“Engagez-vous, qu’y disaient…”
Le totalitarisme : le totalitarisme désigne un régime politique dans lequel un parti détient la totalité des pouvoirs et ne tolère aucune opposition.
Prenons l’exemple de La vague , un film de 2009 : C’est un lycée en Allemagne dans lequel un professeur fait un atelier sur le totalitarisme et il demande à ses élèves si une nouvelle dictature est possible et les élèves disent qu’en Allemagne , une dictature ne verra jamais plus le jour.
Donc, le professeur va en créer une sous forme de jeu de rôle pour prouver à ses élèves qu’ils ont tort, en imposant des règles comme, par exemple, le port d’une chemise blanche ou encore un symbole, un salut. Ils décident ensemble de nommer cette dictature La Vague.
Nous voyons dans ce film que les élèves sont plus soudés mais ils rejettent les autres qui ne font pas partie de leur groupe. Je pense que le réalisateur a voulu passer un message à travers ce film car ce film est tiré d’une histoire vraie et on voit bien que des élèves arrivent à se faire entrainer.
Aujourd’hui, si on prend une classe d’élèves de George Sand, je pense que les élèves ne se laisseraient pas faire. Je pense qu’il y en a qui ne voudraient pas porter la chemise blanche -un uniforme- et d’autres qui ne respecteraient pas les règles. Je pense que cela ne serait pas possible aujourd’hui.
Voila une image explicite qui représente bien les effets du totalitarisme.
La main est disproportionnée par rapport aux humains, ce qui montre l’emprise des personnes qui lisent leur journal.
Louis.
C’est bien, Loulou, tu écris pendant tes vacances 😉 Dois-je considérer ton article comme achevé et dois-je le publier ?
Réponses :
a) oui
b) non
c) T’endez, M’Dame, vous voyez bien qu’il manque un tas de pensées encore !!!
A. Dibot, prof croulant sous les copies de 3ème… A propos, où est ton analyse des lettres 7 à 12 d’Inconnu à cette adresse ? Je suis en pleines corrections, mais de copie de Loulou : point…
Évangile de Luc, 6, 41 : « Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l’œil de ton frère et n’aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton œil à toi ! “
(La parabole de la paille et de la poutre par Domenico Fetti)
Diantre, fichtre, ciel ! Mais qu’arrive-t-il à notre Torchon laïque ? Voilà qu’on y cite les Evangiles, à présent ? T’endez, t’endez… Patience… Cette parabole, il faudrait aujourd’hui la prendre à l’envers : je m’en explique. Voici peu, j’avais rédigé dans ces colonnes mes doléances au sujet de mes zados, mes zélèves, à qui je reprochais de ne pas savoir suivre un film (La Vague, pour celles et ceux de nos zinternautes qui suivent) sans bavarder…
Je voyais la paille dans mon œil (d’où la parabole à considérer à l’envers). Je n’avais pas vu la poutre dans l’œil de mes voisins. Je m’explique : mes zélèves sont bavards quand ils regardent un film, certes : et encore, il semblerait que je mette le curseur tolérance aux bavardages proche du zéro… Donc, mes zélèves seraient bavards, et je serais, en vieillissant, devenue intolérante au bruitage de bouche (“On parle pas, M’Dame !”).
Aujourd’hui, j’ai choisi d’emmener mes zados perso (par opposition aux zados boulot, toujours pour celles et ceux de nos zinternautes qui suivent) au cinéma, voir le film Un sac de billes, adapté du roman de Joseph Joffo.
