Ce film parle de la vie des poilus dans les tranchées pendant la première guerre mondiale (14-18) qui était très difficile car les poilus vivaient dans la boue, le froid, les rats et maladies. Franchement, ce film représente bien la vie des poilus : il n’y avait pas que des douleurs physiques, mais aussi morales et sentimentales, quand ils partent à la guerre, ils laissent tout derrière eux (femme, enfants etc). Et souvent, les femmes, pendant l’absence de leur mari, les trompent avec d’autres hommes. Ce qui, parfois, détruit des familles. Et ça peut vous servir en cours d’histoire car le programme tourne beaucoup autour de la première guerre mondiale et, franchement, je respecte beaucoup les poilus et tout le monde doit les respecter car c’est un peut grâce à eux qu’on en est là aujourd’hui, c’est pour ça qu’il y a la flamme du soldat inconnu à Paris, en hommage aux morts de la première guerre mondiale.
voici le lien
https://www.youtube.com/watch?v=mm1yyg9VTno
On peut dire que les personnages principaux sont nés sous une mauvaise étoile parce qu’ils sont tous deux gravement malades et destinés à mourir jeunes. (Étoiles = destinée)
Nos étoiles contraires, l’adaptation cinématographique du roman de John Green, est un long-métrage contant l’histoire de Hazel Grace Lancaster interprétée par Shailene Woodley et Augustus Waters interprété par Ansel Elgort, ces deux jeunes adolescents vont vivre une histoire d’amour pas comme les autres en se rencontrant dans un groupe de soutient. Hazel, fille discrète mais pourtant extravertie, va se lier d’amitié avec Augustus, qui possède un humour ravageur et méprisant des conventions.
A l’age de treize ans, on diagnostique pour Hazel un cancer de la thyroïde au stade 4, suivi de métastases aux poumons. Afin d’arrêter l’évolution de ces tumeurs, les médecins lui font prendre du phalanxifor (médicament qui n’existe pas vraiment). Elle se trouve néanmoins obligée de trainer des bouteilles d’oxygène partout où elle va pour respirer convenablement. Quant à lui, Augustus est atteint de ostéosarcome, cause de l’amputation d’une moitié de sa jambe, il est en rémission depuis un an.
Avec un tel synopsis, on s’attendait à pleurer toutes les larmes de notre corps et prévoir un paquet de mouchoirs ! Certes, ce film est plutôt triste et propose des scènes très émouvantes. Que ce soit en roman ou en film, cette histoire raconte d’une très belle façon la maladie, en particulier le cancer.
Nous avons trouvé ce film très instructif, qui fait réfléchir sur la vie, la maladie… Il nous a fait pleurer de rire comme de tristesse.
Ecrit par Léa la blonde, La zappette et Oréo
Ce fillm est une commédie musicale : pendant le film, ils dansent et chantent. C’est l’histoire d’un amour passionné et contrarié entre Devdas, fils d’un riche et Paro, fille de parents modestes. Amis d’enfance, ils ne se voient pas pendant dix ans car le père de Devdas l’a envoyé faire ses études en Angleterre pour les éloigner l’un de l’autre. A son retour, sa famille s’oppose à leur mariage et Paro se résigne donc à épouser un riche veuf. Devdas agit sans réfléchir, il ne réalise ses erreurs qu’après les avoir commises. En effet, il se rend pas compte de son amour pour Paro et ne réagit que plusieurs jours après s’être vu refuser la demande en mariage de la famille de cette dernière.
Cette nuit là, Devdas partit loin de chez lui sans la prendre avec lui, il lui écrivit une lettre en lui disant que leur amour n’était que des enfantillages et en lisant cette lettre, Paro se marie. Si vous voulez voir le film, il est disponible sur youtube par extraits.
La semaine dernière, j’ai vu un film qui se nomme “Belle et Sébastien”. Je l’ai regardé avec ma mère et elle m’a dit que quand elle était plus jeune, Belle et Sébastien était une série qui passait à la télévision. Maintenant, ils ont transformés la série en film, il est sorti il y a peu de temps. Ce film est triste mais il y a aussi des moments drôles.
L’histoire du film se passe en 1943, en pleine seconde guerre mondiale. Sébastien est un petit garçon de sept ans, qui pour son âge est très intelligent et débrouillard. Ses parents sont décédés mais Sébastien ne sait pas encore que sa mère est décédée quand il est né. Sébastien vit avec l’homme qui l’a élevé depuis que sa mère n’est plus là. Mais toute sa vie bascule lorsque Sébastien rencontre “la Bête”, une chienne abandonnée par son maître. Elle vit dans la montagne, et tous les habitants du village ont peur d’elle. Puis, le temps passe et Sébastien joue avec la Bête, en cachette et il lui donne un nouveau nom : Belle.
