Les ateliers d’écriture sont l’occasion pour les enseignants d’assister à la phase créative des rédactions de leurs zélèves : en général, les professeurs sont épargnés par cette phase, qui se cache à la maison.

Cet après-midi, ce fut en direct : “une pétale, une synopsis” : pourquoi le masculin alors que le féminin, c’est tellement plus joli ?

Et que dire des “pas accélérés” ? Au moins sont-ils accordés.

Manon n’en croit toujours pas ses oreilles et va de ce pas (non accéléré) vérifier le genre de pétale dans le dicitonnaire…

 

 

Avr
04

Dernière séance ce jour (et Wahiba qui n’est pas là pour mettre en mots son synopsis fantaisiste…. Dommage…)

Pierre d’Ovidio, authentique écrivain, est auprès de vous, chers zélèves, pour mettre la dernière main à vos textes : vos nouvelles policières ont avancé, certains ont même écrit à la maison, histoire de faire progresser l’intrigue…

Les scénari sont ficelés, plus ou moins heureusement d’ailleurs : l’assassin de prof de français (chez Manon) manque cruellement de mobile et d’alibi… La victime à talons aiguille et robe de soie noire (chez Hanène, tiens, encore une prof assassinée !) va avoir besoin d’attention et de circonstances pour expliquer sa présence dans ce chemin creux mal famé une veille de rentrée scolaire…

Par contre, chez Certains, ça progresse, et vite, et efficacement : pas besoin de la prof pour trouver l’expression adéquat… La victime se presse vers son destin (cruel) : et si elle veut se presser “d’un pas accéléré”, contrairement à toute logique professorale, eh bien, la victime se presse d’un pas “accéléré”.  Foi de Mazarine-Julie-Anissa !

Du côté de chez Lukas-Oussama-Alexandre, le pauvre héros, nommé François Copé, a besoin de confirmer ici et là une expression : “bouche bée”, “empreinte des pas” au lieu de “traces”, c’est plus élégant. “Elégant”, justement, au lieu de “chic”… On travaille son vocabulaire !

L’accroche très réussie du texte des Alex-François-Manatea semble plus lente à trouver son rythme, mais comme le dit le dicton italien : “Chi va piano va sano !” Cette bande de mafiosi italiens va bien finir par la braquer, cette banque ! Aux pistolets à eau, s’il vous plait.

Chez Jofrey, interrogatoire musclé d’emblée, par l’Inspecteur Morel… On attend de lire l’intégrale… en trois tomes, Jofrey ?

Kévin est en pleine séance de lecture auprès de notre écrivain : gageons que son intrigue, plantée en plein mai 68, saura conquérir notre professionnel. Kévin a une plume, on le sait.

Moustoifaïni et Assani, enfin, pousuivent une bande de trafiquants de drogue dans des contrées outre-mer…

En attendant de lire toutes ces nouvelles…

Avr
01

Un grand merci à Kévin et Joffrey, qui ont animé comme des grands la soirée Portes Ouvertes ! Présents et efficaces pour présenter aux parents des futurs élèves de sixième (de la graine d’apprentis journalistes ?) cette option. Pas facile de parler devant un groupe d’adultes, ils s’en sont tirés comme des chefs !

A lire bientôt ici l’article que Kévin a commencé à écrire pendant les pauses…

Mar
31
Classé dans (L'actualité au collège) par Agnès Dibot le 31-03-2011

C’était le premier titre envisagé pour l’autobiographie de Roland Gaillon, né Goldenberg, pour son autobiographie : une expression que son père utilisait en guise de formule d’au revoir dans les lettres qu’il adressait à sa femme, depuis les camps d’internement où il était interné parce que juif.

Ensuite, ce fut plutôt : “Silence, on vit !”. Mais les maisons d’édition sont ce qu’elles sont, et voilà le titre définitif de ce récit d’une vie dont l’auteur vient ce jour vous présenter le début : son enfance cachée pendant la guerre.

Roland Gaillon, c’est cet enfant caché qui a bien grandi, et dont la barbe a fini par pousser (son père s’inquiétait, dans ses lettres, de ne le revoir qu’une fois qu’il aurait de la barbe…). Ida Grinspan, avec son humour heureux, dit de lui qu’il était “mieux caché qu'(elle)”…

Vous recevez un témoin de l’Histoire, mais également un auteur : Roland Gaillon  a, en effet, écrit le récit de sa vie : c’est sa démarche qu’il vient vous présenter ce matin.

