Sep
29
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par PtitBlevin le 29-09-2014

La maltraitance ne touche pas que les femmes mais aussi les enfants, je vais plutôt me  pencher sur le cas des enfants. Certains adultes profitent de la faiblesse de leurs enfants pour les battre ou les agresser sexuellement. Ces enfants seront tellement traumatisés qu’ils feront subir le même sort à leurs enfants. Les personnes qui maltraitent leurs enfants sont celles qui ne les aiment pas.

En Inde, par exemple, en 2005-2006, à peu près 54% des enfants auraient été victimes de maltraitance. Dorénavant, maltraiter un enfant est interdit par la loi, mais dans certains pays, la maltraitance est toujours d’actualité. Les adultes ne se rendent pas compte combien ils font souffrir leurs enfants : on se demande parfois ce que pense un maltraitant quand il bat son enfant, il déborde de colère ou de folie.

Un numéro d’urgence a été fait pour ces genres de crimes : le 119 Enfance Maltraitée. Si vous voyez un de vos amis se faire battre, dites lui de ne pas hésiter à appeler un psychologue ou le numéro 119.

Donc, stop d’abuser de la faiblesse des enfants. Le seul moyen de dire à son enfant de se calmer, ou de crier dessus pour lui faire comprendre, le mettre 2 heures au coin ou, pour les adolescents, de confisquer toutes leurs distraction favorites (jeux vidéos, téléphone, télévision).

Donnez lui un livre à la place d’une manette.

Les enfants qui détestent l’école ont la flemme, généralement,  de faire leurs devoirs, d’étudier, de se lever tôt le matin pour aller à l’école et de porter leur sac qui est lourd.

Mais il ne connaissent pas leur chance d’aller à l’école, la chance d’apprendre et d’étudier, de s’instruire et d’être protégés par des droits. Ils ne connaissent pas leur chance d’être au chaud dans des maisons ou appartements en sécurité et de se préparer à un avenir professionnel. Alors que d’autres enfants, dans d’autres pays, n’ont pas cette chance. La chance d’être à l’école et d’étudier comme en France, en Europe ou aux Etats Unis. Leur chance d’avoir de la nourriture. Dans d’autres pays, il y a des orphelins, des maladies (comme Ebola), des guerres, donc il faut arrêter de se plaindre de l’école et savourer cette chance.

 

Sep
26
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 26-09-2014

 

“Plan Vigipirate oblige, Madame, ouvrez votre sac à main, je vous prie !” Sourire désolé de la jeune caissière de mon petit supermarché préféré ce midi, face à mon oeil sombre quand elle m’a demandé d’ouvrir mon sac à main en passant à la caisse…

La cliente qui me précédait possédait un grand sac à mains (plus tendance que le mien, adoncques) : qu’on lui demande de l’ouvrir pour vérifier qu’elle n’a pas dérobé un paquet de MNM’S, passe encore… Pourtant, l’injonction m’a choquée : qu’est-ce que ces manières, c’est nouveau…  Plus  docile que moi, la cliente s’est exécutée sans rien dire. Mais quand, à mon tour, la caissière demande la même chose, je m’offusque : “Ah, non ! Il est tout petit, que voulez-vous que je glisse dedans ?”

Mes zélèves savent que mon sac est si petit que j’achète les paquets de Kleenex format micro… Chacun le sait, petit format de femme, petit sac, sans quoi, on frôle le fashion faux pas.

Comme il est midi trente, que l’heure du repas est proche, et le dit repas sur le tapis roulant de la caissière, obéissons, soumettons-nous, ouvrons le sac… Diantre, est-il rangé, au moins ? Oui, mieux que l’armoire de ma salle de cours ou que mon casier… L’honneur est sauf !

Notez qu’on peut entrer dans le supermarché sans ouvrir le dit sac, mais pas en ressortir : les bombes (bombinettes, en ce qui concerne mon sac à main) sont donc en vente intramuros…

Je m’enquiers de la raison de la chose, du pourquoi du comment : “Je ne sais pas, la direction nous a dit ça ce matin, c’est Vigipirates, c’est renforcé à cause de l’actualité, mais je ne sais rien de plus.” Et si j’avais refusé d’ouvrir mon sac à mains ? J’aurais été un bien mauvais sujet… De quoi a-t-on peur, dans mon petit supermarché tranquille ? Des égorgeurs fanatiques ? Fichtre, s’ils sont aux portes de mon petit supermarché, mais alors, mais alors : PANIQUE !

