Beaucoup de personnes, encore aujourd’hui, sont harcelées au collège ou en dehors du collège. Les personnes le plus souvent victimes de  harcèlement sont les personnes les plus faibles. Les harceleurs s’en prennent au physique des gens, les rackettent ou les insultent. Les victimes se sentent si humiliées qu’elles veulent en finir car elles ne supportent plus de vivre autour de personnes qui ne remarquent pas combien elles leur font de mal.

Il n’y a pas longtemps, en flânant  sur Youtube, j’ai vu une vidéo choquante de différentes sortes de harcèlement : un groupe d’élèves n’arrêtait pas de frapper un élève. A la fin de ses cours, un jour, un professeur a vu ce qui se passait et il a appelé la police. Voila ce qui arrivera à ceux qui harcèleront,  il leur arrivera la même chose. Il ne faut pas avoir peur de le dire à quelqu’un. Les gens qui harcèlent sont les personnes les plus idiotes. Qu’ils essaient de se mettre à la place de la victime et ils verront combien c’est dur d’être humilié ou frappé ou racketté. Donc, n’hésitez pas à le dire:  luttons contre le harcèlement.

Oct
06
Classé dans (Pink Paillettes) par kinay le 06-10-2014

Vous imaginez bien que je parle des mamans.  Sans elles, je pense que tout serait différent. On ne les respecte pas assez, on n’est pas assez reconnaissant pour tout le travail quelles font pour nous. Comment faire pour rendre fiers nos parents ?

Réussissons à l’école, soyons obéissants, travailleurs pour rendre fiers nos parents. Le plus grand cadeau qu’on puisse offrir à nos parent, surtout à notre mère, c’est de s’occuper d’eux pendant leurs jours de vieillesse, en tout cas pour moi. J’aimerais vraiment que ma génération change ou évolue mais dans le bon sens. Car maintenant, la génération est très différente que celles de mes parents et grands-parents, en même temps tout a évolué (la technologie, la mentalité, la science etc…).

Ce que vous allez lire est un cas qui se passe dans ma famille.

Tous les sacrifices que les mères font pour nous comme faire à manger tous les jours, emmener les petits enfants à l’école, faire les courses, gérer la maison, gérer l’argent que le chef de famille rapporte. Heureusement qu’elles ne sont pas toutes seules à tout faire car il y a les enfants qui peuvent aider dans les tâches ménagères.

Ma mère, par exemple, travaille à temps partiel et l’argent qu’elle rapporte, c’est un plus sur le salaire de mon père. Il ne faut pas que les mamans restent tout le temps à la maison, il faut se trouver une activité professionnelle ou un passe temps.

 

 

 

 

 

Oct
06

Loin de nous l’idée de faire passer nos zélèves pour des monstres sanguinaires dans cette rubrique : elle se veut simple reflet d’une réalité quotidienne. Parfois (souvent), les propos de nos zélèves nous choquent. Après Hitler, que nos zados avaient appris à connaître en regardant un reportage sur Arte (que certains appellent “arte”, sans prononcer l’accent aigu sur le “e”, ce qui fait sourire ;)) et dont on avait entendu dire qu'”il parlait vachement bien, M’Dame” et qu’à part le fait qu’il ait commis un crime contre l’humanité (quand même), “on l’aime bien”, on pouvait s’attendre à tout…

A tout ? Presqu’à tout. Il suffit de s’asseoir en salle de conférence, de lancer une revue de presse, et d’écouter ce que disent les zélèves, qui oublient bien vite votre présence (l’élève est programmé pour zapper le prof, à un moment ou à un autre de l’heure : c’est là qu’on remplit notre quotat de punitions) : diantre ! Mes zoreilles !

Il était question, cette fois-ci, de la décapitation du troisième otage par les barbares de l’EI (aujourd’hui, les media disent Daech, soit, ce sont les mêmes brutes sanguinaires) : c’était avant le quatrième, pour lequel je n’ai (du coup…) pas osé la revue de presse. Et en attendant le cinquième, puisqu’il est déjà annoncé : mais on ne peut pas plaisanter avec ce sujet, tout de même.

Non, assurément pas : et mon élève qui, entre deux lamentations de ses camarades “ils ont osé, c’est abject, c’est odieux, c’est  monstrueux” (enfin, avec le vocabulaire de mes zélèves, ça donnait plutôt un langage fleuri, un peu trop pour ce Torchon…), a lancé un retentissant : “Moi, ça me choque pas, qu’ils décapitent ceux qui sont infidèles ”  ne plaisantait vraiment pas… Yeux ronds, sourcils périlleusement dressés en accent circonflexe, (la marque du désespoir), quelques cris de protestation chez les zados autour de la table ronde-rectangulaire.

