Sep
07
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par zzeghlache le 07-09-2012

Je trouve l’entrée dans le monde du journalisme passionnante, nous sommes une

sorte de relève des ancien élèves qui nous ont précédé dans  la classe média, je m’entends très

bien avec les élève de cette classe et je leur souhaite une très bonne année scolaire.

journaliste du grenier.

Sep
07
Classé dans (Le mot du vendredi) par la Vieille Garde le 07-09-2012

Cette année la nouveauté du mot du vendredi résidera dans le fait que le mot sera un nom propre. Les périodes de vacances, petites et grandes, auront, elles, toujours droit à leurs citations du vendredi. Lesdits noms du vendredi seront classés par ordre alphabétique, sans que je m’astreigne au nom ou au prénom seul comme référence pour le choix de la lettre, ce sera au gré de mon inspiration et des nécessités, car les individus ne seront pas pris au hasard non plus!

Ainsi, ce jour, Alphonse de Poitiers, inaugure-t-il la rubrique car je suis, je l’avoue, un tantinet régionaliste, et puis, ce brave Alphonse le vaut bien, lui aussi et sans aucune référence à une marque spécialisée dans les soins capillaires!

Songez donc que ce fils de Louis VIII , frère de Louis XI, plus connu sous le nom de Saint Louis (et je renvoie tous les 3è à leurs repères brevet) reçut en apanage le Poitou (bon, l’Auvergne aussi, mais cela m’intéresse moins). C’est à dire qu’il avait l’administration et la jouissance de cette province au cours de sa vie mais qu’à sa mort elle se trouverait réunie au domaine royal. Ce qui fut le cas. L’église sainte Radegonde, à Poitiers, présente, en son premier vitrail nord le blason du Poitou accolé à celui du roi de France.

Ledit blason, tout le monde le sait, évolua de manière fort complexe et je ne me risquerai pas dans un traité d’héraldique. Sachez cependant que la version avec le lion de gueule (comprenez rouge) est plus ancienne et que celle avec les 5 châteaux d’or donjonnés, qui est actuellement reprise par la gendarmerie, vérifiez la prochaine fois que vous en aurez l’occasion, est aussi le blason de la ville de Scorbé-Clairvaux (pour laquelle j’ai un grand attachement sentimental). Ce premier blason du Poitou est assez largement repris, d’ailleurs, par les villes de Poitiers et Châtellerault, là aussi, c’est aisément vérifiable, dans les deux villes: souvenez vous de vos sorties de 6è à Poitiers, surtout si vous étiez dans mon groupe, et lors de sorties école ouverte à Châtellerault.

Au final, ce lointain comte de Poitou existe-t-il encore, d’une certaine manière, à travers cette iconographie, en nos villes et en notre région, grâce à ce blason, dont l’origine était de servir de signe de reconnaissance sur les champs de bataille aux lourds chevaliers engoncés dans leurs armures. Ce lion fièrement dressé est une invitation aux zélèves à se montrer combatifs face à la difficulté et au travail, quant aux châteaux, ils sont désormais pour vous l’expression du fait que votre collège est la citadelle du savoir, en laquelle vous demeurez et progressez.

Blason le plus récent du comté de Poitou, se référant aux châteaux de Castille.

Blason le plus ancien, le noir se réfère aux terres du sud, le blanc à notre calcaire local.

Oui, madame de la Vieille Rédaction, je métaphorise à outrance, je sais, mais, que voulez-vous, cela me sied si bien…

Sep
06
Classé dans (L'actualité au collège) par BigAdministrator le 06-09-2012

Bienvenue à Manelle, Pédro, Zine-Abidine, Emile, Leïla, Abderrahman, Hugo et Mamabadiou, la nouvelle équipe qui a la lourde tâche de succéder aux deux précédentes. Le Torchon existe et vit depuis déjà sa troisième année pour vous et grâce à vous, merci d’avoir été volontaires pour y participer, l’expérience vous sera forcément profitable.
Vos codes sont prêts, on attend à présent vos productions avec impatience.
Compliments une nouvelle fois et à l’occasion de la reprise à vos professeurs, toujours présents et très actifs dans ces pages avec entre autre, plusieurs centaines d’articles passionnants en ligne, sans compter leurs commentaires.
Reccord trop difficile à battre, j’ai baissé les bras très vite. Qui fera mieux ?? La force soit avec vous…

Sep
05
Classé dans (Des nouvelles des anciens) par imène le 05-09-2012

Alors, alors. Bah, pour ma part, la rentrée s’est bien passée, j’ai retrouvé toutes mes copines puis pour l’instant tout se passe bien. 🙂

Mais j’avoue que le collège me manque déjà ! Mais bon, je pourrai toujours aller le voir et retrouver mes anciens profs. 🙂

Puis un grand bonjour et bonne rentrée à Mme.Dibot, Mme.Goncalves, Mme.Barret et tous les autres que je connais ;).

Sep
04
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 04-09-2012

Racontez-nous !!!! S’il vous plaît…

Sep
03
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par Agnès Dibot le 03-09-2012

Deux rentrées plus tard (les anciens confirmeront s’ils lisent cet article), on sort de l’été avec la même revue de presse : les Roms, les expulsions, le relogement… Cet article-ci est sans doute plus optimiste : deux ans plus tard, on reloge des familles. Un exemple de municipalité qui s’organise.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/09/02/a-choisy-le-lent-et-delicat-pari-de-l-integration-des-roms_1754419_3224.html

Qui sont les Roms ?

Etre Rom c’est-à dire tsigane d’un pays de l’est, Roumanie et Bulgarie surtout, c’est :

– faire partie d’une minorité sans racines fixes, parlant un langage commun aux tsiganes du monde entier mais fortement marqué par la langue du pays d’accueil. Cette langue c’est le « romani » ignoré des non tsiganes.

– une minorité méprisée dans leur pays “d’accueil”.

– sans racines puisque peuple sans terre, issu d’un exil remontant au moins au xv° siècle. Exil sans doute déjà pour fuir la misère. Les Roms ne sont plus nomades. Caeucescu, en Roumanie, les avait contraints à la sédentarisation et brûlé leurs caravanes.

– misère qui perdure au cours des siècles, plus difficile à supporter dans les pays pauvres au climat dur l’hiver. Ceci explique que 15000 Roms environ se trouvent sur le territoire français…

A consulter pour s’informer : un dossier spécial Roms dans Libérationhttp://www.liberation.fr/roms,99923