Voici quelques jours a été diffusé un film sur l’identité sexuelle chez les enfants. Un sujet, qui fait polémique en ce moment.
Dans ce film, le personnage principal est une fille qui s’appelle Laure, garçon manqué. Elle déménage en été dans une nouvelle ville. Un jour elle rencontre Lisa qui la prend pour un garçon, trompée par ses cheveux courts, sa façon de s’habiller et ses allures garçonnières. Laure la laisse croire et dit qu’elle s’appelle Mickaël. Lisa introduit alors ce « Mickaël » auprès des enfants de son groupe d’immeubles et « il » fait rapidement partie de la bande.
En l’absence de Laure Lisa vient chez elle, c’est Jeanne qui lui ouvre et elle lui demande Mickaël. Jeanne ne vend pas la mèche mais, au retour de Laure, elle menace sa sœur de tout raconter à leurs parents, cependant elles conviennent qu’elle jouera le jeu et qu’en échange « Mickaël » l’emmènera avec elle quand elle ira jouer avec les autres enfants.
Bientôt cependant la supercherie se découvre après que, pour protéger sa petite sœur, Laure (c’est-à-dire Mickaël) s’est battue avec un copain, la mère de ce dernier vient se plaindre à celle de Laure. La mère de Laure comprend ce qui s’est passé et joue d’abord le jeu, mais ensuite force Laure à enfiler une robe et, ainsi habillée, l’emmène pour qu’elle avoue son secret à son copain et à Lisa, laquelle est très choquée d’être tombée amoureuse d’une autre fille et de l’avoir embrassée. Quelques jours plus tard le groupe des enfants décide de savoir quel est le vrai sexe de Mickaël et ils demandent à Lisa de l’examiner publiquement. Laure reste quelques jours enfermée chez elle, mais elle finit par sortir et tombe sur Lisa qui lui demande, comme la première fois, comment elle s’appelle et cette fois-ci Laure lui donne son véritable nom.
Mon avis à moi : ce film dégage une émotion certaine, avec une histoire intense, étrange et touchante. Intense, car c’est une fille fragile et son histoire est touchante. Étrange, car on ne sait pas vraiment si elle préfère être une fille ou un garçon, ou si elle n’assume pas sa féminité…
L’histoire demande de la réflexion, quant à comprendre le récit, puis j’ai beaucoup aimé l’histoire en elle même, Laure, personnage principal, m’a beaucoup émue car elle a un côté très protecteur envers sa petite sœur, qu’elle protège. Je trouve que sa petite sœur, a une logique très développée car elle comprend vite la situation et rentre dans le jeu de sa sœur. Si j’avais à le revoir, je le regarderais volontiers, il m’a plu et m’a appris des tas de choses sur la théorie du genre.
Le film Le Pantalon est tiré d’une histoire vraie, se déroulant en 1915 pendant la 1ère guerre mondiale. Le personnage principal est Lucien Bersot, soldat dans la 8ème compagnie. Il était père de famille et vivait dans le village de St.Servin près de Besançon. Il a été mobilisé et envoyé au front. Tout au long du film, on découvre les conditions de vie des soldats ainsi que celles dans lesquelles vivaient les officiers. Ces derniers vivaient dans le luxe, la fête, les bons repas, le confort… Le soldat Bersot fut fusillé pour l’exemple pour un motif dérisoire et injuste : il avait refusé de porter un pantalon d’uniforme pris sur un soldat mort. Le film respecte très bien la biographie du soldat Bersot. Le réalisateur prend parti pour Bersot et dénonce l’horreur de la guerre tout au long du film.
Le film Le pantalon montre de nombreuses sortes d’injustice pendant la première guerre mondiale de 1914-1918. La première injustice envers le soldat Lucien Bersot survient lorsqu’on lui ordonne de porter un pantalon provenant d’un compagnon tombé au combat, qu’il refuse, logiquement. Il n’avait pas eu, lors de son incorporation dans son régiment, le pantalon rouge réglementaire, faute de grandes tailles disponibles. Cette simple histoire remonte aux oreilles du Colonel Auroux,qui s’empresse d’aggraver la situation pour faire un exemple : il ne veut pas laisser un acte de désobéissance non puni. Il souhaite réunir le conseil de guerre spécial pour ce motif dérisoire. L’injustice survient une seconde fois lors du conseil où figurent, en tant qu’accusés, Lucien Bersot et ses deux camarades soldats qui ont voulu prendre sa défense auprès du lieutenant André. De nombreux vices de procédures se mettent en place. Au conseil siègent des personnes non qualifiées désignées par le colonel Auroux, qui préside lui même l’assemblée et est l’accusateur : il est donc juge et partie. Lucien Bersot et son “avocat” n’ont aucun moyen d’expression, tout ce qu’ils disent ne sert à rien car le juge étant l’accusateur, son choix est déjà fait. Le fait de fusiller Lucien Bersot pour l’exemple est sans doute la plus grosse injustice, le colonel ne devrait pas avoir le droit de tuer quelqu’un et encore moins pour un motif faux : l’acte d’accusation est mensonger : “refus d’obéissance en présence de l’ennemi” (or, l’ennemi était à onze kilomètres !). Les deux camarades du soldat subissent la même injustice, bien que plus faible, car ils sont condamnés aux travaux forcés et non exécutés.