A Châtellerault, au Loft : salle vide à notre arrivée, mais notre tranquillité fut de courte durée. La porte s’est ouverte peu après que mes zados eurent ouvert leurs sachets de bonbons et leur boisson favorite, sur une fratrie gouaillante : “P… on a une salle de M… !” qui, sans se préoccuper de saluer qui que ce soit, s’est installée devant nous. Jusque là, rien de trop choquant. Non ? Les pieds sur les fauteuils de devant ? Non plus ? Soit. Mes pauvres zados persos n’ont pas intérêt, eux, à tenter un seul orteil sur les fauteuils de devant, mais chacun sa méthode éducative… Là où le bât m’a blessée, c’est quand la jeune ado, aînée de la fratrie (la plus haute de taille), a renchéri par un tonitruant : “Salle de M… Déjà qu’y a rien à faire à Châtellerault, ville de M…”. A sa mère qui tentait (mollement ?) de la faire taire, la gracieuse jeune demoiselle a répondu : “Déjà, si on virait tous les immeubles des Noirs, ça irait mieux”…
Nous sommes d’accord ? On peut être choqués d’un tel propos ? Son voisin (frère ? Copain ?) a tenté une réponse nuancée : “Laisse les Noirs, tu veux”. Réponse couperet : “Je n’ai aucun problème avec ce que je dis !”. Ah non, elle avait bel et bien dit ce qu’elle pensait.
Je me suis demandé dans quel collège de la ville cette jeune fille était inscrite. Pas le nôtre. Dans notre collège, ce genre de propos n’existe pas. Je n’ai donc plus mal à mes zados, finalement : ce que j’avais dans l’œil, l’autre jour, n’était qu’une paille, en comparaison de la poutre dans celui de mes collègues qui ont à instruire cette demoiselle-ci (ou de sa mère, peut-être ?)
Qu’a bien pu comprendre cette ado du magnifique film que nous avons vu cet après-midi ? Assurément rien. Mes zados boulot auront le bonheur de le voir dès la semaine de la rentrée : en silence 😉 par respect pour les autres spectateurs.
Et si la nourriture pouvait mettre fin à ma vie ?
Jeudi dernier on a eu CESC est l’intervention d’un certains Damien qui est venu nous “sensibiliser” à avoir une activité physique et surtout, surtout, bien se nourrir. Moi, après cette intervention, j’ai eu peur de me nourrir et d’ouvrir un frigo (vous allez comprendre pourquoi après j’ai mangé et c’est allé mieux (ironie) )
Bien se nourrir, c’est quoi ?
Manger cinq fruits et légumes par jour ?
Trois produits laitiers par jour ?
De la viande ou du poisson une fois par jour ?
Euh, si tu pensais ça, permets-moi de te dire que t’as faux sur certains points : les fruits, on est OK. L’eau, c’est à volonté : ton corps ne doit pas en manquer. Et il faut favoriser les viandes blanches, en gros, le poisson, le poulet, la dinde… Mais le lait de vache, t’oublie, car des études récentes ont montré et prouvé que le lait de vache est cancérigène. Ouais, là, tu commences à avoir peur, j’étais dans le même état que toi en apprenant ça (sauf si tu savais déjà). Enfin, bref, pourquoi le lait de vache est cancérigène ? J’insiste sur lait de vache car ça ne concerne que le lait de vache. Alors le lait de vache est cancérigène, oui, car à la vache, on lui fait ingérer un tas de produits chimiques, donc tout ça est présent dans son lait, donc, nous, on le boit. Enfin, plutôt vous (moi je suis et j’ai toujours été anti-lait ) buvez le lait donc, tous ces produit atterrissent dans votre corps. Soit le cancer se développe, soit pas, mais croyez pas que parce que vous avez bu du lait pendant, quoi 10 ans, 50ans, que vous aurez un cancer. Certaines personnes comme moi n’ont jamais touché un verre de lait et ont un cancer et d’autres passent leur vie à boire du lait et n’ont rien, c’est comme ça, après, c’est le destin.
Le lait, on peut en boire max jusqu’à nos 3 ans et c’est pareil pour la viande de vache, il faut s’en méfier mais il existe d’autres laits moins “nocifs” on va dire pour la santé : il y a le lait de brebis, de soja, le lait d’amandes…… Mais à savoir aussi : le fait de vouloir bien se nourrir, ça coûte un peut plus cher mais c’est pour une vie et une santé plus plus plus (j’ai pas de mot pour définir ça). Mais faut savoir que la nourriture peut nous tuer, la nourriture est liée à pleins de maladies chroniques du genre le diabète, l’hypertension… Donc, quand on dit “la gourmandise est un vilain défaut”, c’est vraiment un vilain défaut. Vous voyez vos enfants dire à vos petits enfants :”moi, mon père est mort parce qu’il consommait trop de sucre ou parce qu’il grignotait trop.” ?
