Juin
16
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par LePtitFailandais le 16-06-2016

Le “senga eiga” était le premier terme pour désigner  l’animation Japonaise (Anime). Un anime est un genre de dessin animé Japonais, c’est souvent des adaptations de mangas, les personnes chargées de les adapter sont appelées des Studio d’Animation, comme Kazé ou Bandai. Il existe différents thèmes, les plus connus sont : les shojos, les seinens, les shonens ou les kodomos.

Les shojos :

C’est une sorte d’animé destiné à un public principalement féminin en phase d’adolescence. Ils racontent une histoire d’amour entre un personnage principal masculin et un autre féminin. Il se peut qu’il y ait un triangle amoureux ou plus pour rendre l’histoire plus intéressante.

Les seinens :

Ce sont des animés pour les jeunes hommes et adultes. Ils ont pour thèmes le sport, les enquêtes policières ou les sujets de vie courante, il peut cependant y  avoir des scènes à connotation sexuelle.

Les shonens :

C’est un type d’animé destiné aux jeunes garçons adolescents. Dans les shonens, les thèmes abordés sont principalement faciles à comprendre et sont faits en sorte qu’ils soient attractifs pour le grand public.

Les kodomos :

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Les kodomos sont une sorte de manga adressé à des jeunes enfants. Ce sont des histoires qui montrent aux enfants le monde dans un format imaginaire / fantastique.

 

 

Théo et Maxime.

 

Juin
07
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par PtitBlevin le 07-06-2016

Ah le Japon parlons en. Le Japon est la grande maison des mangas et animés. Tout d’abord qu’Est-ce qu’un manga ? Un “manga” est une “bande dessinée japonaise” totalement différente d’une bande dessinée classique, un manga a des traits et des graphismes sortant du thème des bandes dessinée classiques, il existe différents thèmes [Kodomo, Seinen, Shojo, Shonen,Nekketsu…] chaque thème a sa définition Kodomo sont des mangas pour enfant, Seinen destiné aux adultes homme femme, Shojo destiné aux personnes très sensibles, Shonen mangas de combat destiné pour les (adolescents) et Nekketsu qui est un dérivé des shonen, il en reste plein d’autres.

Les mangas nous transportent dans un monde imaginaire ou un monde contradictoire au nôtre ou bien identique mais avec une histoire pertinente ou humoristique. Bien sûr, les mangas ne sont pas faits tout seuls, ils sont faits par des mangakas qui sont soumis à un rythme de parution régulier, ils ont carte blanche en ce qui concerne le thème, l’histoire et les personnages.

Les Mangas ont une place très importante au Japon, par exemple la mode du cosplay est un habit “déguisement” d’un personnage emblématique d’un Mangas. Il y’ a aussi beaucoup de magasins faits exprès pour cette mode, par exemple le quartier très renommé Akihabara ou le Gundam Géant, les mangas se sont même infiltrés dans les bandes d’arcades. Les plus addictifs sont les jeunes japonais qui  vont juste après les cours ou lors de leur pause.Afficher l'image d'origineAfficher l'image d'origineParlons maintenant des dates de parution : la France a un tome de retard par rapport au Japon qui eux ont deux tomes d’avance. Pour les impatients, il existe les scans qui sont traduits une semaine après leur parution au Japon. Afficher l'image d'origine

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Je vais vous donner l’exemple de ce Seinen qui raconte l’histoire d’un jeune garcon nommé Satoru Fujinuma qui n’arrive pas à faire décoller sa carrière de mangaka. Pour arrondir ses fin de mois, il obtient un job de vendeur de pizza. Tout au début de l’histoire on nous racontera la vie basique d’un citoyen qui, au fil de l’aventure, deviendra de plus plus compliqué à comprendre. On nous racontera sa vie avec des flashbags touchants de son enfance. Ce n’est pas vraiment un manga humoristique, plutôt triste avec une histoire poignante qui nous donne envie de continuer à lire l’histoire.

Mai
19
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par Kelly BARON GREMILLET le 19-05-2016

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Nous avons fait le tour de la classe média en 4éme et chaque élève et professeur ont environ une moyenne de 4 à 5 réseaux sociaux chacun.

Les réseaux sociaux ne sont pas une bonne chose car ils sont interdits aux enfants de moins de treize ans et malgré la restrictions d’âge les personnes ne le respectent pas et mentent sur leur âge. Les réseaux sociaux ont  parfois des contenus inadaptés à certains utilisateurs et il devrait y avoir plus de contrôles de leur part : on revient alors à la restrictions d’âge.

