Deux types de production très différents, mais du rêve dans les deux cas. J’aime le cinéma qui me fait m’évader. Hier et ce jour, je n’étais pas dans une salle de cinéma à Châtellerault, dimanche avec des enfants de 4 à 8 ans et ce jour avec le troisième âge.
Je fus en premier dans un dessin-animé comme savent si bien en produire les studios Ghibli, ceux qui nous procurent tous les grands Miazaky, le réalisateur était ici celui de Ponyo sur la falaise. Il s’agissait d’une sorte de Gulliver japonais, un monde de petits hommes existant dans les maisons des humains que nous sommes. Une découverte, comme le thème du dessin-animé, des univers qui se rencontrent. Les productions de ce style ne cessent de me surprendre et de me réjouir. N’en déplaise à celles et ceux qui ne goutent pas le Petit prince, il est si doux de s’abandonner l’espace d’une heure à ces rêves d’un autre qui deviennent nôtres car faisant référence à des désirs communs, je pense, à l’Humanité. L’enfance a toujours des trésors à faire rejaillr dans nos fragiles mémoires.
Ce jour, un film avec Luchini, j’aime énormément cet acteur, j’y suis d’ailleurs allé pour lui. J’ai bien fait, il est naturellement très bon, mais le sujet, lui aussi fait de découvertes et de rencontres de l’autre, ici un riche bourgeois découvrant l’univers des domestiques espagnoles des greniers de Paris, est bien traité. Pas de sentimentalisme excessif, une fin peut-être trop convenue, mais tout cela est si bien conduit et cette ouverture à l’humanité, à l’autre, à sa souffrance et à sa différence, voilà qui, en cette période, fait du bien aussi. (Pour le détail, l’appartement dans lequel se déroule l’action ressemble beaucoup à celui utilisé pour tourner ensemble c’est tout).
Ne délaissons pas les salles obscures, on y fait de merveilleuses rencontres, y compris en discutant avec les inconnus qui partagent ces moments de rêve avec vous.
Encore un mot parfaitement adapté aux circonstances, mais c’est fait pour!
Nous sommes en périodes de vacances, studieuses vous l’aurez noté, mais ce mot ne vous propose pas de vivre un grand moment de fête dans les Deux-Sèvres. Il est plus en lien avec le mot de vendredi dernier. Quelque chose de superfétatoire s’ajoute inutilement à quelque chose d’autre. Certains bagages peuvent donc l’être, avis à celles et ceux qui chargeraient encore trop leurs coffres de voiture, leurs valises ou leurs porte-bagages de bicyclettes.
De fait, la culture, en aucun cas, ne saurait être jugée superfétatoire, pas plus que les efforts pour réussire. En revanche, certaines répétitions ou lourdeurs dans l’expression, lors d’un paragraphe argumenté, par exemple, peuvent l’être.
Vous voici donc nantis d’un merveilleux vocabulaire pour, éventuellement, reprocher à vos professeurs quelques redondances dans leurs propos. Pour l’heure, cependant, je puis encore vous souhaiter de bonnes vacances.
Mercredi 23 et Jeudi 24 nous sommes allés visiter Châtellerault avec Monsieur Mastorgio.
Mercredi nous sommes allés à l’école Paul Painlevé qui est une ancienne gare qui allait jusqu’à Chauvigny. Après nous avons été jusqu’au cimetière Saint Jacques et nous avons vu le carré militaire. Nous sommes passés par le jardin public pour aller à l’hôtel du Cognet qui est maintenant la maison du peuple. Nous sommes passés sur le pont Camille de Hogues qui est le premier pont en béton armé mis en service en 1937, pour aller à la manufacture. Sa création date de 1819 et elle ferme en 1968. Dans la manufacture plus de 8000 personnes travaillaient, soit 1/4 de la population châtelleraudaise de l’époque.
Après la manufacture , nous sommes allés à l’église Saint Jean l’Evangéliste à Châteauneuf qui est refaite au XIXéme siècle. Sa cloche pèse plus de deux tonnes. Monsieur Mastorgio est ensuite allé sur le pont Henry IV pour nous expliquer l’histoire du pont.
Jeudi, nous sommes passés par le jardin public pour aller voir l’escalier dans l’Hôtel de ville pour ensuite aller voir la devanture de l’ancien théâtre. Nous n’avons pas pu le visiter.
L’église Saint Jean Batiste sur le boulevard Blossac est une très belle église dont la statue de la vierge a été abimée par les révolutionnaires. Il manque la couronne de la statue. Nous avons vu ensuite l’arrière de la maison des Sibylle qui est très jolie. Nous nous sommes rendus à la porte Sainte Catherine vers l’ancien hôpital. Nous avons vu le devant de la maison des Sibylle qui n’est pas rénové. La maison d’à-côté est la maison Descartes.
