Fév
07
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Marina ALALATHASAN le 07-02-2014

Un handicapé a été agressé par trois jeunes adolescents, âgés de 14, 15 et 16 ans. L’agression a eu lieu dimanche, dans le parc de Poya à Fontaine, près de Grenoble. Une vidéo a été mise sur internet, on voit les deux jeunes tenir dans leurs mains la victime puis la pousser et la bousculer, heureusement la victime ne souffre que d’un hématome à la joue.

Les jeunes agresseurs ont été mis en examen mercredi.

Les insultes contres les agresseurs se déchaînent sur les réseaux sociaux , deux jeunes ont été mis en examen pour ” violences sur personne vulnérable en réunion” et ” enregistrement et diffusion de vidéo sur le net”  et celui de 16 ans a été mis en examen pour ” complicité” .

Les personnes qui ont vu cette vidéo on été profondément choquées.  Une page concernent l’emprisonnement des agresseurs a été ouvertesur facebook et a récolté plus de “100 000 likes”.

Comment peut-on faire cela ?

Moi , franchement,j’ai été choquée, je me pose aussi la question de ” comment peut-on faire cela ? ” je n’arrive pas à comprendre ! Quel est le but de leurs actes ? JUSTICE doit être faite ! J’espère qu’à leur libération, ils auront pris conscience de leurs actes !!  Il y a quelques temps,on parlait de la fin du Monde, mais en fin de compte ce n’est pas notre terre qui disparaît, mais notre humanité.

 

Fév
06
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 06-02-2014

Un peu d’humour… Informez-vous, c’est le meilleur moyen d’éviter de propager des inepties… Ce dessin peut faire sourire, mais il n’est pas loin de la réalité…

Pour approfondir le sujet, cet article de Rue89, intéressant : http://rue89.nouvelobs.com/2014/02/05/refus-lecole-fausses-raisons-vrai-malaise-relu-pr-opirue-249613

Chers zélèves,

Pour que vous compreniez l’actualité autour de cet étrange concept de “théorie du genre”, je vous invite à lire l’article ci-dessous, qui présente l’expérimentation, dans quelques écoles, d’un projet de débat avec les zélèves au sujet des relations garçons-filles. Cet article date de février 2013. 

Source : http://femmes.gouv.fr/legalite-femmes-hommes-passe-par-legalite-filles-garcons/

“Dès l’école, les stéréotypes se forgent et enferment chaque sexe dans un rôle préétabli. Cela peut paraître anodin, mais ce sont pourtant ces mêmes stéréotypes qui conditionnent, plus tard, l’orientation des filles, qui finissent par les intérioriser. Si bien qu’aujourd’hui, la moitié des femmes en emploi sont regroupées dans seulement 12 familles professionnelles, contre 20 pour la moitié des hommes en emploi. Il s’agit donc d’un enjeu primordial pour le ministère des Droits des femmes, car il est à la racine même des inégalités entre les femmes et les hommes.

Pour agir sur les stéréotypes et, partant, corriger ces inégalités, le ministère conduit plusieurs actions, dont l’une majeure est le programme « ABCD de l’égalité », lancé avec le Ministre de l’Education, Vincent Peillon. Cet outil pédagogique vise, dans un premier temps, à faire prendre conscience aux enseignants de la force des stéréotypes liés au genre. Il s’agit, par la suite, de conduire auprès des élèves des actions de sensibilisation et d’apprentissage de l’égalité entre filles et garçons.

Inscrit dans le plan interministériel « une troisième génération des droits des femmes : vers une société de l’égalité réelle », le programme « ABCD de l’égalité » sera expérimenté à compter de la rentrée prochaine dans cinq académies, puis généralisé à la rentrée 2014. Dans cette optique, un comité de pilotage a lancé les travaux préparatoires à cette expérimentation.

L’initiative conduite par l’association toulousaine « Liberté aux joueuses » dans les CLAE (Centres de Loisirs Associés à l’Ecole) de la ville de Toulouse s’inscrit parfaitement dans ce cadre. La Ministre a tenu à rencontrer cette association à Toulouse, suite à l’installation d’un comité de pilotage pour l’égalité professionnelle femmes-hommes avec Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées. La question de l’égalité entre filles et garçons est ici abordée à travers la mise en valeur d’une pratique sportive mixte, le football, croisée avec un temps d’expression plastique et de verbalisation sur les stéréotypes éducationnels. Une démarche qui remet en question les idées reçues sur les capacités sportives des filles et des garçons.

Et ça marche ! La fondatrice de l’association Nicole Abar, ancienne footballeuse internationale,  affirme que les enfants s’aperçoivent que les équipes gagnantes sont toujours celles qui ont inventé une stratégie utilisant les capacités de chacun et chacune.

