Oct
22
Classé dans (Le torchon brûle) par Aminata le 22-10-2011

Alors, quoi que tu fasses dans ta vie tu seras toujours critiqué : c’est quand même un truc de malade ! C’est abuser, comment elles parlent trop, en général ! Je parle de tout le monde mais là, plus des filles. On va dire qu’elles servent à rien que c’est leur passe temps… Rien : que tu marches avec un gars ou que tu parles avec lui,  ça y est, c’est la fin du monde ! Comme on dit : fidèles à leurs poste, elles seront toujours en train de parler derrière ton dos. Le pire, elles n’ont même pas le courage de te le dire en face ! C’est ce que j’appelle des filles qui n’assument pas ! Malgré qu’on aille les voir leur dire “Pourquoi tu dis ça ?”  ou “C’est vrai que ?!”, tu as beau dire toutes choses, elle nieront toujours. Donc, petit conseil : laissez-les parler et n’utilisez pas votre salive pour rien. Gardez la tête haute car des filles comme ça, vous en croiserez plein dans votre vie, donc, on fait avec. Elles sont nées pour vous mettre des bâtons dans les roues : évitez-les le mieux que vous pouvez. Comme on dit : chacun sa vie, chacun son destin, qu’elles se mêlent donc de leur popotin ! Et plus de potins !

Oct
22
Classé dans (Pink Paillettes) par LaTitePoète' le 22-10-2011

Une fois qu’on goûte à l’amour, on ne peut plus s’en passer … Depuis qu’il m’a prise dans ses bras, je n’ai fait que d’y penser …

Comment vivre sans Lui; Comment vivre sans Toi ♥♥ ?!! Tu as volé mon coeur et maintenant qu’il t’appartient, je ne peux plus le récupérer :/ … Pourtant ça n’a pas toujours été rose entre nous mais l’Amour, c’est plus fort que TOUT !! Bien plus fort qu’une simple embrouille … Ca fait tellement mal de te croiser dans la rue sans même pouvoir te faire un sourire ; sourire qui cache tant de tristesse et de détresse … Tant de promesses envolées dans le vent, tant de larmes versées qui pourraient faire un océan … C’est un énorme Manke’ sans Toi ♥ … Manke’ de tes rires, de tes sourires, de ta voix, de tes Bras, de Tes Lèvres … Tant de Mankes’ qui ne peuvent être comblés que par Toi ♥ et par Personne d’autre.

Alors: Comment vivre sans Lui ♥♥ ??…

Oct
22
Classé dans (Pink Paillettes) par Alyssia le 22-10-2011

Quand j’avais 7 ans, mes parents se sont séparés, j’ai pas compris tout de suite pourquoi. Mais j’ai compris aujourd’hui , je ne dirai pas la raison, par respect envers eux. Quand ils ont divorcé, au départ, j’ai été chez ma mère à Loudun à environ 40 km de Châtellerault, pendant à peu près 1 an, puis j’ai été chez mon père à à peu près 900 km : c’est à dire à Marseille. Je vous explique pas le changement,  se refaire des amis, s’habituer à des  températures nouvelles ( eh oui, à Marseille, il fait chaud^^).

Enfin, bref, ce départ :  tout ce que je perdais en quittant mes amis, ma famille, toute mon enfance quoi. Mais aujourd’hui, tout s’est arrangé : je suis arrivée à Châtellerault ( eh oui, encore une autre ville ^^). Ici les gens sont très sympas, j’ai eu du mal à m’intégrer car Châtellerault et Marseille, c’est pas la même chose. Enfin, tous s’est arrangé, Même si mes parents ne se parlent plus et que j’ai dû faire des choix difficile entre  Mon papa et Ma maman, je l’ai fait.

Ca fait mal mais on arrive à oublier. Et mon choix est ma Maman. Cela ne veut pas dire que je n’aime pas mon Papa , au contraire je l’aime plus que tout !!!!

Voila, courage à tous ceux qui ont leurs parents qui divorcent et ceux qui sont déjà de parents divorcés peuvent comprendre 🙂 .

                                                                                                                                                                          La rêveuse!

