Trois personnes ont été retrouvées mortes à Naintré, elles ont été tuées par arme à feu.
Cela s’est passé dimanche 29 mars, à Naintré, petite commune du 86 réputée calme et sans problèmes. Donc personne ne se doutait de ce qui allait se passer, lorsque le chef d’une entreprise annonce à un homme qu’il risque de se faire licencier. Cet homme-ci, de 58 ans, en rentrant chez lui, saisit sa carabine, tire sur sa femme, puis sur sa fille avant de se donner la mort. Cela m’a choqué car j’ai déjà entendu à la télévision des drames de ce genre, mais jamais dans une commune aussi proche de la mienne. Je tenais à mettre cette information car je pense qu’à Châtellerault peu de personnes ont su qu’il y avait eu ce drame alors que d’habitude les gens parlent beaucoup et la plupart du temps pour raconter des choses fausses !
Ce texte est très court car je n’ai pas trouvé d’info sur internet, j’ai dit tous ce que je me souviens avoir entendu à la télévision.
Jeudi 21 avril, nous sommes allés visiter le château des Ormes à vélo avec monsieur Mastorgio. Nous étions 4 sixièmes et 2 troisièmes, nous sommes partis du collège aux environs de 9 heures et nous sommes revenus vers 18 heures.
Le matin quand nous sommes arrivés aux Ormes, nous avons visité l’église et nous avons été voir la bergerie. L’après midi, nous devions nous rendre au château et nous n’avons pas eu l’occasion de le visiter car le propriétaite du château était parti en visite de l’autre côte du département, du coup, nous avons dû faire la visite du château dehors. Nous avons aussi visité la poste au cheveaux l’après-midi.
J’ai bien aimé cette sortie vélo, car j’aime bien visiter les châteaux, me promener à velo. La chose que j’ai le moins bien aimé c’est le fait que les sixièmes n’avancent pas à vélo.
Manon.
Se dit d’une personne inconsistante qui ne se manifeste pas…
A l’heure où je rédige ce mot du vendredi, destiné à être publié par madame de la Vieille Rédaction, en mon absence du vendredi 15 de ce moi d’avril de l’an de grâce 2011, ignorant où m’auront conduit les tribulations évoquées dans le précédent mot, je ne puis être assuré que d’une chose : l’impossibilté de n’être pas présent ou en état de rédiger et publier quoi que ce soit. De ce fait, face à cette inconsistance patente qui sera mienne alors, seul ce mot pouvait convenir.
Pour les plus anciens d’entre nous, il peut aussi faire penser aux ghost buster, chasseurs d’ectoplasmes, mais c’est une autre histoire.
Vous le savez à présent, Le Torchon et Pink Paillettes sont lauréats du concours de jounraux scolaires, en route pour la seconde phase du concours : le niveau national.
Ne nous zégarons pas, chers zélèves, qui rêvez déjà de gloire… Voici, pour vous, et nos fidèles zinternautes, les critiques formulées par le jury au sujet de vos journaux :
“Pink Paillettes : Ce que nous avons aimé dans votre journal : le parti-pris “féministe” qui ouvre ses pages aux garçons. La variété de ton, de l’humoristique décalé à la gravité qui sait dire la difficulté d’être adolescent. La mise en page claire. Le projet réellement citoyen de donner la parole à des élèves qui ne l’auraient pas prise de cette manière. Des pistes pour améliorer votre journal : Faire dessiner aussi les élèves.”
“Le Torchon : Ce que nous avons aimé dans votre journal : Le nom ! Le projet. Le contenu riche et très diversifié qui donne des rendez-vous hebdomadaires (le mardi, c’est journalisme), l’interactivité, l’ouverture sur le monde et sur la ville, le ton humoristique, l’investissement des adultes et des élèves.
Des pistes pour améliorer votre journal : Le fond noir est difficile à mettre en valeur lors d’une vidéoprojection, les pages ne sont pas directement lisibles : on ne sait pas d’emblée ce que l’on va y trouver.”
Bonnes critiques, n’est-ce pas ?
Chers zélèves, FELICITATIONS !
Vous avez gagné le concours académique de journaux scolaires !
Le Torchon dans la catégorie Journaux en ligne, Pink Paillettes, ex-aequo avec K’eskon Attend ? dans la catégorie Journaux papier !
Vos deux journaux seront récompensés lors de la cérémonie de remise des prix le mardi 17 mai au rectorat, à Poitiers.
L’étape académique franchie, les deux journaux concourront au concours national : c’est un encouragement pour vous, une récompense de votre travail d’écriture.
