Fév
12
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 12-02-2014

Qui c’est, le plus collabo ?

A voir, peut-être, ce soir, sur France3, un film documentaire sur la collaboration en France Occupée. http://ecrans.liberation.fr/ecrans/2014/02/09/qui-c-est-le-plus-collabo_978964

 

Fév
08
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 08-02-2014

Le coup de foudre, drôle d’expression pour parler d’amour… Racine a exprimé  de bien plus belle façon cet envoûtement du coeur, de l’esprit lors de la rencontre de celui (de celle) qui deviendra “le seul être au monde” en l’absence de qui le monde est, dès lors, dépeuplé. Aimer une personne sans la connaître : oui. Aimer une personne au premier regard : oui. Aimer une personne immédiatement : oui. Le coeur humain a ses raisons que la raison ignore : c’est le propre de l’homme, le sentiment amoureux. Il serait vain d’en chercher une explication scientifique, même si d’aucuns s’y sont essayés : nous obéirions, en éprouvant une attirance pour telle personne plutôt que telle autre, à une alchimie olfactive ! Sisi… “Dis-moi quel est ton parfum, je te dirai si je t’aime”, pourrions-nous imaginer alors… Nos phéromones nous joueraient un tour de magie : plus qu’un port de tête, un visage, un regard, des mains, un sourire, ce seraient ces petites phéromones qui nous porteraient vers cet bel inconnu (cette belle inconnue), devenu en un éclair (tiens, une métaphore filée du coup de foudre) irrésistible à nos sens.

J’ai écrit “bel inconnu” (belle inconnue) : l’adjectif porte son sens : la beauté étant subjective, ou relative, la présence de cet adjectif ne choquera point, souhaitons-le. L’inconnu qui foudroie nos sens, notre coeur, qui, d’un tour de passe-passe, au premier coup d’oeil, a enivré nos émotions est beau : oui. A nos yeux : lui seul (elle seule) existera désormais. Relisez L’Education sentimentale (votre texte support lors du brevet blanc)  et voyez Marie Arnoux à travers le regard de Frédéric : elle est une apparition. Sa personne ne cessera d’occuper l’esprit du jeune homme dès lors qu’il aura été séduit par son image. Marie est belle à ses yeux. Aux yeux de Julien Sorel, ce sera Mme de Rênal. Aux yeux de Tristan, Yseult. Aux yeux de Roméo, Juliette…  Que voulez-vous, il est inexplicable, cet élan qui nous attire chez “l’élu du coeur” !

Existe-t-il ? Oui. Est-il raisonnable ? La question est soulevée dans la formulation : “peut-on aimer quelqu’un qu’on ne connaît pas ?”.  Absolument pas ! Et alors ? Depuis quand l’amour devrait-il être raisonnable ? Si la littérature apprend quelque chose, c’est à s’émerveiller d’un sentiment, d’un trouble, d’une découverte : sans frein, sans réflexion. Tous les héros romantiques se perdront dans une passion irraisonnée : mais à la fin seulement. Avant la fin, que d’émois, que de palpitations, que de vertiges ! Que d’aventures et de mouvements du coeur ! C’est vivre qu’aimer sans chercher à voir la ligne d’horizon. Aimer, c’est prendre le risque de désaimer un jour. Et alors ?

Anissa va soupirer : “Non mais, elle est limite hors sujet, là ! Faut pas abuser…”  Et relire l’intitulé pour convenir que, décidément, non, le prof a toujours raison : on peut broder, laisser aller la parole, tant que le thème est présent : reste à recentrer à présent le débat. Anissa, tu es la voix de la sagesse : reprenons. On peut assurément tomber sous les lois  de l’amour et être réduit à aimer aveuglément l’élu(e) de notre coeur aux premiers instants. Sans savoir qui il (elle) est : mais quand peut-on dire d’une personne qu’on la connaît, et décider, enfin, qu’elle est digne d’être aimée ? Combien de rencontres faudrait-il pour,raisonnablement, estimer avoir sondé le coeur et l’esprit de l’être potentiellement aimable, avant de lui ouvrir, enfin, son coeur ? M. Mastorgio nous précisera peut-être les délais que les convenances, au fil de l’Histoire de notre société (bourgeoise s’entend), ont imposés. Le protocole fiançailles-mariage respectait vraisemblablement un délai. Mais il nous dira également que tout ceci n’était que convenances, que les mariages de raison tenaient pour rien les mouvements du coeur, d’où leur nom.

