Article anonyme.
Être homosexuel ce n’est pas simple, et encore moins quand on a peur de la rection d’autrui. On a droit à plein de remarques quelque peu étranges mais, prises avec du recul, elles peuvent être “marrantes”.
– “C’est une maladie, allez vous faire soigner ! ”
Suis-je malade ? Aucune idée, ,j’en ai pas l’impression en tout cas. Je suis comme vous, un être humain parmi tant d’autres . Il faut toujours que nous trouvions une raison pour chaque chose qui nous entoure, car, sinon, on risque d’en avoir peur.
– “Allez, reviens hétéro, c’était mieux avant ! ”
Si seulement j’avais pu choisir, j’aurais tout fait pour rentrer dans la “norme”. Tout ce qui sort de la norme fait peur, on ne comprend pas,alors c’est pas normal (viens en math à ma place, tu verras que ce n’est pas normal). Alors si toi, tu décides de qui tu vas tomber amoureux, bravo, félicitations, tu auras une vie toute tracée. Malheureusement ça ne se passe pas comme ça, on ne choisit pas.
– “Vous êtes différents ! ”
La différence c’est ce qui fait le monde, sinon, nous serions tous des petits moutons sans importance, je ne pense pas que ça soit le mot exact pour représenter cette soit disant différence,s c’est simplement un sentiment primaire.
” Tu aime les filles alors …. Tu vas me draguer ?”
J’adore cette question, elle me fait beaucoup rire, comme si les hommes voulaient sortir avec toutes les … Oui, non, mauvais exemple en fait !!! Non, je ne drague pas toutes les filles.
– “Comment l’as tu su ? ”
Bah, je n’ai jamais étais attirée par les garçons, ah si, petite, j’étais amoureuse du chat botté. Je ne sais pas comment je l’ai su spécialement, je m’en doutais un peu quand même.
– “Pourquoi es-tu plus attirée par les filles que par les hommes ?”
Je ne sais pas, elles sont sûrement plus douces, plus compréhensives, même si la plupart des filles que j’ai connues étaient hyper jalouses. Je m’entends super bien avec les garçons, je préfère parler avec des garçons qu’avec les filles.
Petite interview de ma chère prof de média
– Te sens-tu différente des collégiens/collégiennes hétérosexuels ?
Non, du tout, les quelques personnes au courant l’ont super bien pris, ce sont mes amis de toutes façons, ce sont les meilleurs, non sérieusement, je ne me sens de loin pas différente des gens de mon âge.
– Es-tu exclue ? Dans ta famille ? Au collège ?
Je n’ai pas fais mon comming-out ouvertement mais seulement auprès de quelques personnes, et je ne peux pas parler d”exclusion vu que, comme je l’ai dit plus haut, mes amis l’ont très bien accepté. Côté famille, ce n’est pas pareil, mon père est homophobe, ainsi que mes frères, ma mère l’acceptera sûrement mieux que mon père, mais cela restera compliqué.
– Qu’aimes-tu chez les filles que tu ne retrouves pas chez les garçons ?
Je ne sais pas, elles sont toutes différentes, comme les garçons, mais elles ont ce petit truc en plus, ce petit quelque chose en plus qui fait que je ne me lasserai jamais de les regarder. Elles sont plus douces, plus compréhensives.
–Cette sexualité différente est-elle pour toi une angoisse pour le présent ? Pour l’avenir ?
Du tout, je suis même plus rassurée. Je n’aurai pas cette peur de tomber enceinte pars accident !
– Que penses-tu de l’actualité du Mariage pour tous ?
Je ne comprends pas pourquoi ils veulent se marier. Même les hétéros ! Je suis contre le mariage, l’idée d’appartenir à quelqu’un, mais bon … homo ou hétéro, un droit est un droit, il doit être le même pour tout le monde, ou ne pas exister.