Non, non, on est d’accord, c’est flippant (excusez mon langage) mais c’est flippant de se dire qu’on peut mourir parce que on aura mangé un peu trop, enfin, beaucoup trop de TACOS, ou qu’on auras fait et mangé trop de muffins. Tout ça pour dire que la Bouffe (excusez mon langage), c’est comme la technologie : faut la consommer avec modération. C’est bien compris ? Avec MODERATION parce que tout ce qu’on mange est susceptible, si on ne fait pas attention, de mettre fin à nos jours car il s’agit d’aliments “nocifs” . Ils peuvent être bourrés de conservateurs, de sucre : rien qu’en sachant tout ça, on est dégoûtés de la nourriture. Lorsqu’on boit une cannette de coca, c’est comme si on buvait un verre de sucre. Les plats tout cuisinés, surgelés, c’est bourré de conservateurs. Quand j’ai su tout ça, je ne voulais plus manger mais, sans rire, manger, ça me répugnait, je me sentais sale à l’intérieur parce que j’avais mangé toute cette “horreur” pendant près de 15 ans !
AH, je m’empoissonne toute seule ! C’est triste, la bouffe va me tuer ! AH AH AH, c’est pour ça qu’on consomme avec MODERATION. C’est bien compris ? J’espère que oui, je suis une super héros en écrivant cet article : j’ai sûrement sauvé des vies…
http://www.liberation.fr/planete/2017/02/17/en-israel-un-catalogue-ikea-sans-femmes-pour-les-ultra-orthodoxes_1549120
A lire dans Libération, ce matin : un catalogue Ikea sans femmes sur les photos, afin de “respecter les valeurs de la communauté juive Hassedim”, pour qui la représentation de la femme est impudique.
Ci-dessus, un photo-montage datant de l’an dernier, paru dans un journal israélien : Angela Merkel et Anne Hidalgo ont disparu de la seconde photo, pour les mêmes raisons !
Sans commentaire ?
La technologie pourrait être une faille pour notre génération et celle à venir ?
L’évolution de la technologie m’effraie fortement. De nos jours, les enfants naissent avec la technologie entre leurs petites mains. Certains passent plus de temps devant un écran qu’il ne peuvent dormir. J’observe beaucoup et je constate beaucoup aussi. Aujourd’hui, le contact humain est de moins en moins en présent, au lieu de voir les enfants jouer, discuter, crier, sauter partout… s’amuser, quoi, on les voit les yeux rivés sur un écrans.
C’est triste, non ? Nous, les ados, nous, les collégiens, nous, les adultes de demain, 36 heures sur 24 sur les réseaux sociaux avec nos écouteurs et nos musique de sauvage. Oui, Oui, je suis une veille ronchonne qui n’aime pas le changement et qui est effrayée par l’évolution des choses. Ca peut paraître étrange, voire bête, mais c’est comme ça, ça me fait peur, tout cette technologie.
Qui dit que, demain, on ne verra pas des couples de robots ? Rien n’est impossible ! Nul ne sait de quoi demain sera fait. L’homme est remplacé par des machines et, après, on se plains du chômage. Faut savoir ce qu’on veut. Enfin, bref, on n’est pas dans une rubrique politique pour débattre du chômage. Moi, y a 10 ans, je passais ma vie à dessiner, jouer dehors……. (ça n’a pas trop changé ) C’est plus du tout ça. C’est triste et ça me fait peur, là, maintenant, on voit des “petits” de 8-9 ans avec des téléphones sur Instagram, Snapchat, Facebook et tout le tralala.
Moi, à leur âge, j’avais ma Nintendo Ds, ma tête à tresser et j’étais heureuse. Mais c’est plus le cas. Moi, personnellement (je raconte trop ma vie, je sais, je sais, c’est un des principes de L.V.R, dire ce qu’on a sur le cœur et encaisser les conséquences mais je crois pas que c’est un principe à garder parce que je finis toujours chez la CPE ) Snap, Insta……. Je m’en sers, hein, faut pas mentir, mais c’est pour parler, appeler, envoyer des messages et, surtout, surtout, demander les devoirs et lire. Oui, je lis même sur les réseaux sociaux, je me cultive via Instagram ou encore Wattpad où on peut lire des nouvelles intéressantes basées sur des faits réels et très bien écrits. Qui dit qu’ils ne seront pas de futurs écrivains ?