Mar
31

Plus difficile de composer une nouvelle policière qu’une page pour la Nouvelle République ? Il semblerait…  Quand les 3èmes option media se frottent à un (vrai) écrivain (vivant) et à l’angoisse de la page blanche… Ca donne ça :

Synopsis fantaisiste de Wahiba !

Alors, c’est l’histoire d’une bande de filles (délinquantes) qui, pour accueillir Shéhérazade (la belle) en son sein, lui impose des épreuves de plus en plus audacieuses, jusqu’à l’ultime : l’épreuve du sang ! Shéhérazade ira-t-elle jusqu’à verser le sang (et risquer la prison) par volonté de se faire accepter dans le groupe ? Mais que fait la police, dans cette nouvelle ? A lire prochainement, quand Wahiba aura mis, disons, un peu d’ordre dans ses idées !

Mar
27
Classé dans (L'actualité au collège) par Manon le 27-03-2011

Jeudi 24 mars, les latinistes de quatrième et de troisième sont allés visiter un site archéologique à Chassenon dans la Charente avec Mme Le Nezet et Mme Lesage. Chassenon vient du latin “cassinomagus” qui veut dire marché au chênes. Vu des Termes

Le matin nous avons visité le site archéologique, il y a des termes, un temple, un théâtre et un aqueduc souterrain. Aujourd’hui, il ne reste pas grand chose du théâtre et du temple. Nous avons pu visiter les vestiges des termes puis nous sommes allés voir de ce qu’il restait de l’aqueduc de 150 mètres de long.

L’aprés midi, il y a eu un atelier dessin. Il y avait deux groupes. Le premier groupe faisait des maquettes des termes en argile tandis que le deuxième groupe faisait des dieux ou des déesses en argile.

J’ai appris beaucoup de choses en une journée. Je me suis bien amusée et je remercie encore les personnes qui nous ont accompagnés.

Manon.

Fév
25
Classé dans (L'actualité au collège) par Manon le 25-02-2011

Mercredi 23 et Jeudi 24 nous sommes allés visiter Châtellerault avec Monsieur Mastorgio.

Le pont Henry IV

Mercredi nous sommes allés à l’école Paul Painlevé qui est une ancienne gare qui allait jusqu’à Chauvigny. Après nous avons été jusqu’au cimetière Saint Jacques et nous avons vu le carré militaire. Nous sommes passés par le jardin public pour aller à l’hôtel du Cognet qui est maintenant la maison du peuple. Nous sommes passés sur le pont Camille de Hogues qui est le premier pont en béton armé mis en service en 1937, pour aller à la manufacture. Sa création date de 1819 et elle ferme en 1968. Dans la manufacture plus de 8000 personnes travaillaient, soit 1/4 de la population châtelleraudaise de l’époque.

Après la manufacture , nous sommes allés à l’église Saint Jean l’Evangéliste à Châteauneuf qui est refaite au XIXéme siècle. Sa cloche pèse plus de deux tonnes. Monsieur Mastorgio est ensuite allé sur le pont Henry IV pour nous expliquer l’histoire du pont.

Jeudi, nous sommes passés par le jardin public pour aller voir l’escalier dans l’Hôtel de ville pour ensuite aller voir la devanture de l’ancien théâtre. Nous n’avons pas pu le visiter.

L’église Saint Jean Batiste sur le boulevard Blossac est une très belle église dont la statue de la vierge a été abimée par les révolutionnaires. Il manque la couronne de la statue. Nous avons vu ensuite l’arrière de la maison des Sibylle qui est très jolie. Nous nous sommes rendus à la porte Sainte Catherine vers l’ancien hôpital. Nous avons vu le devant de la maison des Sibylle  qui n’est pas rénové. La maison d’à-côté est la maison Descartes.

Nous sommes allés voir les vestiges des églises Notre Dame et Saint Romain. L’église Saint Romain était la plus grange église de Châtellerault. Nous sommes passés par la bibliothèque du Château pour aller ensuite à l’hôtel Sully qui  a été construite au XVI éme siècle. Nous sommes allés à l’église Saint Jacques. Nous sommes passés par le nouveau théâtre pour revenir au collège.

