Sep
21

Je ne suis vraiment pas d’acord avec Charlie Hebdo, ok on peut faire des blagues mais lui il va trop loin. Avant je ne comprenais pas, mais là, je comprends et je n’aime pas du tout ses blagues. Il est trop sur les religions, je trouve que c’est même pas des blagues qu’il dit mais des insultes. Il fait des insultes envers les religions. Par exemple : mettre le prophète Mahomet en dessins et mettre qu’il dise “c’est dur d’être aimé par des cons !” (En parlant des musulmans intégristes.)

Sep
21
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par Badjoo le 21-09-2012

Personnellement, je trouve que le journal “Charlie hebdo” en fait trop ! Ok, on peut dire notre opinion c’est la liberté d’expression mais voià, je pense qu’il y a des  limites et que ce journal les a dépassées. Charlie Hebdo est un journal satirique qui se permet de publier des Unes provoquantes et qui abordent des sujets sensibles comme la réligion, la politique.

Il y a maintenant a peu près deux semaines que le court métrage sur le prophète Mahomet circule sur le net et agace les musulmans du monde entier qui ont recours à la violence pour exprimer leur colère. Ce journal se permet de publier des dessins de presse avec des blagues qui se moquent ouvertement de la réligion musulmane et juive, sur les lois de la Charia et sur la Shoah, du prophète Mahomet,  etc… Je trouve que la réaction est exagérée mais la provocation aussi !

Badjo

Sep
21
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par mbercisse le 21-09-2012

Certes, on a le droit d’expression mais il y a des limites à ne pas dépasser. Se moquer des religons à  plusieurs reprises et surtout des mêmes, cela devient  pesant pour les pratiquants  des religions critiquées,  même insultées.

Je trouve que c’est un manque de respect. A  plusieurs reprises,  les croyants se sont plaints de ce manque de respect mais ils s’en moquent, ils continuent à écrire. Ils se moquent de la ” Shoah” et de la ” Charia “. Les musulmans se mettent à manifester contre Charlie hebdo.

Sep
21
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par zzeghlache le 21-09-2012

Une nouvelle provocation de “Charlot  hebdo” :  mercredi, en rentrant chez moi, je me suis connecté sur le Torchon en cherchant des idée pour un nouvel article. En cherchant, je m’intéresse  à Charlie  hebdo je decide donc de regarder la Une. Quand je decouvre que celle-ci représente le prophète Mahomet, déjà que le film qui a provoqué des attentat il y a à peu près 15 jours m’a mis dans une forte  colère, ça, je ne le cache pas. Mais même s’ il ya la liberté d’expression, sur le coup, je n’y avaits pas pensé.

Si Charlie hebdo en remet une couche, vraiment là, ma colère s’est dupliquée, ils ne s’arrêtent pas là, auparavant, ils s’étaient moqués ouvertement de la communauté juive.

En tant que croyant musulman, je me suis senti atteint par la Une du 19/09/12 car, selon la religion musulmane, le prophète n’a pas à être carricaturé. Mais nous sommes dans un pays libre, et il y a la liberté d’expression, donc Charlie hebdo a son droit. Mais pour quoi, pourquoi faire cela, qu’est-ce que la religion musulmane et juive ont fait à cet homme pour être aussi provoquées, ils font cela pour un rien, pour de l’argent, ils provoquent des conflits pour de l’argent ? Je n’apprécie pas les journalistes de Charlie hebdo, je suis en colère contre eux… Se moquer religions à plusieurs reprises, toujours les mêmes, c’est trop et j’ai envie de dire : “Les meilleures blagues sont les plus courtes.” 

                                                                                                                                                                                                                                  Zine-Abidine .

Sep
21
Classé dans (Le mot du vendredi) par la Vieille Garde le 21-09-2012

Dans la famille Creuzé, je demande les cousins.

Les zélèves et autres lecteurs de notre Torchon national ne m’en voudront pas de me montrer, pour une fois, plus prolixe que d’ordinaire, mais, avec le C, je ne pouvais laisser passer l’occasion de placer ici quelques informations, recyclées de mes recherches sur cette auguste famille de Châtellerault. N’ayez cependant crainte, je vous épargnerai le pire et me contenterai d’évoquer 3 personnages à peu près contemporains, tous cousin, et qui eurent sur le plan local et national, un rôle.