Voici donc une initiative concrète et novatrice qui, à travers le sport, s’attaque aux racines des inégalités femmes-hommes. En effet, en les y sensibilisant très tôt, et de manière ludique, l’association espère que les enfants développeront plus tard une autre vision de la vie en famille, des travaux domestiques, des métiers, ou encore de la vie politique.”

Fév
05
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Agnès Dibot le 05-02-2014

Chers zélèves de troisième, informez-vous avant demain matin sur ce sujet, je vous prie. Merci !

Jan
31

Cher inconnu,

Nous nous posons milles questions à votre sujet, c’est pourquoi un article vous est dédié. Je suis curieuse à l’idée de connaître votre identité, êtes-vous une femme, un homme, un être humain ? Telle est la question, oui. Nous voulons absolument vous connaître mais n’est-ce pas mieux, comme vous êtes, Inconnu ? Car, d’un côté vous êtes mystérieux et cela donne une curiosité au Torchon. Vous commentez très souvent nos articles et je vous en remercie car, sans vous, ce ne serait pas attractif comme ça l’est aujourd’hui. Vous commentez nos articles avec beaucoup d’imagination, beaucoup de passion et beaucoup de détermination.

Êtes-vous l’un de nos professeurs, l’un de nos personnels du collège, pourquoi pas un élève ?

Vos commentaires sont des “merveilles”, ils ont un sens philosophique et sont longs mais ça doit plaire à Mme Dibot qui s’enchante de pouvoir avoir une lecture développée. Pourquoi vous être identifié comme “inconnu”, ne soyez pas timide venez nous rencontrer et partager des moments avec nous. Et venez nous rencontrer, nous, des pros du journalisme (et de la modestie NDLR) et pourquoi pas faire des articles en votre compagnie ? Réagissez, venez ! Nous tâcherons, de vous accueillir avec respect et tout en étant chaleureux.

Nous n’avons aucune idée de qui peut se cacher derrière votre pseudonyme. Cela ne fait que depuis cette année que vous commentez nos articles : continuez..
D’un autre côté, on aime vos commentaires car vous y mettez de vous, alors combien de fois par jour visitez vous le Torchon? Avez-vous déjà vu le Pink Paillettes ? Nous connaissez-vous?

Moi, de ma pensée, je pense que c’est un professeur car vous écrivez toute en philosophique et presque sans fautes, puis ressort une sorte de bonne maturité. Nous apprécions votre compagnie et nous vous demandons de continuer.

Anissa.

 

Anissa.

Jan
31

On commande à Théo un article d’ambiance sur le sujet. Il s’installe devant un PC, remonte les manches de sa chemise à la Charles Ingalls (est-ce vraiment à la mode ? Ca fait peur… ;)) et compose les deux premières phrases de son article (que vous lirez ci-dessous, au bas de l’article), en prenant soin d’écrire le mot “filles” en tout petit… Ce qui fait enrager Johanna (ou était-ce Naouale ?) .

Et puis, hooooooorreur : Naouale remarque un cafard qui ose se promener sur le bureau. Oh, pas gros, un petit cafard (mais que faisait-il donc dans cette galère ?). Théo, prévenu de l’intrusion menaçante, fait un bond de dix mètres et prend ses jambes à son cou : “Il est énoooooorme !”, croit-il. Alors, Naouale achève ce bref article : “Alors, les garçons sont-ils aussi forts et courageux qu’ils le prétendent ?”  Avouons que la chose était fort drôle, dans ce contexte…

Halima a un problème avec le genre, elle confond un article avec une article. Nous sommes quatre GARCONS dans un groupe de douze filles. 


Jan
31
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Salimatou SIDIA le 31-01-2014

    

La discrimination est partout où l’on va, même ou l’on vit ! On peut trouver le racisme a l’école, dans notre entourage, auprès de nos amis parfois. Le racisme envers les noirs ou contre les juifs, un racisme qui ne devrait même pas exister, une différence de peau ou de religion qui n’aurait pas dû naître. Le fait de séparer, de mettre un espace entre deux groupes sociaux, le fait de mettre à part un individu d’un autre groupe, à cause d’une différence me sidère. Les noirs ont été des esclaves pendant de longs siècles et les juifs ont été déportés et exterminés, rien que pour ça, ils devraient être respectés comme tout le monde.

Différencier quelqu’un  par sa couleur de peau, son genre, sa sexualité, sa religion, ses opinions, un handicap, le physique est un acte stupide, qui manque de finesses, un acte tellement idiot. Chacun a sa personnalité, chacun a sa couleur, chacun a une pensée différentes des autres. Et on ne devrait pas juger cela !  Toute ces personnes qui se sentent rejetées, mises à l’écart à cause de personnes malhonnêtes, manipulatrices ou racistes ou même encore antisémites. Toutes ces personnes n’ont pas vécu ce que les noirs ou les juifs ont vécu, la séparation avec leur famille, la déshumanisation par un peuple qui leur crachait dessus ! Qui les tuait sans savoir pourquoi ou avec des explications absurdes ! Franchement, à toutes ces personnes, je leur souhaite d’abord de marcher sur leur pas, et c’est là où ils pourront critiquer s’ils trouvent qu’ils n’ont pas assez souffert. Je ne comprend pas pourquoi on vit encore dans un monde si peu compréhensif !

