http://m.france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haute-garonne/toulouse/certains-vos-commentaires-facebook-arrivee-migrants-region-sont-insupportables-1117723.html#xtref=http://m.facebook.com
Au lycée, en cours de patrimoine (c’est un enseignement d’exploration), on devait faire un exposé sur le sujet que l’on voulait, à condition que ce soit un sujet patrimonial. Certains groupes ont choisi l’histoire de la ville de Paris ou encore la gastronomie et d’autres même, un thême sur les collectionneurs. Mais moi, mon groupe, de TOUS les sujets existant sur Terre, elles ont choisi les Barbies.
C’est juste le sujet le plus ennuyeux pour un garçon (en général). C’est barbant. Franchement, je m’en fiche complètement de savoir à quoi ressemblait la première Barbie ou encore combien de films ont existé sur cette poupée adorée des jeunes filles… Mais le pire dans cette histoire, c’est que cet exposé n’est même pas noté, ça veut dire que je me “tue” à rechercher des informations sur une chose pour qu’au final je ne sois même pas récompensé. Sérieusement, c’est honteux.
Bon, il y a quand même un point positif dans l’histoire (et encore y avait intérêt), c’est qu’on m’a pas forcé à regarder un film de cette mini star. Bref, un petit conseil ; ne vous mettez jamais avec des filles quand un sujet est libre !! Elles sont folles ! 😵
Bonne question, merci de (la lui) avoir posée : peut-être est-ce le bonheur ? En tout cas, ce n’est ni l’argent (la médaille, s’entend), ni l’esprit de compétition, pas plus que la quête de notoriété : non, ce qui, ce matin, en tous cas, faisait courir Kamel Latrach, c’était, tout simplement, nos zélèves 😉
(Kamel Latrach et Noa)
Ou est-ce l’inverse ? Assurément, l’inverse : ce matin, Kamel Latrach a accompagné nos zélèves dans leurs 20 minutes de course sur la piste autour du stade (cross traditionnel des vacances oblige) et, croyez l’ex joggeuse recyclée en prof de français qui vous cause (sisi ;)), il en a fait courir plus d’un 😉 Ce ne sont pas Alexis, Sofiane ni Corentin qui me contrediront !
Ce champion de la piste nous a bluffés : on voyait à peine ses baskets orange fluorescentes toucher le sol tant sa foulée était aérienne ; ce qu’on percevait, en revanche, c’est le regard de confiance de nos zélèves sur leur modèle, et leur application à poser leurs pas dans ceux de Kamel : pour cette expérience hors du commun, au nom de nos zélèves, merci !
Ce que Kamel Latrach a pu nous révéler en interview (Noa et moi-même avons été privilégiés ce matin), dans la chaleur douce du gymnase, à l’abri du petit vent frisquet du matin, vous le découvrirez dans nos colonnes dès que Noa aura retranscrit les propos de Kamel, le plus tôt possible (la pression, Noa ;)).
Pour l’heure, ce qu’on se doit de dire, c’est que nous avons rencontré une belle personne, et un bel esprit, dont la motivation première, ce matin, était bien d’accompagner les zélèves, et de leur dire : “voyez, vous valez quelque chose” : parce que Kamel -qui a un temps envisagé, dévoilons un peu de sa biographie, devenir prof de maths- a à coeur de transmettre, de représenter, peut-être, un modèle, pour dire aux jeunes qu’il y a un avenir pour eux. Transmettre en courant avec nos zélèves, ce matin, quelle plus belle preuve de pédagogie ?
Je vous informe que demain, lors du cross qui aura lieu de 8h à 12h, un sportif nommé Kamel Latrach, qui est coureur, viendra dans notre collège pour courir avec les élèves de troisièmes. J’ en profiterai pour l’interviewer. Je suis assez content de réaliser cette interview car j’aime rencontrer des sportifs de haut niveau et connaitre leurs parcours professionnel et sportif.
