Mon père, c’est comme le prince charmant que toutes les adolecentes rêvent d’avoir mais rêvez pas, il est marié. Mon père fait les taches ménagères, la cuisine, le repassage, le ménage. Il est parfait, et idéal pour la maison.. Je me rapelle même qu’un jour il m’avait coiffée un jour pour aller à l’école, ça m’avait fait mal mais la coiffure étais assez jolie. Mon père, c’est le seul que j’aime après mon grand-père. Il est tout simplement celui qui apporte de la joie, à la maison, il est tellement drôle aussi, même quand il sort une blague pas très drôle je rigole quand même pour lui faire plaisir. Il a la pêche, il va toujours bien malgré les coups bats de la vie. Il trouve toujours quelque chose à dire pour remonter le moral de ses enfants. Et puis à vrai dire, mon père et moi, nous avons beaucoup de points communs, on a pratiquement les mêmes goûts vestimentaires ect… Je trouve mon père parfait car il est bien physiquement, propre (beau), il est aimable, attentionné, et ce qu’il y a de plus beau au monde, c’est de voir son père nous aimer.
ENFIN, J-0 ! On part en vacances en Savoie ! Quelle veine (oui, certain n’en ont pas la chance, respect…) ! A nous les fondues, les raclettes et les taritiflettes… ah et le ski aussi… Ah… le ski. Un sport de glisse particulièrement développé en France (oui car il y a plein de montagne, Alpes, Pyrénées, Jura, Masif Central) bien que le voccabulaire soit americain. En compétition, il se divise en catégories :
– le freestyle : une série de figures au sol, en l’air, pratiquées sur un half-pipe, un tremplin…
– le grinde : skier sur toutes les surfaces… sauf la neige. Les barres, les rampes, les tremplins, tout.
– le freeride : mélange des deux compétitions précédentes : on fait ce que l’on veut.
Il y a aussi des dérivés du ski :
– le monoski : planche que l’on chausse à la verticale, à mi-chemin entre le ski et le snowboard.
– le ski de fond : planches de skis auxquelles les talons ne sont pas fixés, ce qui permet de longues marches sur un terrain plat.
-le patinette : skis miniatures.
Petit point voccabulaire :
– Rider : skier, surfer
– Switch on/off : entrée sur une piste en avant/arrière
– Dormir sur le froid (ou s’allonger sur la neige) : se prendre une gamelle
– Spot : piste
– Out-spot : hors-piste
– Dive out : falaise
– To shooss : Foncer (to shoooooooooooooooooss !)
Half-pipe (demi-tuyaux) : piste ayant le forme d’un long tuyau, ou d’un couloir.
Voilà j’ai dit ce que je savais !
La politique, ça ne m’intéresse pas du tout. En ce moment, les médias en parlent beaucoup avec les élections présidentielles … mais moi, je m’en fiche complètement. Je sais que c’est très importent et tout ça … Mais je ne sais pas, je trouve ça vraiment trop barbant.
Mais je pense que je changerai d’avis -plus tard bien sûr- quand je serai plus grande avec un peu plus de moralité. Mais je suis sûre de ne pas être la seule de mon âge à penser comme ça. Je l’admets que je ne vois pas plus loin que mon nombril (Les Miroirs m’empêche de voir plus loin … Mdr)
La TitePoète
Tous les jours, on a beau se dire que la vie est difficile ou encore que personne ne peut comprendre ce qu’on vit, malgré tout, on a tous quelqu’un qui pense à nous et qui est là lorsqu’on a besoin. Dans mon cas, j’ai eu souvent des bas, tout comme lorsque mon père nous a abandonnés, malgré cela, aujourd’hui, j’essaye de ne pas y penser car j’ai tout de même mes frères et soeurs, ainsi que ma mère qui a dû nous éduquer tous les trois seule. C’est pour cela que, lorsque quelqu’un me demande qui est mon plus grand héroe, je ne réponds pas Superman ou encore Batman, comme le disent souvent les enfants mais mon unique réponse c’est ma mère, car elle à beau ne pas avoir de cape comme tous les supers héros, malgré tout ce qu’elle a vécu ou encore ses problèmes médicaux, elle continue de travailler et se battre pour ceux qu’elle aime sans même faire attention à elle.
Wassila, tu veux un de mes sons ? En voilà un de mes préférés. Va sur Youtube et tappe ” Sum 41 In Too Deep”
Il parait que les soldes c’est terminé, j’ignore tout de ces dates, il peut donc sembler incongu que je m’autorise à proposer deux mots pour le prix d’un seul en ce vendredi. D’aucuns trouveront que brûler de la sorte mes cartouches est ridicule et preuve d’un tempérament inconséquent porté à la dilapidation névrotique et coupable des richesses en vocabulaire de ma mémoire prochainement défaillante. A ces sentinelles de l’orthodoxie torchonesque je rétorquerais qu’une fois n’est pas coutume et je les prierais de bien vouloir laisser chanter la cigale qui sommeille en moi, cela d’autant plus que j’ai le sommeil léger et perturbé, oui, le sommeil seulement.
