Fév
15
Classé dans (Poèmes) par Agnès Dibot le 15-02-2013

Les élèves de sixième1 vous offrent leurs poèmes sur le thème de l’enfance…

L’enfance, c’est le temps de la petite souris

L’enfance, c’est le temps des rires et des vacheries

L’enfance, c’est le temps du père noël, des cadeaux

L’enfance, c’est le temps des friandises des gâteaux

L’enfance, c’est le temps des kinder surprises

L’enfance, c’est le temps où on pique des crises

L’enfance, c’est le temps des sucettes, des yum yum

L’enfance, c’est aussi le temps du train vroum vroum !

Laurie

 

L’enfance, c’est le temps des rires joyeux, des jeux.

L’enfance, c’est la souffrance : odieuses violences.

L’enfance, c’est le bonheur, la blessure, et le coeur.

L’enfance, c’est les gourmandises et les friandises.

L’enfance, c’est quand les étoiles sont à peine levées.

L’enfance, c’est l’odeur des pluies de mon enfance.

L’enfance, c’est sans soucis, sans chagrin, sans tristesse.

L’enfance, c’est un jeu d’enfant quand le coeur est beau.

Canan

 

L’enfance, c’est notre beauté et douceur idéale.

L’enfance, c’est des vacances si géniales.

L’enfance, c’est apprendre à lire, compter.

L’enfance, c’est aussi découvrir et aimer.

L’enfance, c’est s’émerveiller devant la mer.

L’enfance, c’est d’obéir à ma grand-mère.

L’enfance, c’est de jouer à l’hélicoptère.

L’enfance, c’est de faire des trous dans la terre.

Kévin

 

L’enfance, c’est le temps du bonheur des parents

L’enfance, c’est le temps de jouer à la dînette

L’enfance, c’est le temps de goûter aux courgettes

L’enfance, c’est le temps de crier en pleurant

L’enfance, c’est le temps de faire des siestes

L’enfance, c’est le temps de déguster des frites

L’enfance, c’est le temps d’apprendre ses leçons

L’enfance, c’est le temps de chanter des chansons.

Théa

 

L’enfance, c’est les friandises, des pâtisseries,

L’enfance, c’est le temps de l’école et des récrés,

L’enfance, c’est mon ami doudou dans mon lit,

L’enfance, c’et la mauvaise fois et les mensonges,

L’enfance, c’est les jeux et les dangers,

L’enfance, c’est la crise des pleurs et des bonheurs,

L’enfance, c’est les bonnes ou les mauvaises notes,

L’enfance, c’est le temps des devoirs, du travail.

Julia

 

Fév
15
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par mbercisse le 15-02-2013

C’est l’Islam qu’on assassine

En janvier, la France accepte la demande du président malien pour repousser l’attaque des terroristes islamistes au Nord du Mali. Les islamistes ont pris le contrôle du Nord du Mali et ont imposé la Charia aux citoyens.

Au Nord Mali, les gens sont musulmans à 90%, au sud, on trouve également des chrétiens et des animistes (c’est le fait de croire aux esprits de la nature).

La Charia

La Charia signifie « le chemin vers Dieu » : les djihaddistes l’ont imposée comme règle de vie sociale dans les territoires qu’ils ont occupés. Ce sont des préceptes religieux qui dictent ce qu’on doit faire dans la vie quotidienne. Mais ils l’ont imposée de façon très dure : un homme surpris à fumer, à boire, peut être fouetté, recevoir des coups de bâton. En cas de vol (ou de soupçon de vol), un pied ou une main coupés. Les couples adultères sont fouettés. Les femmes doivent porter le voile. Si elles ne portent pas le voile, elles sont punies. Cela ressemble à un régime totalitaire.

Des préceptes religieux barbares

La flagellation, la lapidation, la main coupée sont des châtiments corporels qui nous viennent du judaïsme et du christianisme : Mahomet, au VIIème siècle, quand il écrit le Coran, (ou, pour les croyants, quand il le reçoit de Dieu) applique ces préceptes. La Charia, au 21ème siècle, c’est techniquement possible, mais intolérable ! Aujourd’hui, les djihaddistes, qui sont des islamistes intégristes, prétendent livrer une guerre sainte aux pays occidentaux, soit disant au nom de Dieu.

« Ce n’est pas l’Islam qu’on pratique à la Mosquée !»

Pour moi, les djihaddistes donnent une mauvaise image de l’Islam en l’imposant de façon cruelle. Ils se croient des sauveurs pour les laïcs (qu’ils appellent “mécréants”) ou les musulmans qui ne pratiquent pas. Mais ils sont loin d’être de bons musulmans, étant donnée la façon dont ils pratiquent leur religion : le viol, par exemple, est un grand péché.

A la Mosquée, on nous enseigne le respect d’autrui, on nous explique la religion, l’Imam fait un discours dans lequel il dit ce qui est bien, ce qui n’est pas bien : sur le plan moral, sur le plan de la vie quotidienne.

Paroles d’élèves

« Ce qui se passe au Mali me touche, même si je suis athée : une guerre, ce n’est pas rien, quand même. » Hugo.

« En tant que citoyen, ça me touche car c’est une violence subie par des civils innocents, des gens qu’on prive de leurs loisirs, de leurs droits, pour instaurer des lois inventées : soit disant, ils suivent la religion, mais les djihaddistes suivent leur idéologie à eux. Pas la religion ou le Coran. Je ne suis pas neutre car être neutre serait oublier que les terroristes ont agressé les populations civiles. Ce n’est pas une guerre normale car il n’y a qu’un camp qui attaque. » Pedro.