( Photo La Nouvelle République)
La césarienne est une opération chirurgicale qui consiste à extraire un nouveau-né par une incision (ouverture) de la paroi abdominale, quand l’accouchement n’est pas possible de manière naturelle.
Mais rappelons certaines vérités. La césarienne sauve des vies, elle a fait chuter la mortalité maternelle qui est aujourd’hui proche du niveau planché. En vingt ans, le nombre de césariennes a plus que doublé dans les pays industrialisés. Dans la majorité des pays d’Afrique, le taux de cette pratique ne s’élève qu’à 2%, ainsi nombre de mères et leurs nourrissons meurent par manque de moyens. En France, 21% des enfants naissent par césarienne, la plupart dans des cliniques privées. Souvent, le besoin d’une intervention chirurgicale apparait dès la grossesse lorsque le nourrisson est mal positionné, par exemple, il est alors indispensable d’intervenir.
Les brésiliennes sont championnes du monde de la césarienne.
Dans certains pays, aujourd’hui, la césarienne est devenue une pratique controversée. Au Brésil, en moyenne 1000 enfants voient le jour. 85% sont des césariennes, c’est ainsi l’un des pays qui affiche le taux de césariennes le plus élevé. Un choix plus pratique, voire économique que médical pour certaines femmes et certains médecins. Certaines femmes sont poussées à faire une césarienne non désirée car cela rapporte plus d’argent au médecin et aux cliniques.
Or, la césarienne est un risque aussi bien pour la mère que pour l’enfant,en il ne faut l’utiliser que lorsque des vies sont danger.
Pour plus d’informations : http://www.arte.tv/guide/fr/060770-000-A/la-cesarienne-une-pratique-controversee?country=FR
D’où vient ce nom de “césarienne” ?
Le mot « césarienne » dérive du latin caesar qui veut dire « enfant né par incision » (du verbe caedere : « couper », « inciser »). Caesar est le surnom (cognomen) porté par Jules César, hérité de l’un de ses ancêtres né par césarienne. En effet, selon Pline l’Ancien[1], « Les enfants dont les mères meurent en leur donnant le jour, naissent sous de meilleurs auspices : c’est ainsi que naquit Scipion l’Africain l’ancien, et le premier des Césars, ainsi nommé de l’opération césarienne qu’on fit à sa mère. » (source Wikipédia)
(Naissance de César d’après un manuscrit du 14ème)
Maria et N’aissita
Ça y est, c’est le grand jour, j’ai enfin trouvé du temps pour vous écrire mon tout premier billet dans ma rubrique. Ça fait un peu bizarre, je vous l’accorde, surtout quand je pense qu’il y a 6 ans, je me trouvais à la même place mais j’écrivais entant que collégienne.
Au fait, je ne me suis même pas présentée ! Moi, c’est Stella, pour ceux qui suivent « Le Torchon » depuis un petit moment, vous avez dû entendre parler de moi, j’ai même eu un article, écrit par la relève, après ma visite au collège en septembre dernier. Pour me décrire, je vais faire assez vite (je n’aime toujours pas ça !), je suis une jeune femme de bientôt 20 ans, actuellement étudiante en deuxième année d’un DUT techniques de commercialisation à l’IUT de Châtellerault. Et puis, pour le reste, vous apprendrez à me connaitre à travers mes prochains articles.
Mais pourquoi j’ai la chance d’avoir MA rubrique dans le torchon ?