Peu importe vos opinons, peu importe votre incompréhension, c’est ma vie, elle m’appartient. Ce n’est pas une maladie ni même une anomalie, c’est juste de l’amour .
http://abonnes.lemonde.fr/cinema/article/2014/12/09/timbuktu-face-au-djihadisme-la-force-de-l-art_4537041_3476.html
Le Monde publie ce jour une critique de ce film qualifié d’exceptionnel… Pour réfléchir…
EH oui , les mères sont très très collantes avec nous, pas cinq minutes de repos sans qu’elles ne nous fassent une remarque. Toujours à s’inquiéter pour un rien, ce qui n’est pas le cas chez les pères qui, eux, sont beaucoup moins soucieux. Trop souvent en train de me dire : ”Tu as trouvé ton stage , c’est quand que tu vas te mettre à chercher ?” , ”T’as fait tes devoirs ? Parce qu’il est déjà tard” ; ou encore les 15 appels manqués quand on est dehors encore quand il fait nuit.
Prenons exemple sur Mme Dibot qui nous parle très souvent de son fils parce qu’elle pense toujours à lui (elle s’inquiète), ou alors elle est peut-être trop curieuse. SidiLeBeauGoss nous dit que : “Ma mère est depuis peu beaucoup plus protectrice avec moi car je grandis et je pense que cela lui fait appréhender”. Moi je pense personnellement qu’elles sont bien collantes comme je le dis (toujours à vouloir nous protéger ou avoir un oeil sur nous) , mais que malgré tout, c’est pour notre bien et qu’un jour on les remerciera d’avoir été comme ça toute notre enfance. http://wamiz.com/tooniz/photo-6934
Les mères seront toujours comme ça et ne changeront , je pense , jamais de s’inquiéter pour un rien.
L’euthanasie est le fait de pratiquer une injection létale à une personne en fin de vie ou atteinte d’une maladie incurable qui inflige de terribles souffrances physiques ou morales. Elle cause le décès d’une personne sans lui infliger aucune souffrance, une “mort douce” selon les médecins. En France, l’euthanasie est considéré comme un assassinat, un empoisonnement prémédité ou une non-assistance à une personne en danger.
En France, l’euthanasie est sujet à de nombreux débat. Il y a ceux qui veulent le légaliser et ceux qui sont contre. Nombreux sont les pays Européen qui ont légalisé l’euthanasie sous certaines conditions. La légalisation de l’euthanasie fait partie des engagements de campagne de François Hollande et celui ci a promis d’ici la fin de l’année un nouveau texte pour améliorer la “loi Leonetti” mais a aussi dit qu’il n’envisageait pas d’autoriser l’euthanasie.
Les pro-euthanasie, (ceux qui militent pour sa légalisation) ont créé un association appelée “Droit de mourir dans la dignité” ils manifestent souvent dans les rue de Paris pour montrer leur mécontentement envers Le président de la République qui, selon eux, n’a pas tenu sa promesse. Ils font également pression sur l’assemblée nationale pour enfin faire voter cette loi et dénoncent l’acharnement thérapeutique des médecins sur un malade incurable. Les anti euthanasie, eux, se mobilisent souvent aussi pour lutter contre l’euthanasie, c’était le cas le 28 Novembre 2014 dans une soixantaine de ville française dont Poitiers. Ils distribuaient des prospectus qui disaient “Soulager, mais pas tuer”.
Selon moi, l’euthanasie devrait être légalisé car chaque personne majeure devrait choisir si elle veut mourir ou pas, surtout si celle-ci est atteinte d’une maladie incurable et qu’elle en souffre physiquement ou psychologiquement. De plus, si elle est paralysée par sa maladie, elle devrait pouvoir partir en toute dignité car ne plus pouvoir faire certaines choses soi-même, comme se laver ou porter des couches pour adultes, est très rabaissant et la personne concernée ne veut sûrement pas que ses proches gardent cette image de lui. Mais d’un autre point de vue, je comprends ceux qui sont contre. Ils ne veulent pas perdre leur proches et se sentent pas assez fort pour endurer leur décès. C’est très subtil comme choix car si l’on accepte l’euthanasie, on vivra avec la culpabilité d’avoir mît fin à la vie d’un proche mais le refuser, c’est aussi vivre avec la culpabilité de faire souffrir son proche…
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/pro-et-anti-euthanasie-manifestent-a-paris_1097207.html
Les enquêteurs ont reçu une lettre anonyme de la part de Mme FONTENIT, le mercredi 03 décembre, où il y avait écrit « CADAVRE AU CDI, AFFAIRE CLASEE ». Les élèves, excités, sont partis au CDI, pour trouver le cadavre. Ils ont cherché dans tous les placards de la réserve du CDI pour enfin le retrouver caché derrière un tableau.