Peut-être est-il une explication moins anxiogène, moins délirante à cette mesure émise par la direction, toujours est-il que ma petite jeune caissière ne la connaît pas. La vérité est toujours ailleurs.

 

Sep
23
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Miléna GIMENEZ le 23-09-2014

Très souvent, les mamans célibataires sont des mamans qui souffrent, surtout avec beaucoup d’enfants !

L’organisation, emmener les petits enfants à l’école, le ménage,  c’est dur d’être une maman célibataire.

Dans certains cas comme les ados, les filles deviennent mamans très jeunes, mais qui dit bébé dit papa et très souvent, les jeunes garçons ne veulent en aucun cas être papa à cet âge-la parce  qu’il veulent profiter de la vie. Dans certaines  familles, les parent n’acceptent pas que leur fille ait un enfant, donc elles  doivent se débrouiller toutes seules.

Dans la nuit du 19 septembre,  un regroupement d’agriculteurs (producteurs de légumes) en colère, protestant contre les contraintes fiscales et administratives, saccage et incendie des bâtiments publics.

Quand le Premier ministre le découvre, il promet des poursuites judiciaires contre les malfaiteurs.Mais contrairement au Premier Ministre,  le président du FDSEA du Finistère, Thierry Merret,  producteur de légumes aussi dit : ” C’est le ras-le-bol des besogneux qui sont seulement bons pour avoir des  contrôles” et il les félicite :  “Je tire un coup de chapeau à ceux qui ont osé faire ce qu’ils ont fait” . Mais ce n’était pas sans risque, les malfaiteurs risquent des peines de prison.

voici un lien : https://www.youtube.com/watch?v=ujnFolnOB7c. 

 

la-msa-et-le-centre-des-impots-incendies

Premier débat au sein du groupe d’élèves de troisième option media, à la demande de Yannick : l’homosexualité. Séance surréaliste hier, autour de la table ronde (rectangulaire, quoi qu’on fasse pour jouer avec la géométrie : avec des tables rectangulaires, on ne forme pas un rond, ce doit être mathématique).

L’idée de débattre de l’homosexualité entre adolescents est née d’une rencontre entre l’un de nos zélèves et un couple de jeunes homosexuels qui s’embrassait dans la salle de cinéma, sous le regard médusé (à ses dires) de Yannick. “J’ai été choqué, M’Dame. Je ne peux pas comprendre ça !”.

Comprendre : au sens premier du terme, le verbe signifie “prendre avec soi”, donc admettre, intellectuellement accepter le fait. Deux hommes peuvent s’aimer. Deux femmes peuvent s’aimer. Or, pour nos zélèves, c’est là que le bât blesse : “deux hommes, deux femmes, ne peuvent pas s’aimer, M’Dame !”  Voyons cela…

On organise le débat en demandant aux zélèves de se placer d’un côté ou non de la table ronde (euh, rectangulaire) en fonction de leur avis sur la question : “l’homosexualité vous choque-t-elle, comme Yannick, ou pas ?”.

Surprise : les filles se placent d’un côté, les garçons de l’autre ! La parité est mise à mal… Si les filles sont unanimes : “On ne voit même pas pourquoi on fait ce débat, il n’y a pas matière à être choqué(e)”, les garçons, amusés, comptent bien mener leur débat : “On attend vos arguments, les filles !”.