L’aventure a pris forme le jour de ma visite aux nouveaux zélèves de l’option média du collège. Je suis venue les voir pour leur raconter mon parcours scolaire, mais surtout ma petite expérience dans le monde de la mode grâce à mon stage de première année de DUT (Je vous parlerai de mon expérience parisienne dans un autre article). À la fin de ma visite, Mme Dibot m’a proposé d’écrire sur cette expérience et sur les opportunités que j’ai eues depuis ce stage, ainsi qu’écrire sur ma passion qui est la mode, mais plus particulièrement la mode « grande taille ». J’ai tout de suite dit oui, car j’ai toujours voulu avoir un blog où je raconterais tout et n’importe quoi, mais surtout, où je pourrais écrire ce que je ressens sur la société de nos jours, sur les problèmes que l’on peut rencontrer quand on est différents des icônes de la mode mais surtout sur la mode ! Alors pourquoi ne pas commencer par le blog sur lequel j’ai publié mes premiers articles ?
Pourquoi « Absolutely Curvy » ?
Tout simplement parce que je me suis toujours dit que, le jour où je me lancerais dans la création d’un blog, je le nommerais ainsi. Ce nom me représente bien, je trouve !
Vous l’aurez compris, niveau morphologie, je n’ai pas la même que les mannequins que l’on peut voir dans les magazines, je vous avoue que la taille 36, voire 34, je ne suis jamais rentrée dedans ou, du moins, pas très longtemps ! Mon corps, je l’ai toujours connu ainsi, différent des autres, j’ai appris à l’accepter après de longues années remplies d’obstacles que j’ai surmontés et qui m’ont forgé d’ailleurs un caractère bien trempé. Mais le chemin est encore long jusqu’à l’acceptation totale de ce corps qui me rappelle des souvenirs douloureux. Mais ça, c’est une autre histoire !
Bon, je vais m’arrêter là car, si je m’écoutais, je vous parlerais de tout ; tout de suite mais je vais garder quelques sujets pour mes prochains billets. Et puis, comme disait Madame Dibot « pour qu’un article soit sûr d’être lu, essayez de ne pas faire un trop grand article ». Bon, bah, c’est loupé et je pense que je ne vais pas souvent respecter cette règle ! Désolée, madame, mais je suis de plus en plus bavarde avec les années !!
Il est le premier chanteur récompensé par l’Académie «pour avoir créé dans le cadre de la grande tradition de la musique américaine de nouveaux modes d’expression poétique». (Libération)
Nous avons été accueillis par Armand dans le sous-sol du « 4 » maison de quartier de la Plaine d’Ozon. Il a fait se questionner les élèves sur leur connaissance des Snapchat, Instagram, Facebook et autre.
Rapidement les élèves se sont rendus compte qu’ils ne connaissaient finalement que la face émergée de l’iceberg. En effet, personne dans la pièce n’avait jamais lu précisément les fameuses « conditions légales » obligatoires pour profiter du réseau social. Et pourtant on y apprend que les sociétés sont les vrais et seuls propriétaires de nos données que nous publions (photos, vidéo, messages…), qu’elles peuvent les revendre et les utilisent pour mieux nous connaître…
Choqués par le fait qu’une image qui n’est sensée être visible que 5 secondes reste indéfiniment dans les serveurs de SnapChat, que l’entreprise peut faire ce qu’elle veut avec les élèves ont ensuite travaillé sur les dangers liés à une mauvaise utilisation d’internet.
Beaucoup se sont aussi inscrits avant les âges légaux (13 ans pour Facebook). Beaucoup n’utilisent qu’un seul mot de passe, ne le modifient jamais et certains (Louis par exemple) se sont même fait pirater. A la grande surprise des élèves, il est facile de pirater un compte, la recette se trouve même sur Youtube avec des tutoriels bien fait.
A l’aide d’extrait de reportage, Armand a fait prendre conscience de la possible dangerosité du partage d’info, de photo. On y voit le lien très rapide avec les notions de harcèlement. Parfois ces histoires se terminent par des drames : suicides, déménagements contraints, dépressions. Pire souvent on ne s’en rend compte que trop tard.
Les réseaux sociaux sont donc des outils formidables lorsque l’on paramètre correctement nos fonctionnalités et que l’on fait attention à ce que l’on publie.
Après avoir lu un article parlant des devoirs à la maison, nous avons décidé de nous poser la même question : faut-il vraiment supprimer les devoirs pour les collégiens ?
