Des nouvelles de l’école ouverte où nous continuons le travail commencé au printemps : il s’agit en effet de la frise historique et littéraire se situant au 3ème étage de notre cher établissement.
Mme Varenne s’est attelée à peindre Escalibur, Charlotte sa fleur de Lys, Océane sa couronne, , ainsi qu’un bateau de Christophe Colomb et aussi le-tant-attentu-voire-espéré -ou-plus-exactement-le-précieux : le portrait de Richelieu qui trônera désormais juste en face de la salle de La Veille Garde …Un air de ressemblance peut être ?
Voilà quelques clichés :
Avec ce quatrième volet il était légitime de redouter un essoufflement de ce qu’il convient de qualifier de série culte. Ce n’est pas le cas. Certes, on retrouve des ficelles ou tactiques auxquelles on est habitués, Scrat déclenche une catastrophe, laquelle donne naissance aux aventures des héros ordinaires que nous connaissons, comme tout cela est américain, nous avons le “happy end” et une nouvelle historiette relative à Scrat pour clore le tout. Cependant, en dehors des clichés et même si cela n’est en rien quelque chose de “culte”, on ne boude pas son plaisir à se laisser bercer durant près de 2 heures par tout ce qui survient ici, d’autant que l’on découvre avec stupéfaction que même chez les mammouths existe la crise d’adolescence, qu’à cet âge l’être et le paraître sont capitaux, que l’amour fait perdre la tête, que les amis et la famille c’est essentiel, bref, que d’humanité chez les pachydermes! Quant à la vision de l’Atlantide par Scrat, c’est quelque chose d’assez sidérant…
En conclusion, un moment des plus agréable, parfois quelques éléments attendus mais aussi de vraies belles surprises et répliques.