Sur le chemin du retour, mercredi Monsieur Mastorgio a fait la course contre un sixième qui se prénome Lenny et, jeudi, il a couru contre un CM2 s’appelant Christopher et deux sixièmes se prénomant Vincent et Sofiane, le gagnant a été Monsieur Mastorgio pour les deux courses. Jeudi, Lenny a porté les affaires de Vincent et celles de Monsieur Mastorgio. Il faisait bien le porte- manteau.

J’ai bien aimé cette sortie et j’ai appris beaucoup de choses sur la ville que j’habite. Je conseille à tout le monde de s’inscrire à l’école ouverte  pour visiter Châtellerault.

Manon.

Samedi  12/02/11, l’accompagnement éducatif VOLLEY-BALL était invité au match de ligue A masculine POITIERS  / MONTPELLIER dans la fabuleuse salle Lawson Body de Poitiers connue pour être l’un des chaudrons du volley français.

Présentation des équipes : mais où est poitiers ?

Grâce au club de volley de notre ville (CSAD-C Volley-Ball) et à la ligue du poitou, quelques élèves de l’accompagnement éducatif ont eu le grand bonheur d’assister au match, où POITIERS s’est imposé par 3 sets à 1 (20-25, 25-23, 25-21, 25-20)
La perte du premier set a créé la surprise étant donné la grande forme des géants poitevins qui totalisaient 9 victoires consécutives avant cette soirée mémorable… il faut dire que la qualité des services et du jeu adverse était particulièrement redoutable ce qui a perturbé le jeu pourtant bien rodé des locaux.
Le 2ème set a été très serré, les deux équipes se renvoyant coups sur coups et finalement Poitiers aura le dernier mot.
La mécanique à présent bien en place, les 2 derniers sets auront été plus tranquilles pour la formation du poitou, les montpelierains distancés petit à petit ne trouveront pas la solution pour revenir et Poitiers Volley obtiendra alors sa 10eme victoire consécutive ! il reste ainsi co-leader du championnat avec l’équipe voisine de TOURS !
Après le match et comme d’habitude, la bande à Kieffer a effectué son tour d’honneur de la salle pour remercier son public venu une nouvelle fois en masse, puis elle s’est prêtée au petit jeu des dédicaces.

et une dédicace de plus dans la collection

Pas facile pour nos jeunes d’obtenir des signatures de stars, ils auront tout de même récolté celles de Maréchal, Kieffer, Sol ce qui est déjà pas mal.
Nous tenterons de faire venir les joueurs bientôt pour rencontrer nos apprentis volleyeurs… en attendant, ils s’entrainent dur tous les mardis soir de 16 à 18 au gymnase, 10 jeunes inscrits.

Dernère minute : depuis cette rencontre, le Poitiers Volley à remporté deux autres rencontres : en championnat vendredi dernier, le 18/02/1, 3 sets à 1 contre Nice, puis hier soir en coupe de france 3-0 contre Lyon… il reste donc invaincu depuis 12 rencontres, pas mal, et conforte sa place en haut de la hierarchie du volley français.
Equipe à suivre de près, de très près… avec peut-être un nouveau titre prochainement ?
Allez Poitiers, tes suporters sont là aussi !
http://www.poitiers-volley.com/
TD

Fév
21




« S’il vous plaît, dessine-moi un Petit Prince »…

Ecole Ouverte, collège George Sand de Châtellerault. Lundi 21 et mardi 22 février.

Ces deux premières journées de vacances, une dizaine d’élèves de sixième (et une élève de cm2 de l’école Jacques Prévert) ont relevé le défi lancé par deux enseignantes : compléter la fresque sur le mur du planétarium du collège.

Pots de peinture, palettes, pinceaux, et…parapluies ! Ce lundi, ce mardi, on sort tables et chaises dehors, dans la cour des sixièmes et des cinquièmes : il s’agit de peindre une fresque sur le mur du planétarium. A côté de l’énorme boule de feu représentant le soleil (peint par d’anciens élèves aujourd’hui adultes !), on propose à nos petits vacanciers de dessiner, puis de colorer l’univers du petit Prince : un petit prince debout sur sa minuscule planète (l’astéroïde B612), couvant du regard sa magnifique rose. Des étoiles entourent notre petit prince, personne n’est oublié : le mouton, le renard, le boa mangeur d’éléphant (et non un chapeau : avis à ceux qui ont perdu leurs yeux d’enfants !), l’aviateur (petite liberté prise avec le texte de Saint-Exupéry…)… Même le serpent, pourtant menaçant, a sa place sur le mur…

