Déc
13
Classé dans (Correspondance, Des nouvelles des anciens) par Manon le 13-12-2012

Le projet « 1res scènes » est un projet organisé par les professeurs de français et le metteur en scène Michel Cordeboeuf. Il est destiné à toutes les classes de premières générales et technologiques du lycée Édouard Branly et débouchera sur deux spectacles, en avril et en mai. Ce projet de six mois a pour but d’aider chaque élève à développer ses capacités orales et à découvrir l’improvisation dirigée.
Dans la classe de 1re S, il y a sept groupes, composés de quatre à six élèves ; chaque groupe doit produire une petite saynète sur un thème libre. Lors des premières séances, les élèves ont mis en commun leurs idées et ont crée des personnages.
Progressivement, la trame des saynètes s’est dessinée, et deux pratiques distinctes sont apparues : certains éprouvent le besoin de tout écrire avant de jouer alors que d’autres préfèrent commencer par jouer pour fixer les différentes répliques. À l’issue de la prochaine séance (le 20 décembre) chaque groupe fera des exercices pour faciliter le jeu, et s’exposera à la pratique de la scène.

Manon.

Déc
13
Classé dans (Santé) par la Vieille Garde le 13-12-2012

Non, il ne s’agit pas du mot du vendredi mis en décalé, je laisse le décalage à la cuisine, mais je m’interroge.

Scorbé-Clairvaux, que tout le monde connait désormais en raison de nos sorties école ouverte et de notre premier mot du vendredi de cette année scolaire, Scorbé, disais-je, vit ce jour se rencontrer notre présidente de région et notre ministre de la santé et personne n’en parle! Cette modeste bourgade se retrouve au centre du débat sur les déserts médicaux et le monde entier, qui, via notre Torchon, devrait le savoir, l’ignore encore! Enfin, l’ignorait, le régionaliste que je suis est passé par là, encore un argument pour dire que je prends trop de place dans ce journal, mais que font nos équipes de reporters à la pointe de l’actualité?

Non, ne répondez pas, je ne le sais que trop et ne veux ni l’entendre, ni le lire, ni l’écrire.