“- M’Dame, vous vous égarez !”  Anissa, décidément, veille.

Nous pouvons donc tomber amoureux d’une personne sans la connaître : une fois le coeur pris dans les filets dorés de cet autre, cet être devenu cher, il n’est plus qu’à  apprendre à le connaître. La découverte de cet Autre, qu’elle soit réelle ou virtuelle (on voit se développer, au 21ème siècle, des correspondances via Internet de deux plumes ne se connaissant pas mais apprenant à sonder le coeur, l’esprit de l’autre par l’écriture, l’échange devenant alors richesse) confirme -dans les histoires d’amour heureuses- le premier élan. Et cet Autre qui nous avait touché au premier regard se révèle être l’âme soeur.

“Oupa” : diront nos zados. Pardon : “Ou pas”, pour l’orthographier correctement.  Qu’ils sont pessimistes, nos zados ! Et que notre génération chemises à fleurs peut paraître, à leurs yeux, Fleur Bleue…

 

 

Fév
08

Quelle question. Quel défi que de vouloir l’évoquer ici, d’autant que le diktat de madame Dibot, quant à la longueur des articles, n’incite pas au déploiement d’une argumentation lyrique et aurait tendance à confiner ma modeste expression dans des limites dignes du dogme 95 cher à nos cinéastes Danois.

Peu importe, je me lance et, faute de relever un défi, je souhaite exposer quelques éléments de réflexion et d’interrogation. Je déplore en premier lieu une certaine pauvreté de notre langue qui nous fait aimer le chocolat autant que nos chiens ou le partenaire d’une vie. Certes, les puristes argueront du fait qu’il est possible de choisir un vocabulaire parfois plus précis, mais, de manière générale et au quotidien, avouons que la limite existe. Je ne me hasarderai donc pas à tenter une définition de ce qu’est “être amoureux” et considère, abusivement il est vrai,  que nous en partageons l’entendement. Dans un second temps et afin de délimiter les termes de mon sujet, je préciserai que je n’entre pas ici dans le débat scientifique, lequel réduit le sentiment amoureux à une simple question de phéromones, de chimie et de réminiscences de notre cerveau reptilien. Que cela est laid. Faute de compétences je ne rentrerai pas plus dans une analyse psychologique fine permettant de définir une typologie des relations amoureuse en fonction de la simple création de binômes liés par des névroses se complétant, ici cela devient hideux, cependant il convient  de noter que le sentiment amoureux nait souvent de cette recherche de notre moitié, la langue en garde l’expression imagée, telle que le Banquet de Platon la met en avant avec le mythe des androgynes ou hermaphrodites sur lesquels ce cher Zeus s’acharna un tantinet.

Par conséquent je m’autorise à ne faire appel qu’au subjectif de nos sentiments et de nos perceptions conscientes et inconscientes, à travers quelques références littéraires, de grands névrosés entre autres, ceci étant posé, ces prolégomènes achevés, je débute.

Marius et Cosette, dans Les Misérables, de ce cher Hugo, me semblent assez bien répondre à la question. Au cours de pages fécondes en détails, l’auteur nous explique comment ces deux individus qui se voient, de loin, se croisent, de près, parviennent à tomber follement amoureux, l’un de l’autre, en un seul regard, furtif. Il va de soi qu’ils ne se sont jamais parlé et ignorent tout l’un de l’autre, cependant, les 500 pages qui suivent aident à voir la construction de cette relation jusqu’à son terme qui conduit les deux amants à l’empyrée de la félicité conjugale.

