Le Monde, mardi 28 avril 2014

Quand on a une passion, il faut la continuer jusqu’au bout !

Moi, j’avais une passion, c’était la danse mais un jour je me suis blessée aux genoux et j’ai dû arrêter cette passion qui était vraiment importante pour moi, je l’ai vraiment mal vécu. J’ai pleuré toutes les larmes de mon corps pendant presque cinq mois. Quand je voyais toutes mes camarades de danse répéter leur chorégraphie avec le sourire aux lèvres… Et moi, j’étais malheureuse de  me dire que pendant dix mois je n’avais pas le droit de faire de la danse. Dix mois plus tard, je suis revenue à la danse, mais j’ai eu du mal à reprendre car j’avais perdu toutes mes capacités, j’ai mis beaucoup de temps à me remettre au niveau que j’avais avant, j’étais devenue faible, je n’étais plus la même fille, je cachais ma tristesse derrière un sourire faux !

Même quand on a une blessure, il faut jamais arrêter sa passion, la continuer quoi qu’il arrive.

Les surnoms… le grand sujet, un peu honteux (si on peut dire) et embarrassant. Nous allons fait un Micro-Trottoirs de la classe Média:

Lenny : Écureuil  (en espagnol ça donne mieux d’après Lenny) ou Théo le surnomme Jean Mireille depuis sa nouvelle coupe de cheveux.

Johanna : Nana parce que Johanana, John (à l’anglaise) pour les intimes.

Anais : Ma chérie ou caniche (pour la coupe).

Amandine : Didine

Mme Dibot : Natacha (pour ses long cheveux tressés -à l’époque- : nattes à chat) ou Julie… ne pas chercher à comprendre. (NDLR : c’était des surnoms d’enfance. A 44 ans et 11 mois, c’est fini, les surnoms…)

Charlélie, fils de Mme Dibot : Mon p’tit Lulu.

Salimatou : Tatou

Naouale : Nana ou welwel.. original

Anissa : Anissouille

Halima : Mima

Gayan : Gay (en prononcant le y)

Marina : Nishanty puisque c’est son deuxième prénom

Messaouda : Ouda ou Douda

Eden : Mon bouchon… il n’y a rien à expliquer là dessus, je n’ai jamais compris le pourquoi du comment.

Et voilà, vous êtes entrés dans notre intimité quelques fois  honteuse ou quelque peu gênante… Et vous, quel est votre surnom ? Dites nous tout et n’ayez pas honte…

Anissa et Eden

Au Portugal, lors d’une opération, à l’ hôpital  d’Aveiro un chirurgien a succombé a un infarctus alors qu’il se trouvait au bloc opératoire pour opérer une patiente, atteinte de la thyroïde. D’après le télévision portugaise RTP, le docteur Frias coutinho , âgé de 52 ans, après avoir fumé une cigarette,  s’apprêtait à opérer sa patiente lorsqu’il s’est plaint  d’une douleur importante à la poitrine ” j’ai une douleur insupportable”  a-t il dit à ses collègues. Il n’a malheureusement pas pu être réanimé à temps.

“Il est vrai qu’il y a actuellement une ambiance très stressante à l’hôpital d’Aveiro en raison de problèmes d’organisation au sein des services”, a confié Manuel Silva, bâtonnier de l’Ordre des médecins. “Mais on ne peut pas établir de lien de cause à effet. Il s’agit d’une triste coïncidence”, a-t-il cependant précisé.

Selon les personnes de son entourage, il avait eu de vives douleurs pendant la nuit. Le matin, arrivé à l’ hôpital, il avait effectué des examens qui ne  s’étaient pas avérés inquiétants. Mais malheureusement il décède lors de cette opération.

Cette première semaine des vacances de Pâques, je suis allée à l’école ouverte, j’ai voulu découvrir l’atelier : “Cuisines du monde”. Ce mini projet consiste à produire de nos mains, un menu (entrées, plat, desserts), tout en restant équilibré et avec des recettes provenant de pays différents, cet atelier est animé par Mme Mayer et Mme Courtois. Nous avons commencé mardi en cherchant toute la matinée des recettes que nous pouvions faire puis, ensemble, nous avons voté pour les recettes que nous avions appréciées le plus, l’après midi nous avons calculé les portions et le prix des ingrédients, puis la journée s’est terminée. Mercredi, nous sommes allés au marché pour acheter les ingrédients puis nous sommes rentrés au collège, l’après midi, nous allons cuisiner pour faire un gouter (cookies, smoothies). Puis Jeudi, dernier jour, nous allons cuisiner tous nos plats choisis puis, ensuite nous allons les déguster (et puis tout ranger)…
Voici notre menu : cuisine du monde menu

Je me suis posé cette question hier soir en surfant sur le Torchon. J’ai lu quelques commentaires par ci par là, puis je me suis rendue compte que seuls les élèves média et quelques adultes lisaient le Torchon. Pourquoi les élèves du collège ne viennent jamais lire nos actualités ? D’autre personnes ne savent même pas que le Torchon existe. A croire que le Torchon n’est pas fait pour tous les jeunes mais que pour les intellos. Puis je me suis souvenue que moi aussi, avant d’être en 4ème, je ne connaissais pas le Torchon. Je lisais juste le Pink Paillettes et je trouvais les articles intéressants. Je n’avais pas à l’idée qu’ il pouvait y avoir un blog.