Selon ces demoiselles, l’homosexualité, quelle qu’elle soit, (homme-homme/femme-femme) ne les dérange pas : elle est un choix de vie qui ne concerne que celles et ceux qui sont homosexuels. “Un cas de conscience”, avance l’une de nos damoiselles blondes. “Aimer, c’est aimer, ajoute une autre, on ne décide pas !” Qui disait, déjà : “Le coeur a ses raisons que la raison ignore ?”  Pascal, Blaise de son prénom : un philosophe… Et “Parce que c’était lui, parce que c’était moi !” ?  Tiens, Montaigne, à propos de La Boétie, son très cher ami : http://www.la-croix.com/Culture/Livres-Idees/Livres/Parce-que-c-etait-lui-parce-que-c-etait-moi-_EP_-2012-12-05-884040

Nos damoiselles tolèrent l’amour homosexuel : les gens sont libres de faire ce qu’ils veulent.

Nos garçons, trépignant d’impatience, lancent à leur tout moult arguments pour expliquer leur point de vue : “la nature a ses lois, l’homme et la femme sont nés pour procréer, Dieu a créé l’homme pour la femme, la femme pour l’homme, les sentiments entre deux hommes sont impossibles, vous imaginez le prêtre disant à deux hommes “embrassez le marié ?”, etc… Tous les arguments sont là : on explique, à propos des religions, que l’homosexualité se voit ouvrir une petite porte des églises et des mosquées, ce qui heurte nombres d’élèves, incrédules : mais les media sont magiques, un clic et les articles s’affichent sur grand écran :  http://www.lemondedesreligions.fr/actualite/homosexualite-et-religions-le-tabou-18-05-2011-1515_118.php

http://abonnes.lemonde.fr/societe/article/2012/11/30/une-mosquee-ouverte-aux-homosexuels-pres-de-paris_1798351_3224.html

http://www.afrik.com/l-eglise-favorable-a-une-ouverture-sur-l-homosexualite

On en profite pour préciser que la Création est affaire de croyance, de foi, mais que les scientifiques expliquent l’Evolution (et nous évitons de nous référer à la seule religion pour développer une argumentation !) : et on ne résiste pas à l’envie de parler de Lilith, la première femme d’Adam, son égale… Répudiée du jardin d’Eden pour avoir refusé de se soumettre à son époux… Yannick n’en revient pas : où a-t-on inventé cette Lilith ? Tout est là, elle est la première figure féminine des textes fondateurs, mais nos zélèves semblent encore un peu jeunes pour  qu’on leur parle de Lilith. Oublions.

Nos damoiselles s’écrient que la loi de la nature est faite pour évoluer (nous sommes des animaux dotés de la pensée, et civilisés tout de même : on ne peut pas comparer la loi de la nature à nos comportements d’Hommes). Maëva aura le (beau) dernier mot : “Et la DDHC, vous en faites quoi, de la DDHC ? Un petit rappel ? Tous les Hommes naissent et demeurent libres et égaux… On est libres de faire ce qu’on veut ! On doit assumer, et respecter cette loi !”

Les garçons auront le mot de la fin : “Nous, on aime les filles, elles sont trop belles… Et on ne contrôle pas notre coeur.”

Juil
13
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par Anissa Ramdane le 13-07-2014

Mercredi, dernier véritable jour de cours. Mon dernier cours était celui de maths, tiens, le lendemain comme par hasard nous avions le brevet de math… Ensuite juste après, une petite séance de film s’est imposée avec M.Girard qui a eu la gentillesse de nous prendre alors qu’il avait les 4èmes, qui n’étaient que 3 d’ailleurs…

Cet après-midi, a été très pénible, c’était dur de ne pas penser à autre chose qu’à ce brevet puis il a fallu sortir les vieux cahiers pour tout réapprendre.

Le lendemain est vite arrivé, il faut le lever, puis bien déjeuner pour être en forme pour toute la journée et surtout pour l’épreuve de français. C’est parti, je prends le bus comme chaque matin, puis dans le bus il faut réviser, autant profiter du temps qu’il nous reste pour réviser, hun…

Arrivés au collège, nous sommes allés au foyer pour encore une fois réviser, mais certains élèves, eux, préfèrent ne pas réviser car ils disent que réviser à la minute, nous fait stresser encore plus puis c’est mal. Mais étant déjà stressée, je préfère profiter de mon temps libre pour ouvrir mes cahiers. Environ 10 à 15 minutes avant l’épreuve nous sommes partis voir un tableau qui était dans notre cour et où il y avait également d’écrit les salles où nous allions passer notre brevet. Un petit tour aux toilettes puis c’est l’heure, quoi? Oh, mais oui! C’est l’heure de passer le brevet de français !