 

TO FIGHT AGAINST RACIAL SEGREGATION AND INEQUALITY BETWEEN THE MEN !

Cordialement.

Jan
31
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Anais ALONSO le 31-01-2014

Marre des insultes sur les réseaux sociaux . Hannah Smith, une Britannique de 14 ans, a mis fin à ses jours par pendaison après avoir subi pendant de longues semaines le harcèlement d’internautes .
Il y a des personnes qui lui ont dit « Avale de l’eau de Javel », « Tu es laide, va mourir et tout le monde sera content » ou encore « Attrape un cancer ». Les harceleurs ont ensuite sous-entendu qu’ils s’en prendraient à la famille d’Hannah, bien qu’ils ne la connaissaient pas.
Pourquoi faire ça aux gens que l’on connait pas ?
Les adolescents n’hésitent pas à poser des questions blessantes, méchantes ou à intimider des utilisateurs souvent fragiles. Ces personnes sont juste capables d’aller en ligne et de se cacher derrière un masque de l’anonymat alors qu’ils abusent d’adolescents vulnérables.

cet article est dédié aux commentateurs de mon premier article qui m’ont demandé comment les voyageurs sur Mars survivraient là-bas, comment ils vivront. J’ai fait quelques recherches et suis tombé sur leur site officiel. Je ne répondrai sûrement pas à toutes les questions, mais je vais essayer.

Tout d’abord, Les hommes seront séparés et ne partiront pas tous en même temps. Ils partiront par groupes de quatre personnes. Le premier groupe partira le 14 septembre 2022. Le deuxième partira en 2027, et les autres tous les 2 ans.

Le projet : il a été développé par la société SpaceX et a coûté à peine 6 milliards de dollars, juste pour la première phase.

mars one

Maintenant, passons à la survie avec un grand “S”. Pour la nourriture et le matériel, ils enverront en Janvier 2018 le premier module de stockage, contenant 2500 kg de nourriture et de matériel. Il arrivera sur Mars en Octobre de la même année. En 2021, ils enverront cinq nouveaux modules, composés de deux habitations, deux supports de vie et un de stockage.

Cependant, ce projet manque de fiabilité sur certains points :

– déjà, le trajet dans le module durera 7 mois, ce qui est énorme pour les astronautes et qui les handicapera sur le plan physique dès leur retour de la gravité, une fois arrivés sur Mars. Cet handicap pourra durer des semaines.

– les astronautes ont de forte chances de perdre leur patience et leur rationalité à partir de quelque mois après l’arrivée sur Mars.

– jusque là, aucun vaisseau de plus d’une tonne ne pouvait atterrir sur Mars. Or, la capsule “SpaceX Dragon” du projet pèse 4,5 tonnes. Personne pour l’instant ne sait grâce à quoi et comment ils vont réussir, si ce n’est grâce à un “bouclier thermique”, qui permettrait  d’accroître le freinage. Mais personne n’en est sûr, car les tests n’ont été faits qu’à échelle réduite.

– enfin, la nourriture. Voilà la réponse à certaines questions. Un système de production de nourriture. Incroyable, non ? Seulement, il n’en est qu’au stade d’essai.

J’espère avoir répondu à vos questions, ou du moins à la plupart… Bon voyage vers l’espace !

Jan
31
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Messaouda HENNI le 31-01-2014

Une coutume est présente dans la classe germaniste 3ème depuis plus de deux ans…
La fête de la santé “la gesundtag “(= le jour de la santé en allemand ) a été créée par Johanna, lorsque notre professeur Mlle. FAVRE a éternué : Johanna, en voulant montrer qu’elle est parfaitement bilingue, a dit “gesundtag”, qui signifie  “jour de la santé au lieu de “gesundheit” ( “à vos souhaits”, en allemand). Mlle.FAVRE s’est un peu moquée en disant que ce jour n’existe pas… Petites ampoules qui clignotent sur nos têtes ( Johanna et moi) : il faut un jour pour la gesundtag, nous nous sommes mises d’accord sur une date et, à partir de ce moment, nous célébrons la fête de la santé tous les 22 janvier (seulement les germanistes qui sont actuellement en 3ème). Pendant cette fête nous jouons au médecin en allemand et nous remplaçons les médicaments par des friandises, les pillules par des smarties, les gélules par des m&n’ms,  et le sirop pour la toux par du jus.

Nous aimons beaucoup ce cours car ça change d’un cours banal.

Je vous souhaite donc -avec un peu de retard- une joyeuse fête de la santé !!!