Je vous félicite donc toutes et tous, mes chers entorchonéidés, comme mes chères Pink Paillettes ! On dirait que la chance vous a souri. Ou était-ce le talent ?
Et ne me posez pas mille et une questions sur les prix : ce n’est ni un voyage avion-hôtel quatre étoiles, ni Disney land ! La récompense, c’est le bel encouragement que des professionnels de l’éducation aux media vous offrent avec cette distinction.
Merci, pour votre investissement : l’année continue !
Si vous ne me croyez pas, cliquez ici : http://ww2.ac-poitiers.fr/clemi/spip.php?article213
Votre (Vieille) rédaction, fière de vous ! (Cela se voit-il dans mes points d’exclamation ?)
(avis aux puristes : la faute de grammaire est voulue dans le titre. Si nos zinternautes en relèvent d’autres dans l’article, elle ne sont pas volontaires ! A quand la correction interactive ?)
« La liberté n’a pas de prix »
Eh oui, le Torchon au théâtre pour une pièce jouée par la troupe “Avant-Quart” écrite par Jean-Paul Cathala, en hommage au célèbre pianiste argentin Miguel Angel Estrella.
Cette pièce est jouée par Philippe Audibert et Nicolas Marty. La pièce s’intitule Un homme dans la gare et était jouée à la salle de la Gornière, à Châtellerault le jeudi 14 avril.
Dans une gare, un jeune homme, Xavier, court chaque matin pour ne pas manquer le train qui l’emmène à la ville voisine où il étudie le cinéma dans un lycée spécialisé : un lycée d’enseignement artistique. Il attend le train 5673. Et, chaque soir, il fait donc le chemin inverse.
Chaque jour, il passe là et ne remarque même pas cet homme, Octave, assis toujours au même endroit, mendiant auprès des gens de l’argent et de quoi manger, pianotant sur un clavier en bois. Jusqu’à ce matin où Xavier remarque le SDF. Sans trop réfléchir, il lui donne une pièce de monnaie. Alors Octave le remercie. Le dialogue se fait, d’abord très tendu, agressif (car Octave n’est pas très sociable), puis, très vite plus sociable et profond, voire amical, en tout cas respectueux, entre ce jeune étudiant et cet homme malheureux.
Octave, un personnage de théâtre inspiré d’un pianiste réel
Cette pièce de théâtre raconte l’histoire tragique de cet homme, Octave, personnage crée en hommage au pianiste Miguel Angel Estrella, venu d’un pays sous dictature (Argentine), emprisonné pour avoir dit ce qu’il pensait, puis torturé : sa main droite a été écrasée. La torture pour faire taire… ? 10 ans de vie artistique qui prennent fin en prison : les dictateurs emprisonnent les artistes qui disent ce qu’ils pensent. 9 ans de prison pour avoir donné son opinion politique !
Au bout de ces 9 années, sous la pression internationale, Estrella est libéré, et exilé. Il se retrouve SDF en France… D’où le personnage d’Octave, imaginé par le dramaturge Jean-Paul Cathala, qui est ami avec Miguel Angel Estrella. Ce dernier a vu la pièce, s’est reconnu dans le personnage d’Octave…
Les deux personnages dialoguent donc : une amitié va se nouer entre eux. Xavier essaie à plusieurs reprises de lui prouver qu’il n’est pas comme les autres passants, indifférent parce qu’aisé socialement. Par exemple, il confie que sa mère est ouvrière en usine et travaille de nuit, qu’il a dû travailler plusieurs étés pour payer le matériel vidéo dont il a besoin pour ses études de cinéma. Il avoue enfin qu’il a dû vendre son blouson en cuir pour pouvoir offrir un restaurant à son nouvel “ami” Octave.
Les SDF nous connaissent si bien…
Ce contact entre les deux personnages, le dialogue qu’ils nouent nous permettent à nous, spectateurs, d’apprendre que dans certains pays sous dictature, les artistes sont emprisonnés, torturés, et de comprendre que, malgré les apparences, les SDF peuvent avoir un bon fond ! En effet, on écoute Octave exposer ce que ressentent les SDF quand les passants, dans la gare, se trouvent devant lui : l’acteur qui tient le rôle de Xavier mime ce que décrit Octave. Une casquette bleue marine sert de déguisement : le spectateur voit ainsi défiler les passants.
Il y a d’abord le pressé qui passe comme s’il était en retard, il regarde par terre, avance, dépasse le SDF, fait comme s’il n’était pas là, comme s’il n’existait pas. Finalement, le pressé est en avance !
