2016 s’achève à présent, 2016 fut une année remplie d’émotion (en tout cas pour ma part). Cette année ne fut pas aussi paisible qu’on aurait pu l’espérer avec des attaques terroristes et des attentats tels que :
Et j’en passe des meilleures, tout ces hommes, si on peut considerer ces personnes comme étant des hommes, font partie d’une organisation “L’Etat Islamique”. Je ne comprends pas pourquoi considérer ces décérébrés comme un “Etat”. Doit-on réellement les considerer comme un état ? Et Islamique en plus, euh, je ne crois pas, non.
J’ai deux mot en particulier que j’adresse aux islamophobes qui s’en vantent et à ceux qui font des amalgames. Les terroristes, les Djihadistes, les décérébrés, appelez-les comme vous voulez, sont des hommes qui se disent “Musulman(e)s” et qui tuent, torturent de sang froid en disant agir “au nom d’Allah”.
D’accord, je veux bien y croire, mais si on se cultive, on se renseigne et on a de la réflexion, et on se rend très vite compte que tuer au nom d’un dieu dans une religion est une absurdité inouïe. Est-ce que, parce que des hommes qui se disent musulmans commettent des crimes, toute la population musulmane fait de même ? Je ne crois pas, si c’est le cas, alors, si un homme de confession chrétienne commet un viol, tous les Chrétiens sont des violeurs : c’est absurde, on est d’accord, c’est pour ça qu’on ne doit pas tout généraliser et faire des amalgames.
Comme je le disais, il n’a pas s’agi d’une année facile pour tous, c’est pour cela que je souhaite à tous (surtout à vous qui lisez le Torchon) beaucoup de bonheur et une heureuse et merveilleuse année 2017. Une nouvelle année remplie de surprises (de bonne surprises ) qui s’annonce ;).
N’Aissita.
Le Monde
Un poids lourd a foncé sur la foule dans le centre de la capitale allemande, lundi soir, faisant 12 morts et une cinquantaine de blessés. Le conducteur a été arrêté. La piste d’un attentat est privilégiée. (Libération)
http://www.liberation.fr/planete/2016/12/19/berlin-carnage-sur-un-marche-de-noel-12-morts_1536414
Après «Time» et sa une sur la comédienne trans Laverne Cox en 2014, une fillette trans de 9 ans occupe celle du mensuel américain dédiée à la «Révolution du genre».
Le National Geographic, dans sa version anglaise, dédie son numéro du mois de janvier à la question du genre et de ses représentations. Après Laverne Cox, comédienne de la série Orange Is the New Black en une de Time en juin 2014, il s’agit d’une première : la couv affiche Avery Jackson, jeune transgenre de 9 ans à la chevelure rose. Repérée aux Etats-Unis, la fillette du Kansas avait déjà fait l’objet d’un portrait dans le New York Times, où son père Tom expliquait le diagnostic émis par les médecins (dysphorie de genre) et sa transition à l’âge de 5 ans. «Plus de 50% des enfants trans essayent de se suicider au moment de l’adolescence, rappelait le père. La raison principale pour laquelle ces enfants essayent de se faire du mal est le manque d’amour et de soutien de leurs familles et amis. Ma femme et moi avons décidé que nous préférions avoir une fille heureuse et en bonne santé qu’un fils mort.» (Libération)
Un article très intéressant sur la question de l’identité, du bonheur, de l’équilibre psychologique à travers le récit de la vie d’un petit garçon qui se sait préférer être fille. Et pour celles et ceux qui comprennent l’anglais (ce n’est pas d’un niveau difficile, promis), un texte écrit par le père de la petite fille aux cheveux roses. Ici : http://www.nytimes.com/interactive/projects/storywall/transgender-today/stories/avery-aj-jacksonhttp://www.nytimes.com/interactive/projects/storywall/transgender-today/stories/avery-aj-jacksonhttp://www.nytimes.com/interactive/projects/storywall/transgender-today/stories/avery-aj-jackson
Comme vous étiez beaux, hier, chers zélèves, du moins ceux que j’ai pu croiser ici ou là : je pense aux nœuds papillon de Louis et de Waren, à la chemise blanche et au collier d’Hümeyra, au petit col Claudine sur imprimé petits pois de Linda, je pense aux jupes-crayons associées aux baskets (drôle de mode !), aux mousselines des chemisiers, aux petits blousons de cuir et aux petits détails des bijoux : hier, au collège, c’était festival de tendance ! Défilé collection automne-hiver 2016 !
J’espère que tout s’est bien passé pour vous, mes chers zélèves ! Pour ma part, j’ai eu droit à des prestations aussi diverses que variées : on m’a parlé des 400 Coups, d’une maison de retraite, d’un magasin de vêtements (que je ne connais pas !), on m’a parlé d’ateliers de tests de sécurité sur des articles de sport, d’ateliers municipaux, j’ai même entendu une élève évoquer son rêve devenu réalité : faire un stage dans un garage automobile : où l’on a discuté féminisme et … machisme…
En résumé, ce fut une journée faste, et ce matin, nous nous réveillons en vacances : il n’y a plus qu’à attendre la neige… Bonnes vacances à toutes et à tous !
(photo publiée dans Le Monde);
Il y a deux semaines j’ai effectué mon stage à Monoprix. Il s’agit d’une enseigne située dans le centre ville de Châtellerault. Son activité principale consiste à vendre des produits alimentaires et non-alimentaires et du textile. J’ai passé beaucoup de temps à chercher un stage qui me plaisait, mais en vain. Alors j’ai décidé d’aller voir à Monoprix en espérant que ma demande serait positive. Je vais essayer de résumer ma semaine en deux points : les points positifs d’un coté et les points négatifs d’un autre côté.
Premièrement, les points positifs
∞Multitude d’activités et de tâches très intéressantes
∞Personnel aimable
Deuxièmement, les points négatifs
∞Tâches trop répétitives
∞Les journées sont parfois longues et ennuyantes
En conclusion, je ne compte pas réellement poursuivre dans cette voie. Après ce séjour dans cette entreprise, j’ai une vision tout autre du milieu professionnel. Je n’envisage pas mener une carrière dans tout ce qui touche la distribution, le marketing ou le commerce. Je souhaiterais plutôt faire carrière dans un métier où chacune de mes journées serait différente. Peut être devenir éducatrice spécialisée.
“Ce sont les mêmes mots de désespoir et de panique. «Les gens courent sans savoir où aller. Il y en a qui sont enterrés vivants sous les décombres, d’autres qui sont blessés dans les rues. Personne ne peut les aider, les bombardements ne s’arrêtent pas. C’est le jour du jugement dernier, une extermination, croyez-moi», dit un habitant du quartier de Khalasseh. «Ceci est peut-être mon dernier appel. Sauvez les habitants d’Alep. Sauvez ma fille», dit un autre sur Twitter.” (Libération)