Il s’agit du nom que l’on donne aux nymphes attachées à un arbre, naissant, vivant, mourant avec lui. J’avoue ignorer encore pourquoi j’ai pensé à mettre ce jour ce mot ici, peut être car j’aime beaucoup les arbres et que ces belles journées me donnent de sortir du collège pour aller me perdre sous les frondaisons de la plus proche sylve, notez qu’une excursion dans la canopée ne doit pas être désagréable, mais je n’ai pas la santé et pas l’agilité pour le faire, je ne suis pas du groupe des professeurs doués pour l’escalade!
De plus, cette idée de savoir un être vivant attaché à la vie d’un végétal me fait aussi penser à ce que nous faisons endurer à notre planète. Sous prétexte d’enrichissement de quelques individus ou multinationales la nature es saccagée, outragée, personne au sein de ces grands empires financiers n’est donc en état de voir que c’est là détruire notre avenir que d’agir de la sorte?
Nous mourons assurément aussi vite que la nature, animale, végétale, minérale que nous ne cessons d’exploiter aveuglément. Ce sera certes pour elle une revanche, mais je demeure persuadé qu’il n’y a qu’un cerveau humain pour penser ainsi en terme de revanche.
Carpe diem donc, cueillons les roses de la vie, tant que l’on sait encore ce que sont les roses, nos descendants n’auront peut-être pas cette chance, et c’est d’une absolue tristesse.