Oct
22
Classé dans (L'actualité au collège) par Agnès Dibot le 22-10-2011

Le Torchon courait hier après… le temps ! Je tiens à présenter toutes mes excuses à toutes celles et ceux qui ont supporté une gestion “à la speed” de l’atelier journal : le temps maquait, le soleil éblouissait l’écran de l’ordinateur, le vent faisait s’envoler les feuilles sur le bitume, les piétinements s’arracher le branchement électrique… “Attention au fil” fut le leitmotiv de la séance ! Désolée, donc, pour celles et ceux qui, malgré toute leur bonne volonté pour faire tourner ce stand, ont dû renoncer à boucler la maquette en temps et heure. Et puis, comme il faisait froid ! Un temps à courir plutôt qu’à rédiger des articles au soleil de fin octobre !

Merci à mon équipe de rédactrices de Pink Paillettes (classe media) qui, au fil de l’après-midi, sont passées, ont écrit, on illustré, ont réalisé la maquette (mention spéciale à Laura pour le dessin et à et Alyssia pour la maquette, à Wassila et Imène pour les photos, à Amira qui a écrit un article…). Ajoutons que certains jeunes talents se sont révélés : Bryan, de 6ème3, qui s’est prêté au jeu de l’interview, Constance, de 6ème1, qui a repris la maquette en charge quand Alyssia est allée photographier la course des 3èmes, et a impressionné mes zélèves de 3ème : “Quoi, elle n’est qu’en 6ème, et vous avez vu comment elle s’y connaît en informatique !”. Chapeau bas, Constance, en effet !

Du côté du stade, des courses, peu d’informations si ce n’est que la bonne humeur était, encore cette année, au rendez-vous. Ce sont des journées comme celle-ci où élèves comme adultes se mêlent dans un effort commun (le sport, ou la réflexion -dans les ateliers-) qui nous redonnent l’énergie pour poursuivre le travail ensemble. Nos zélèves se sont montrés, une fois de plus, de bons sportifs (l’esprit d’équipe fortement présent dans les ateliers comme dans les courses : bravo pour cette qualité !), des gagneurs, même si on déplorait, à la fin de la dernière course, des détritus en abondance sur le stade…

Merci, à ce sujet, aux quelques zélèves qui sont restés après 17 heures pour aider à ranger le matériel (tables, chaises, ce fut le défilé vers le Foyer) et à ramasser les papiers gras sur les terrains…

Et un grand salut aux zélèves de SEGPA qui ont préparé le goûter pour tous les participants !

Que dire de plus, avant d’avoir achevé la maquette du n° spécial cross ? Ce numéro sera diffusé dans notre Torchon dès que possible : son nom ? Pink Survet’ !

Alors, guettez, chers zinternautes, la parution de ce numéro… Pas de vacances pour l’équipe de rédaction du Torchon ! Bonnes vacances aux autres, et encore merci à tous.

Oct
21
Classé dans (Le torchon brûle) par akerzazi le 21-10-2011

Hier, suite au conseil des professeurs, l’ensemble des professeurs de cette réunion a décidé de me donner un carnet rouge. C’est un  “carnet de suivi” (travail, comportement) pour moi et quelques uns de mes camarades. Ce carnet sert à nous suivre et modifier notre comportement, j’en ai deja eu un l’an dernier et ça avait marché.

Toutes les fins de semaine, je dois me présenter au bureau de la principale du collège pour qu’elle fasse un point sur mon comportement. Si je ne le change pas, c’et la sanction !!.

Je pense et j’espère que ça va changer quelque chose pour mieux finir ma dernière année.

Oct
21
Classé dans (Le mot du vendredi) par la Vieille Garde le 21-10-2011

En ce jour de cross, et car le corps et l’esprit ne sont que les deux faces d’une même entité, celle de notre humanité, un mot qui renvoie à l’antiquité grecque et à la musique, presque, contemporaine.

Les gymnopédies, à Sparte, la grande rivale d’Athènes, étaient des fêtes religieuses au cours desquelles des activités sportives se pratiquaient, le mot signifie d’ailleurs “fête des enfants nus” car en ces temps le sport se pratiquait ainsi. Cela vous rappelle naturellement vos cours de 6è et les grandes panathénées, vous avez raison.

les gymnopédies ce sont aussi 3 morceaux d’Erik Satie, celle écoutée au début de cet article est la plus connue. Satie (1866-1925) écrivit les gymnopédies en 1888. Je ne me lancerai pas dans sa biographie, sachez seulement qu’il fréquenta le cabaret le chat noir, tenu par Rodolphe Salis, à Paris, lequel Rodolphe était Châtelleraudais de naissance, comme en témoigne, bien modestement, une plaque rue Gaudeau-Lerpinière. Ultime précision, pour raviver des souvenirs d’école ouverte en août, une charmante villa art nouveau aux Ormes abrita une de ses maîtresses.