Enfin, tout ça pour dire que les réseaux sociaux, c’est un bien pour un mal parce qu’on peut lire et lire, c’est ma vie. Bref, bref, là, je m’égare. Revenons à mon sujet principal. Ce que je veux dire, c’est que la technologie, le téléphone, les réseaux sociaux, c’est bon, mais c’est comme les matières grasses : le sucre et le sel, c’est bon, mais faut consommer avec modération . Surtout que si on ne fait pas attention, très vite, le contact humain n’existera plus. Je vais encore ronchonner parce que le contact humais est essentiel , il serait regrettable de finir avec des amis fictifs, non ? Ou bien des collègues robots ? Vous vous voyez à la pause déjeuner prendre un café avec un robot ? En plus, je crois pas que les robots digèrent pas bien le café . Il faut savoir que, tant que nous sommes en vie, il faut profiter les uns des autres : la faiblesse de l’un peut être le force d’un autre, pour avoir une vie harmonieuse. Oui je suis une vieille ronchonneuse dont il ne faut pas changer les habitudes et ça aussi, il ne faut pas le changer parce que, moi, je compte pas changer car on ne change pas La Vieille Ronchonne, hé, hé 😉
En effet, le lycée pour filles de Pretoria en Afrique du sud , aurait appliqué un règlement raciste interdisant les coupes afros et aurait obligé ses élèves à se lisser les cheveux .
Tout serait parti d’une histoire de cheveux, Zoulaikha Patel une lycéenne de 13 ans aurait été menacée d’exclusion après avoir refusé de se lisser les cheveux pour les attacher .
Cette raison a fait bondir plus d’un membre de la communauté pour faire signer une pétition contre cette règle capillaire absurde et pour qu’elle disparaisse, mais Zoulaikha Patel n’est pas la seule à avoir été menacée pour sa coiffure, plusieurs élèves noires ont exprimé leur ras-le-bol.
Je trouve très injuste d’expulser une élève pour sa coupe de cheveux. La question que je me pose est : pourquoi faire un tel règlement dans un pays africain où la plupart des jeunes filles ont les cheveux afros. Pour ma part, j’espère que dans mon collège il n’y aura jamais ce règlement vu que je ne serais pas d’accord étant donné que cela va à l’encontre de la nature de nos cheveux .
Les cheveux qu’ils soient crépus, lisses, bouclés… ça reste la beauté de la femme.
Les événements récents m’ont amenée à réfléchir aux droits et aux devoirs de la police française.
La police nationale dispose d’un code de déontologie depuis le décret n°86-592 du 18 mars 1986. Ce code est partagé depuis le premier janvier 2014 avec la gendarmerie. Celui-ci est intégré au code de la sécurité intérieure.
Ce code impose au policier d’être “loyal et d’intervenir pour porter aide et assistance aux personnes qui en ont besoin, même en dehors de son temps de service.” Pour moi les policiers sont effectivement loyaux et aident les personnes qui en ont besoin même sur leur temps libre. Ils remplissent donc leurs missions.
Ce code prévoit aussi une “obligation de réserve ainsi que le respect du secret professionnel.”Dans l’ensemble, les policiers semblent respecter les secrets de leur professions.
De plus, “Le policier ou le gendarme est au service de la population. Sa relation avec celle-ci est empreinte de courtoisie et requiert l’usage du vouvoiement”. Le tutoiement de certains policiers est très humiliant car c’est un manque de respect et cette loi n’est pas respectée par la plupart des policiers, surtout lorsqu’il s’agit des jeunes, notamment dans les quartiers populaires. Même l’ancien premier ministre Manuel Valls “jugeait scandaleux“ le tutoiement des policiers.
Nous apprenons aussi que l’agent des forces de l’ordre doit être “Respectueux de la dignité des personnes, il veille à se comporter en toute circonstance d’une manière exemplaire, propre à inspirer en retour respect et considération.” Malheureusement, certains policiers ne respectent pas ce devoir d’être exemplaire, l’affaire Théo en est un triste exemple.