Dans un registre plus ancien, mais que j’apprécie plus, je citerai La princesse de Clèves,  de madame de la Fayette, avec l’amour de monsieur de Nemours pour ladite princesse, nous touchons là à l’impossibilité de l’amour, né de l’interdit autant que de la contemplation de l’aimé qui, selon le principe des grecs anciens, car il est beau, est aussi bon. Beauté et bonté allant de paire, comment ne pas succomber au charme de celle ou celui qui s’en trouve pourvu? Point n’est besoin d’en savoir plus, l’apparence révèle le tout.

Un de mes romans préférés, Eugénie Grandet, nous apprend comment Eugénie tombe amoureuse de son cousin Charles, bien qu’elle n’en connaisse rien, mais, comme le dit Balzac, il fait l’effet du paon dans la basse-cour, lorsque, de nuit et sans prévenir il échoue dans la demeure Saumuroise de son oncle,  affublé de tout le luxe du dandy parisien dont la pauvre fille ignore tout et cela suffit à le rendre désirable en tous points. Cette idée que les jeunes filles seules, qui passent leur temps à rêver au prince charmant, sans savoir ce qu’est le prince charmant, est très XIXè, Musset y revient lui aussi. Naturellement, on peut aussi citer Les jeunes filles de Montherlant, plus tardivement, où l’on évoque, dans un roman en partie épistolaire, l’amour qu’Andrée et Thérèse portent à Costals, sans l’avoir jamais vu tout simplement car elles sont tombées amoureuse de sa littérature. Enfin, comment ne pas citer Proust, dont le narrateur, dans les divers tomes de La Recherche du temps perdu, ne cesse de tomber amoureux de jeunes filles, pas toujours en fleur, dont il ne connait rien, mais dont le nom suffit à le faire se pâmer.

Il semble donc que, pour nos auteurs, le coup de foudre existe, avant tout car les individus qui le ressentent se montrent sensibles à quelque chose de beau, que ce soit l’autre, sa réputation, son écriture, ce qu’il symbolise pour eux. Se pose alors la question cruciale: qu’est ce que le beau?

Afin de poursuivre le débat, je vous laisse, souvenir de Terminale A2 oblige,  avec Emmanuel Kant, dans sa Critique de la faculté de juger qui nous répond: “est beau ce qui plait universellement sans concept”.

Jan
31
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 31-01-2014

Alors, Johanna, ton article sur l’avortement, il est en gestation ? 😉

Jan
13
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 13-01-2014

Cher Cassis Masqué,

Deux commentaires signés de ton nom restent ce jour en attente et ne seront pas validés : leur contenu étant ordurier, je devine qu’un plaisantin malveillant a usurpé ton identité pour le rédiger (deux fois, qui plus est). Ou bien avais-tu abusé de substances illicites qui ont réveillé ton côté Mister Hyde, auquel cas, je te déconseille vivement de tenter le diable, ce bon vieux docteur Jekyll te dirait probablement la même chose s’il était de ce monde.

Cet incident me permet de rappeler à chacun (notamment au véritable auteur de ces deux commentaires sur l’article sur le brevet blanc) que :

1) ce blog n’est pas un torchon.

2) chaque élève inscrit en option media doit savoir protéger ses codes d’accès et son adresse électronique

3)  toute personne usurpant l’identité d’une autre pour rédiger lâchement des propos orduriers, quels qu’ils soient, prend le risque  d’être identifié malgré tout et de devoir rendre des comptes auprès de la direction de l’établissement : qui, à part un élève de troisième, aurait commenté l’article sur le brevet blanc ?

L’enquête sera ouverte ce matin, notre Big Administrator Sherlock sur la piste du plaisantin manquant du courage de signer ses opinions. A celui-là, merci de nous épargner sa prose et son orthographe à l’avenir… Quant à vous, mes zélèves, protégez votre identité.