C’était un squelette sûrement de sexe masculin, puisqu’il portait des vêtements d’homme. A côté se trouvait un cartable ancien, qui contenait deux livres : un roman dédicacé par sa femme « Flo », un manuel d’orthographe qui appartenait à JYM puis un mot doux signé par “Chantalou”. Ils ont pu déduire que le « cadavre » était marié et qu’il avait une maîtresse. Pour identifier le cadavre, des enquêteurs sont partis voir les archives du collège et ils ont appris qu’il était anciennement prof de français. Ils ont déduit que Chantalou était le surnom d’une certaine Chantal puis ils ont cherché dans les archives, elle est divorcée et était anciennement prof. D’autres enquêteurs sont allés interroger Mme Cartier pour savoir si elle connaissait un JYM et une Chantal, elle a répondu qu’elle les connaissait et que Chantal était une ancienne prof de français.
Le matin du Jeudi 04 décembre, les élèves ont déduit plusieurs hypothèses avant de partir sur le terrain. Les élèves sont partis à la mairie de Châtellerault : quatre élèves sont partis demander des informations sur JYM, ils ont appris qu’il était porté disparu depuis le 03 décembre 1999 et que son épouse était Florence B….Ils sont partis à la librairie Rouge Papier, puis ont demandé à la libraire si elle connaissait Florence B… et toute étonnée, elle a répondu que c’était elle !!!
Les jeunes enquêteurs ont annoncé à Florence que son mari était mort. Florence croyait que son mari était parti à l’étranger avec sa maîtresse Chantal (car elle savait que son mari la trompait avec Chantal). Sur le chemin du retour, les élèves sont partis au cimetière, pour rechercher une tombe avec le nom de Ba…, car c’est le nom de Chantal, mais aucune Chantal trouvée au cimetière. Donc, elle doit être encore vivante…Au cimetière, les élèves avaient l’impression qu’une personne les suivait, sur le retour du collège la même personne les suivait encore.
Arrivés au collége, Mme FONTENIT leur apporta une lettre d’aveux de l’assassin (piéce à conviction): il était écrit qu’il avait tué JYM car il savait la liaison qu’entrantenaient JYM et Chantal car il était le mari de Chantal.Celui-ci est tombé amoureux de Florence. Par amour et jalousie, il a tué JYM car c’était son “rival”. Alors c’était un crime passionnel !!
Des éleves sont allés au CDI pour voir si le cadavre avait été déplacé… Il n’était plus là !! Tous les jeunes enquêteurs de retour dans la classe ont voté pour savoir s’il fallait dénoncer le coupable ou oublier: il y a eu 12 voix contre 5 pour la dénonciation du coupable à la police. Mais comment faire sans cadavre ?!
Mmes Dibot et Barret ont finalement révélé que c’était un canular ! “JYM va très bien, il est en pleine forme, rassurez-vous !” 😉
Servane et Amanda élèves de 4°5 .