Après avoir lu et étudié ce récit magnifique en cours de français, les élèves de sixième étaient invités à immortaliser ses personnages sur le mur de leur cour de récréation : à ceux qui croient que le Petit prince n’est qu’un conte pour enfants, nos jeunes peintres répondent qu’il n’en est rien… Ce petit prince-là est un grand monsieur. Bilel, Amandine, Eden, Mohammed, Rania, Morgane, Sofiane, Katarina-Johanna, Lenny et Madjoline seront fiers de vous raconter l’histoire de la rencontre entre un aviateur égaré dans le désert et ce petit bonhomme adorable aux cheveux couleur de blé mûr… Son ami.

Paroles de Petits Princes :

J’ai fait le petit prince sur le mur de la cour des sixièmes-cinquièmes : j’aimais le faire car c’est amusant et ça décore la cour. Et on a appris à peindre entre de bonnes mains avec Mme Dibot et Mme Goncalvès. En cours, j’ai aussi été intéressé par le Petit Prince et c’est pour ça que je me suis lancé dans l’aventure de l’école ouverte : pour peindre la fresque.

Sofiane Boudjema

J’ai   peint le petit prince sur le mur des sixièmes-cinquièmes : j’ai trouvé ça amusant et rigolo. Le décor était magnifique,  assez sympa avec Mme Dibot et Mme Goncalvès. J’ai bien aimé  peindre la  fresque : la planète, les arbres…

Morgane L.

Je suis une élève de CM2. J’ai fait le petit prince sur le mur de la cour des sixièmes-cinquièmes : j’aimais le faire car c’est amusant et ça décore la cour. J’ai aimé peindre avec Mme Dibot et Mme Goncalvès.

Rania.

Je suis une élève de 6ème3, je ne suis venue que le mardi mais la fresque avait déja bien avancé. Avec Mme Dibot, ma prof de français, nous avons étudié “Le Petit Prince” : malgrés les commentaire des 4èmes et des 3èmes, “Le Petit Prince” n’est pas pour les maternelles, car, même si je suis en 6ème, j’ai eu du mal à comprendre l’histoire.

Mme Dibot nous a expliqué l’histoire et nous avons tous compris. Après avoir compris l’histoire, j’ai conclu que cette histoire était bien et elle nous donnait une bonne leçon à tous.

Eden.

Je suis éléve de 6°3, j’ai étudié “Le petit prince” avec Mme Dibot. On l’a lu , étudié. Je l’ai tout de suite apprécié. On devait avoir des projets, notamment en Ecole Ouverte. Ce projet, c’était de faire une fresque dans la cour des sixièmes-cinquièmes . J’avais vraiment envie de faire cette activité car j’ai bien aimé Le Petit Prince.

Donc, je me suis inscrite ! Lundi, j’ai peint la planète, le mouton et L’avion. Mardi, j’ai peint au verni la  fresque, j’ai apprécié ce que j’ai fait. J’aurais aimé que cela dure plus longtemps mais tant pis !

Amandine Dechartre.

J’ai trouvé amusant de faire une fresque du Petit Prince sur un mur de la cour. Je l’avais lu en CM1 et nous avions même joué la pièce de théâtre ! J’ai beaucoup aimé que un journaliste vienne faire des photos. Merci à Mme Dibot et Mme Goncalvés!!

Lenny Jude.

Le mercredi 16 février ,les élèves de la 3° SEGPA sont intervenus en maçonnerie pour reboucher et enduire le mur d’enceinte d’une maison du Boulevard Ranc  sous la responsabilité de Monsieur Laurent Besnault. Cette maison a subi des dégradations régulières de la part des jeunes. Cette interventions était autant  un bon exercice professionnel pour nos jeunes maçons qu’un acte de civisme pour réparer au nom du collège des dégradations collectives.

Moi, je trouve que  les élèves de la 3° SEGPA, sur l’idée de Monsieur Besnault ont été très gentils de vouloir réparer ces bâtiments. Ce n’était pas à eux de réparer mais aux jeunes qui ont fait ça. Les jeunes devraient être punis par la loi et faire du TIG. Le TIG est le travail d’intérêt général.

Les élèves qui taguent des murs publics ou des pancartes ne devraient pas faire des dégradations comme ça. C’est pas normal que des gens fassent des dégradations.

Manon.