Déc
13
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 13-12-2013

Cher(e) Inconnu(e),

On ne vous lit plus sur ce Torchon : vous nous manquez… Etes-vous mort ? se demande Théo ? En prison, suggère-t-il encore ? Vous êtes une femme et venez d’accoucher, selon Messaouda (Messaouda veut travailler en pédiatrie). Vous êtes parti en vacances ? demande Marina. Parti au ski, tombé et donc absent, avance Naouale.

Oui, mais tout ceci (à part la mort) ne vous empêcherait pas de lire et de commenter le Torchon !

Théo estime qu’il est cruel de votre part d’avoir quitté notre Torchon : peut-être avez-vous trouvé un journal de collège plus intéressant que le nôtre : infidèle Inconnu ! Théo déplore le fait qu’à chaque fois que vous écriviez un commentaire, vous vous faisiez “rembarrer” ! Rembarrer ? Que nenni…

Pour Lenny, vous n’avez plus envie de nous lire… Vexé par les commentaires acerbes du Grizzli Mastorgio ?

Revenez commenter nos articles !

Déc
10
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 10-12-2013

Un sujet pour les zélèves de quatrième : le Torchon souffre d’un silence frappant sur la disparition de Nelson Mandela. Au travail : ce sujet est pour vous, dès aujourd’hui.

Petite anecdote : ce matin, Dehbia (vous savez, Le Sourire) m’a gentiment fait remarquer que la phrase “I have a dream” n’était pas de Mandela, mais de Martin Luther King, elle a ajouté que Paris Hilton avait “fait la même confusion” que moi.

Comment Dehbia a-t-elle pu croire une minute que son professeur puisse être aussi peu cultivée ? Intéressante question…

Il a donc fallu expliquer, en séance media, comment on conçoit un titre d’article : en faisant des références à l’Histoire, au cinéma, à la littérature, en détournant des titres, des expressions… Il est temps que je fasse ma petite démonstration à partir du Canard enchaîné…

Donc, Mandela avait, lui aussi, un rêve : un rêve d’égalité et de paix. A vous de nous raconter ce rêve.

Nov
27
Classé dans (Correspondance) par la Vieille Garde le 27-11-2013

“Quand 900 ans comme moi tu auras, fatigué aussi tu seras”

Maître Yoda au jeune Skywalker, dans le Retour du Jedi, 1983.

Cher Cassis,

j’eus pu vous rétorquer “tu sais c’qu’y t’dit l’grizzli” car je crains bien que l’ours mal léché ici décrit ne soit que vote humble serviteur. Nonobstant l’existence de cette possibilité laconique de réponse, laquelle ne me sied pas, et comme  tout ce qui est entrepris sur ce Torchon est à visée pédagogique, de plus, attendu que je cumule des points et des lignes depuis des mois en n’écrivant pas (je note l’ambiance jeux vidéo, alors, je m’adapte), je développerai ma réponse.

Permettez moi, monsieur du Cassis, de vous signifier en premier lieu à quel point je suis flatté que votre Altitude consente à abaisser son regard jusqu’à moi, tant il est vrai que le physique herculéen que vous développez vous peut de moi éloigner. Vous le soulignez fort bien, le Temps, qui vous fortifie chaque jours, accélère mon déclin et me voici au bord de l’abîme, tel ce cher vicomte François-René, prêt à descendre dans la fosse. Mme D., il y a peu, en ces pages, évoquait cet irrémédiable outrage qu’il nous faut subir, endurer, jusqu’à en mourir. Que tous ces voiles, que ces vains ornements du quotidien nous pèsent. Vos jeunes épaules, dignes de celles du divin Atlas, ne peuvent mesurer à quel point le quotidien de ces jours sans fin et sans soleil est une épreuve. La vie qui s’écoule en vos veines avec l’abondance et la vigueur d’un torrent de printemps dévalant les pentes alpestres d’une vie prometteuse, bercée par les cieux céruléens et quelques rares nuages adamantins, ne peut certes pas comprendre combien, à partir d’une certain âge, lequel vous conduit irrémédiablement à vous trouver dans un certain état, il s’impose à vous de regarder la cruelle vérité en face, de contempler votre miroir et vos analyses de sang, vos rides et votre bilan cardiaque et de vous dire que vous fûtes, que, certes, vous êtes encore et que, sous peu, hélas, vous ne serez plus. Vous savez ce non fui, fui, non sum, non curo des latin, au détail près que, moi, cela me soucie!