Il y a ensuite l’inspecteur : « Ce SDF est un faux ! Ou est-ce un vrai ? » Parce que l’inspecteur a du mal à croire on puisse être un vrai pauvre ! « Un fainéant, un chômeur, oui ! »
Il y a l’agressif, qui insulte le SDF violemment : « Retourne d’où tu viens ! » Il lui fait la morale.
Il y a encore le curieux : il regarde le SDF comme une vieille chaise défoncée, il parle encore de lui avec ses amis après l’avoir dépassé. « Parfois, ils sont plusieurs à (le) regarder comme on regarde une bête au zoo ».
Il y a enfin, le pire : celui qui a pitié : « le pire, celui-là ! » Il se lamente sur le sort du pauvre SDF mais ne donne pas d’argent !
Il y a pourtant, parfois, un humaniste qui, comme Xavier, s’arrête, prend le temps de dialoguer, de vider ses poches, de partager son goûter, d’offrir un café. Et de raconter sa journée.
Ce que le théâtre nous enseigne
« Nous sommes tous sur une pente savonnée, nous pouvons tous glisser un jour. On glisse vite. Et c’est difficile de remonter », nous confie le comédien qui joue le rôle d’Octave : Philippe Audibert. Le théâtre nous parle de nous : nous n’allons pas assez souvent au théâtre ! C’est ce que nous nous sommes tous dit en sortant de la salle de spectacle.
Grâce à cette pièce, nous avons appris que la liberté d’expression est inexistante dans certains pays pour les artistes. On torture, on emprisonne des artistes qui ont donné leur opinion politique.
Le personnage de Xavier, que nous sommes tous, regarde ce SDF d’un œil nouveau : on apprend avec lui à connaître Octave, son histoire. On ressent tous de la peine pour Octave : on le voit couché dans la gare, il a l’air traumatisé : on le voit faire des cauchemars ! On se doute qu’il revit les scènes de torture, de prison. Octave revit sa vie, quand il dort…
Le comédien au service de son personnage
Le comédien qui joue le rôle d’Octave joue de façon très exagérée : il exagère le ton, il exagère les gestes, il fait des grimaces, il bouge énormément sur scène ! On a l’impression qu’il est réellement Octave ! L’un de nous a même cru un instant que le comédien était le pianiste lui-même !
Les deux comédiens se connaissent, et jouent cette pièce depuis maintenant sept ans. Cela se ressent car l’émotion que dégagent ces deux comédiens est surprenante ! L’histoire est prenante, et on se pose très vite toutes sortes de questions. Comment Octave en est-il arrivé là ? Xavier va-t-il réussir à lier une amitié avec Octave ?
Le comédien qui interprète le personnage de Xavier, Nicolas Marty, nous donne l’impression de se moquer d’Octave, au début de la pièce : comme nous, Xavier semble déstabilisé par l’orgueil d’Octave, qui réagit violemment aux paroles amicales de ce jeune lycéen. Ce personnage, sérieux, est à l’écoute du SDF : il nous donne le bon exemple. Il est, pour nous, un modèle à suivre. Maintenant, on va pouvoir le copier. « Avant, quand je voyais des SDF, je me mettais à distance. Maintenant, j’ai changé : le premier SDF que je vois, j’irai lui parler ! » disait l’un d’entre nous après le spectacle.
Peu à peu, les deux personnages se parlent, Octave ouvre son cœur à Xavier, se confie à lui : une confiance se met en place. On dirait qu’ils se connaissent depuis longtemps : Octave demande à Xavier de mettre un manteau, sous peine d’attraper froid ; plus tard, c’est Xavier qui ordonne à Octave de téléphoner à sa sœur, en Argentine ! Les deux prennent soin l’un de l’autre.
Séquence émotion !
On était placés devant, au premier rang… « Cadeau », selon nos professeurs… Oui, mais… Au théâtre, on ressent les émotions des comédiens, ou des personnages (on ne sait plus très bien !). Donc, on avait l’impression que, quand Octave s’énervait, ce n’était pas le personnage, mais l’acteur lui-même qui était énervé !
Cette pièce reflète tellement la réalité que cela nous touche : dans la vraie vie, on ne se rend pas compte qu’on est comme ça avec les SDF. Avec la pièce de théâtre, on voit ce que nous faisons aux SDF. Nous sommes tous des Xaviers ! Ou pas. Certains d’entre nous sont plutôt réticents – et méfiants- à l’idée d’approcher un sans-abri. Même après avoir vu la pièce : nous ne sommes pas tous disposés à ouvrir notre cœur à ceux qu’on juge parfois tombés dans la facilité, ou violents…
Le moment le plus émouvant, c’est quand Octave téléphone à sa sœur restée en Argentine : il pleure ! Il est nostalgique. On a l’impression que l’acteur pleure vraiment. Sa sœur lui apprend que leur mère est à l’hôpital, que son père a été arrêté, mis en prison, puis est libéré. Il dit être fier de son fils. Octave redouble de pleurs, d’émotion.