Nous sommes allés voir les vestiges des églises Notre Dame et Saint Romain. L’église Saint Romain était la plus grange église de Châtellerault. Nous sommes passés par la bibliothèque du Château pour aller ensuite à l’hôtel Sully qui a été construite au XVI éme siècle. Nous sommes allés à l’église Saint Jacques. Nous sommes passés par le nouveau théâtre pour revenir au collège.
Sur le chemin du retour, mercredi Monsieur Mastorgio a fait la course contre un sixième qui se prénome Lenny et, jeudi, il a couru contre un CM2 s’appelant Christopher et deux sixièmes se prénomant Vincent et Sofiane, le gagnant a été Monsieur Mastorgio pour les deux courses. Jeudi, Lenny a porté les affaires de Vincent et celles de Monsieur Mastorgio. Il faisait bien le porte- manteau.
J’ai bien aimé cette sortie et j’ai appris beaucoup de choses sur la ville que j’habite. Je conseille à tout le monde de s’inscrire à l’école ouverte pour visiter Châtellerault.
Manon.
Alors, tout d’abord, je m’adresse aux deux garçons qui ont écrit un article sur la façon d’approcher une fille. Pour commencer vous avez à peu près raison, mais pas sur tous les plans !
Je vous explique :
– Quand vous voulez draguer une fille, il faut être soit-même, je suis d’accord. Si vous vous faites passer pour une personne que vous n’êtes pas, ça ne fonctionnera pas. Sûr et certain !
– Ensuite, il ne faut pas non plus faire du TAC au TAC. Il y a des filles vraiment Timides, alors il faut faire attention, vous risqueriez de les brusquer et de leur faire peur : tout est perdu si vous faites ça !
– Les filles qui ont l’air sûres d’elles ne le sont pas toujours ! Ca veut juste dire qu’elles essaient de cacher leurs craintes auprès des garçons.
– Il ne faut surtout pas brusquer les choses. Prendre son temps.
– Chacun a sa propre manière de Draguer, il faut que chacun trouve sa propre manière. Essayez plusieurs tentatives d’approche et vous trouverez la bonne.
Nous, toutes les filles, même si cela ne se voit pas, nous adorons les garçons romantiques, d’un sens vous l’êtes tous, vous ne voulez juste pas le montrer (peut-être que cela pourrait nuire à votre réputation, qui sait!)
Kevin, je dirais juste qu’on adore qu’on s’intéresse à nous, toutes sortes de questions sans que ça soit comme La Garde à vue. Cela nous prouve qu’on a de l’importance aux yeux des autres personnes.
Ce qui marche le mieux, qui nous fait craquer, c’est les petits sourires du coin de la bouche puis les petits regards ou encore les clins d’œils. On trouve ça vraiment chou.
Mazarine.
Samedi 12/02/11, l’accompagnement éducatif VOLLEY-BALL était invité au match de ligue A masculine POITIERS / MONTPELLIER dans la fabuleuse salle Lawson Body de Poitiers connue pour être l’un des chaudrons du volley français.
Grâce au club de volley de notre ville (CSAD-C Volley-Ball) et à la ligue du poitou, quelques élèves de l’accompagnement éducatif ont eu le grand bonheur d’assister au match, où POITIERS s’est imposé par 3 sets à 1 (20-25, 25-23, 25-21, 25-20)
La perte du premier set a créé la surprise étant donné la grande forme des géants poitevins qui totalisaient 9 victoires consécutives avant cette soirée mémorable… il faut dire que la qualité des services et du jeu adverse était particulièrement redoutable ce qui a perturbé le jeu pourtant bien rodé des locaux.
Le 2ème set a été très serré, les deux équipes se renvoyant coups sur coups et finalement Poitiers aura le dernier mot.
La mécanique à présent bien en place, les 2 derniers sets auront été plus tranquilles pour la formation du poitou, les montpelierains distancés petit à petit ne trouveront pas la solution pour revenir et Poitiers Volley obtiendra alors sa 10eme victoire consécutive ! il reste ainsi co-leader du championnat avec l’équipe voisine de TOURS !
Après le match et comme d’habitude, la bande à Kieffer a effectué son tour d’honneur de la salle pour remercier son public venu une nouvelle fois en masse, puis elle s’est prêtée au petit jeu des dédicaces.
Pas facile pour nos jeunes d’obtenir des signatures de stars, ils auront tout de même récolté celles de Maréchal, Kieffer, Sol ce qui est déjà pas mal.
Nous tenterons de faire venir les joueurs bientôt pour rencontrer nos apprentis volleyeurs… en attendant, ils s’entrainent dur tous les mardis soir de 16 à 18 au gymnase, 10 jeunes inscrits.