Débutons avec Jacques-Antoine Creuzé de la Touche (1749-1800). Fils du capitaine-concierge de la ville de Châtellerault, c’est à dire celui qui avait les clefs de la ville, et lui même capitaine-concierge, cet avocat de formation, après avoir occupé divers postes, se retrouva Lieutenant général civil et criminel de la sénéchaussée de Châtellerault, c’est à dire le plus haut magistrat de cette unité administrative d’alors. Député de la ville, pour le Tiers-Etat, en 1789, Jacobin, donc à gauche, en faveur de la vente des biens d’Eglise, ayant voté le bannissement du roi en 1792, il fut membre en 1793 du Comité de Salut Public, le plus haut organe de décision nationale d’alors, rédigea la Constitution du Directoire, décida en 1796 de la création de la bibliothèque du Corps législatif. Après avoir été au conseil des Anciens, il entra à celui des Cinq cents, fut en faveur du coup d’Etat de Napoléon en Brumaire et entra au Sénat, avant de mourir, jeune. Parcours fulgurant d’un homme qui, religieusement, après avoir eu des ancêtres catholiques, puis protestants, était revenu au catholicisme, avant de s’essayer, sous la Révolution à la Théophilanthropie et d’être, peut-être, franc-maçon, alors que sa nièce, Sophie Creuzé-Dutems, simulait une grossesse pour ne pas se voir offrir le rôle de la déesse raison, lors des fêtes liées à ce nouveau culte.

 Qu’aurait-il pensé de nos débats tournant autour du religieux, lui qui, avant tout, voyait le bien de l’Homme?

Poursuivons avec Michel-Pascal Creuzé du Fresne (1736-1804) Officier de finances à Paris, puis à Saint-Domingue, où, comme d’autres habitants du Châtellerault d’alors, il possédait une plantation. Il en revint juste avant la Révolution et fut maire de Poitiers en 1791. En 1789, il fut aussi député aux Etats généraux, mais pour la noblesse. Ayant lui aussi voté le bannissement du roi en 1792, il fut membre de la commission des colonies durant de longues années.

Qu’aurait-il pensé de ces questions de nationalité qui, trop souvent, sont utilisées pour faire se lever les peuples les uns contre les autres?

Achevons avec le baron Augustin Creuzé de Lesser (1771-1839) Fils d’un payeur des rentes de l’Hôtel de ville, anobli par cette charge, il débuta en littérature dès 1796. Ami du 3è consul, Lebrun (le 1er étant Bonaparte), il servit de secrétaire d’ambassade à ce dernier lors de son séjour à Palerme, au royaume de Naples. Revenu en France, sa carrière politique de sous-préfet et de préfet le conduisit à Autun, en Charente, dans l’ Hérault  aussi, où il lui fallut lutter contre les étudiants en médecine toujours très agités. Il fut fait baron en 1818, sous la Restauration. Cependant, tout au long de ces années, il écrivit, il écrivit…: des comédies, des livrets d’opéra comique, et surtout, surtout, dès 1813, il se lance dans une littérature de style troubadour qui fait de lui le précurseur du mouvement romantique en France, rien de moins.

Qu’aurait-il pensé de nos querelles actuelles entre anciens et modernes de tous ordres, de ces oppositions estudiantines et des revendications de la jeunesse? Son cousin Creuzé de Lisle, inspecteur d’Académie  sous le premier Empire aurait peut-être mieux répondu?

Parvenus au terme de ces quelques éléments de biographie, vous conviendrez, je pense, que la ville de Châtellerault et le Poitou, n’ont pas à rougir de ces individus qui, tous trois, surent apporter leur pierre à la construction de l’édifice national et à la renommée de leur cité, bien que cette ingrate l’ait oublié désormais. Cela constitue donc une réponse à un de nos journalistes en herbe qui me demandait si Châtellerault était une ville connue, je voudrais ajouter qu’elle mériterait de l’être plus. A vous, ô chers zélèves, de poursuivre en suivant ces exemples et de vous illustrer, dans des domaines qu’il vous reste à choisir, afin d’inscrire votre nom et celui de votre ville dans les dictionnaires et au panthéon des gloires locales.

Mais avant tout, réfléchissez, interrogez-vous! Quels sont vos idéaux, quelles idées voulez-vous défendre, quels combats voulez-vous mener, pour qui, ou pour quoi, êtes vous prêts à prendre des risques? Qui ou qu’est ce qui vous tient le plus à coeur, que faut-il défendre contre tout et tous? C’est en sachant ce pour quoi l’on est prêt à mourir que l’on sait ce pour quoi l’on est prêt à vivre.

Sep
20
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par Agnès Dibot le 20-09-2012

Une fois n’est pas coutume : copions l’éditorial de Libération, signé par Nicolas Demorand. Il traite de la liberté de la presse. Lisez, lisez, chers zélèves. 