Et nous, on était à fond dedans ! On reçoit l’émotion en direct, au théâtre…
Paroles de collégiens… au sujet de cette pièce de théâtre
« Ce que j’ai aimé dans cette pièce, c’est de voir les comédiens jouer leur rôle vraiment à 100% et cette vérité, tellement vraie, de nous montrer la manière dont se comportent les gens devant un S.D.F. Car nous ne pouvons peut-être ne pas les voir, quand nous passons devant eux, mais eux nous voient.» Manatea, côté angélique et courtois.
« Ce que j’ai moins aimé dans cette pièce est peut-être tout simplement le théâtre : la proximité avec les acteurs peut parfois présenter quelques désagréments ! » Manatea, côté obscur et désagréable !
« J’ai vraiment tout aimé dans cette pièce, les comédiens et le jeu de scène. L’émotion, la rage, le message qu’ils veulent faire passer. Tout ça, nous le ressentons. Je vous conseille, à VOUS, d’aller voir cette pièce et d’en apprendre, tout comme moi sur l’exclusion. J’ai appris qu’en Argentine, des gens étaient jetés en prison, parce qu’ils n’étaient pas d’accord avec leur président, un dictateur. Les prisonniers étaient torturés et parfois tués ! Miguel Angel Estrella, lui, après s’être fait emprisonné, a été libéré. » Alex.
« J’ai aimé cette pièce car je sais qu’il ne faut pas exclure ces gens là, et que les acteurs étaient à fond dans leurs personnages. Je pense que l’on devrait aller plus au théâtre avec le collège. Après avoir vu cette pièce, je pense avoir un autre regard sur les S.D.F car les acteurs nous faisaient ressentir leurs émotions et après avoir vu cette pièce, je pense à Octave en voyant un S.D.F mendier, et je me dis qu’ils ne sont pas différents de nous. Je pense que les français devraient être plus solidaires et aider les gens qui en ont besoin. » Oussama.
« J’ai apprécié la pièce, car se sont des choses qui arrivent de plus en plus à travers le monde. Beaucoup généralisent les comportements des SDF qu’ils voient comme des personnes agressives et ne prennent pas le temps de s’arrêter face à eux. Le décor et la mise en scène sont bien réussis. » Hanène.
« Octave tend la main, dans un milieu urbain, de façon à récupérer de l’argent pour se nourrir. Octave était un grand pianiste, qui connaissait la gloire mais qui, maintenant, connait la misère. Les deux comédiens font très bien passer le message: il faut arrêter de mal voir les SDF, s’ils sont la, il y a une raison. » Alexandre.
« Cet homme dans la gare a tout perdu : son emploi, sa famille. Il se fait emprisonner pendant la dictature en Argentine , a passé 9 ans de sa vie en prison. Le pianiste avait la main broyée, c’était une manière de le faire taire pour qu’ il ne parle pas : pour le punir. La galère commence pour lui après sa sortie de prison car il a tout perdu et devient SDF et dort dans les gares. Il entend les trains faire des allers et retours durant des heures. Il a l’air d’être traumatisé par cette arrestation. Des simples citoyens pas fortunés regardent le SDF d’un air bizarre sans chercher ce que le SDF a vécu et ce qu’il ressent. En le regardant dormir sur le quai, cela nous fait penser que tout le monde peut se trouver à la rue sans le vouloir, ce que personne ne veut. » Moustoifaïni.
« Cette sortie change des sorties cinéma, conférences, car certains d’entre nous ne sont jamais allés au théâtre : c’était vivant, c’est comme si on était un passager de cette gare, on était à l’aise. Il y a une morale, dans ce spectacle : « La liberté n’a pas de prix », c’est le comédien qui nous le dit. « Tout le monde peut se retrouver à la rue ». Aurélien.
Pour Le Torchon, Hanène, Wahiba, Moustoifaïni, Alex, Assani, Oussama, Alexandre et Manatea. (classe media du collège George Sand de Châtellerault)
Dans l’atellier cinéma, nous avons visionné Romeo + Juliette , la version avec Léonardo di Caprio, adaptation de la pièce de Shakespeare (texte intégral de l’auteur), évoquant l’amour d’un jeune couple appartenant à deux familles ennemies : les Capulet et les Montaigue.