Il fallait arriver 20 minutes avant chaque épreuve. Avant d’entrer on se glisse tous un “bonne chance” puis ça y est, on y est, on entre dans la salle, là où étaient disposées des tables toutes séparées aux quatre coins de la classe. Il y avait également les deux professeurs qui allaient nous surveiller pendant ces trois longues heures d’épreuve de français. Dans la salle, il y avait de l’eau à notre disposition. On nous distribue le sujet puis on nous explique les consignes et à 9h00 pile, on devait commencer…

En voyant le sujet, je ne m’en rends pas bien compte tout de suite mais après avoir bien analysé le sujet, je comprends que c’est une pièce de théâtre ! J’étais très surprise, je ne pensais pas du tout et ne m’y attendais vrm pas à avoir une pièce de théâtre, c’est vrai que je pensais plus à une autobiographie ou à une nouvelle, mais avec les questions, finalement je m’en suis bien sortie. Une petite pause au bout de 1h30 de questions et de dictée. Puis on reprend à 10h45, c’est parti pour 1h30 de rédaction du coup en commençant un peu plus tard, nous sommes sortis à 12h30. La rédaction était bien, j’ai pris le sujet n°2 qui était un sujet d’argumentation et c’est ce dans quoi  je me sans plus à l’aise. Le brevet de français est enfin clôturé, place au brevet de mathématiques, qui  a été beaucoup plus dur que celui français.

Ensuite, les mathématiques s’imposent: les exercices étaient vraiment durs, surtout les derniers qui étaient les plus longs. Mais bon, c’est l’origine des maths, la difficulté. Heureusement, le lendemain l’épreuve qui me semblait la plus dure, a enfin de compte été facile, mais bon c’est ce qu’on dit mais les notes nous diront peut être le contraire, qui sait.

Ça n’a pas été aussi dur et j’ai beaucoup aimé la géographie. L’heure de 11h00 a sonné c’est vraiment la fin du brevet, on saute de joie, mais de l’autre côté c’est la fin d’année…

En sortant de chaque épreuve, avec tous les 3èmes, on commentait les exercices, on s’échangeait nos impressions puis, on se dit surtout que tout est fini, nos quatre année de collège, c’est terminé, on part de ce fabuleux collège mais on s’est toutes et tous promis de revenir obligé. Ainsi s’achève cette année en quête d’avoir notre brevet !

(Ce long article, fut très dur à recopier m’dame…)

Juin
19

Chers zélèves,

Lisez l’éditorial du Monde de ce jour : il porte sur le lynchage d’un jeune Rom. Oui, lynchage…

Editorial du « Monde ». La « cité des Poètes », à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), porte affreusement mal son nom. C’est à proximité de ce quartier déshérité qu’un jeune Rom de 16 ans, Darius, a été retrouvé, abandonné dans un chariot de supermarché, entre la vie et la mort, vendredi 13 juin. Avec sa famille, il vivait dans un campement de fortune, de l’autre côté de la nationale 1.

La population de ce bidonville avait brusquement augmenté depuis quelques semaines, après le démantèlement d’autres campements de Seine-Saint-Denis, un département où se concentrent près de 20 % des 17 000 Roms, le plus souvent originaires de Roumanie et de Bulgarie, qui vivent, ou plutôt survivent, enFrance. Depuis, l’on avait assisté à une explosion des cambriolages dans le quartier, provoquant l’exaspération des habitants, assure le maire socialiste de Pierrefitte. Darius lui-même était connu des services de police pour des faits de vol et de conduite sans permis. Selon les enquêteurs de la police judiciaire, c’est à la suite d’une nouvelle tentative de cambriolage que des habitants du quartier auraient décidé de régler l’affaire eux-mêmes.

Cité des Poètes, on appelle cela « une raclée qui a mal tourné ». En clair, c’est un lynchage. Une expédition punitive dans une misérable guerre des très pauvres contre les plus pauvres. Un règlement de comptes ordinaire dans un climat de violence banalisée où l’on solde les différends à coups de battes de base-ball, sans faire appel à une police exécrée.