Le Torchon devrait être fait pour tous les collégiens et pas que pour le groupe média. Je trouve inintéressant de faire des articles que pour nous. Je trouve aussi  que nos articles devraient être jugés et commentés par le public jeune. Il faudrait qu’ils nous fassent part de leurs avis car le Torchon est fait plus pour eux que pour nous. Qu’ils donnent leurs avis pour nous améliorer et améliorer nos articles. Car sans leur opinion personnelle, nos articles ne peuvent pas s’améliorer et avoir les plus grands prix de concours. Qui sont mieux placés pour donner leur opinions sur un journal pour les collégiens ? Les collégiens.

Je pense que le groupe média devrait faire de la publicité pour inciter les jeunes à venir lire le Torchon, mettre des affiches. Aller dans les cours et montrer que nous avons gagné le 1er prix de journal collégien en ligne ! Ce n’est pas rien tout de même ! Nous devrions même le crier sur tout les toits. Le Torchon n’est pas fait que pour les intellos. Parfois, les articles peuvent être très intéressants et cultivés, apprendre ce qui se passe dans le monde. Se tenir au courant des actualités dans le monde.

Dans un sens, je les comprend car je déteste lire et je n’ai pas vraiment envie de réfléchir, je pense que c’est aussi pour ça.

Catastrophe ! Ce matin, en arrivant en média à 8 heures, Lenny, alias le cassis masqué, est arrivé capuche sur la tête… Nous lui avons enlevé sa capuche… et là, surprise : Lenny a coupé ses cheveux…

Cette nouvelle coupe lui va bien mais le rajeunit d’au moins deux ans et le rend très très sage !! Lenny !! Où sont passées tes bouclettes ?? Ta jolie touffe ébouriffée ?

Je veux revoir tes cheveux d’avant… Alors laisse-les pousser pour la rentrée s’il te plaît :).

Messaouda

Vous vous demandez sans doute ce que j’entends par ce titre… Eh bien, je parle du massacre des arméniens par les Turcs comme en 1915. Aujourd’hui, ce sont les arméniens et chrétiens de Kassab qui sont touchés par une nouvelle extermination avec la seule raison : la haine raciale. Moi même, arménienne, je suis profondément choquée et touchée par ce qui se passe dans ce petit village. Et je ne peux pas rester indifférente face à ce massacre des miens.

Mme Dibot et M Aimé, deux de mes profs, ne sont pas au courant de cette info, apparemment, je suis la seule à la connaître… Cette information ne passe pas à la télé en France, ni dans les journaux car presque personne n’est informé. Moi, j’ai appris ces faits par mes parents, ma famille, qui, depuis quelque jours, sont sur des sites arméniens et ne parlent que de ça.

Kassab était l’un des deux derniers postes frontières officiels avec la Turquie encore aux mains de Damas. Mais surtout, il était le seul village arménien de l’ancien Empire Ottoman situé hors des frontières de la Turquie actuelle. Kassab est en effet peuplé très majoritairement de rescapés du génocide des Arméniens de Turquie, en 1915.

Les familles arméniennes ont commencé à faire leurs bagages pour prendre la fuite après les premiers coups de feu du 22 mars. Le 24 mars, un syrien d’origine turque lance un avertissement à la population en disant : « Je préviens nos frères arméniens à Kassab : qu’ils partent avant l’offensive de l’Armée syrienne libre, sinon ils vont avoir des pertes civiles et encore se plaindre d’un génocide perpétré par des Turcs ».
Je ne comprends pas trop cet homme, je trouve ça petit de parler ainsi… Oser dire que si l’on ne s’enfuit pas, eh bien, que le monde ne s’étonne pas si, nous , les arméniens, nous nous plaignons du génocide !!
La population arménienne a été obligée de fuir devant l’arrivée, via la Turquie, des centaines de combattants islamistes, dirigés par le Front Al-Nosra (la branche d’Al-Qaïda en Syrie, NDLR). Aujourd’hui, il n’y a plus d’arméniens sur Kassab et ils ne sont pas prêts d’y retourner.

Ma mère m’a montré quelques photos de cadavres, et je n’ai jamais été autant choquée par des images… J’ai versé quelques larmes car je ne comprends absolument pas “pourquoi” tant de “haine” envers nous !? Je suis tellement choquée par ces images que je n’oserais en aucun cas les montrer à d’autres personnes, même moi je ne veux plus les revoir ! Je pense que cette haine ne disparaîtra jamais et c’est vraiment pénible de vivre avec cette peur…

A retrouver dans Libération ce matin…

Les fashions looks des Grammy Awards 2014 :

Voici Beyonce aux Grammy Award 2014, à la 54ème cérémonie dans une robe  de Michael Costello. Elle foule le tapis avec grâce et élégance.  Le blanc semble être le nouveau noir sur le red carpet.

Voici Katy Perry a L.A aux Grammy. Katy Perry a fait sensation avec sa robe Valentino Haute Couture. Sur la bas de sa robe, est inscrit des partitions  de musiques. Tout en blanc, elle joue sur la transparence.

Pire looks des Grammy Award 2014:

Après les plus beau look voici le look le plus raté avec Nadeea Volianova dans une robe non identifiée mais qui ne lui va pas. Et avec des bottes out !

Fany Salimatou 😉