Oct
13
Classé dans (Pink Paillettes) par Agnès Dibot le 13-10-2011

A la demande générale, voici la Une du n°11 de Pink Paillettes modifiée. Cela vous convient-il, mesdemoiselles ? Ne dites pas non, si vous saviez le temps qu’il me faut à chaque fois… Wassila : verdict ?

Oct
13
Classé dans (Le torchon brûle) par Agnès Dibot le 13-10-2011

Qui a écrit “le Torchon vire au rose à paillettes” ? Qui a  dit “le Torchon, c’est devenu du Barbara Cartland !” ? Qui ? Si je revendique la première phrase, la seconde n’est pas de mon fait.

“Qui est Barbara Cartland ?”, me rétorquerez-vous dès demain, chères zélèves !

“Barbara, mais, Barbara, voyons : la reine du roman à l’eau de rose, du côté de la perfide Albion, comme dirait M. Mastorgio, maître ès chauvinisme !” vous répondrai-je (demain) !

Qu’est-ce qu’un roman à l’eau de rose, m’Dame ?” questionnerez-vous alors (on vous connaît comme si l’on vous avait faites !) en fronçant un sourcil défensif, parées à une agression verbale.

“Ah oui, mais alors là, si vous ne savez même pas ce que c’est qu’un roman à l’eau de rose…” Et votre professeur, patient (ça s’apprend, comme la modestie !), vous exposera la définition du roman à l’eau de rose :

“C’est un roman d’amour qui obéit à des règles du genre : une rencontre entre un homme et uen femme qui, se détestant au début, finissent par s’aimer en secret et se déclarer leur passion à la dernière ligne. Le lecteur sait, lui, depuis le début, qu’ils se marieront, vivront heureux et auront beaucoup d’enfants.”

Où est, en ce cas, m’Dame, l’intérêt du roman à l’eau de rose ?

“Nulle part : il n’y en a aucun. Tout l’intérêt du roman à l’eau de rose consiste en la lecture comparée de plusieurs romans obéissant aux mêmes règles du genre. On s’amuse alors à comprendre les mécanismes pour retarder la déclaration amoureuse et les petits trucs utilisés pour faire vibrer le coeur des lectrices : le beau mâle prétentieux du début est finalement un homme doux, naturellement bon, mais qui, suite à un malheur injuste, s’est réfugié dans une apparence méchante : rien n’est de sa faute, il souffre ! Et la jeune sotte qui refuse de voir en lui l’agneau ferait bien d’apprendre à détecter chez tout homme le coeur épris qui sommeille en lui. Voici une définition pour faire court. “

“Mais, quel rapport avec notre Torchon ?”

“Sans doute vos histoires de filles ont-elles éveillé chez certains lecteurs, internautes habitués au Torchon cru 2010-2011, un certain agacement, une légère impatience, voire un bouillonnement certain.”

Et vous, m’Dame ?”

“Mon côté Fleur Bleue se laisse attendrir par vos articles roses à paillettes. Le Pink Paillettes n’a jamais été aussi vite monté -la maquette du n°11 est prête depuis dimanche !- que cette année. Je suis fan, mais il est vrai que j’attends à présent des articles de fond, moins centrés sur vous-mêmes et vos histoires d’amour : en somme, je veux du Pink Paillettes, mais également des articles ouverts sur le monde et sa société !”

“…”

On en parle demain ?

Oct
12
Classé dans (Le torchon brûle) par Manon le 12-10-2011

Alors que les salariés de la fonderie du Poitou alu sont dans leur sixième semaine de grève, ils ont appris hier qu’une cessation de paiement était envisagée par la direction. Les syndicats se sont réjouis d’apprendre que leur entreprise allait se déclarer en cessation de paiement, si c’est vraiment le cas, ils ne seront  plus obligés de travailler pour le Groupe Montupet.

En visite hier sur le site pour apporter son soutien aux grévistes, le député européen d’Europe Écologie Les Vert, Yannick Jadot, voulait nuancer l’information. Il pense que ce n’est  pas une mauvaise nouvelle à  partir du moment où il y a un repreneur crédible. Il s’est aussi exprimé sur le fait que Montupet  ne faisait pas l’affaire.

D’après Yannick Jadot, il faut que Renault prenne le relais  maintenant. Ils pensent que Renault doit  racheter l’usine car c’est le seul client des Fonderies du Poitou.

Les grévistes se demande maintenant si Renault rachètera l’entreprise après la cessation de paiement. Le délégué du personnel CGT, Jean Yves Huet, a confirmé qu’il n’y a que Renault  qui soit capable de racheter l’usine.

Manon.

Oct
12

Vous avez composé vos premiers articles sur Le Torchon.com, ainsi que dans le cadre du cours de français (article de journal sur la nouvelle Cauchemar en jaune) : vous savez à présent la difficulté à trouver le bon titre, le titre juste, celui qui sortira du lot (de copies à corriger !).

Un bon titre est un titre soit informatif (il informe sur le sujet de l’article) soit incitatif (il pique la curiosité du lecteur par son originalité).