Ainsi, un simple cross de collège permet-il d’évoquer bien des horizons culturels inconnus, afin de nous porter plus loin que nos foulées de ce jour. Notez aussi à quel point l’histoire de notre ville demeure riche de surprises enthousiasmantes.

Oct
21
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par hanene le 21-10-2011

Au pouvoir depuis plus de 40 ans, le colonel a été capturé et tué ce jeudi, à Syrte (à l’est de tripoli ). Game over pour kadhafi. Le monde arabe respire enfin.

Je profite de l’article de Hanène pour publier la Une de Libé (oui, c’est une tradition !) : la rédaction use du procédé que nous avons observé récemment à l’occasion de la mort de Steve Jobs :  fond noir.

Notons tout de même que cette photo est celle d’un homme mort, ou agonisant : tyran, dictateur, certes…  Quand le symbole de la capture et de la mort (de la “fin”, comme il l’est dit en titre) est capital. “Le poids des mots, le choc des photos”, telle était la devise d’un certain journal… On peut s’interroger sur la pertinence de la publication d’une telle photo à la Une d’un quotidien national. Gageons que cette photo fera, d’ailleurs parler d’elle. Souvenons-nous qu’à la mort d’Oussama Ben Laden, le monde réclamait une photo de sa dépouille afin d’être sûr de sa mort. On peut supposer que les rédactions de nos journaux n’ont pas hésité longtemps avant de diffuser ce cliché de Kadhafi ensanglanté. (on retrouve cette même photo, capture d’écran d’u portable d’un combattant du CNT, sur les sites d’informations de nos media ce matin).

Oct
21
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par moustoifaini le 21-10-2011

Née le 19 octobre aux alentours de 20h, la fille du couple présidentiel est déjà une star. Maman douceur avec tout le regard sur sa fille et Papa bosseur.

Tout l’inverse de Maman : figure d’autorité austère, impressionnante, chargée de lourdes responsabilités et concentrée sur des causes collectives, par conséquent ressenti comme lointain, plutôt détaché affectivement. Pas vraiment une surprise pour la fille d’un chef d’Etat.

Oct
19
Classé dans (Le jeudi, c'est cinéma !) par la Vieille Garde le 19-10-2011

Ce film de Gus van Sant, connu pour ses penchants dépressifs, n’échappe pas à la réputation du réalisateur, tout en la sublimant. Je pense que nos rédactrices, penchées sur la dissection du sentiment amoureux, vont me suivre sans difficultés dans mon analyse.

Un suicidaire, une mourante, de cancer, qui se rencontrent à des enterrements d’inconnus. Cela ressemble fort à Harold et Maud, 40 ans plus tôt. Deux adolescents, lycéens, qui, dans le cadre d’un amour improbable, voire impossible, mes préférés, construisent leur histoire. Cela ressemble à Roméo et Juliette, 5 siècles plus tôt. Pourtant, au delà de ces références, et on peut en trouver bien d’autres, à Tim Burton et à ses noces funèbres par exemple, il semble bien que ce sont des histoires d’inconnus, de nombreux inconnus, qui se retrouvent dans les personnages de ce film. Ce dernier n’est, à mon sens, même pas triste. Réaliste, finalement  très français.

La relations qui se construit, entre ces deux individus marqués par la mort , est, comme souvent, un hymne à la vie. Les deux héros s’apprivoisent, acceptent l’idée de la mort, non sans difficultés pour le garçon, le tout parfois avec un véritable humour. Le plus difficile étant assurément d’accepter l’idée de l’amour, de son commencement encore plus que sa fin. Mais, les dialogues entre le héros et un fantôme de kamikaze japonais aident le premier à y voir plus clair!

Est-il possible, lorsqu’on sait être condamné, d’accepter d’être amoureux? Peut-on s’investir dans une histoire, condamnée à être éphémère, ou bien, la qualité de cette dernière ne s’en trouve-t-elle pas accrue,, en raison même de sa brièveté? La certitude de la fin doit-elle pousser à ne pas vouloir débuter la relation ou bien à vivre intensément le peu de temps qui sera accordé au couple? Autant de questions, en lien  avec ces amours improbables, impossibles et qui, cependant, existent et magnifient un sentiment jusqu’à en faire des mythes, souvenez-vous, dans la belle Vérone…

Oct
19
Classé dans (L'actualité au collège) par Agnès Dibot le 19-10-2011

cross toujours !