Lorsque la loi l’autorise à procéder à un contrôle d’identité, “le policier ou le gendarme ne se fonde sur aucune caractéristique physique ou aucun signe distinctif pour déterminer les personnes à contrôler, sauf s’il dispose d’un signalement précis motivant le contrôle”. C’est faux : les jeunes noirs et arabes sont les principales personnes contrôlées selon une étude du défenseur des droits analysée par le journal le Monde. Certains de ces contrôles finissent avec des violences physiques dont plusieurs personnes innocentes sont victimes.
J’ai trouvé que si les policiers respectaient ces lois, ce serait déjà pas si mal.
MARIA
Nous le savons tous, en France, il est interdit de frapper sa femme ou encore ses enfants, mais pas en Russie !
Comme vous aurez pu le comprendre, maintenant, en Russie le fait de battre sa femme ou son enfant n’est plus un délit. Le 25 janvier une dépénalisation de toutes les violences familiales a été votée. En Russie, les fessés données par les parent aux enfants et les coups portés aux femmes ne seront plus sanctionnés par 2 ans de prison (la peine maximale encourue) mais par des travaux obligatoires ou des amendes.
Les députés russes ont adopté ce mercredi 25 janvier un projet de loi qui vise à dépénaliser la violence domestique y compris celle commise contre les enfants à 385 voix contre 2. Les violences conjugales, n’entrainant aucune lésion corporelle, ont déjà été dépénalisées en 2016 sous l’impulsion du président Vladimir Poutine.
Lorsque l’on regarde la composition de l’assemblée russe, on s’aperçoit que 9 députés sur 10 sont des hommes. La Russie est en 140e place des environs 200 parlements dans le monde. http://www.ipu.org/french/issues/wmndocs/classif.htm Encore une fois les hommes ont voté pour une loi qui va dans leur sens et contre le droits des femmes…
Pourtant 10.000 femmes meurent chaque année en Russie sous les coups de leur conjoint. Plus de 650.000 femmes sont battues chaque année par leur mari ou par un proche, c’est ce que dit le le bilan du Centre National Contre les Violences Familiales. D ‘après l’ONG, qui précise que les statistiques restent inchangées depuis 1995, une femme meurt toutes les 63 minutes dans des violences domestiques en Russie. En 2015, les chiffres du Kremlin sont pourtant bien différents, le pouvoir russe reconnaît que “seulement” 4.000 personnes ont été tuées par un membre de leur famille. D’après cette même source, 40% des crimes violents les plus graves ont lieu dans le cercle familial.
Heureusement, en France, les lois vont un peu plus dans le sens des Femmes. Les lois sont plus sévères en France pour les auteurs des violences faites aux femmes.
Quelle enfance avons-nous eue ?
Prisca : Moi, je n’ai pas reçu de coups venus de mes parents. Ma mère non plus ne s’est pas fait frapper par mon père. Donc mes frères et soeurs non plus. Ca me choque que la Russie autorise cette loi. Quand mes petits frères et soeurs font des bêtises, ma mère les prive de ce qu’ils aiment, ou leur dit des mots en créole, elle peut leur donner une petite tape sur l’épaule, elle les pousse gentiment : ce n’est pas violent, ça s’arrête là.
Mme Dibot a, elle, enfant, reçu quelques fessées et gifles (mais c’était toujours de la faute de son frère ou de sa soeur) 🙂 Une fois, elle s’était évanouie après une chute de vélo et son père l’avait réveillée avec une gifle !
M. Aimé a reçu beaucoup de fessées et de gifles : assez pour ne plus les compter ! Ses parents lui tapaient sur la main. S’il ne présentait pas sa main, il avait droit à la gifle ! Certaines gifles n’étaient pas imméritées, selon lui… même s’il croit que la gifle n’est pas la solution.
Mme Douzi : Une seule fois, elle était petite, son père lui avait donné une gifle ! Elle croit qu’elle était assez rebelle et qu’elle lui avait mal répondu, il n’avait pas aimé ! Prisca