Certains, parmi vous, en 3ème2 comme en 3ème4, ont trouvé d’excellents titres pour leur article sur Cauchemar en jaune :  Crise de quarantaine ? Témoins malgré eux, Happy meurtre, Quand la valise reste vide…, Un crime presque parfait, Surprise !  Bloody birthay (mon préféré, je crois…), Anniversaire mortel, Un quarantième anniversaire presque parfait, Un meurtre à côté de chez vous… Voici pour les meilleurs répertorisé dans vos copies.

Un bon titre incitatif est un titre qui fait sourire : certains journaux mettent un point d’honneur à n’utiliser que des titres incitatifs (Le canard Enchaîné, par exemple). Avant de vous en présenter quelques-uns lors d’une séance media spéciale-titres, jugez plutôt celui que Libération propose ce matin : “Aubry-Hollande : la guerre des rosses”.

http://www.liberation.fr/politiques/01012365172-aubry-hollande-la-guerre-des-rosses

Vous devez comprendre ce titre qui fait allusion à deux éléments de votre culture  : “la guerre des roses” : la rose étant le symbole du PS, parti politique auquel appartiennent Hollande et Aubry : ces deux-là s’affrontent ce soir dans un ultime débat avant le vote des sympathisants pour élire le futur (la future) candidat(e) que le PS présentera pour l’élection présidentielle de mai 2012.

 De plus “La guerre des roses” est un film américain célèbre, dans lequel un couple, Mme et M. Rose, divorcent et se font la guerre pour garder leur maison : la fin est loin du happy end à l’américaine ! Si vous avez l’occasion de le voir…

Alors, me direz-vous, pourquoi “rosses” et non “roses”  c’est là que le titre de Libé est osé : une rosse, c’est un vieux cheval, ou bien une personne méchante, hargneuse… Le journaliste considère donc les deux candidats comme des “rosses” ! Il veut certainement mettre en valeur l’aspect duel du débat politique qui va les opposer ce soir… alors qu’ils appartiennent au même parti politique…

Ajout de la part de M. Mastorgio, diplômé ès Histoire : “J’ajoute, modestement, et sous l’oeil expert de mes collègues d’anglais, la guerre des deux roses, blanche des York et rouge des Lancastre, au XVème siècle, en Angleterre.”

Gageons même que le journaliste de Libé avait plutôt cette référence culturelle-ci ! Et que le film “La guerre des Rose” tient son nom de cette guerre historique.

A vous, cette année, d’apprendre à détourner des titres de films, de romans, d’expressions, afin de concevoir des titres originaux !

Oct
12
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par Agnès Dibot le 12-10-2011

 

Persepolis, c’est avant tout une Bande Dessinée réalisée par Marjane Satrapi : une iranienne. Sa BD est magnifique : dessins en noir et blanc, trait fin, harmonie dans les pages… C’est aussi, et surtout, une autobiographie : un récit de l’enfance de cette jeune iranienne qui a vécu des révolutions auxquelles, enfant, elle ne comprenait pas grand chose si ce n’est que la dernière lui a imposé le port du voile à l’école ainsi que l’interdiction de côtoyer des garçons sur les bancs de l’école…

Ce récit autobiographique, que vous trouverez au CDI, a été adapté pour le cinéma : vous pourrez le voir (j’ai le DVD) si vous le souhaitez lors d’une séance media. M. Mastorgio fera pour vous le point sur les situations géo-politiques qui fondent le récit, afin que vous compreniez tout.

Ceci pourrait être le sujet de votre prochaine page pour la NR :  on rejoindrait le débat abordé vendredi dernier, sur la religion et la laïcité.

En Tunisie, la diffusion de ce film pose un problème : lisez l’article de Rue89, vous comprendrez pourquoi. Nous en débattrons ensuite si vous le voulez bien.

http://blogs.rue89.com/tunisie-libre/2011/10/10/tunisie-persepolis-exacerbe-le-debat-sur-liberte-et-religion-225360

 Un peu d’Histoire (avec un grand H)… La guerre d’Algérie, cela vous dit quelque chose, j’en suis certaine… Lisez cet article, sur Rue89, au sujet de la difficulté pour l’état français d’admettre sa responsabilité dans certaines pages sombres de l’Histoire. C’est de notre histoire à tous qu’il s’agit. Et lundi sera un jour anniversaire d’une répression oubliée.

http://www.rue89.com/2011/09/27/17-octobre-1961-lalgerie-la-revolution-arabe-qui-ne-passe-pas-pour-sarkozy-223999

 

Oct
12
Classé dans (L'actualité vue par les élèves) par Agnès Dibot le 12-10-2011

Souvenez-vous de la discussion que nous avons eue, vendredi dernier, au sujet des Unes du journal Libération : les photographies des candidats aux primaires du Parti Socialiste, gros plan sur fond noir : eh bien, Libération sort ce jour une Une… rose.

Savez-vous que la rose est le symbole de ce parti politique ? Et donc la couleur rose… Connaissez-vous les symboles des autres partis politiques ? (Je laisse à M. Mastorgio le soin de vous concocter un quizz !)