Le président de la République a dénoncé, le 17 juin, des « actes abominables et injustifiables, qui heurtent tous les principes sur lesquels notre République est fondée »« Inacceptable », a dénoncé le premier ministre, tandis que le ministre de l’intérieur rappelait qu’il revient aux forces de sécurité, et à elles seules, « defaire respecter l’ordre public ».

UN SILENCE EMBARRASSÉ

Au-delà de ces réactions officielles et de celles, accablées, des associations qui militent pour faire respecter les droits élémentaires des populations roms, ce fait divers tragique n’a suscité qu’un silence embarrassé. Et pour cause : il est la conséquence de plusieurs années de politiques publiques inefficaces, qui entretiennent la misère de ces communautés roms et font prospérer, à leur encontre, un racisme larvé dans la société française.

Michelle Gardien est une femme de 83 ans, mais elle se souvient toujours du bombardement de la gare de Châtellerault, 70 après. Même si Châtellerault était bien loin des zones de guerres, la ville a connu les mouvements violents de la libération. Il y a eu trois bombardements durant l’été 1944, le 15 juin en forêt, le 10 août en centre-ville et le 11 juin dans le quartier de la gare. Mais, c’est celui de la gare qui a laissé des traces dans la mémoire des Châtelleraudais, surtout dans la mémoire de Michelle Gardien. Celle-ci a replongé dans ses carnets à l’occasion du 70ème anniversaire du bombardement.

” Le 11 juin tombait un dimanche, dit-elle. C’était une journée radieuse. Il y avait une cérémonie à l’église Saint-Jacques. J’y suis allée avec une camarade et la mère d’une amie. ”

Dans le bombardement de la gare, on compte 11 morts. Le père de Michelle Gardien était carrossier à la Rue du Verger. Celui-ci a laissé sa fille partir dehors, âgée de 13 ans. Mais ce qu’il ignore, c’est qu’un train de munitions est entré en gare, il venait de Poitiers et allait à destination du front.

” Tout-à-coup, dit Michelle, un jeune prêtre est rentré dans l’église et s’est placé devant la porte, comme pour empêcher les gens de sortir “.

Michelle arrive quand même à se faufiler pour espérer rejoindre la maison de ses parents. Mais, quand elle traversait le Boulevard Blossac, il y avait des avions mitraillant juste au dessus d’elle. Elle a vu des soldats allemands qui se réfugiaient à l’hôtel Moderne et elles les a suivis. Dans l’hôtel les propriétaires ont dirigé Michelle vers la cave. Puis ils sont tous sortis, car c’était plus calme, mais aussitôt tout recommença, ils rentrèrent alors dans la cave. Juste après, tout fut terminé, il y eu beaucoup de dégâts. Ensuite, Michelle a rejoint sa famille et même 70 ans plus tard, elle s’en souvient.

Juin
13
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 13-06-2014

Chers zélèves de troisième, vous le savez à présent, jeudi prochain, 19 juin (déjà ? Attention, Anissa va encore verser sa petite larme), c’est pour vous la Journée de la presse.

Le thème : Douce enfance. On le sait, vous apportez vos Doudous… Et Mme Le Nezet apporte les mille et un objets qui ont adouci son enfance : elle remplit à elle seule une salle du rez-de-chaussée (sisi) : on trouve dans cette caverne d’Ali Baba de véritables trésors, du tricotin (connaissez ?) au vieux poste de télévision noir et blanc qui ne va pas sans me rappeler celui qui implosa dans le salon de la maison de mes parents quand j’avais… 5 ans (un de mes premiers souvenirs).

 

Bref. Le thème de cette journée de la presse est l’enfance. Et votre travail, d’ici à jeudi, est le suivant : trouver un nom à votre journal, réaliser sa manchette, trouver un logo, une citation ou une phrase mettant en lumière votre ligne éditoriale, rédiger, pourquoi pas, un éditorial… Et songer, déjà, au chemin de fer, puisque vous connaissez le programme de la journée.

Au travail, les jeunes !