La nature déteste le vide, on me pardonnera alors aisément de prendre ce blog pour tribune.
Pour toutes celles et ceux qui aspirent à la quiétude, à la douceur, au charme d’une promenade hivernale sous des cieux céruléens et adamantins, qui rêvent d’une discussion au coin du feu, pour toutes celles et ceux que cette fin d’année, peut être solitaire ou triste, rend mélancoliques. Pour toutes celles et ceux qui aiment à s’engourdir dans une introspection proustienne, pour toutes celles et ceux qui veulent, simplement prendre 10 minutes de détente, sans penser à rien d’autre qu’à l’être aimé, à la douceur de sa présence, à la douleur de son absence, voici, paradoxe, un morceau d’Ernesto Cortazar intitulé “le silence de Beethoven”. On me le fit découvrir hier soir, je m’empresse de partager avec vous, pour une fois que du contemporain trouve grâce à mes yeux.