Dernère minute : depuis cette rencontre, le Poitiers Volley à remporté deux autres rencontres : en championnat vendredi dernier, le 18/02/1, 3 sets à 1 contre Nice, puis hier soir en coupe de france 3-0 contre Lyon… il reste donc invaincu depuis 12 rencontres, pas mal, et conforte sa place en haut de la hierarchie du volley français.
Equipe à suivre de près, de très près… avec peut-être un nouveau titre prochainement ?
Allez Poitiers, tes suporters sont là aussi !
http://www.poitiers-volley.com/
TD
Intro : Les gars, chacun a sa manière d’aborder une fille, mais est-ce que ça marche ou ça ne marche pas ? Ca dépend de la fille qu’ont accoste. Elles ne sont pas toutes les mêmes : il y en a qui adorent les mecs romantiques (mais de nos jours c’est rare 🙁 ) et puis il y en a qui adorent les mecs sûrs d’eux ect …. J’en passe… La technique de drague la plus sûre, c’est de rester naturel mais ça ne veut pas dire pour autant que ça suffit …..
Technique 1 : Vous remarquez une jolie fille, vous voulez l’aborder. Le mieux, c’est d’arriver doucement, de ne pas lui sauter dessus. Vous allez vers elle, vous lui dites ” salut” et vous lui dites ” depuis tout à l’heure, j’te vois je te trouve charmante, est-qu’on peut faire connaissance” ??? Elle dira oui ou non, ça dépend…
Technique2 : Vous avez entamé la conversation, alors il faut lui poser des questions du genre “tu t’appelles comment , tu habites où ect… Mais attention, il ne faut pas que ça fasse genre interrogatoire, sinon, elle sera mal à l’aise. Après, il faut surtout la complimenter sur ses vêtements, ses yeux, ect. Les filles adorent ça !
Technique 3 : être naturel, il faut pas jouer un rôle ou devenir prétentieux, elles détestent ça. Il faut être zen, capter l’attention de la fille, il faut qu’elle s’intéresse à vous. L ‘humour marche aussi et je le conseille car les filles adorent les garçons marrants, c’est connu.
Technique 4 : dernier conseil, il ne faut pas accélérer les choses, si la fille vous donne son numéro, il ne faut pas la harceler après, il faut attendre 2 ou 3 jours pour lui parler, ça fait durer le suspense 🙂
Alors résumons, il faut : accoster la fille calmement, ne pas lui faire peur, lui poser des questions, la complimenter, être drôle.
Au final, si elle vous passe son num, c’est impératif : faut pas la harceler, les filles détestent les pots de colle.
Allez, les gars : à vous de jouer !!!
Signé Vinkey le gentleman loveur.
Pour Kévin, entre autres…
http://www.ecrans.fr/Berlin-1885-le-partage-du-gateau,12088.html
Sans doute ce film documentaire t’en apprendra-t-il (et à nous aussi !) sur les origines de la colonisation de l’Afrique par l’Europe… Sans doute.
Revue de presse teintée de sang, ce matin : la liberté se paie parfois très cher.
« S’il vous plaît, dessine-moi un Petit Prince »…
Ecole Ouverte, collège George Sand de Châtellerault. Lundi 21 et mardi 22 février.
Ces deux premières journées de vacances, une dizaine d’élèves de sixième (et une élève de cm2 de l’école Jacques Prévert) ont relevé le défi lancé par deux enseignantes : compléter la fresque sur le mur du planétarium du collège.
Pots de peinture, palettes, pinceaux, et…parapluies ! Ce lundi, ce mardi, on sort tables et chaises dehors, dans la cour des sixièmes et des cinquièmes : il s’agit de peindre une fresque sur le mur du planétarium. A côté de l’énorme boule de feu représentant le soleil (peint par d’anciens élèves aujourd’hui adultes !), on propose à nos petits vacanciers de dessiner, puis de colorer l’univers du petit Prince : un petit prince debout sur sa minuscule planète (l’astéroïde B612), couvant du regard sa magnifique rose. Des étoiles entourent notre petit prince, personne n’est oublié : le mouton, le renard, le boa mangeur d’éléphant (et non un chapeau : avis à ceux qui ont perdu leurs yeux d’enfants !), l’aviateur (petite liberté prise avec le texte de Saint-Exupéry…)… Même le serpent, pourtant menaçant, a sa place sur le mur…
Après avoir lu et étudié ce récit magnifique en cours de français, les élèves de sixième étaient invités à immortaliser ses personnages sur le mur de leur cour de récréation : à ceux qui croient que le Petit prince n’est qu’un conte pour enfants, nos jeunes peintres répondent qu’il n’en est rien… Ce petit prince-là est un grand monsieur. Bilel, Amandine, Eden, Mohammed, Rania, Morgane, Sofiane, Katarina-Johanna, Lenny et Madjoline seront fiers de vous raconter l’histoire de la rencontre entre un aviateur égaré dans le désert et ce petit bonhomme adorable aux cheveux couleur de blé mûr… Son ami.