Le film est basé sur une histoire vraie car c’est dit à la fin du film et Lucien Bersot a été réhabilité : on voit son nm gravé au bas du monument aux morts de son village natal. Lucien Bersot était le père d’une fillette prénommée Aurélie.C’est une famille unie, heureuse et croyante à laquelle on arrache le père de famille. Tout au long du film, on voit l’évolution de la famille, on alterne entre les scènes au front et celles à l’arrière. Avant son exécution, Lucien avait reçu une permission, sa femme et sa fille attendaient son arrivée mais il n’est jamais venu…
A t-on trouvé ce film triste ? En soit le film est dramatique tout au long, mais il y a des scènes où l’on a vraiment les larmes aux yeux comme quand il se fait tuer et que l’on vient l’annoncer à sa famille impatiente de le revoir, sa femme éclate en sanglots à cette annonce. Un homme défendit sans relâche Lucien, cet homme est le capitaine Guérin. A l’annonce de la décision du conseil de guerre, le capitaine est allé voir le général afin de lui faire signer un recours en grâce. Sur la route du retour, après avoir obtenu le recourt en grâce, sa voiture est bombardée par les Allemands et il meurt sans que personne n’aie pu voir le papier. Cette nouvelle enlève la lueur d’espoir de sauver Lucien au spectateur. La veille de sa mort, on ne le laisse pas écrire une lettre à sa famille, il est triste. Au contraire on voit sa femme heureuse qui prépare son arrivée.
Les cinéphiles noteront une référence appuyée, bien que légèrement détournée, à un livre, à un cinéaste, à un film qui sont devenus des éléments cultuels du monde culturel. Pour l’heure, alors que la mostra de Venise s’apprête à diffuser Le vent se lève, dernière production des studios Ghibli, auxquels nous devons, par exemple, princesse Mononoké, mon voisin Tottoro, le voyage de Chihiro, j’avoue redouter la confirmation des rumeurs, qui, une fois de plus annoncent la retraite du Maitre Miyazaki, créateur de toutes ces merveilles, et de bien d’autres.
Je ne remercierai jamais assez mes anciens élèves de terminale littéraire qui parvinrent à me sortir de quelques préjugés que j’avais alors afin de me faire, il y a quelques années, découvrir, entrer, plonger dans ces univers déroutant, onirique, formidable et merveilleux que celui de Miyazaki.
Certes, il y eut déjà des rumeurs de retraite, mais, à 72 ans, il se pourrait que cette fois soit la bonne, ou, bien tristement, la mauvaise. Si cela devait se confirmer, j’ose espérer que l’une de nos chaines d’Etat aurait la bonne idée de donner au public une rétrospective de l’oeuvre de ce francophile. J’inviterais alors vivement tous les zélèves et autres zadultes demeurés enfants à cesser toutes leurs activités pour contempler ces merveilles d’animation.
Un de mes amis, à l’avis duquel je tiens toujours beaucoup, sut me persuader d’aller voir ce film dont je craignais qu’il ne me déroutât totalement. De fait je le fus, mais, autant que je l’avais été avec le célèbre Roméo+Juliette du même réalisateur, Baz Luhrmann.
Il y a tant de similitudes entre les deux constructions de films. De la sorte, je ne parviens pas encore totalement à savoir si j’ai aimé ce film pour lui même ou bien pour ce qu’il me rappelle d’un fort lointain passé, l’été 1997 et un film que je suis allé voir deux fois en salle, tant je l’avais apprécié. Je retrouvai ici tout le baroque de Roméo+Juliette, à travers le décalage entre musique et époque, la démesure, des demeures, des fêtes, des fortunes, la colère, la haine, la mise en scène de la mort et, par dessus tous, cet indescriptible pessimisme, cette certitude de l’absolue solitude de ceux qui sont “autres”, cette capacité à aimer au delà de tout, jusque dans la mort.