Cette Une-ci me semble intéressante.

Oct
10
Classé dans (Pink Paillettes) par le 10-10-2011

Un beau jour d’été sur Facebook ( Eh oui encore ^^ )  une vidéo postée d’une fille a été commentée par un jeune homme qui lui faisait des compliments, en voyant cela, la jeune fille lui répondit et commença à lui donner son MSN, ils discutèrent de longues heures et même des nuits entières. Ils se passèrent leur numéro et s’appelèrent, ils se racontèrent leur vie et tombèrent sous le charme de l’un et de l’autre.

Un fameux mois d’Octobre, ils décident de se rencontrer et ce fut un vrai coup de foudre. Le problème ? Les 250Km qui les séparent. Il se posèrent la question ” Faut t’il que ça continue ou pas ? ” Il ne se voyaient déjà plus l’un sans l’autre donc ils décidèrent de continuer…

Ils firent tout pour se retrouver à chaque vacance  et leur amour grandit de jour en jour …
Maintenant, cela fait un an  que ça dure et leur amour est toujours aussi fort malgré la distance…

Alors, vos impressions, les filles ? Ca vous fait rêver ou pas ?

Oct
10
Classé dans (Pink Paillettes) par imène le 10-10-2011

Moi aussi joue !! Alors ,voila : j’ai grandi avec plusieurs personnes dont un garçon que j’ai aimé et avec qui j’ai eu une aventure !(chut, c’est un secret ;p )

Mon premier amour est un premier amour gâché qui n’a pas eu une très longue durée car, après une très grosse gaffe, mes frères l’ont su (celles qui ont un ou des grands frères, vous comprendrez la suite !) Alors, tout etait fini : plus de regards, plus de discutions d’avenir, plus rien et même lui avait disparu car il a déménagé. Parfois, je le croisais mais sans un mot, tête baissée et j’avançais comme si, devant, j’avait une personne inconnue.

Mais plus je grandis et plus je lui lançai un regard quand je le voyais. Et un beau jour d’été, j’ai appris par une de mes amies qu’il venait à George Sand à la rentrée. Quand j’ai appris cette nouvelle, dont je ne savait pas si elle était bonne ou mauvaise, j’ai été dégoûtée car mon premier amour et le seul amour que j’ai eu serait dans le même collège que moi, on serait dans le même bâtiment, dans la même cour et peut-être dans les mêmes couloirs.

Imaginez-vous !!

La rentrée venue, je l’aperçus et mon coeur s’est mis à battre, même si, pour moi, tout cela était du passé et je ne ressentais presque plus rien pour lui. Maintenant, je me dis que tout ça c’est du passée et que, moi comme lui, nous avons évolué et que peut-être que le destin retracera notre chemin .

Oct
09
Classé dans (Pink Paillettes) par LaTitePoète' le 09-10-2011

Il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup … d’histoires d’amour.

Je propose à toutes les filles qui font partie de l’option média du collège de nous en raconter une (qui peut être vraie ou bien fausse, qui vous soit arrivée ou pas – à vous de choisir ;D-, et elle peut finir bien ou mal ). On va commençer par la mienne puisque j’en ai eu l’idée ^^ :

C’est la rentrée ! Ca fait deux mois entiers qu’on a pas vu nos potes … On est tous fallah’ ( = contents en arabe ) ! Il y a certains nouveaux dans le collège ( un peu comme tous les ans … ).

Au bout d’un mois de cours, une fille a remarqué qu’un garçon s’intéressait à elle : il lui lançait des regards à chaque fois qu’il la voyait. Elle se disait qu’il y avait quelque chose mais elle ne savait pas quoi ; ou du moins pas encore … Puis deux mois passèrent et le garçon harcelait du regard la fille ; mais cette dernière fut au courant qu’il sortait déjà avec une autre donc elle se demandait doublement pourquoi il la regardait ainsi.

Arrivé au troisième mois, le garçon envoya quelqu’un demander le numéro de portable à la fille, qui accepta de lui donner.

A peu près un mois après cela, ils s’avouèrent tous les deux qu’ils s’aimaient ( par messages ) mais ils gardèrent tout ça secret. L’année passa et ils étaient toujours aussi fous amoureux l’un de l’autre mais les grandes vacances arrivèrent … Ils continuaient à s’envoyer des messages, ils se manquaient énormément …

La rentrée arriva mais ils furent séparés car le garçon partit dans une autre école. Puis arriva le jour de leur premier baiser … Malheureusement, la fille eut le coeur briser car elle apprit qu’il s’était fichu d’elle et qu’il s’était remis avec une autre. La fille le détesta mais elle craquait toujours autant pour lui ; elle décida de ne plus jamais lui adresser la parole et de ne plus jamais rien avoir à faire avec lui.

Et voilà, mon histoire est finie ! Je sais, elle finit mal et c’est encore un chagrin d’amour … ( Mdr ) Mais c’est mon histoire et c’est à moi de choisir :p !! 🙂

Maintenant, les filles c’est à vous de jouer, faites-nous rêver … Ou pas !! XD