Chers zinternautes, fidèles lecteurs zassidus de ce Torchon-qui-n’en-est-pas-un,
Oyez, oyez : mardi prochain, 26 juin, à 18 heures 15, venez applaudir la petite troupe du Théâtre de Poche qui jouera au Nouveau Théâtre, son adaptation d’une courte comédie de Molière, L’amour médecin.
Cette petite troupe, formée l’an dernier à l’occasion de la création d’un spectacle (soyons immodestes !), Ariane perd le fil (vous vous souvenez, un remake de la mythologie grecque !), a, cette année, accueilli un nouveau membre, Maxence (un sixième !) et vous présentera cette adaptation d’une pièce de Môssieur de Molière.
Notre premier rôle nous ayant fait faux bond (eh oui, tout arrive à qui sait attendre…) c’est M. Mastorgio qui endosse le costume de Sganarelle : et je dis : rien que pour cela, venez. En tant que fidèle spectatrice des répétitions, je peux affirmer que, depuis qu’il a repris ce rôle, les zélèves jouent vraiment : ils jouent ! Ils donnent la réplique à ce Sganarelle qui, décidément, sied à merveille à mon cher Mastorgio : on dirait un rôle taillé sur mesure !
Je pense que vous rirez de bon coeur : Mme Mayer, notre fidèle spectatrice (les répétitions ont lieu au CDI…), elle, ne se cache pas, et son rire ponctue chaque grimace, chaque réplique de Sganarelle-Mastorgio. Et comme il n’y en a tout de même pas que pour lui, sachez qu’Eden dans le rôle de Lizette vaut tous les prix d’interprétation ! Amandine en Mme Jourdain boulimique (eh oui, il a fallu créer des rôles de filles !), Chloé en Zinette toquée du ménage, Léa en Lucinde naïve, Louis, Maxence et Nicolas en médecins se querellant : faut-il purger ou saigner la malade ? et Marius, dans le rôle du jeune premier de l’amoureux transi : Clitandre.
Nous vous attendons nombreuses et nombreux : c’est gratuit et c’est court ! Et cela promet d’être drôle.
Du 15 au 17 juin ont eu lieu les championnats de France d’athlétisme à Angers. J’ai eu la chance de pouvoir aller voir la dernière journée de ce championnat grâce à mon club d’athlétisme.
Tous les grands champions de France y étaient, comme Christophe Lemaitre au 100 et 200m ou encore Renault Lavillenie à la perche. Sans oublier Myriam Soumaré au 200m. Pendant ce dernier jour, nous avons pu voir beaucoup de finales et quelques séries comme la série du 110m haies masculin et les séries du 200m masculin et féminin. Nous avons vu la finale du 400m haies féminin et masculin, la finale du 400m masculin et féminin, le 1500m féminin, le 800m masculin, le 110m haies et le 3000m steeple masculin, le 200m masculin et féminin.
Nous avons aussi aperçu le triple saut féminin, la hauteur masculine, la longueur et la perche masculine et le marteau féminin et masculin. Certains athlètes sont venus pour pouvoir se qualifier pour les championnats d’Europe qui se déroulent à Helsinki à partir du 27 juin et d’autres pour se qualifier pour les jeux olympiques de Londres.
Pendant ce championnat Christophe Lemaitre a fait premier sur le 100m avec 9secondes et 94centièmes, et premier sur le 200m avec 20secondes et 31 centièmes. Renault Lavillenie est monté jusqu’à 5m85 à la perche et à la longueur Gomis Kafétien est arrivé cinquième avec un saut à 7m85. Chez les femmes, nous avons pu voir Myriam Soumaré sur son 200m en 23secondes et 02 centièmes. Il y a encore beaucoup de personnalités qui ont battu leur record, mais je ne peux pas tous vous les citer car il y en a énormément.
Je suis très contente d’avoir passé une journée avec les plus grand athlètes et je remercie mon club d’athlétisme de nous y avoir emmenés. Cette journée était juste formidable.
Manon.
Malgré un ciel peu ensoleillé, les jeunes n’ont pas manqué à l’appel ce lundi 18 juin, pour participer au traditionnel challenge des collègiens qui vient de cloturer le week-end Beach volley proposé par le club local, CSAD-C Volley, pour sa quatrième année consécutive.
Sous le coaching de leurs professeurs, 6 équipes représentant les collèges de R. Descartes, St Gabriel et G. Sand se sont donc affrontées sur le Beach stadium installé par la ville, boulevard Blossac.
Les matches ont été très disputés et incertains. Comme il fallait un classement, voici les résultats :
1er : LES CITIZEN – G. Sand
2eme : LES SANDALETTES – G. Sand
3ème : LES PALMIERS – St Gabriel
4ème : 2,3,4,10 – St Gabriel
5ème : DESCARTUN – Descartes
6ème : L’AMIE CALINE – Descartes
Bravo à tous les jeunes pour leur participation et leur fair-play…
Nous avons choisi l’option DP3h car les anciens élèves de 3ème nous l’ont conseillée l’année derniere et grâce à sa bonne réputation ; on a donc voulu prendre cette option pour nous renseigner sur plusieurs métiers.
Dans l’année, avec la classe, nous avons fait 2 sorties (Dissay, Zone nord). Nous avons beaucoup aimé cette option car cela nous a permis de découvrir différents métiers. Ce qu’on à le moins aimé, c’est surement les horaires, mais quand on est interéssé on fait avec ; on aurait bien voulu faire plus de sorties mais, sinon, il y a eu une bonne entente de classe et nous conseillons vraiment cette option au futurs troisièmes. :)♥
Des élèves de Découverte Professionnelle : Yamna & Soukaïna & Adrien.