Les principaux réseaux sociaux utilisés sont Facebook, Twitter, Instagram, SnapChat, Pinterest, Tumblr, YouTube.

Je vais maintenant aller interroger les élèves média et leur demander l’âge auquel ils ont eu leur premiers réseaux sociaux :

Louis : 11 ans

Axel : 9 ans

Kelly : 12 ans

Emile : 10ans

Alexis : 13 ans

Stacy : 10 ans

N’aissita : 9/10 ans

Prisca : 9/10 ans

Laïla : 9/10 ans

Les personnes ont en moyenne eu leur réseaux sociaux à 10 ans, ce qui ne respecte pas les restrictions !

 

Mai
19
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par Aloïs le 19-05-2016

En traînant sur Internet depuis un certain temps, on peut constater une nette évolution, notamment sur la plateforme Youtube, connue de tous… La qualité décline, les principaux vidéastes sont sponsorisés et nous offrent publicité sur publicité, certains autres sont très touchés par la censure, bien que des millions de personnes suivent leurs aventures (sans hyperboles, juré craché!) On peut penser notamment à Antoine Daniel ( What The Cut, émission dans laquelle il analyse trois vidéos d’Internet, souvent assez… Atypiques ) à l’humour certes noir mais grâce à qui je me souviens de la capitale de la Lituanie (Vilnius, monsieur!)! Certes ses propos peuvent être un peu heurtants, ne pas plaire… C’est sûr que de réagir à des vidéos parfois qui ont fait un ” bad buzz ” (devenues célèbres grâce à leur mauvais aspect) est parfois délicat, mais toujours intéressant selon moi. (après il a des problèmes avec des droits d’auteurs, mais c’est le risque lorsqu’on ridiculise les perles des vidéos d’Internet) .
Pour revenir à la baisse de la qualité sur Youtube (je me centre sur YouTube car c’est cette plateforme que je connais le mieux), on peut viser les vidéos Tops, véritable sources de succès, de ” buzz ” comme on dit sur Internet. Les vidéos sont ” Putaclic “. Ce néologisme barbare signifie qu’il est fait pour qu’on clique dessus afin d’apporter des ” vues ” à la vidéo. C’est le phénomène qu’utilisent des vidéastes qui suivent des modes, qui font en ce moment des tops, et antérieurement, des podcasts. Souvenez vous tous les préadolescents de onze à douze ans qui, pour faire comme Norman et Cyprien, se lançaient dans les vidéos. Nombre d’eux ont été ridiculisés. Ne vouloir qu’être vu n’apporte souvent que du mauvais.

Évidemment, il y a pire que ces préadolescents qui s’exhibent ainsi : il y a les personnes qui veulent buzzer à tout prix (on revient au bad buzz), quitte à utiliser des moyens malhonnêtes pour devenir célèbres, comme MathPodcast et le plagiat ET le vol ! En effet, dans le but de devenir célèbre, il a décidé de voler délibérément une page facebook à son administrateur.

Des personnes peuvent aussi se lancer sur Youtube.

Pour donner mon avis face à cette évolution, je suis foncièrement déçue de cette évolution sur Youtube. Lorsque je l’ai découvert, il y avait beaucoup moins de ” Putaclic “, et les plus célèbres vidéastes ne parlaient pas à tout bout de champs de leur spectacle au zénith de Paris… C’est vraiment bien pour eux, mais l’entendre à tout bout de chant est plus de la publicité qu’une vidéo.

La publicité sur Youtube, parlons en!
On en voit partout, de la publicité. Cela est bien si c’est bien fait et n’entache pas la qualité des vidéos, mais le placement de produits où l’on a l’impression d’être utilisé, trompé… C’est fréquent.
Encore, les présentations de marques pour les vidéastes qui font des tutoriels beauté (les youtubeur(euses) beauté), c’est inévitable… Mais interrompre sa vidéo pour parler d’un jeu sur google play, ou faire un clip qui ” fait la promotion ” d’un jeu (qui donne envie d’y jouer)… On perd la fonction première des vidéastes de faire rire avec trois fois rien. Cette évolution est attristante.

Et encore, je ne parle pas des ” boites ” dans lesquelles les vidéastes se trouvent, aussi appelées ” Networks “, qui permet au vidéaste d’avoir un peu plus de moyens pour leurs vidéos. C’est quelque chose de bien, certes, mais leur principal but est de créer du buisness (ah si, j’en parle).