Monsieur du Cassis, je suis donc las.

Cependant, je dois aussi confesser que votre billet plein d’humour est parvenu à m’arracher tout à la fois un sourire et à me plonger dans des abîmes de perplexité et des affres de réflexion. Vous dérangez mon raisonnement, monsieur,  et voici qu’au sens pascalien du terme, vous me divertissez. Nous ne sommes maîtres de rien ni de personne, à peine parfois parvenons-nous à avoir sur nous-même quelque empire. Je le déplore. Toute chair un jour doit cesser de vivre et disparaître en un souffle. Il me semble qu’il est sage d’anticiper cela, afin de s’y préparer. Il me semble sage de se devoir du monde retirer, afin de réfléchir, de méditer, d’observer. Or, voici qu’à ces funestes et funèbres propos, indignes de Bossuet, à l’instar de vos camarades, vous vous présentez avec toute la folie de votre âge, de vos remarques de vos requêtes. Mon premier mouvement fut de ne voir dans vos propos que l’intrusion en ma quiétude, relative, d’un vent de folie. Me souvenant qu’ Erasme, en son temps, en rédigea l’éloge j’accédai au  second temps de cette valse hésitante et percevai ici un appel du devoir que je me fais d’être toujours présent pour les zélèves.

Monsieur du Cassis, je serai donc là.

Songez alors, jeune insouciant, que vous eûtes l’audace, l’impudence et l’inconscience de réveiller un vieux grizzli en lui promettant le miel de délices intellectuels. Que vous l’assurâtes de le griser et de l’enivrer de vos propos et réflexions et que vous poussâtes jusqu’à faire preuve d’une folle assurance, persuadé de le pouvoir satisfaire et d’être à la hauteur de ses attentes. Vous eûtes, monsieur, le verbe haut. Soyez à la hauteur de ce que vous promettez. Sans quoi, monsieur, c’est à juste titre qu’il vous faudrait me redouter: vous auriez à subir mes railleries, mes réparties cinglantes, vous seriez condamné au bagne de mes éternelles sorties culturelles à bicyclette, vous découvririez que plus encore qu’ Harry Potter, il y a en moi du Severus Rogue.

Monsieur du Cassis, êtes-vous toujours là?

Nov
27
Classé dans (Correspondance) par Lenny JUDE le 27-11-2013

En ce moment, vous devez être en train de vous demander “mais qui est ce Maître Yoda” : Devinez !

Il est redouté de tous, son savoir est l’égal de celui d’une encyclopédie, son cri si redoutable est comparable à celui du grizzly au réveil après 6 mois d’hibernation.

Vu le nombre de  kilomètres parcouru à vélo, il aurait très bien pu participer plusieurs fois au tour de France. Sosie d’Harry Potter (mais rarement en jean), en 6ème je le voyais tellement grand, mais ça, c’était avant. Maintenant, c’est  moi le plus grand. Plus à l’heure qu’une montre Suisse, il a pourtant  mis la clef sous la porte de l’option media, nous abandonnant justement l’année de l’arrivée d’un grand cru.

A votre avi,s qui est donc maître Yoda ??? Son retour ou une apparition d’au moins une heure  est vivement attendu.

Le Cassis masqué.

 

 

Nov
22
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 22-11-2013