Dans le premier quart d’heure, l’action se passe dans une station service, il y a une fusillade entre les Capulet et les Montaigue. Ensuite, Romeo et sa bande d’amis s’invitent à une fête chez les Montaigue. C’est à ce moment-là qu’il recontre Juliette. C’est alors le coup de foudre, son coeur fait “zig zag”.
Mais, le cousin de Juliette a vu Romeo et sa bande et il compte bien aller les tuer. Romeo reverra Juliette à son balcon (La célèbre scene du balcon) les amours commencent alors.
Le lendemain, le cousin de Juliette va venir provoquer Roméo et Roméo, pris par un coup de sang, tua le cousin de Juliette. Ensuite, les parents de Juliette veulent la marier, ignorant son amour pour Roméo. Elle prend donc un médicament, avec la complicité du curé, qui simulerait sa mort pendant 24 heures. Cela fait manquer le mariage forcé et pourrait permette l’amour impossible possible.
Sauf qu’un ami de Roméo a vu Juliette inanimée et alla prévenir celui-ci. Roméo, ignorant le complot, alla à l’église, se coucha à côté de Juliette et avala un poison. Au même moment, Juliette se réveille et voit Roméo en train de mourir. Voulant le rejoindre, elle prit le pistolet de Roméo et se tira une balle dans la tête.
Ce film est une très belle histoire d’amour, malgré la fin tragique. N’hésitez pas , cher lecteur à aller vous le procurer.
Alexandre le Grand
Et me voila avec le second “fashion” mot du mardi. Pour vous, les personnes âgées qui êtes “à l’ouest” comme l’ont précedemment dit Mazarine et Anissa…
Le mot d’aujourd’hui est “Tema”. Tema, du “verlant” Mate, signifie regarde. “Tema ce que j’ai fait !”. Ce mot peut également avoir un autre sens. “Tema ce qu’elle me dit elle !”.
Alors maintenant , il faut tema le “fashion” mot du mardi. Et à mardi prochain !
Calimero.
Absence, avec un grand A…
Un mardi sans les hispanisants : on l’attend de pied ferme, cette journée “un mardi-c’est-journalisme” sans les trois quarts des journalistes ! Que va devenir le Torchon ?
On nous annonce une mise à jour dans l’après-midi : une préfiguration de l’apocalypse du Torchon ?
Heureusement qu’il nous reste… la grammaire !
😉
L’article que je vais écrire, je l’écris avec mon coeur. J’ai de la haine et surtout de la tristesse pour ce beau pays qui est mon pays d’origine, la côte d’Ivoire. En parlant de ce sujet, je voudrais faire réagir des gens qui se trompent de coupable, le coupable, ce n’est pas Laurent Gbagbo, la France veut vous faire croire ça en le faisant passer pour un dictateur.
Cet homme n’est pas un dictateur : en Côte d’Ivoire, la liberté d’expression est autorisée pour la presse, il y a des partis politiques d’opposition. Laurent Gbagbo est depuis 2000 au pouvoir. En 2002, il a échappé à un coup d’état organisé par Allassann Ouattarra, ce qui a entrainé une guerre civile jusqu’en 2005.
En 10 ans au pouvoir, Laurent Gbagbo a beaucoup fait pour son pays : il a rénové le port d’Abidjan, il a signé des contrats économiques avec la Chine, le Liban et les Etats-Unis.
Alassanne Ouattarra, en plus, n’est pas ivoirien : il est burkinabé, donc, logiquement, il ne peut pas être le président de la Côte d’Ivoire. Les preuves, je les ai cherchées : en 1999, Alassanne Ouattarra a voulu se présenter aux présidentielles mais la cour suprême de la Côte d’Ivoire l’a éliminé pour nationalité douteuse et faux et usage de faux sur la filiation.
Pourquoi la France veut-elle à tout prix Ouattarra pour président ? Il n’est pas plus légitime que Gbagbo : lors des élections, il ya eu des fraudes de son côté. Gbagbo a demandé un recours, il en a le droit, on attend toujours les experts pour qu’ils jugent les faits.
L’armée francaise se permet d’attaquer les forces pro Gbagbo alors qu’elle n’a pas le droit de s’impliquer dans se conflit. Beaucoup de massacres ont été commis dans le pays : on n’en parle pas trop à la télé, car les victimes de ce conflit, c’est les civils innocents.
Je pense que se conflit va bientot se finir, que la vérité triomphera, je l’espère.
Kévin