Pour nous, la suppression des devoirs est une bonne idée. Nous pensons que nous travaillons suffisamment en cours durant la journée. En rentrant chez nous, nous avons rarement l’envie de reprendre nos cahiers, après 8h de cours.
Nous pensons seulement qu’il faut garder la révision pour les contrôles et certains devoirs maison pour qu’on puisse toujours avoir des notes.
Nous avons lu dans un article que l’avis est partagé par de nombreux spécialistes de l’éducation qui considèrent que le travail à la maison accentue des inégalités car certains élèves bénéficient de l’aide de leurs parents, d’autre des aides aux devoirs qu’on ne trouve pas dans tous les collèges enfin certains n’ont aucune aide.
La plupart des avis sur ce sujet sont partagés, aucune personne ne pense pareil, certains pensent que c’est utile par apport à l’autonomie, la liberté de travailler comme on veut, certains pensent que l’élève a besoin de revoir ce qu’il a vu seul.
M.Aimé : Il pense qu’il est nécessaire de relire ses leçons pour ne pas oublier et donne rarement des devoirs car il sait qu’il y a des inégalités.
Mme Vaye : Y’a du contre car à la maison les élèves n’ont pas les mêmes conditions de travail qu’à l’école. Mais il y a aussi du pour car c’est indispensable pour mémoriser et s’entraîner. Elle n’aime pas en donner énormément, justement par apport à la question de l’inégalité.
Mme Douzi : Je suis pour mais uniquement pour les devoirs écrits (tout ce qui et exercices) après 80% doit se faire en cours : si tu écoutes bien en cours, tu n’as pas besoin de consacrer beaucoup de temps à tes devoirs à la maison.
Mme Dibot : Je crois fermement en la vertu du travail personnel de l’élève à la maison pour les raisons suivantes :
Un élève qui arrive en cours en ayant déjà réfléchi chez lui à une analyse de texte est un élève qui comprend mieux l’enseignement fait en classe. Les devoirs maison notés le sont avec un faible coefficient (coef1), les devoirs en classe avec un plus fort coefficient (coef2/3).
Mme Barret: Non pour la suppression des devoirs, car ça permet de mémoriser et de s’entraîner et, surtout, d’apprendre. Elle veut bien donner des leçons, mais pas beaucoup par rapport à l’inégalité de l’ aide des élèves chez eux.
Actuellement blessé, je suis en option média mais normalement je fais partie de la section football du collège, c’est pourquoi je vais vous présenter une séance lambda.
Après la sonnerie de 11h, tous les élèves de la section football se retrouvent à coté des terrains. M.Bassereau qui est accompagné de M.Duma emmènent les élèves dans les vestiaires du gymnase pour qu’ils se mettent en tenues de foot. Vers 11h20, tout le monde sort des vestiaires et se retrouvent devant la porte, les profs nous expliquent le déroulement de l’entrainement, ils nous expliquent les exercices qui auront lieux durant la séance.
Les “footeux”, le surnom qu’on leur donne, se retrouvent sur le terrain. Après avoir procédé à un bon échauffement, avec des temps de course et des temps d’étirements pour s’assurer qu’il n’y ait aucun risque de claquage ou de blessure, vers 11h 35 l’entrainement commence.ae mardi M.Bassereau fait travailler la technique aux élèves de la section, ils apprennent à maitriser le ballon, pour ça ils réalisent des conduites de balle, des dribles…
Le jeudi c’est plus la tactique qui est travaillée, sur le terrain on apprend à se déplacer intelligemment, mais aussi des tactiques à mettre en place durant un match.
Après une séance qui c’est bien déroulée, les coachs nous font un débriefing de l’entrainement et nous envoient aux vestiaires pour prendre une douche, la douche est obligatoire. Vers 13h nous pouvons aller manger au réfectoire. La séance est terminée