Demain matin, l’auteur de ce polar, Stéphane Tamaillon, vient au collège rencontrer nos petits enquêteurs : il répondra à leurs questions et leur expliquera comment il compose un scénario de roman policier. Les zélèves ont lu ce roman, ont suivi les pas de l’Ogre de la Couronne, se sont égarés sur de fausses pistes, à l’exception de Maria, qui avait deviné l’identité de l’Ogre avant les autres petits lecteurs 😉
Comme nos petits enquêteurs ont eux-mêmes, hier et aujourd’hui, mené une enquête grandeur nature pour identifier l’assassin de JYM, notre cadavre (pas) exquis (à lire dans nos colonnes ultérieurement), leur intérêt pour le métier d’inventeur de scénario à énigmes est grand : notre écrivain est attendu avec impatience ! D’autant plus qu’on le connaît, il est déjà venu voici quelques années travailler avec nos zélèves, et nous savons qu’il sera parfait dans son rôle : normal, il est et écrivain, et prof 😉
http://www.ville-chatellerault.fr/actualite/chatellerault-mene-l-enquete
Une lettre anonyme, composée de quelques mots dont les lettres ont été découpées dans un journal, est parvenue ce matin comme par magie sur le bureau de Madame la Principale : “Cadavre au CDI ! Affaire classée ?” . Ni une, ni deux, hop, hop, madame Fontenit grimpe trois étages (dans sa précipitation, elle en oublie même d’ôter son bonnet : oh, le règlement intérieur !!!!) pour confier cette enquête à ses deux enquêtrices de charme et de choc (on peut se faire à soi-même les compliments qu’on ne reçoit jamais, non ?) et leur équipe de Sherlock Holmès en herbes : mesdames Barret et Dibot et les zélèves de leur atelier “Affaire classée”.
Quelle opportunité, ce cadavre, pour mettre en pratique les connaissances acquises ces trois premiers jours d’atelier, à la lumière de la lecture du polar L’Ogre de la Couronne, de Stéphane Tamaillon (un écrivain vivant qui rencontrera nos zélèves vendredi matin) !
Après quelques hésitations côté prof (glups, ce n’est pas tous les jours qu’on découvre un cadavre au collège !), l’enthousiasme des zélèves l’emporte et voici toute la petite équipe au CDI : on y trouve des zélèves en pyjama, à 11 heures du matin, mais que se passe-t-il dans cet atelier “Un petit déjeuner presque parfait” ???), mais, pour trouver notre cadavre (appelons-le Blaise le squelette), il nous faut poursuivre notre quête jusque dans la réserve du CDI : là, abandonné derrière quelques panneaux en carton, on découvre bel et bien … des restes humains ! Un squelette d’homme, car vêtu d’un pantalon et d’une chemise (les stéréotypes ont la belle vie !), est là, étendu. A ses côtés, un vieux cartable, qu’on s’empresse d’ouvrir. Dans sa main, un billet doux, signé d’une certaine Chantalou ! “Mon amour, retrouve-moi ce soir sur le parking, après le conseil de classe”. Dans le cartable, un vieux roman dédicacé par une certaine Flo, à son époux !
Les indices sont suffisants pour que les déductions et hypothèses aillent bon train : c’est un prof de français ! Le livre, c’est sa femme qui le lui a dédicacé, elle l’appelle “mon cher époux” ! Flo, c’est Florence ! Ou Flora, Florine ? Il vient de la librairie Aux Classiques, le tampon l’indique ! La victime se nomme JYM : une étiquette porte son nom dans un manuel d’orthographe !
Dans le bureau de notre chère secrétaire, sur les conseils de Madame Fontenit, nos zélèves retrouvent, dans les archives, un enseignant du nom de JYM… Et une prof prénommée Chantal, qui enseignait au collège la même année que lui ! Sa maîtresse ? Une équipe interroge Madame Cartier, qui travaille au collège depuis de nombreuses années : elle confirme avoir connu nos deux protagonistes ! “Pauvre JY !” s’exclame-t-elle, compatissante…
Demain matin, une enquête grandeur nature attend nos zélèves : il faut se rendre à la librairie, enquêter sur cette Florence ! Et à la mairie, pour demander un extrait d’état civil de JYM : qui était donc notre victime ? Son épouse ? Sa maîtresse ? Et, surtout, qui est l’assassin, et quel était son mobile ? Le crime remontant à quelques années, pourquoi avoir alerté ce jour notre équipe de charme et de choc ? Mystère…
En attendant, pourvu que notre cadavre ne disparaisse pas d’ici à demain matin 😉
Véridique ! Entendu vendredi dernier, en traversant la cours à 13 heures (mais quelle idée, aussi, de traverser une cour pleine d’élèves à 13 heures ?) !