On est aujourd’hui face à une triste évolution : beaucoup sur Youtube se lancent pour ” faire des vues ” (pour qu’on regarde leurs vidéos) et ainsi gagner de l’argent. Certains vidéastes se sont lancés par passion sur  Youtube, et ont réussi : ils font des spectacles, ont signé dans des networks, font des partenariats et gagnent bien leur vie ( je refuse de rentrer dans le débat ” ils gagnent beaucoup d’argent oh là là” ; c’est tout simplement une intrusion dans la vie privée et du voyeurisme! Allez donc travailler pour Closer!). C’est très bien pour eux mais ce résultat est à double tranchant (toutes ces vidéos d’une piètre qualité en sont la preuve).

En bref, Youtube a changé, et cela ne me plaît pas.

Mai
17
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par PtitBlevin le 17-05-2016

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Il n’y a pas si longtemps que ça, sur la plateforme YouTube, une personne se nommant Math Podcast a réalisé des vidéos sur le thème de la comédie.

Mais la supercherie de ce jeune homme fut découverte par un youtubeur “Le rois des rats” et ensuite dénoncée en vidéo. Mais quelle supercherie me direz vous? Il a tout simplement copié-collé les vidéos d’un youtubeur américain qui s’appelle Motoki sans le dire. Mais quand je parle de plagiat (ce qui signifie prendre l’idée de l’autre sans dire à qui elle appartient vraiment) c’est que dans ce cas là c’est carrément images pour images, phrases pour phrases. C’est “hallucinant” de voir ça sur Youtube où, pourtant, avoir des idées originales n’est pas si difficile.

Seulement à l’image de Cyril Hanouna qui a aussi plagié une émission américaine, ne pas avoir d’idées n’est pas grave pour eux, il suffit seulement de trouver un américain avec une bonne idée qui, selon eux, leur rapporterait pas mal d’argent.

Mais malheureusement pour eux, il y aura toujours quelqu’un qui découvrira leur petit stratagème. Par la suite, le célèbre Math Podcast est allé pleurer sur le web comme quoi la communauté de Youtube était trop sévère avec lui, mais il a tout ce qu’il mérite. Prendre l’idée de quelqu’un, prendre sa vidéo et copier coller des passages, et se faire de l’argent sur le dos d’un autre qui a eu l’idée, c’est quand même grave. Le présentateur TV Conan O’Brien se moque et dénonce le plagiat de Cyril Hanouna dans son émission “Touche pas à mon poste”. Pour ma part, je pense qu’il devrait recevoir une amende car faire quand même de l’argent sur le dos des autres sans même dire que l’idée vient d’eux à la base, je trouve que ça dégrade la réputation des français aux yeux des américains.

Conan O’Brien dénonce Cyril Hanouna :

«Touche pas à mon poste» accusé de plagiat par… par 20Minutes
Le Roi des Rats contre Math Podcast

Réalisé par Florian 3°4

Périscope, une application qui domine depuis ces derniers temps, consiste à se filmer en direct et faire partager sa diffusion avec les personnes dans le monde.

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Ce mardi, aux alentours de 16h une jeune femme de 19ans se filmait en parlant d’elle et en disant que les images qui vont suivre allaient êtres très choquantes. Elle a dit qu’elle faisait ça pour montrer aux personnes qu’elle n’allait pas bien et que ce n’était pas pour faire le buzz. Elle disait également qu’elle s’était faite violer et filmer par son ex petit ami et qu’elle se faisait insulter par tout le monde. Pour faire connaitre sa souffrance au monde entier, aux alentours de 16h30 la jeune femme se filme à la gare d’Egly (région parisienne) et elle se jette sous un train en direct. Périscope a choisi de couper cette partie. On aperçoit qu’un pompier ramasse le téléphone à la fin de la vidéo et il la coupe.

Interview pour voir ce que les personnes pensent :

Kelly : C’est n’importe quoi car elle dit qu’elle ne veut pas faire du buzz mais quel est l’intérêt de faire ça devant beaucoup de personnes.

Emile : C’est débile mais en plus filmé c’est pire elle devait aller voir un psy ou porter plainte.

Mme Dibot : Cela ne m’intéresse pas de savoir cela, et certainement encore moins de regarder ce type de vidéos.

N’aissita : Elle  n’avait qu’à zapper ce qui s’est passé et refaire sa vie .