 Nous, jeunes musulmanes de France… ce que nous pensons de la situation au Nord-Mali.

Les terroristes musulmans envisagent la religion d’une manière inappropriée, puisque leur vision de la religion est poussée à l’extrême .

A cause de leur extremisme, l’islam est mal vu dans  le monde. Les musulmans sont tous mis dans le même sac, les gens pensent que nous pratiquons tous de la même manière, ce qui n’est pas le cas.

La situation au Mali…

Les femmes n’avaient aucune vie au Nord-Mali, avant l’intervention des armées malienne et française, elles n’avaient pas le droit de “vivre”, elle étaient traitées comme des choses. Un article  paru dans le magasine ELLE dit que la femme était traitée comme un diable. Leur reporter a fait plusieurs séjours là-bas et en a conçu que les maliennes vivaient un calvaire infernal. Elles étaient emprisonnées, violées, tuées : les maliennes ont subi l’horreur, heureusement que Francois Hollande a fait intervenir les forces armées françaises là-bas parce que les maliennes étaient vraiment aux portes de la mort. Nous sommes très contentes de ne pas vivre là-bas car nous vivons une religion modérée.

L’islam  :comment le vivons-nous

“Nous, à la maison, nous prions , nous jeûnons pendant le mois du ramadan mais mon père ne nous force pas pour autant à nous voiler”.

“Tout le monde ne pratique pas la religion de la même manière. Nous connaissons des jeunes filles qui portent le voile et le vivent très bien malgré leurs jeune âge… Elles font les cinq prières comme il est recommandé mais pas tout le temps à la bonne heure parce qu’il y a l’école. Mais elles les rattrappent une fois rentrées chez elles. Le fait que nous ne vivons pas dans un pays musulman n’exclut pas le fait que nous sommes musulmanes. Nous pratiquons  notre culte d’une manière modérée. Si des intégristes venaient à instaurer des lois plus strictes  à Châtellerault,  je pense que je ne réussirais pas à le pratiquer de la manière dont ils le souhaiteraient  car j’ai toujours vécu un peu libre. Par contre je crois que nous n’aurions pas la même vision si nous avions vécu dans un notre pays moins libre et plus intégriste.”

La religion au quotidien n’est pas compliquée mais ce sont les gens qui la compliquent. Tout dépend de la façon dont on la pratique. Sur la Charia, notre vision, en tant que jeunes  musulmanes, est la suivante, il est inhumain d’appliquer des châtiments corporels du Moyen Age. Pour conclure, nous trouvons que l’intervention des troupes françaises au Mali est un soulagement pour tous, leurs armes développée sont un bon moyen de traquer les djihaddistes, de les repousser et libérer les populations.

                                                                                                                                            Manelle, Fanta et Badjo

Fév
15
Classé dans (Pink Paillettes) par Sacre bleu le 15-02-2013

Voici les atouts-charme des garçons  de la classe Média.


Le Charme de Hugo :
Hugo, ce qui fait son charme, ce sont ses cheveux, ses yeux, son charme et il est marrant, et il a le Swagg.
Charme de Riyadh :
Ce qui fait le charme de Riyadh c’est son bronzage,  ses cheveux, son romantisme, son humour, sa gentillesse et, pour finir, son Swagg (le style, la classe)
Charme de Zinar :
Ce qui fait le charme de Zinar, c’est son ramantisme, son humour et son beau sourire.
Le charme d’ Emile :
Ce qui fait le charme d’ Emile c’est ses cheveux mi-longs et ses yeux bleus.
Charme de Pedro :
Ce qui fait le charme de Pedro ce sont ses cheveux, son romantisme, son sourire charmant, son vocabulaire et sa voix douce et feutrée et, pour finir, son Swaaag.
Le charme de Monsieur Mastorgio :

Son air de petit garçon sage, son vocabulaire hautain, son autorité et ses cris, sa cape. Ses cravates ! Son swagg…

 

 

Fév
15
Classé dans (Le mot du vendredi) par la Vieille Garde le 15-02-2013

Un inconnu de plus qui ne devrait pas l’être, surtout pas en notre bonne vieille ville dont il fut, 40 ans durant, secrétaire de sous-préfecture. Issu d’une famille protestante, orphelin de mère très tôt, bon bourgeois de la ville, avec une solide assise foncière à Colombiers (vous suivez Servane?) il fut donc au coeur de la vie politique et quotidienne de la ville durant 40 années, de 1814 à 1854, assurant parfois l’intérim et ayant la signature du sous-préfet lorsque ce dernier, comme aurait dit Daudet, se trouvait aux champs. Il y beaucoup à dire sur cet homme discret et cultivé mais indécis de caractère et assez timoré, manifestement soumis à la tutelle de sa femme, si! Je me contenterai de dire qu’un des carrefours de la rue Bourbon se nommait autrefois carrefour Turquand, que ce patronyme se retrouve aussi lié à un château désormais détruit de la bonne bourgade de Senillé et que l’église Saint Jacques, dont la restauration intérieure fut le fruit de l’oeuvre de George-Eugène Colombet (dont tout le monde se souvient puisqu’il fut cité en cette rubrique), abritait une chapelle dite “de tous les saints”, dans laquelle se faisaient inhumer les Turquand.

Notre brave secrétaire, bien qu’allié aux Creuzé, aux Treuille et autres familles en vue de la ville, est donc, comme tant d’autres, tombé dans l’oubli le plus profond, preuve que 40 ans de bons et loyaux services, hier comme aujourd’hui, sont rarement récompensés.