Qui est l’élève coupable d’un tel propos ? Inconnu ! Même pas identifié : une voix dans un groupe d’ados.. On se retourne, on ouvre la bouche en un “oh” stupéfait, on est tentée de rebrousser chemin (on se dirige vers l’administration où on a un truc hypper urgent à faire, qu’était-ce déjà ? Ah oui, récupérer la clé de la salle informatique pour la séance d’option media : urgentissime, la sonnerie a déjà retenti une fois…) , de faire répéter la phrase à l’élève en question, puis on se ravise : décidément, on n’a plus le temps. Et puis, impossible, on a dû mal entendre !
Quel élève de 3ème aurait été assez peu organisé dans sa recherche de stage pour atterrir, finalement, au collège ? Quel élève aurait été assez peu rapide ou autonome dans sa recherche de stage pour n’avoir pas trouvé mieux que de rester une semaine au collège, quand tous ses camarades ont trouvé un stage en dehors des murs ? (le stage idéal ? N’importe quelle boutique proche de la Place Dupleix, le QG des zélèves à leurs heures perdues…) Et puis, impossible d’observer le métier de prof, on a dû mal entendre… Non ?
Décidément, il est des préjugés à combattre, jusque dans nos rangs…
Kézaco ? Il s’agit du titre d’un concours national ouvert aux adolescents, aux élèves : une façon de réfléchir aux différences et inégalités entre les sexes dans le but de lutter contre le sexisme. Ce concours offre l’opportunité aux zélèves de réaliser un court-métrage présentant une proposition pour lutter contre le sexisme. C’est à ce concours que préparent nos Drôles de Dames Picou-Vaye-Trillaud cette semaine, dans le cadre des ateliers pédagogiques de la désormais très célèbre semaine décloisonnée.
Plutôt intéressant, non ? Je ne cache pas (oh, ce “je” tout plein d’ego !) que si j’avais été élève en 2014 à George Sand, c’est cet atelier que j’aurais choisi en voeu n°1, (et l’atelier Affaire Classée en voeu n°1 ex-aequo, n’abusons pas ;)). On offre aux zélèves un espace d’expression et on ouvre la boîte à idées sur un sujet qui est une des préoccupations majeures de nos zados : la différence et la lutte contre les stéréotypes et les préjugés.
Alors, féminisme ? Sexisme à l’envers ? Et pourquoi donc trois femmes pour animer cet atelier ? Et pourquoi avoir choisi ce concours où l’on ne parle quand même que de la place de la femme dans la société ? Et pourquoi tant de blabla autour d’un sexe faible, pendant qu’on y est, non ? C’est vrai ça, après tout : qu’est-ce que ça peut faire, que la femme soit l’avenir de l’homme pour le poète ? En attendant, on le lit dans ce Torchon en rubrique “brèves de comptoir” : “la femme st faite pour rester à la maison”, c’est une partie de notre génération d’ados qui le pense.
Lutter contre les stéréotypes ? Défaire les préjugés ? Rappeler que la femme a le droit de voter, de travailler, de s’émanciper, de faire des études, d’avorter, de prendre la pilule, de disposer de son corps ? A quoi bon ? Tout cela n’est qu’évidence !
A l’évidence, pourtant non : une petite piqûre de rappel ? Et nos Trois Drôles de Dames se lancent dans l’entreprise de démolition des préjugés sexistes : trois femmes, c’est un hasard ! Si l’éducation nationale est un métier féminin, à qui la “faute” ? Rassurons nos lecteurs, le groupe d’élèves inscrits est, lui, mixte 😉
Et nous remercions ces zélèves qui ne manqueront pas de nourrir par leur réalisation quelques colonnes de notre Torchon, en rubrique “Pink Paillettes, UN JOURNAL DE FILLES ECRIT POUR LES GARCONS” Parce qu’en côtoyant les zélèves au quotidien, en dehors de leur structure familiale, nous savons bien, nous, qu’il est capital d’éduquer à l’égalité des sexes, pour ne plus entendre remettre en question les droits des femmes.
Alors, féminisme ? Assurément pas : éducation. Parce que nos zados aiment libérer leur parole et, croyez-nous, par moments, on en entend de toutes les couleurs 😉