Bouterfas Sofiane 4ème5

Avr
01
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Siham Douzi le 01-04-2016

famine

Des tas de poches pleines
Mais des tas d’assiettes vides

 

Mar
12

Chaque année, les émissions du genre Les Anges, Les Marseillais ou encore Les Ch’tis incluent des personnes d’une intelligence exceptionnelle (c’est ironique).

Ainsi nous avons Jessica des Marseillais South Africa qui n’a pas su reconnaitre les portraits de Nelson Mandela accrochés aux murs et qui a dit “cultivage” à la place de se cultiver.

Plus célèbre encore Nabilla avec sa « « guerre mondiale de 78 », son « allo quoi ! T’es une fille t’as pas de shampoing »…

Mais pourquoi les producteurs d’émissions nous font-ils ça ? Pourquoi mettent-ils des personnes complètement débiles sur nos écrans ? Et ces personnes, ne se rendent-elles pas compte qu’elles paraissent complètement bêtes ?

A mon sens ces émissions de téléréalité ont justement pour but de mettre des personnes qui ne connaissent même pas le mot intelligence pour faire rire les jeunes ou leur faire perdre du temps. En plus on se sent plus intelligent lorsqu’on les regarde, en tout cas merci Nabilla, merci Jessica.

 

 

Dès la rentrée 2016-2017, l’orthographe de pas moins de 2400 mots sera modifiée, soi disant “simplifiée”. Ainsi, les accents circonflexes sur les “i” et les “u” disparaîtront, et certains mots perdrons leur trait d’union.
On peut dire merci à l’Académie Française pour ces nouveaux mots.
Cette orthographe ne sera pas obligatoire, et les enseignants pourront faire le choix de ne pas l’enseigner à leurs petits élèves, mais seront tenus de ne pas compter le mot “ognon” faux dans une dictée.

Cette réforme mécontente un certain nombre de personnes, et certains se mobilisent même sur Twitter avec le hashtag (mot dièse, pour les anti-anglicismes ) #«Je suis circonflexe».
Cette réforme, demandée par l’Académie française depuis 1990 à peu près, est même réclamée par certains linguistes.

Ainsi, dans dix ans, ceux qui avaient une orthographe parfaite et des 20/20 à leurs dictées auront sûrement des 10/20, et ceux qui aujourd’hui sont qualifiés comme ayant une mauvaise orthographe se retrouveront avec 18/20…
Avec toutes les réformes survenant ces dernières années, on peut s’inquiéter pour les générations futures, en maternelle, en primaire ou encore à la crèche. Notre langue est belle, et soi disant compliquée. C’est vrai que le mot oignon est difficile à orthographier, tout comme le mot “Naturwissenshaften” (science en allemand), et pourtant nos voisins germaniques n’en font pas tout un plat !
Les professeurs et adultes écrivant encore “nénuphar” se verront dire qu’ils sont vieux jeu alors que non, ils auront juste appris à écrire comme on a toujours écrit, notre belle langue française.
Ah très cher Bescherelle…  Nous nous excusons pour tous les désagréments. Tu dois te retourner dans ta tombe !

 

 

Mar
03
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Axel CHEMET le 03-03-2016

La marque de vêtements Guy Cotten a mis en ligne une simulation sur navigateur appelée « Sortie en Mer » dans laquelle l’internaute se plonge dans la peau d’un marin passé par-dessus bord, se battant pour survivre à une noyade. Attention, sensations garanties !

« En mer, on se fatigue plus vite qu’on ne le pense. A chaque sortie, portez votre gilet de sauvetage. » Tel est le message de prévention de la dernière campagne publicitaire de Guy Cotten, le célèbre équipementier marin. Réalisée par l’agence CLM BBDO, la vidéo interactive vous plonge dans la peau d’un marin passé par-dessus bord après s’être pris la bôme dans le visage. Pour éviter la noyade et garder la tête hors de l’eau le plus longtemps possible, il suffit de « scroller » continuellement le bouton de sa souris.

Cette vidéo interactive nous a vraiment impressionnés. Elle est à la fois choquante et immersive. Chez DGS, nous avons tenu 4 minutes et 37 secondes avant de finir noyés ! Une expérience qui nous a fait comprendre qu’il est impératif de ne jamais oublier son gilet de sauvetage en mer ! Et vous, pensez-vous que cette simulation soit un bon moyen pour prendre conscience des risques maritimes ?