Jeudi soir, j’ai regardé à la télé le film Le Pianiste de Roman Polanski, adapté du roman autobiographique de Wladyslaw Szpilman.
Le film se déroule durant la seconde guerre mondiale. En septembre 1939, Varsovie subit de plein fouet les bombardements allemands. Władysław Szpilman, qui joue du piano en virtuose, offre pour la dernière émission de la radio nationale un air de Chopin.
Juif, Polonais, Władysław habite à Varsovie… Cette ville deviendra tristement célèbre pour le ghetto qu’elle abrite, où ses frères et sœurs de confession juive sont parqués comme des animaux. Pendant trois ans, Władysław Szpilman va s’accrocher à la vie. Les conditions, au quotidien, sont proches de l’inimaginable. La nourriture, extrêmement rare, est hors de prix, et lorsqu’il marche dans la rue, Władysław doit enjamber des cadavres. D’anciens amis, des connaissances, des anonymes morts de froid, de faim ou de maladie.
Le pianiste virtuose est bien loin, même si la musique ne l’a jamais quitté. Il se fait capturer lors d’une rafle, mais parvient, grâce à la complicité d’un ami juif de sa famille devenu policier, à échapper au train de la mort. Errant de cave en cave, transi de froid, torturé par le manque de nourriture, il survit… Mais Wilm Hosenfeld, un officier allemand mélomane, le recueille et lui sauve la vie.
Ce film a été récompensé de 3 oscars, de 7 césars et de la palme d’or du festival de Cannes en 2002.
J’ai adoré ce film, je n’ai qu’une chose à vous dire IL FAUT LE VOIR !!!!
Stella