“Libération accueillit les équipes de Charlie Hebdo en novembre 2011, quand les locaux de l’hebdomadaire furent détruits par un incendie criminel. L’ambiance était cordiale, festive, rigolarde, parfois totalement foutraque. A ceci près qu’il avait fallu sécuriser le bâtiment, baisser le rideau de fer sur la rue, s’habituer à parler à des confrères protégés par des policiers armés, multiplier nuit et jour les précautions pour éviter qu’au premier incendie n’en succède un second. Rien de tel n’arriva même si, quelques mois plus tard, un appel d’un agent de la DCRI nous confirmait qu’un groupuscule salafiste avait bien eu l’idée de«mettre le feu» à Libé. Transformer un journal en bunker, dessiner, comme ce fut alors le cas pour l’équipe de Charlie, sous Vigipirate renforcé : expériences insensées en démocratie qui permettent de comprendre combien la liberté de la presse est fragile. En appeler au sens des responsabilités des dessinateurs, leur demander d’y réfléchir à plusieurs fois avant de publier, les exhorter à prendre en compte le contexte géopolitique comme s’ils étaient porte-parole du Quai d’Orsay, c’est mettre le doigt dans un engrenage dont le premier cran est l’autocensure et le dernier la capitulation. De l’une à l’autre, le chemin se révèle étonnamment court ; il est sans retour. En démocratie, libre à chaque titre d’établir sa ligne éditoriale ; libre au lecteur de lire ou de ne pas lire ; libre aux personnes qui se sentent offensées de demander réparation devant les tribunaux, la seule arme légale. Et espérons que sous d’autres régimes, des armes d’une autre nature ne soient pas utilisées.”

Sep
20
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par Agnès Dibot le 20-09-2012

Chers zélèves, ce titre est celui d’une bande dessinée. Il  nous servira d’introduction à cette micro-revue de presse.

Lisez ici un article répertoriant toutes les affiches de film, les affiches de publicité, les dessins qui ont pu choquer les croyants en France, ces dernières années : notamment les catholiques. Vous le verrez, la caricature est presque de tradition, un exercice de routine.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/11/21/quinze-images-qui-ont-choque-dieu_1605929_3224.html

Je me souviens très bien de la sortie du film “La dernière tentation du Christ”, de Martin Scorcese : une projection dans des circonstances exceptionnelles. Le cinéma du village dans lequel je vivais avait refusé de le diffuser (sous la pression de la communauté catholique) , il m’avait fallu aller le voir dans une autre ville (14 kilomètres plus au sud, les catholiques étaient plus ouverts d’esprit). C’est un film qui fait réfléchir sur la possible humanité du Christ, le Messie, pour les chrétiens. Beaucoup de réactions violentes avaient eu lieu dans le contexte de sortie de ce film par ailleurs très beau.

Alors, si on peut sourire du titre “Dieu est humour”, il semble que certains sujets restent sensibles, dans une société où la religion demeure très présente : respecter les croyants, dira-ton pour conclure, mais respecter également la libre pensée. L’expression doit pouvoir rester libre.

Préparez-vous, chers zélèves, c’est demain que vous écrivez… Et vous n’échapperez pas à ce sujet d’actualité car votre avis nous intéresse.

A lire, dans Le Figaro, un article sur la première caricature de Mahomet en France : elle remonterait au Moyen-Age ! http://www.lefigaro.fr/arts-expositions/2012/09/19/03015-20120919ARTFIG00454-mahometcaricature-depuis-le-moyen-ge.php

Sep
19
Classé dans (La cuisine de Delphine) par dgoncalves le 19-09-2012

C’est la rentrée depuis quelques semaines et pas encore de recette …Etant au collège le mardi, je tâcherai de ne pas z’oublier ma rubrique.

Pour commencer, je vous propose donc une recette de gâteau au chocolat fondant que certains 3ème de l’année dernière ont eu l’occasion de gouter … et apprécier, je crois  … voire même certains profs en salle des profs.

Il me semble qu’Imène voulait la recette … La voici !

Ingrédients

200 g de bon chocolat noir

200 g de beurre (et oui, quand on veut des bonnes choses …)

5 oeufs

1 cuillerée à soupe de farine

250g de sucre

 

Faites chauffer le four à 190°C

Faites fondre ensemble , au micro ondes ou au bain marie, le chocolat et le beurre.

Ajoutez le sucre et laisser refroidir un peu.

Incorporez un par un les œufs en remuant bien avec une cuillère en bois après chaque nouvel œuf.

Enfin, ajoutez la farine et lissez bien le mélange.

Verser dans un moule et faire cuire pendant 22 minutes … Le gâteau doit être encore légèrement tremblotant au milieu.

