La dernière tue.
La dernière heure naturellement.
Pas seulement celle d’une vie. Celle d’une année scolaire aussi, même si, là, la mort est assez métaphorique.
Merci pour cette année et tous ses instants. Tous furent marquants, d’une manière ou d’une autre.
Je ne regrette rien, mais, je suis plus classique que la môme Piaf, aussi, pour nous quitter, un extrait d’une oeuvre de monsieur de Sainte Colombe et quelques vers de Racine, extraits de Bérénice:
Je n’écoute plus rien; et pour jamais, adieu.
Pour jamais! Ah, Seigneur, songez-vous en vous-même
Combien ce mot cruel est affreux quand on aime?