Ces prolégomènes se trouvant posés et afin de ne pas prêter le flanc au diatribes et à la vindicte (notez le subtil réinvestissement de connaissances de la semaine précédente), de celles et ceux qui prétendent que la formulation concise n’est pas mon fort, voire que je me perdrais dans des circonlocutions démentielles, il me faut arriver, dès lors, à la proposition de mes deux mots et ici reconnaitre que l’un des deux n’est qu’onomatopée et que de ce fait il pourrait même ne pas se trouver comptabilisé comme mot, quant au second il concilie plusieurs de mes passions. Ainsi, ayant avec art, si, il faut bien le dire, manié la prolepse, j’annonce donc.
Wahou, (c’est le premier) les vacances, (enfin/déjà : vous rayez la mention inutile)! (afin de montrer pleinement votre étonnement ou enthousiasme. Sous le sceau de la confidence, je puis bien vous le dire, ô millions de lecteurs avides, je suis de ceux qui raieront le “déjà”. Non pas que le collège et les zélèves me déplaisent ou me lassent, mais, sacrebleu, qu’elle fut longue cette période.
Et maintenant:
Wahou (c’est toujours le premier), comme c’est beau la chevauchée des Walkyries (c’est le second et j’ai bien dit Walkyries, rien à voir avec un fromage célèbre dont une surdité précoce et digne du grand Beethoven me ferait écorcher le nom).
Et comme en plus la chevauchées des Walkyries, c’est de Wagner, la boucle est bouclée et le W triomphe pleinement en ce jour qui lui est dédié. Ajoutons, mention spéciale pour ceux qui se plaignent, mais ils sont rares, pas plus de 95% d’une classe selon mes estimations et un sondage autorisé en cette période électorale, que j’abuse des références cinématographiques anciennes, ajoutons, disais-je, que c’est aussi le nom d’une opération de résistance contre Hitler, une tentative d’assassinat, qui fut portée à l’écran, avec Tom Cruise comme acteur, en 2009. Aspect cocasse de la chose, Wagner, qui donc écrivit ladite chevauchée des Walkyries, se trouvait être relativement proche de Hitler, à moins que ce ne fut l’inverse. Ultime précisions, car je sens suspendue à vos lèvres cette question “que sont les Walkyries?”, apprenez donc, estimés et zélés zélèves, que, dans la mythologie scandinave, il s’agit de trois déesses guerrières qui président aux destinées des guerrires et à l’issue des combats. Cet aspect mythologique se trouvant développé dans un cycle d’opéras autour de l’anneau des Niebelungen, rien à voir avec celui de Frodon, quoi que…
Au final, ce W vaut vaut un wagon, pour ne pas dire une logorhée, de propos au terme duquel 1% des lecteurs est parvenu, les autres sont partis marcher avec leur walkman et écouter Justin Bieber, à moins qu’ils ne soient partis à la chasse au wapiti avec leur winchester, ou bien ne regardent un match avec les wallabies, ou pire encore ne jouent à un wargame, se prenant peut-être pour un webmester, cependant que, j’en suis certain, plus personne ne joue au whist dans les rangs des zélèves, auxquels je souhaite un bon week-end et d’excellentes wacances, euh, vacances, reposantes bien que studieuses.
Le monde du journalisme est à nouveau en deuil : deux journalistes (un français, une américaine) ont trouvé la mort dans un bombardement en Syrie. Informer, c’est hélas, aujourd’hui,en Syrie, risquer sa vie.
http://www.liberation.fr/monde/01012391496-syrie-deux-journalistes-occidentaux-tues-a-homs
Voilà la recette du mardi ! Aujourd’hui, cela sera du salé.
J’ai découvert cette recette récemment, je l’ai refaite, fait tester aux collègues et elle a été approuvée. Je transmets donc !
- 1/2 sachet de levure chimique
- 2 cuillères à café de curry
- 1 cuillère à café bombée de graines de carvi (moi, je fais sans, je n’en ai pas dans mes placards et je ne sais même pas à quoi çà ressemble) J’ai mis quelques graines de pavot à la place.
- 100 g de petits pois
- 60 g d’emmental râpé
- 50 g de beurre fondu
- 50 g de farine
- 1 oeuf battu
- 10 cl de lait
- sel, poivre
1- Préchauffez le four à 180°C (thermostat 7). Mélangez la farine, la levure chimique, le sel, le poivre, le curry et les graines de carvi dans un grand saladier.
2- Ajoutez le beurre fondu, l’oeuf battu et le lait. Mélangez….
3- Ajoutez les petits pois et l’emmental râpé. Travaillez avec les mains pour bien mélanger les ingrédients.
4- Versez la pâte obtenue dans des petits moules à muffins. Enfournez pour 20 à 25 minutes de cuisson.
5- Servir chaud (c’est meilleur !) 
Je compte, je compte les jours. J-7 ,J-6,J-5 … Pourquoi je compte ? Non pas pour les vacance, mais car je le vois, lui. Pas un homme comme les autres : mon père 🙂
Cela fait 5 mois et demi que je ne l’ai pas vu. C’est long trop long. Il n’y a pas que lui que je vais voir, il y a ma belle-mère et ma soeur 🙂 En plus, cerise sur le gâteau, je serai là pour son anniversaire. Lui aussi grandit, enfin pour son âge on dit vieillir 🙂 Enfin bref. Dans 5 puis 4 puis 3, 2, 1 puis le J-J. Je serai à Marseille avec lui 🙂 Malgré nos bas, il a été là, malgré la distance, on est toujours aussi proches. J espère passer de bonnes vacances avec lui. 🙂
La rêveuse
Puisque Laura a mis un de ses sons, je voulais en mettre un aussi ^^