Sortez du four, laisser refroidir puis déguster …

 

 

 

Il est des années d’éducation aux media qui se suivent et… se ressemblent… Les fidèles lecteurs de ce Torchon se souviendront avoir lu, l’an dernier, l’article d’Imène sur le titre en Une du journal satirique Charlie Hebdo : “Charia Hebdo”, en référence à la loi religieuse du même nom. (article à relire dans cette même rubrique).

A l’époque, les journalistes de Charlie Hebdo poursuivaient leur combat contre la difficulté pour les journalistes de critiquer, voire de se moquer des religions, quelles qu’elles soient. Au nom de la laïcité et de la liberté d’expression. Charlie Hebdo est un journal satirique : sa ligne éditoriale : la critique, si possible fine, des travers de la société.

Voici une autre Une de Charlie hebdo, qui a fait suite à celle intitulée Charia Hebdo :

Difficile de toujours faire sens auprès de tous les lecteurs, de tous les citoyens, quand la satire s’exprime par le dessin de presse. Car le dessin de presse est visible, et peut être dur, cynique. Il est souvent drôle (quand il ne sombre pas dans le vulgaire). Or, pour le comprendre, et l’accepter, il faut être fondamentalement réfléchi et informé du contexte de parution dudit dessin.

Vous me suivez, chers zélèves ? Autrement dit, ce matin, la presse s’enflamme à cause d’un dessin paru dans le numéro de Charlie Hebdo, lequel se moque ouvertement de deux religions, l’Islam et le Judaïsme, en croquant deux religieux, sous le titre “Intouchables 2”. Dans ce numéro, en pages intérieures, des caricatures du prophète Mahomet : ce sont elles qui choquent les musulmans. Au nom du respect des croyances.

Ce peut être drôle et considéré comme anodin : on peut, en France, tourner en dérision les religions. Là où le bât blesse, c’est que le contexte de diffusion de ce dessin est particulier : en France, une seule manifestation devant l’ambassade américaine à Paris avait été constatée le week-end dernier. Or, le dessin de Charlie Hebdo relance une polémique chronique : “Peut-on, au nom de la liberté d’expression, tout publier ?”

La réponse devrait être “oui”, dans le respect du droit.  Pourtant, vous le lirez ci-dessous, les réactions des musulmans français sont immédiates, les appels aux manifestations se multiplient.

Cet article pour vous dire, à vous qui êtes jeunes encore : avant de vous enflammer pour une cause, informez-vous, réfléchissez, débattez.  Parlez entre vous, parlez-en famille, avec des adultes qui vous aideront à comprendre et à vous forger une opinion personnelle.

Pour votre information, Charlie Hebdo a publié, voici quelques années, une Une présentant le prophète Mahomet : au nom, déjà, du droit à se moquer des religions et, surtout, des intégrismes, dans une société laïque.

C’est l’histoire de Charlie Hebdo. Rappelons, enfin, que la publication de la Une Charia Hebdo avait conduit des intégristes à détruire les locaux du journal : sacrilège. Liberté d’expression menacée. D’où la prise de position de Charlie Hebdo aujourd’hui. Libre à chacun d’en penser ce qu’il veut, d’apprécier ou nom le dessin. Vous-mêmes, chers zélèves, réfléchissez : au cas où vous seriez tentés d’agir ou de penser avant d’avoir réfléchi (oui, un élève est capable de “penser” avant d’avoir “réfléchi” : c’est étrange, mais nos zados sont ainsi, sans doute une phase de maturation du cerveau… dans le processus de transition vers l’âge adulte..)

A vos réactions : qu’on souhaite mesurées, réfléchies, et intelligentes !

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/09/18/01016-20120918ARTFIG00602-les-islamistes-menacent-paris-d-une-nouvelle-manifestation.php

http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/09/18/charlie-hebdo-publie-de-nouvelles-caricatures-de-mahomet_1762061_3224.html

http://www.liberation.fr/societe/2012/09/19/a-charlie-hebdo-ce-qui-est-dommage-c-est-qu-on-s-habitue-au-car-de-crs-devant-la-porte_847383

Sep
18
Classé dans (Le vendredi, c'est journalisme !) par Abderrahman le 18-09-2012

A la fin de l’année, il ya le brevet et qui dit brevet dit stress. Personnellement, je suis calme en général, mais là, je stresse, je me dis que c’est facile dans ma tête mais je n’y crois pas donc, maintenant, j’ai peur de tout rater !

Mais le pire, c’est le socle commun, pour les zinternautes qui ne savent pas ce que c’est, c’est un livret de compétences qui regroupe l’essentiel de se que nous devons savoir faire à la fin de la 3éme et pour l’obtenir nous devons valider toutes les compétences, c’est ce qui me fait le plus peur. J’espère que j’aurai ce satané brevet à la fin.