Paroles de Petits Princes :
J’ai fait le petit prince sur le mur de la cour des sixièmes-cinquièmes : j’aimais le faire car c’est amusant et ça décore la cour. Et on a appris à peindre entre de bonnes mains avec Mme Dibot et Mme Goncalvès. En cours, j’ai aussi été intéressé par le Petit Prince et c’est pour ça que je me suis lancé dans l’aventure de l’école ouverte : pour peindre la fresque.
Sofiane Boudjema
J’ai peint le petit prince sur le mur des sixièmes-cinquièmes : j’ai trouvé ça amusant et rigolo. Le décor était magnifique, assez sympa avec Mme Dibot et Mme Goncalvès. J’ai bien aimé peindre la fresque : la planète, les arbres…
Morgane L.
Je suis une élève de CM2. J’ai fait le petit prince sur le mur de la cour des sixièmes-cinquièmes : j’aimais le faire car c’est amusant et ça décore la cour. J’ai aimé peindre avec Mme Dibot et Mme Goncalvès.
Rania.
Je suis une élève de 6ème3, je ne suis venue que le mardi mais la fresque avait déja bien avancé. Avec Mme Dibot, ma prof de français, nous avons étudié “Le Petit Prince” : malgrés les commentaire des 4èmes et des 3èmes, “Le Petit Prince” n’est pas pour les maternelles, car, même si je suis en 6ème, j’ai eu du mal à comprendre l’histoire.
Mme Dibot nous a expliqué l’histoire et nous avons tous compris. Après avoir compris l’histoire, j’ai conclu que cette histoire était bien et elle nous donnait une bonne leçon à tous.
Eden.
Je suis éléve de 6°3, j’ai étudié “Le petit prince” avec Mme Dibot. On l’a lu , étudié. Je l’ai tout de suite apprécié. On devait avoir des projets, notamment en Ecole Ouverte. Ce projet, c’était de faire une fresque dans la cour des sixièmes-cinquièmes . J’avais vraiment envie de faire cette activité car j’ai bien aimé Le Petit Prince.
Donc, je me suis inscrite ! Lundi, j’ai peint la planète, le mouton et L’avion. Mardi, j’ai peint au verni la fresque, j’ai apprécié ce que j’ai fait. J’aurais aimé que cela dure plus longtemps mais tant pis !
Amandine Dechartre.
J’ai trouvé amusant de faire une fresque du Petit Prince sur un mur de la cour. Je l’avais lu en CM1 et nous avions même joué la pièce de théâtre ! J’ai beaucoup aimé que un journaliste vienne faire des photos. Merci à Mme Dibot et Mme Goncalvés!!
Lenny Jude.
Le mardi 15 février, le capitaine Martineau et un de ses collègues Amir, sont intervenus à George Sand dans le but de faire le point sur les risques qu’encourent les internautes.
Un débat s’est mis en place afin de faire des statistiques des personnes utilisant un blog, facebook, téléphone portable , youtube … etc .
Sur 26 èlèves, 19 ont un ordinateur avec internet, 17 ont un portable, 14 ont facebook, 2 ont un blog et 13 affirment avoir deja insulté sur le net. La moyenne d’âge et de 12 ans. Nous avons tout d’abord évoqué les utilisation des nouvelles technologies par les éleves.
L’aquisition photos et/ou audio ou video des élèves dans la cour , aux toilettes, aux vestiaires, une bagarre entre élèves, des professeurs dans le cours, en salle de classe.
La publication: par mms/sms , sur internet , face book, blog , par e-mail ect…
Injure : insulte, menaces, moquerie de camarade, personne chargée d’une mission publique : que dit la loi face à ce contenu ? Quelle punition prévoit la loi ?
Comme la diffamation, l’injure peut constituer un délit ou une contravention selon les conditions dans lesquelles elle est proférée, et peut être passible de peine de prison ou d’amende. En particulier, la gravité des sanctions varie selon qu’elle est publique ou non, qu’elle est ou non précédée de provocations de la part de la personne injuriée, et selon la qualité de la personne à laquelle elle s’adresse, selon qu’il s’agit d’un particulier, d’un fonctionaire public ou d’une institusion, par exemple.
L’injure crée automatiquement un préjudice à l’encontre de la personne injuriée, cependant son montant est souvent dificile à évaluer. Une injure publique est réprimée par la loi de 1881 (article 33), qui la punit d’une amende de 12 000 euros.
Le code pénal (article R.621-2) fait de l’injure non publique une contravension de la 1re clase, soumise à une amende de 38 euros.
Hanène et Alexandre