Fév
10

Voilà maintenant cinq séances que le projet théâtre a commencé, et les choses ont bien avancé. Maintenant chaque groupe a un sujet bien défini à part un groupe qui, au début de la séance, n’avait pas de sujet car ils se sont retrouvés à trois au lieu de quatre, donc ils ont décidé de changer complètement de sujet.

Au bout des deux heures, leur sujet été trouvé, il ne restait plus qu’à le mettre en forme et à taper leur texte. Leur travail pour la prochaine séance est donc de taper leur texte au propre afin de pouvoir le jouer. En ce qui concerne les autres, tous les textes ont été tapés et ils ont pu commencer à jouer. Pour chaque groupe, il manque un élément essentiel : les gestes.

Sinon, sur les cinq groupes qui sont passés, chaque groupe avait fait une bonne représentation, il manquait surtout quelques détails, ou des questions se posant encore : Comment entrer et sortir de scène ? Il y a aussi une relation entre les personnages à établir pour certains groupes. Dans un groupe, où la représentation était bonne, on se demande s’il faut rajouter une dispute par exemple, parce que si la dispute n’est pas à la hauteur du texte écrit auparavant, cela ne servirait à rien de la rajouter. Nous attendons avec impatience la prochaine séance de théâtre pour voir les groupes qui ne sont pas encore passés, pour voir ce que ça donne.

On peut en déduire que déjà, au bout de cinq séances, le travail a bien été avancé et que chaque groupe est motivé pour aller jusqu’à la fin de ce projet.

Manon.

Fév
10
Classé dans (Le jeudi, c'est cinéma !) par la Vieille Garde le 10-02-2013

Tout devait me pousser à voir ce film, tout! Le titre cumulant à la fois la référence à une pièce de Molière que j’affectionne tout particulièrement, le Misanthrope (allez savoir pourquoi) et à un mode de déplacement qui m’est cher, le lieu du tournage, notre chère région, le duo d’acteurs. Il semblait impossible que je ne me rendisse pas promptement en un proche temple du 7è art. Cependant, le doute m’assaillait, la bande-annonce me semblait ne pas devoir m’offrir un spectacle qui se trouvât à la hauteur de mes attentes, les critiques, picorées de ci de là me laissaient dubitatif.

Malgré tout, bravant les éléments déchaînés, bon, d’accord, une simple pluie, et les intolérables souffrances qui ne manqueraient pas de gâcher mon plaisir, ma carcasse qui ne tremble pas, pas encore, ne supportant plus les stations assises prolongées, lesquelles stations sont devenues pour moi celles d’un chemin de croix, bref, disais-je, je me rendis hier soir au ciné A et, au milieu d’un public assez nombreux mais fort discipliné, ce que je ne manquai pas d’apprécier, je savourai ce film.

Il fut à la hauteur de mes attentes. Certes, je trouve bien quelques éléments à lui reprocher, cela va de soi, j’eus préféré un recentrage sur le seul duo d’acteurs et non pas ces digressions stériles sur un trio amoureux, j’eus souhaité un développement de la réflexion sur l’amitié, en lien avec mes relectures du moment, l’Ethique à Nicomaque, d’Aristote, j’eus adoré une confrontation plus travaillée des deux interprétations d’Alceste et Philinte. Il serait aussi possible, je le confesse, de se voir lassé par le jeu de Luchini, se caricaturant, mais je l’admire trop pour tomber en ce travers, de la même manière je choisis de passer sur le pastiche, parfois lourd, que représente le personnage de Gauthier, mon reproche irait plus à la bande son, trop proche de celle des femmes du 6è étage, beau film commis par le même réalisateur, avec le même acteur.

Ce film ne fut donc pas une merveille mais assurément un bon moment de divertissement, l’occasion d’entendre quelques vers toujours aimés et, pour ceux qui aiment le théâtre il ne peut qu’être source de grande satisfaction. Je retiendrai, me concernant, la fin du film, avec notre Alceste/Luchini en costume, au milieu de cette humanité, perdu, anachronique, dépassé,  dont il nous redit, scène suivante, face à l’immensité de l’océan, sourire heureux au lèvre, qu’il a conçu pour elle une effroyable haine.

Fév
10
Classé dans (La cuisine de Delphine) par dgoncalves le 10-02-2013

Voilà plusieurs semaines que je n’ai pas publié de recettes .. désolée pour ces lectures qui ont du vous manquer terriblement…

 

J’espère cependant que vous n’avez pas hésité à profiter des gourmandises de saison … Galette des rois en janvier, crêpes en février … cela va bientôt être le temps des beignets ( j’essaierai d’en faire pendant les vacances et vous ferai part de mes découvertes culinaires le moment venu…)

Pour aujourd’hui, j’ai eu envie de vous faire partager une recette bien locale et bien traditionnelle : le macaroné , oui oui avec un é , pas le macaron ( c’est dur  à faire alors je ” peaufine” ma recette …)

Il s’agit donc d’une base de macarons, mais bien plus simple … et délicieux … avec un petit café , un petit thé ….

 

Ingrédients :

 

4 blancs d’oeufs

250 g de sucre

250g de poudre d’amande

 

Préchauffer le four Th 6 (180°C).
Mélanger le sucre et la poudre d’amandes.
Battre les blancs en neige ferme.
Mélanger délicatement les oeufs avec la poudre d’amandes, le sucre.
Déposer une feuille de papier cuisson  sur une grille, et à l’aide d’une poche à douille, faire un tourbillon avec la pâte (en partant du centre et en tournant autour).
Enfourner pour une vingtaine de minutes, en surveillant la cuisson.
Attendre le refroidissement pour décoller de la feuille de cuisson.
Saupoudrer de sucre glace et servir.

 

Dégustez et régalez vous ! Les mêmes, en plus petits !