Le tout servi par des acteurs que je trouvai très justes et sur les visages desquels, les ravages du temps aidant, il se trouve plus aisé de saisir les traces de la vie que l’on peut qualifier de réelle. Ce fut donc un fort agréable moment, plein de souvenirs, d’émotions, où l’on se prend à rêver que les fantômes que l’on aime sont à vos côtés dans la salle et que l’on pourra échanger avec eux, la lumière revenue. Film dont on sort ébloui, au propre et au figuré, duquel on ne sort que comme d’un rêve, tant l’onirisme des situations est exacerbé. Un grand et beau moment, qui fait ne pas regretter 2h30 au cinéma et moins encore le fait d’avoir suivi un conseil.
Hier, 20 mai, naturellement, il pleuvait et faisait froid, depuis le réchauffement planétaire, c’est ainsi. Avant, il y a fort fort longtemps, à cette période de l’année on voyait un astre lumineux et chaleureux dans le ciel, le soleil!
Ce soleil, il est aussi à l’honneur dans le film d’animation que, fuyant la morosité ambiante, je suis allé voir au cinéma. Entouré d’enfants en bas âge j’ai malgré tout pleinement profité de ce moment. Un réalisme saisissant, et encore je n’avais que la 2D, puisque je en vois pas la 3D, des couleurs et une imagination délirante pour les paysages et les animaux et une curieuse actualité dans les difficultés existentielles et amoureuses de l’héroïne de cette famille des hommes des cavernes, confrontée à un milieu très hostile et où s’affrontent le conservatisme et les craintes du père, qui ne veut pourtant que le bien de sa famille et les contestations horripilantes de sa fille, amoureuse du bel inconnu, qui aime pourtant son père.
Il va de soi que pour un individu de ma tranche d’âge, ce ne fut pas le plus important, même si, déformation professionnelle oblige, on ne peut s’empêcher de penser aux zélèves et à leur évolution affective face à des situations qui sentent le déjà vu! Pour le reste, qualité de l’image, de la musique, du scénario, des dialogues, si on pressent parfois les clichés, on ne boude pas son plaisir et c’est finalement avec joie que j’ai ri avec des enfants du primaire, me disant que, soit ils étaient déjà fort mûrs soit que, bien que l’ayant oublié, pour reprendre monsieur de Saint-Exupéry, j’ai d’abord été un enfant, bien que ne m’en souvenant plus.
Ce dernier opus de Woody Allen, dans sa série sur les villes, nous fait découvrir, après Barcelone et Paris, Rome: la ville éternelle. Précisons de manière liminaire que le film n’est actuellement pas à l’affiche en notre bonne cité mais à disposition, en DVD, à la bibliothèque du château, laquelle, je le rappelle, autre drame de mon quotidien, ferme le temps de quelques travaux à la fin du mois. Voilà pourquoi il est urgent de profiter de ses richesses.
Ce film n’est pas le meilleur de la série, mais, à mon sens, au retour d’un voyage avec les zélèves, il a la saveur de la nostalgie, la douceur de la rêverie, le parfum du manque. Rome est une ville si merveilleuse, comment ne pas désirer la revoir? Or le film, qui y est tourné, mais aussi à la villa d’Este pour une des premières scènes, ne cesse de faire revenir en moi cette évidence: il me faut retourner en Italie!
Si le film fait s’entrecroiser les histoires d’amour, les situations les plus loufoques, on s’y perd un peu et c’est dommage, fort heureusement restent quelques répliques des plus savoureuses et je me suis même surpris à rire, ce qui, l’espace d’un instant m’inquiéta. La pléiade d’acteurs est assez sidérante dans certains rôles à contre-courant, mais, véritablement, pour moi, l’essentiel est ailleurs. Que Baudelaire ma pardonne mais, pour moi, il y a là une invitation au voyage et c’est toute une fantasmagorie que fait surgir en moi le film, plus, ou moins que le film ce sont les lieux qui y sont vus, auxquels sont associés des souvenirs de ce dernier voyage et du précédent0 Assurément, si je n’avais eu le plaisir de revoir Rome en mars n’eusse-je réagis de la sorte, mais, les choses sont ainsi. Et de me souvenir que je voudrais voir certains coins de France, que je rêve de voir les forêts du Québec et d’entendre in situ cet accent que les films de Jean-Marc Vallée et Xavier Dolan me font adorer, que je me languis de Versailles et de ses secrets. Rien d’extraordinaire, je pense, des rêves raisonnables comme aurait dit Regianni.
Ce film n’est donc pas LA pépite de Woody, mais il est une merveilleuse madeleine. Pour ces souvenirs retrouvés, pour ces rêveries éveillé, pour ces projections dans l’avenir, merci, monsieur Allen.