Mais notre ami persiste, et s’explique : “Moi, je dis que, d’accord, si c’est un otage non musulman, OK, ils n’ont pas le droit de le décapiter mais si c’est un musulman, à l’intérieur d’une religion, on a le droit de punir, et là, ça me choque pas. C’est la loi.”

Avouons que, face à un tel discours, on se sent démuni : notre élève est sûr de ce qu’il dit. Et tous les arguments qu’on lui oppose n’y feront rien (cette fois-ci en tous cas), il a sa propre conviction. Parfois, laisser la parole circuler est… consternant.

Alors, pour conclure, renseignons-nous sur ce qu’il en est de la mort par décapitation, selon la loi, ou même selon les textes religieux dont se réclament les membres de l’Etat Islamique :

http://www.marianne.net/Decapitations-autopsie-du-message-djihadiste_a240993.html

http://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_p%C3%A9nal_musulman

http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2014/08/21/31002-20140821ARTFIG00109-decapitations-en-arabie-saoudite-comment-la-charia-transforme-t-elle-la-societe.php

 

Oct
06
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 06-10-2014

Libé du 6 octobre 2014

Petit exercices pour mes zélèves de troisième d’option media : que veut dire le titre de cette Une ?

Oct
06
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par Kamélia le 06-10-2014

 

Aujourd’hui, la Manif pour tous redescend une fois de plus dans les rues de Paris et Bordeaux . Et une fois de plus, les réseaux sociaux se sont transformés en champs de bataille où se sont affrontés les pro et les anti-Manif pour tous.

Des photos choquantes circulent sur les réseaux sociaux, montrant des enfants bâillonnés avec des bandeaux avec écrit “fragiles” dessus, photos prises en 2013 pendant une manifestation des anti-manif pour tous.

Je vous rappelle que l’un de leurs nombreux slogans est : Parce que l’exploitation de la femme est intolérable , parce que l’enfant n’est pas un objet , parce que tous les enfants ont besoin d’un père et d’une mère.

L’enfant n’est pas un objet ! Alors, un enfant n’a pas sa place dans une manifestation et encore moins quand il ne comprend pas la cause. C’est la première fois dans l’histoire humaine que l’ont voit des gens descendre en masse dans les rues manifester pour des droits qu’ils ont déjà . Nous ne choisissons pas de qui nous tombons amoureux. Je pensais que nous naissions tous libre et égaux.

Oct
04
Classé dans (Correspondance) par terminator le 04-10-2014

Aujourd’hui, je me suis fait punir par un professeur, c’était dur mais cette punition sera une bonne leçon pour moi. Si vous ne voulez pas être punis, je vous conseille de vous tenir à carreaux avec Mme Dibot. Je préfère être derrière un ordinateur que d’être dans une salle tout seul pendant 45 minutes… Donc, la prochaine fois, je me tiendrai à carreaux et vous aussi, je vous le conseille.

Oct
03

 

Franchement ma génération est bien pourrie, je vais vous dire pourquoi.

On ne respecte plus nos parents, la dernière fois, j’étais chez un ami et il parlait atrocement mal à ses parents. Il leur parlait comme s’ils étaient des chiens. Ca m’a choqué et j’ai demandé à ma mère comment était son enfance.

Elle me disait qu’on avait de la chance car, elle, pour aller à l’école, elle faisait 2 kilomètres à pied (juste pour aller à l’école !) alors que nous, juste pour nous réveiller, on fait des crises. Je me disais qu’on était ingrats envers nos parents, surtout nos  mères, qui nous ont portés pendant des mois dans leur ventre et tout ce qu’elles nous demandent, c’est le respect.

Oct
02
Classé dans (Revue de presse) par Agnès Dibot le 02-10-2014

Libé du 2 octobre 2014

Oct
01
Classé dans (Sois belle et tais-toi) par la rêveuse le 01-10-2014

Le Poitou Charente cherche une miss pour représenter sa région à l’élection de Miss France. Une quinzaine de régions de France se lancent dans ce projet.

L’idée, c’est de faire participer des jeunes filles de 16 à 18 ans, qu’elles soient rondes, petites, grandes ou minces, peu importe comment elles sont, c’est  pour leur donner une expérience dans le monde de la mode. Cela pourra leur donner plus confiance en elles. Huit candidates ont été sélectionnées pour cette première partie  de Mademoiselle Poitou-Charentes, qui se passera à Châtellerault, dimanche 26 octobre, à la salle de la Gornière. Celle qui aura été choisie  pourra ensuite participer à la finale, samedi 2 mai 2015, à Belley, dans le département de l’Ain. Et pourquoi pas envisager une future carrière de miss ?

 

Huit candidates vont participer, à Châtellerault, à la première élection de Mademoiselle Poitou-Charentes. - Huit candidates vont participer, à Châtellerault, à la première élection de Mademoiselle Poitou-Charentes.