Cette année en DP3h, nous avons cherché des stages, des lycées et des métiers qui pourraient nous intérresser. Nous avons aussi eu des intervenants comme celui qui nous a particulièrement plu, Monsieur Peter, retraité du groupe Total (venu dans le cadre de “planète énergie”, pour une sensibilisation autour des problèmes énérgetiques et un aperçu des métiers liés à la production de l’énergie, NDLR).
Nous avons choisi l’option DP3H pour nous aider à trouver nos projets d’avenirs. Nous avons aussi fait quelques sorties, celle de la Zone nord nous à particuliérement plu car nous avons été au contact d’employés dans différentes entreprises. Dans l’option DP3H nous avons aussi fait un stage de plus que les 3émes générales, ce qui nous à permis de découvrir un métier en plus que les autres. On recommande l’option DP3H pour les futurs 3èmes, cela vous servira pour vos projets…
Ivan et Pauline.
Les atouts de la dp3 : Les atouts sont que cela nous a servi de decouvrir le monde du travail , cela nous aurra apporté des informations interessantes. Les inconvénients sont que nous avons eu peu de sorties mais , malgré cela, il y a eu des personnes venues nous rencontrer qui ont été tres sympathiques, comme, par exemple, un ancien employé de Total. Je conseille vivement aux futures 3emes de vous inscrire à cette option.
Billal
Quelques rapides images de paysages enneigés et, éventuellement, la grâce de ces orques, voilà ce qui, selon moi, peut sauver ce film. Ne nous y trompons pas, si Audiard voulait montrer un monde où l’humain est plus bestial que la bête, s’il voulait filmer le dressage de ce anti-héros par excellence par cette amputée des jambes, d’ordinaire spécialisée dans le dressage des cétacés, il a fort bien réussi.
J’aime rêver, me distraire de la réalité, réfléchir, au cinéma. Ici, je fus confronté, d’une manière bien tournée d’ailleurs, à cette navrante réalité qu’il me faut endurer. Celle de ces parents qui n’en sont pas, qui négligent, insultent, frappent leurs enfants, mettent leur vie en jeu et pensent tout arranger avec un jouet ou un hamburger, alors que lorsqu’on a un fils, on devrait tout mettre en oeuvre, pour le cultiver et le préparer à affronter le monde, autrement que par la violence et des réactions dignes de l’âge des cavernes. Je fus confronté à cet univers où, je cite, “on baise” lorsqu’on est “opé”. Certes, la distanciation peut être un exercice de style dans la relation amoureuse, mais sombrer dans le vulgaire, le désincarné ,lorsque l’on parle de chair, voilà qui, plus qu’au paradoxal, touche au ridicule. En somme ces adultes qui sont encore pire que des adulescents, qui font sombrer le film dans du mauvais Zola ne sont ils sauvés que par une réplique, en provenance directe, ou peu s’en faut, du Petit Prince, où l’on nous dit, mais ce livre est si vieux, qu’il faut s’habiller le coeur et se fixer des rendez-vous lorsque l’on veut créer une relation amicale et que tout dans la vie est affaire de délicatesse, ce que je crois fermement.
Il y avait pourtant tant à faire, à construire et à démontrer, avec ce sujet, ces personnages, leur histoire. Tout pouvait être conservé, mais j’eus souhaité un autre point de vue dans la manière d’aborder les choses, ce film est, pour moi, trop humain, trop tristement humain, trop affreusement réaliste, ce qui ne manquera pas d’en faire sa qualité aux yeux d’autres spectateurs.
On ne fait jamais assez attention, lors des promenades, que ce soit afin de nous préserver ou de protéger les animaux domestiques, aux ixodes. Ce genre d’arachnide faisant partie de la famille des acariens peut cependant véhiculer de graves maladies. Il faut dire que les ixodes sont des parasites des vertébrés terrestres dont ils sucent le sang, ce qui, dit comme ça, pourrait faire penser à un mauvais remake de Twilight, mais il n’en est rien, c’est encore pire, enfin, si c’est possible…
(je devrais éviter de critiquer Robert Patinson sur un blog de filles…enfin, tant que je ne m’en prends pas à Justin Bieber…)
Quoi qu’il en soit et afin de revenir à mes ixodes, sachez que vous en avez sûrement tous entendu parler, voire vu, pire, eu sur vous!
Les ixodes sont en effet désormais plus connues sous le nom de tiques.
Chères zélèves,
Lundi, en Tunisie, une exposition d’oeuvres d’art était saccagée avant d’être fermée. Regardez le porfolio ci-dessous et essayez de comprendre ce qui a pu choquer, peut-être, certains tunisiens au point de commettre l’irréparable : lacérer une toile (!), pousser les organisateurs de l’exposition à décrocher les oeuvres exposées pour les protéger de la furie des manifestants.
L’art est l’expression d’une pensée : en l’occurence, certaines pièces de l’exposition révèlent une préoccupation forte quant à l’avenir de la jeune démocratie tunisienne.
Les émeutes qui ont suivi sont une preuve qu’il est difficile de considérer l’art comme expression libre : lacérer une toile, c’est comme brûler un livre, c’est bafouer la liberté d’expression. C’est une forme de censure. Repensez à la polémique qui a suivi la projection, toujours en Tunisie, du film de Marjane Satrapi, Persepolis, que vous connaissez…
Je vous invite à réfléchir à cette question : peut-on, en démocratie, interdire une exposition d’oeuvres d’art sous prétexte qu’elle dérange certains citoyens ? Que l’on juge belles ou non les oeuvres, peut-on les détruire ? Au nom de quoi ?
Dernière minute : http://www.liberation.fr/monde/2012/06/16/un-imam-interdit-de-precher-apres-avoir-appele-au-meurtre_826800