENTION AUX MOTS DE PASSE ! : Ne les communique à personne et choisis – les un peu compliqués : s ni ta date de naissance ni ton surnom!
VÉRIFIE TES TRACES ! : Tape régulièrement ton nom dans un moteur de recherche pour découvrir quelles informations te concernant circulent sur INTERNET.
RESPECTE LES AUTRES ! : Tu es responsable de ce que tu publies en ligne, alors modère tes propos sur les blogs, les forums…Ne fais pas aux autres ce que tu n’aimerais pas qu’ils te fassent.
UTILISE UN PSEUDONYME ! : Seuls tes amis et ta famille sauront qu’il s’agit de toi
FAIS LE MÉNAGE APRÈS TON SURF ! : Si tu te connectes d’un autre ordinateur que le tien, pense à te déconnecter de tes comptes INTERNET, sinon n’ importe qui pourrait poster des contenus à ta place.
CRÉE-TOI PLUSIEURS ADRESSES E-MAIL ! : Tu peux utiliser une boîte e-mail pour tes amis et une autre boîte e-mail pour les jeux et les réseaux sociaux.
Flora, Louise. (6è1)