Fév
08
Classé dans (Correspondance) par Agnès Dibot le 08-02-2013

Ils écrivent, ils écrivent : que le monde, que dis-je le monde, que la planète se rassure : les élèves d’option média écrivent. Deux heures d’écriture sur le Mali, l’Islam, ce matin, en séance média. Un sujet difficile, qu’il aura fallu analyser avant d’en arriver à la phase d’écriture d’article.

A lire très vite, dans la Nouvelle République, et dans ce Torchon, un article intitulé “C’est l’Islam qu’on assassine.”

Fév
08
Classé dans (Le mot du vendredi) par la Vieille Garde le 08-02-2013

Cet homme haut en couleur, né à Châtellerault, mort à Naintré, ayant eu une maitresse dans une fort belle demeure art nouveau aux Ormes est avant tout connu car il fut le propriétaire du cabaret le Chat noir, à Paris. Ce célébrissime cabaret fondé en 1881 fut racheté et rebaptisé 2 ans après la mort de Salis. Tout le Paris bohême de la fin du XIXè s’y retrouvait: Aristide Bruant, Alphonse Allais, Caran d’Ache etc, l’ambiance des années folles devait y être particulièrement palpable!

Châtellerault n’honore pas véritablement son enfant, fils d’un limonadier local, il suffit de voir la qualité de la plaque qui, rue Gaudeau-Lerpinière, la rue de la bibliothèque du château, indique que se trouvait ici la demeure où naquit l’auguste saltimbanque. Fort heureusement, l’enseigne fort connue du chat noir se trouve, elle, au musée Carnavalet, à Paris, splendide hôtel particulier, qui fut un temps propriété de la marquise de Sévigné, relié à l’hôtel Lepeletier de Saint Fargeau, lesquels Lepeletier possédèrent le merveilleux château de Saint Fargeau, qui avait appartenu à la Grande Mademoiselle, duchesse de Châtellerault, la boucle est bouclée.